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Rapport de bon voisinage

Chapitre 1

Hétéro
Ah le mois de mai ! Le printemps dans toute sa splendeur. Ses journées ensoleillées, ses jours de congés, … enfin bref, on ne va pas tous les faire. Dans un quartier chic et résidentiel d’une grande métropole, vit un couple marié. L’homme est un cadre important dans une grande banque. Il est ambitieux et aime tout contrôler. Son épouse est une charmante brune mince aux formes généreuses. Elle se contente de rester à la maison comme femme au foyer, une vraie petite femme d’intérieur. Ce couple de condition aisé vit dans une somptueuse villa depuis près de 5 ans. Toutefois, leurs manières suffisantes et prétentieuses ne mettent pas forcément à l’aise leur entourage.
Leur vie s’en est retrouvée chamboulée par l’arrivée d’un nouveau voisin qui a acheté la maison en face de la leur. Ce type était un gros bonhomme d’une cinquantaine d’année. La rumeur disait qu’il était un ancien ouvrier du bâtiment, vieux garçon, ayant gagné au Loto et qu’il avait voulu changé de vie en s’installant dans cette grande maison. Dès le lendemain de son aménagement, il s’est présenté à ses voisins. C’est madame qui lui a ouvert. Elle se retrouvait face à ce type à l’allure rustre et un peu débraillée qui n’allait pas vraiment avec le standing du quartier.
— Bonjour m’dame.— Bonjour monsieur, si c’est pour une quête de charité ….— Non, non, rien de tout ça. Je me présente Fernand Perrault. chuis vot’ nouveau voisin.— Et vous venez pour ?— Me présenter dans le quartier. — Bah voila c’est fait.— Chuis un ancien du bâtiment donc si vous avez des problèmes à ce niveau là ….— On fera appel à un professionnel. Désolé mais j’ai quelque chose sur le feu. Au revoir.
Et elle lui ferma la porte au nez de la manière la plus impolie qui soit. Il se présenta aux autres habitants du quartier qui, eux, l’ont reçu avec plaisir. Il apprit également que ses voisins d’en face étaient connus pour être prétentieux et pas forcement agréable à vivre. Ok donc ça ne venait pas que de lui. Dommage se dit-il. Il ne connaissait pas le mec mais en tout cas la femme, elle avait un beau cul. Il en ferait bien son 4 heures.
Le gros Fernand avait été accepté par son voisinage … enfin presque. Il offrait ses services à qui en avait besoin sans restriction. Cependant, au fur et à mesure des mois qui passaient, ses voisins d’en face semblaient de plus en plus méprisant. Il avait aussi remarqué autre chose. Comme il passait ses journées chez lui, il avait surement été le seul à remarquer que, tous les jours une belle voiture de sport conduite par un jeune dandy venait se garer chez ses voisins. Il arrivait le matin après le départ du mari et partait peu de temps avant midi. Ce cirque a durée plusieurs mois. Il était évident que cette madame sainte nitouche s’accordait un petit rendez vous galant avec un jeune premier. Info très intéressante qui pouvait s’avérer utile mais il fallait s’en assurer.
Le couple employait une bonne. Une femme de 45-50 ans assez ronde mais toujours impeccable. A la fin de son service, alors qu’elle sortait de la maison, Fernand eu l’idée de la mettre à contribution. Il n’eut aucun mal à l’en convaincre étant donné qu’ils avaient autant de considération pour le petit personnel que pour lui. Il eu la confirmation que Madame s’envoyait en l’air avec un jeune loup aux dents longues, accessoirement l’assistant de son mari et que n’ayant aucune compétence particulière, elle n’était là que pour dépenser le pognon de son mec. Du coup, il lui proposa un marché : installer dans la chambre un dictaphone numérique, préalablement programmé pour se déclencher au bon moment contre un petit billet. Etant payé au lance-pierre, elle n’eut aucune hésitation pour arrondir ses fins de mois.
Au bout d’une semaine d’enregistrement, Fernand avait la certitude de l’adultère de madame. Il paya la bonne plus un petit supplément pour service rendu et commença à élaborer son plan. Il n’avait pas digéré ce mépris constant qu’ils avaient pour … n’importe qui mais surtout pour lui. Toutefois il comptait bien se servir de la situation pour en profiter un peu parce que, durant tout l’été, madame n’a pas arrêté de tortiller du cul pour l’allumer et au final se foutre de sa gueule. Il comptait bien lui rendre la monnaie de sa pièce et essayer de se la faire.
Un jour, alors qu’il était en train de tailler ses arbustes, il la vit sortir de chez elle pour récupérer son courrier.
— Bonjour, ma jolie.
Elle fit semblant de ne rien entendre mais perturbée, elle fit tomber son courrier au sol. Elle se pencha alors pour le ramasser.
— Faites attention ma p’tite dame. La dernière fois que ma mère s’est penchée comme ça, j’ai eu un petit frère.
Elle marqua un temps d’arrêt mais reparti de suite après.
— Ok visiblement madame veut jouer les grandes à m’ignorer comme elle le fait, alors on va jouer. Pensa-t-il
C’est à ce moment là que le beau jeune homme arriva. Il gara sa voiture juste devant et fila dans la maison pour son petit rendez-vous. C’était le moment d’agir. Fernand se dirigea vers la maison d’en face. Il ouvrit la porte. La bonne ayant l’habitude de faire les courses à ce moment là, il lui avait demandé de laisser la porte ouverte, en échange d’un petit pourboire supplémentaire. Une fois entré, il n’eut aucun mal à trouver la chambre, se guidant aux cris de jouissance que poussait madame. Une fois à la porte, il prit son Smartphone en fonction enregistrement vidéo et entra dans la pièce.
— Quand le chat n’est pas là les souris dansent on dirait. Ça va je vous dérange pas ?— Mais qu’est ce que vous foutez là ? Barrez vous de chez moi.— Oulla, mollo, elle va se calmer Zahia ! vous avez p’tet l’habitude de prendre les gens de haut et les traiter comme de la crotte mais ça marchera pas avec moi.
Il s’adressa d’abord à l’amant qui dissimulait son intimité derrière un coussin.
— Toi, tu te casses. Les grandes personnes ont à parler.— … Oui monsieur.
Il s’est alors barré en embarquant ses affaires sans demander son reste. Laissant ainsi Madame « 5 à 7 » nue sous un drap face à Fernand.
— Que me voulez vous ? demanda t’elle d’une voix inquiète.— J’ai une proposition à vous faire. Si vous la rejetez, je balance tout à votre mari. — Du chantage ? vous n’avez pas le droit je vais …— J’ai p’tet pas le droit mais je vais prendre le gauche. Et j’vais pas me gêner pour le faire.— Je vais porter plainte contre vous.— C’est ça allez y. ça vous obligera à tout révéler à vot’ mari ; et quand il l’apprendra ….. — …. Bon OK … que voulez vous ?— Primo : un peu plus de considération, et pas que pour moi.— Ça c’est faisable. — Deuxio : Votre amant, le petit minot qui viens de se barrer la queue entre les jambes, vous le larguez. Je veux plus le voir traîner ici. Il conduit comme un pied. Un jour il va blesser quelqu’un.— Accordé.— Et enfin Tercio, le plus intéressant : comme vous avez pris un amant, je suppose que c’est pour combler un manque ? Alors je me propose de le remplacer.— QUOI ? Ah non hors de question. Ce n’est pas possible.— Ok c’est vous qui décidez. Je viendrais moi même porter la vidéo à vot’ mari. Commencez à faire vos valises parce que là c’est divorce assuré. Au revoir.— …. Non attendez. Je ne peux pas me permettre un tel scandale.— Ah mais il ne tiens qu’à vous pour que j’oublie ce que je viens de voire.— Je peux réfléchir ?— Je vous laisse jusqu’à demain pour larguer l’autre minet et jusqu’à après demain pour venir de vous-même chez moi pour … sceller notre accord.— D’accord. — Si dans 3 jours j’ai pas de nouvelles, j’arriverai avec la vidéo. Aller, salut.
Une fois chez lui, Fernand se frottait les mains. Il était parvenu à la mettre à genou. Il ouvrit une bonne bouteille pour fêter ça et reparti après à son jardinage. Le lendemain, alors qu’il repeignait son portail, il vit arriver le futur ex amant de sa voisine arriver dans sa voiture et … en repartir 10 minutes après, furieux. Visiblement il venait de se faire larguer. Ravi de la situation, il s’imaginait déjà comment pouvait se dérouler la suite. Le lendemain alors qu’il était en train de laver sa voiture au jet d’eau, il vit sortir sa voisine de chez elle et se diriger chez lui. Le moment tant attendu était arrivé.
— Salut beauté ! qu’est ce qui vous amène chez moi par cette belle matinée ?— Vous le savez ce qui m’amène.— Bon, aller entrez, suivez moi.
Il l’entraîna dans son salon et l’invita à s’assoir sur le canapé pendant qu’il se dirigeait vers son minibar.
— Vous voulez boire un truc ?— Oui s’il vous plait un double whisky, je crois que je vais en avoir besoin.— Etant donné ce qu’on va faire d’ici peu de temps on va laisser tomber le « vous ». à ce propos c’est quoi ton prénom ?— Léa— Ok donc si t’es là, c’est que tu acceptes ma proposition ?— A ton avis ?— Parfait je te laisse finir ton verre et … ah ok cul sec bon bah commençons alors.
Il la leva, attrapa les pans de son chemisier et les écarta d’un coup sec (en faisant sauter quelques boutons au passage) libérant ainsi sa généreuse poitrine toujours prisonnière de son soutien gorge.
— Mmmhh ! Vu le terrain de jeu je sens que je vais me régaler. Dit-il en jetant le chemisier par terre et en se mettant dans son dos.
Elle sentait ses mains en train de la caresser et accessoirement lui retirer le reste de ses vêtements. Il commença à l’embrasser dans le cou puis il la mit à genou devant lui, fit sauter les brettelles de sa salopette qu’il fit glisser le long de ses jambes. Il mit une main sur l’arrière du crâne de sa nouvelle camarade de jeu et lui dit :
— Bon maintenant à toi de me montrer ce que tu sais faire.
Elle baissa son caleçon, laissant ainsi sortir un sexe pas forcément très long mais assez épais. Elle le mit en bouche et commença à le sucer.
— Et ben ! On sent que t’as l’habitude. C’est ton mari qui doit s’amuser. Aller montre moi comment t’utilises ta langue….. Voila c’est bien passe la autour du gland …. Ouch……… Aller, maintenant, allonge toi. Je vais te préparer pour la suite.Fernand la fit s’assoir sur le canapé. Il s’humecta 2 doigts et les enfonça dans la fente de sa partenaire.
— Et ben ! T’as l’air aussi étroite qu’une pucelle. Il te baise pas ton mec ?— Si mais pas suffisamment à mon gout. Une missionnaire sans fantaisie par semaine c’est pas assez.— Tu m’étonnes. Je comprends pourquoi t’as voulu un amant … enfin, un amant, c’est vite dit parce que c’est pas l’autre avec son petit vermicelle qui allait te faire grimper au rideau. Heureusement je suis arrivé. Tu vas voir ça va changer et je suis sur que tu vas en redemander.
Après une longue séance durant laquelle elle s’est fait doigter, Fernand se mit en position pour la saillie tant attendue. Léa quant à elle était anxieuse. Elle avait peur, vu l’épaisseur de l’engin, de se faire déchirer en 2.
— Il est tant pour toi de passer de la knacky ball à la vraie saucisse de Morteau.
Sa voisine allongée sur le canapé, Fernand lui souleva une jambe pour facilité l’accès et la pénétra fougueusement. Elle n’avait jamais connu un tel diamètre. Elle était presque trop serrée pour que ça rentre. Elle avait honte de devoir acheter le silence de son voisin avec son cul. D’autant qu’il ne lui plaisait vraiment pas du tout. Visuellement, c’était un peu comme si Paris Hilton était contrainte de se taper Kim Dotcom, le fondateur de feu Megaupload (je vous laisse aller regarder sur internet si vous ne connaissez pas). Il était là, allongé sur elle, presque en train de l’écraser sous son poids, sa tête posé sur son épaule à poussé des soupirs rauques à chaque coup de rein. Puis il lui a bloqué les bras d’une main et de l’autre saisi le menton pour la galocher. Elle a tenté de se débattre car son haleine alcoolisée la révulsait et sentir sa grosse langue rappeuse lui fouiller la sienne la dégoutait.
— Ok visiblement t’aimes pas que je t’embrasse. C’est pas grave, on va faire autre chose.
Il la retourna sur le ventre pour se préparer à l’enculer. En comprenant ce qu’il voulait, elle a essayé de l’en dissuader.
— Non pas ça. S’il vous plait. Je ferai tout ce que vous voulez mais pas ça.— Ah bah c’est con parce que je veux justement te faire ce que tu veux pas que je fasse. Va falloir serrer les dents. Sinon je vais voir ton mari.
Il lui badigeonna la rondelle de gel et commença à faire coulisser l’andouillette. Léa le sentait s’activer dans son rectum. Il poussait le même genre de grognement que ceux d’un phacochère en rut. Il était en train de lui démolir le sphincter. Elle était obligée de subir sous peine de prendre le risque de divorce et que son mec la dégage de chez lui. Elle a, tout le long de l’acte, espéré qu’il finisse rapidement. Ce qui fini par arriver au bout de quelques minutes. Ça y est il s’était vidé les burnes. Elle espérait qu’il la laisserait tranquille dorénavant mais elle n’imaginait pas ce qu’il allait lui annoncer.
— Aaaahh ! C’était bon. Mais tu manques un peu de pratique. Visiblement, t’as pas connu le bon mec pour niquer ça se voit. T’en fait pas. Je vais te faire ton apprentissage. Bon on se revoit dans 2 jours ?— Pardon ?— Bah oui tu voyais ton amant presque tous les jours. Je ne serais pas aussi exigeant mais si je dois le remplacer, je veux qu’on se voit tous les 2 jours : Lundi, mercredi, vendredi. Je te fais cadeau du dimanche.— Ce ne serait pas mieux 3 jours par semaines ? peu importe lesquels ?— Ok, on fait comme ça. Par contre si durant une semaine tu viens pas et que t’as pas prévenu je considère que t’as changé d’avis.
A cause de ce chantage, elle était obligée de satisfaire les envies lubriques de son voisin. Elle allait payer chèrement son manque de respect et de considération ainsi que son adultère qui se retournait contre elle. Fernand lui était ravi de la tournure des événements. Maintenant qu’il avait réglé son compte à la fille, et qu’il allait pouvoir continuer jusqu’à se lasser, il fallait s’occuper du mec.
Peu de temps après son arrivé dans le quartier, il lui avait grillé la priorité l’obligeant à se déporter … dans un poteau. Mais ce n’était pas tout. Un matin ou sa camionnette était garée sur le trottoir, à cause d’un bruit de taule froissée, il s’est réveillé très tôt le matin et il a bien vu le mari de Léa lui refaire le coté de son véhicule en reculant avec sa voiture et se barrer sans laisser de mot ni rien. A la suite de ça, il n’a jamais réussi à lui parler pour régler ça à l’amiable et voir avec l’assurance. Il voulait lui faire passer l’envie de recommencer. Il voulait se le faire mais pas comme avec sa femme. Il avait prévu de lui faire subir autre chose. Comme il a coutume de le dire : « j’veux bien qu’on me prenne pour un con mais j’veux pas le savoir ni que ça se voit ». Pas de bol ; là c’était ni l’un ni l’autre.
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