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On se rappelle tous de sa première fois

Chapitre 2

Hétéro
Je couru donc vers la gare. Une jeune fille se tenait devant les portes d’entrée. Elle était vêtu d’un manteau noir qui lui descendait jusqu’au genoux. Ensuite, on pouvait apercevoir qu’elle avait un jean. Pas très sexy comme tenu : et moi qui pensais qu’elle venait vraiment pour baiser; peut-être elle a eu pitié de moi et elle voulait juste me tenir compagnie. Je me dirige donc vers cette demoiselle, avec une double pensée : j’espère que c’est bien elle, tout en espérant que ce ne soit pas elle. Cette pensée dualiste fait mon coeur battre la chamade. Je suis fou ou quoi ? Je vais rencontrer une personne que je ne connais que virtuellement. Que vais-je lui raconter, que lui dire ? Mais, cette demoiselle, me voyant arriver vers elle, se mit elle aussi a prendre le pas, et sure d’elle, se dirige vers moi. On se croise :— Salut, c’est bien toi S. ?— Oui, t’en a mis du temps. T’habites loin? Il fait froid dehors !
Ces mots ravivaient mes pensées coquine et je l’invita à venir dans mon appart. Nous sommes montés et avons commencé à faire beaucoup plus connaissance assis sur le canapé. Le virtuel oui, mais, en face à face, c’est meilleur. On entend la voix de son interlocuteur, la facon dont elle formule ses phrases, son vocabulaire... Nous étions très à l’aise l’un avec l’autre. J’appris qu’elle venait du Mali. Elle me racontait qu’elle suivait une formation, moi, je mon quotidien d’étudiant.
Pendant notre discussion, son portable sonna :— Oui, je suis bien arrivé. Ca va, il à l’air sympa et beau.
Qui était donc au bout du fil ? Contrairement à moi, elle n’avait pas caché qu’elle avait une rencontre. Était-ce sa soeur ? une amie ? Ou alors même son ex ? Le coup de fil ne dura pas plus d’une minute et elle racrocha.
— Alors quelqu’un sait que tu es ici ?— Oui, c’est ma sœur. Je lui ai dit que j’allais rencontrer un garçon rencontré sur internet— Tu avais l’air très à l’aise d’en parler. C’est pas la première fois que tu rencontre quelqu’un comme ça ?— En faite, si, mais je lui avais parlé de toi, et c’est elle qui m’a encouragé a venir parce que j’étais morte de trouille. Pendant tout le trajet dans le train, elle n’arrêtait pas de me donner des conseils au téléphone— Et alors ?— Alors, il se trouve que j’en ai pas eu besoin, tu m’as bien mise à l’aise, je ne suis pas déçue— Au faite, je t’ai pas demandé, le trajet s’est bien passé ? Il y avait du monde dans le train ?— Non, mais il y avait un monsieur qui me faisait peur. J’ai eu peur je te jure— Mais c’est parce qu’on peut lire dans tes yeux que tu as faim, alors il voulait surement te donner à manger— C’est vrai que je fantasmerai de me faire prendre dans le train, mais avec un beau-gosse comme toi, pas un vieux dégueulasse.
Malgré nous, la température montait. On savait tous les deux ce que l’un attendait de l’autre. Je repris :— T’as apporter ce que je t’ai demandé ?
Elle sortit deux capotes de son sac et me les montra. Rien qu"à les voir, je commençai déjà à bander :— Ça suffira ? me dit-elle— T’inquiète, j’ai de quoi si on fini les deux.
Elle se leva et me demanda où se trouvait les toilettes. Jeune novice, je croyais qu’elle voulait faire ses besoins. Elle en ressortit, monta sur moi et posa ses lèvres sur les miennes. Un baiser fougueux s’en suivi. Elle ouvra sa bouche et sa langue vint chercher la mienne. J’avais envie de lui enlever son haut, lui caresser les cuisses, mais, j’étais tétanisé. Pourtant, ne lui ayant pas avouer que je n’avais pas encore connu les plaisirs de la chair, je décidais de faire comme si j’étais rodé pour ce genre de chose. Je me levais donc d’un coup, elle avait toujours ses lèvres contres les miennes, ses bras autour de mon coup et ses jambes autour de ma taille. Je l’emmenait jusqu’à la chambre inoccupée et la déposa sur le lit, celui qui serai notre lieu de débauche. Comme un pro, je lui enlevais son haut et déboutonnait son jean. Une fois en sous-vêtements, elle s’éloigna du lit et comme pour me montrer qu’elle s’était faite belle pour l’occasion, elle m’exhibait son ce corps que je voulais posséder. Son soutient gorge lui cachait son 85 B non négligeable et elle avait une culotte avec des perles sur le haut et un petit nœud de papillon qui rendait son corps si sexy. Elle faisait le tour sur elle même et je m’apperçu qu’elle portait non une culotte, mais un string. Je voyais ses fesses bien rondes, je bandais et je voulais les lui masser. Elle s’approcha, je lui dégrafait son haut et ma langue commançait à lui sucer les tétons. Je les lui suçait comme un enfant qui suce la tétine de son biberon. Le puceau que j’étais n’avait jamais eu l’occasion de vivre un moment aussi intense. Je pouvais sentir son cœur battre, ses mais m’arrachaient les cheveux. Ce fut intense. A son tour elle me déshabilla et, tout de suite, sa bouche se posait sur ma bite. Elle me la prise dans sa bouche et sa main fesait des va et viens. Alors c’était donc ça se faire sucer ? Que c’était bon. Tellement bon que je ne savais pas quelle attitude adopter. Fallait-il que je lui tienne les cheveux ? Que je l’aide à faire des va et viens avec mon bassin ? Toutes ces scènes que j’avais vu dans les films X défilèrent dans ma tête, mais je ne su que faire. C’est alors qu’elle vient m’embrasser sur la bouche, je senti l’odeur de ma bite sur ses lèvres.
— T’as aimé ? me demanda-t-elle— Oui, c’était bon. Et toi tu aime sucer ?— Trop. Mais ce que j’aime le plus, c’est le cunni— Vraiment ? Allonge toi c’est à mon tour de te donner du plaisir.
Elle se coucha et m’ouvrit ses cuisses. Avec mon index, je dégageait le bout de tissu qui me cachait sa chatte. Elle avait prit le soin de se raser, et je voyais son sexe mouillé qui n’attendait que ma langue. Je la lécha... Beark, cette blackette était trop en chaleur et son jus sentait le manque de sexe. Ou alors, ne s’était-elle pas branlé en douce pendant qu’elle fut aux toilettes. L’odeur me répugnait, mais, savoir que cela donnait du plaisir à ma partenaire m’excitait. Elle poussait de petits gémissement aigus comme pour m’encourager dans mon entreprise. Puis, comme guidé par mon instinct, je lui mit un doit. Celui-ci glissa directement dans les profondeurs de sa grosse chatte. Sa main cherchait ma bite et je fit en sorte qu’elle la trouve. Elle serra ma bite dans la paume de sa main et me branlait. Elle me supplia alors de la prendre.
Je me relevait, prit ma queue dans la main droite et voulu lui rentrer dedans. Mais elle s’y opposa et me dit que nous n’étions pas protéger. Je pris alors le préservatif qu’elle me tendait et le mis. Ensuite, nous reprenons nos activités. Elle était couché, moi, j’étais sur elle. Mais, je n’arrivait pas à y entrer. Pourtant, je bandais, elle mouillait. N’ayant aucune expérience, je ne savais pas comment trouver son trou. Elle prit alors les choses en mains, et guida mon sexe dans sa chatte. Je sentait comme une boule dans mon estomac. Un mélange de découverte et de plaisir. Elle avait communiqué la chaleur de sa chatte à mon membre et je fis des va et viens, bien lent, prenant le temps d’apprécier ce moment divin. Elle, pendant ce temps, m’embrassait et poussait des petits cris.
On décida de changer de position. Elle monta sur moi. Pendant qu’elle prenait son pied, je mattais ses seins se balancer pendant qu’elle avait la tête tournée en l’air comme si elle regardait le plafond. J’ai donc pris ses seins entre mes mains et les malaxait comme si je découvrait cette chose pour la première fois. De temps en temps, j’essayais de les lécher. De son côté, S. se penchait pour un baiser, comme si elle en avait besoin pour s’encourager.Puis, elle se mit sur ses genoux me donnant une vue que même le meilleur des porno ne m’avait jamais procuré. Je voyais sa chatte enflée et son trou du cul écartés à une cinquantaine de centimètre de moi. Ne me posant pas de questions, je lui mit ma bite dans sa chatte, mes mains lui tenaient le bassin et je la baisais. Je la baisais comme si j’avais toujours fait ca. Je lui donnais de temps en temps une fessé sur les fesses, ca m’excitait, j’avais l’impression de la dominer. En guise de réponse, elle criait des "oh oui" ou des "prend-moi".
Je sentit que j’allais jouir et que j’allais vraiment vider des litres de spermes cette fois-ci. Je lui dit "je vais jouir", et elle me répondit "vas-y, moi aussi". Je ne sais pas si elle a jouit, mais moi oui, j’ai tout craché étant encore dans sa chatte. Bien-sur, nous avions prit nos précautions. Je me retirai l’embrassait, m’m’allongeait à coté d’elle. Je pris du repos et m’endormi. A mon reveil, elle dormait elle aussi, cela nous avait épuisé. Alors que j’allais sortir du lit pour me laver, elle me chuchota : "où vas-tu mon chéri ?". Je lui répondait qu’il fallait qu’elle se repose. Mais elle me dit "viens me baiser".
Nous avons donc encore baiser une deuxième fois jusqu’à ce que je jouisse. Puis, elle tenait à rentrer chez elle. Je l’ai raccompagné à la gare, on s’est embrassé follement comme des amoureux qui se quittaient, et elle est parti.
Cette fille, je ne l’ai plus jamais revue. Où est-elle ? Que devient-elle ? Savait-elle qu’en ce jour de Noël, elle avait rendu heureux un jeune puceau ?
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