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Rasé de près

Chapitre 1

Hétéro
Rasé de près.
Chapitre 1
Avec ma femme Françoise, nous habitons en région parisienne. Je dois assister à une réunion de travail à Lille où réside sa cousine Léa avec son compagnon Aubin. Ils me proposent de passer la soirée avec eux plutôt que d’aller à l’hôtel. J’accepte tout de suite, car je sais que je vais passer un bon moment. Le soir venu, le dîner est délicieux, nous buvons comme d’habitude plus que nécessaire, mais je suis détendu, car je ne travaille pas le jour suivant.
Le lendemain matin, Aubin qui est prof de français est parti donner ses cours. Vers 8h30, Léa qui n’exerce pas d’activité professionnelle, frappe à ma porte et m’apporte sur un plateau une tasse de café bien chaud et quelques tranches de brioche tartinées de confiture. Elle porte sur elle un peignoir de bain et une serviette éponge enturbannée sur ses cheveux.
— Tu as passé une bonne nuit ? — J’ai dormi comme un bébé.— Je viens de prendre une douche et j’ai tenu à t’apporter un bon petit-déj au lit.— Merci, c’est sympa. Tu es superbe dans ce peignoir.
Blonde avec un petit ventre rond, des fesses potelées et une forte poitrine, Léa est physiquement très différente de ma femme qui est mince et brune. C’est à se demander si elles sont réellement cousines. Je m’assieds et place l’oreiller dans mon dos comme point d’appui. Dans le même temps, je tire vite fait sur la couette pour cacher mon sexe, car je dors à poil. Elle semble gênée de me voir ainsi torse nu et n’ose croiser mon regard.
— Euh, je te le pose là ? — Oui, pas de problème.
Elle se penche vers moi et pose le plateau sur le haut de mes cuisses à la limite de mon service trois pièces. La ceinture de son peignoir de bain n’est pas assez serrée et j’aperçois un sein, puis toute sa poitrine. Ses seins sont lourds et tombants comme deux grosses mamelles. Elle s’assied sur le bord du lit, on parle de choses et d’autres pendant que je savoure le café et la brioche. Le peignoir s’ouvre un peu plus dévoilant maintenant son petit ventre. Elle s’en aperçoit et le referme promptement.
— Oups ! Je suis vraiment indécente.
Je fais comme si je n‘avais rien entendu. Mais tout en continuant de discuter, elle croise les jambes découvrant le haut de ses cuisses. Mes yeux ont de plus en plus de mal à se détacher de son entrejambe et j’ai une érection. Mon petit-déjeuner terminé, elle se lève et se baisse pour reprendre le plateau. Le peignoir s’ouvre à nouveau. J’ai l’impression qu’elle ne porte rien en dessous. Je bande de plus en plus. Soudain ma queue devenue raide dépasse de la couette. Sur le coup, je ne m’en suis pas rendu compte, mais c’est en voyant son regard sur mon sexe que je réagis en remontant la couette. Tout en déposant le plateau sur la table de nuit, elle continue de fixer la bosse prise par ma verge qui continue de grossir.
— Eh ben dis donc !
— Désolé, mais c’est de ta faute. Je me trompe ou tu ne portes rien en dessous ? — Rien ! Et comment tu me trouves ? — Ton sexe est complètement épilé. — Pourquoi tu n’aimes pas ? — Si, mais j’avoue que ça me change de Françoise qui préfère garder son petit minou.— Aubin ne supporte pas les poils et moi non plus d’ailleurs.— Il se rase aussi ? — Il préfère que je lui fasse et ça se termine à chaque fois par une p’tite pipe !
Tout en disant cela, elle tire doucement sur la couette et observe mon sexe dressé au milieu de ma forêt pubienne.
— Tu veux que je te fasse ce que je fais à Aubin ? — Une petite pipe ? — Non, je voulais dire te raser, espèce d’idiot ! — Pourquoi pas, si tu assures le service après-vente ensuite.— Pour ça, on verra ! Mais pour l’instant, bouge pas, je vais chercher le matériel nécessaire !
Elle revient avec paire de ciseaux, rasoir, crème, éponge, bol de flotte et serviette. La ceinture du peignoir a disparu, elle marche dans la chambre sans rien cacher de sa nudité. Sa poitrine généreuse, son ventre rond et son petit abricot en font une femme très désirable.
— Allonge-toi et écarte les jambes.
Elle tient ma queue entre ses doigts et rase les poils de mon pubis après m’avoir largement badigeonné de crème. Elle me demande ensuite de relever mes genoux pour continuer sur mes bourses et termine par mon croupion.
— Maintenant tu vas te mettre sur le ventre pour que je termine.— Tu es une vraie pro et on sent que tu aimes ça ! — Oui, écarte les fesses avec tes mains pour que je puisse faire ton petit trou.
Elle m’essuie enfin délicatement la raie en insistant sur ma rondelle.
— Voilà, c’est fini, tu as un beau petit cul ! Retourne-toi pour voir si j’ai bien travaillé.
Je me remets sur le dos et mon sexe est droit comme l’obélisque. Elle s’en saisit à pleine main et commence à me masturber. Elle se penche sur ma bite, la lèche avec gourmandise en me regardant dans les yeux. Quand elle commence à me sucer, il ne me faut pas longtemps pour éjaculer. Elle ne s’est pas reculée suffisamment tôt et a tout pris dans la figure. Mon sperme coule sur son visage. Sa langue récupère ce qu’elle peut et se régale de la crème onctueuse.
— T’es un rapide !— Désolé, mais j’en avais trop envie.
Elle me parle tout en observant mon sexe.
— Je suis impressionnée par sa taille.— Tu le trouves petit ? — Au contraire, il est beaucoup plus gros que celui d’Aubin.— Merci, tu me flattes.— C’est ma sœur qui a de la chance ! — Maintenant, c’est à moi de m’occuper de toi.
Je lui demande de se mettre à quatre pattes sur le lit et d’écarter ses jambes afin de sucer son petit abricot. Par pudeur, elle souhaite garder son peignoir qu’elle relève jusqu’au début sa raie. Je regarde son cul magnifique avec ses deux grosses fesses bien blanches. Je lèche sa fente et introduis ma langue entre ses petites lèvres. A force de léchettes intensives, elle mouille un maximum. Mon index remplace ma langue et coulisse à l’intérieur de sa grotte. Puis ce sont deux doigts qui vont et viennent au plus profond de son vagin pendant qu’elle se caresse le clito. Je bande à nouveau.
— Continue !— J’ai bien envie d’inaugurer ma bite rasée.— Viens !
Avec mon pubis dépourvu de poil, je découvre de nouvelles sensations. J’ai l’impression de la pénétrer plus profondément. Mes va-et-vient se font de plus en plus violents. Elle accompagne mes mouvements avec la même intensité. Je ralentis la cadence et observe son petit trou entre ses deux grosses fesses. La tentation est trop forte. Je me retire de son vagin et me baisse pour lécher sa raie, jusqu’à son petit trou.
— Ouiiii !

Mes mains caressent ses fesses et les écartent tandis que ma langue insiste à l’entrée de son anus. Au bout d’un moment, mon doigt remplace ma langue et s’introduit petit à petit.
— Oui, là !
Mon doigt s’engouffre plus profond dans son trou qui ne demande que ça. Après plusieurs va-et-vient, index et majeur sont maintenant dans son cul. Elle se redresse et retire son peignoir dévoilant ses seins qui balancent au gré de ses ondulations. Mes doigts tournent dans son anus et vont de plus en plus loin.
— Continue, t’arrête pas, c’est trop bon ! — Prête pour recevoir ma queue ? — Vas-y !
Au moment où je m’apprête à la sodomiser, on entend une voix en provenance du rez-de-chaussée. C’est une voix féminine.
— Il y a quelqu’un ? Il y a quelqu’un ?

Chapitre 2
Léa se redresse brutalement, remet vite fait, son peignoir et me laisse avec mon érection, la bite prête à exploser.
— Désolé ! Sandy vient d’arriver, je dois descendre.
Sandy est sa fille aînée. Elle habite avec son mari et ses deux enfants dans le même lotissement, deux rues plus loin. Assistante sociale, elle partage son temps entre son métier à mi-temps et des cours de danse qu’elle donne au sein d’une association. Après avoir parlé à sa mère, elle monte les escaliers, toque à la porte de la chambre et passe sa tête.
— Alors tonton, on fait la grasse-mat ce matin ?— Comme tu le vois, j’ai eu droit à un petit-déj au lit.— Quand j’ai vu ta voiture garée devant la maison de maman, j’ai eu envie de te faire un petit coucou ! — C’est gentil ! Et toi, ça va ? — Impeccable. Je ne reprends mon travail qu’à quatorze heures alors je vais pouvoir manger avec vous.
Elle me fait la bise sur le coin de la bouche et nos lèvres se touchent. Ses lèvres sont humides et ça me fait tout drôle. On échange quelques banalités et elle redescend. Quelques instants plus tard, le temps de passer à la salle de bain et de m’habiller, je les rejoins. Léa chagrinée de ce moment de bonheur brutalement interrompu, m’explique qu’elle doit partir faire quelques courses pour le repas de ce midi. Sandy, assise sur le canapé du salon, lit une revue people. Je m’assieds face à elle dans un confortable fauteuil. J’engage la conversation.
— Intéressant ? — Bof, les potins habituels.
Elle pose la revue et décroise ses jambes découvrant le haut de ses bas autofixants couleur chair et le début de ses cuisses nues. Nous bavardons sur sa famille, son travail, ses cours de danse. C’est un véritable ballet qu’elle me fait en croisant puis décroisant les jambes toutes les cinq minutes. Elle prend soin à chaque fois de tirer sur sa jupe et d’être suffisamment rapide pour qu’à mon grand désespoir, je ne vois pas sa culotte. Puis la conversation prend une tournure étrange. Elle a remarqué tout à l’heure le matériel de rasage sur la table de nuit. Dans sa précipitation, Léa l’a oublié et moi je n’ai pas pensé à le cacher.
— Dis-moi Tonton, tu te rases dans le lit maintenant ? — Si je te dis oui, tu ne vas pas me croire, mais ça me gêne de rentrer dans les détails.— Allez, crache le morceau.— Disons que ta mère a voulu tenter une expérience.— Ah oui ? — Elle a voulu me raser les poils du pubis.— Non ! Arrête, tu blagues là ? — Ecoute, comme ça semblait lui faire plaisir, je me suis laissé faire.— A voir la bosse qu’il y avait sous la couette tout à l’heure, je pense que ça t’a plu ! — Oui, bon ! Et si on parlait d’autre chose.— Oh, mais tu rougis !— Il m’en faut un peu plus.— Montre-moi, je veux voir.
Voyant mon embarras, elle prend un air coquin, croise lentement ses jambes tout en remontant sa jupe à mi-cuisses. J’entrevois sa petite culotte sans en distinguer nettement la couleur. Elle est encore plus attirante quand elle joue les friponnes. Je l’ai connue toute gamine et c’est maintenant une belle femme. Son air un peu hautain, pour qui ne la connaît pas, lui donne un charme naturel. Elle est plutôt grande, blonde avec des cheveux mi-longs tirés en queue-de-cheval. Ses yeux bleus derrière ses grandes lunettes qui lui mangent la moitié du visage me dévisagent. Elle attend ma réaction et je ne sais vraiment pas quelle attitude adopter. Elle sourit et se lève, provocante, ondulant des hanches et lissant avec ses mains ses cuisses.
— Allez ! maman n’en saura rien.
Habillée d’une jupe bleu marine fendue sur le côté et d’un chemisier à rayures bleu ciel et blanc, elle est debout devant moi et descend la fermeture éclair de sa jupe qui tombe à ses pieds. Puis elle déboutonne lentement son chemisier. Elle est magnifique avec ce soutien-gorge turquoise galbant sa poitrine. Sa culotte de coton blanche qui lui remonte jusqu’au nombril ne lui ressemble pas. Je l’imaginais avec des dessous plus coquins, genre string. Malgré tout, je n’aurai jamais pensé voir cette femme plutôt distante se transformer en véritable salope. Elle est à moitié nue devant moi, je fais l’oncle outragé.
— Tu exagères ! — A toi maintenant.
Comment résister ? Je ne me dégonfle pas et sors la queue de mon pantalon. Je bande comme un âne. Elle s’approche et sans complexe, comme une véritable professionnelle, se met à genoux et caresse mon pénis dans toute sa longueur. C’est elle qui a pris l’initiative et j’avoue que cela m’arrange. Maintenant, j’ai vraiment envie de sauter cette petite vicieuse. Sa mère m’a laissé en plan tout à l’heure et je suis en manque. Elle masturbe délicatement ma tige entre son pouce et son index. Mes mains ont dégrafé son soutien-gorge découvrant de magnifiques seins de taille moyenne en forme de poire avec de larges mamelons. Je pince ses tétons qui durcissent. Elle laisse échapper un râle que je prends pour du plaisir.
— Il n’y a pas un endroit où on pourrait être plus tranquille ? — Si, viens, on va dans la salle de bain du bas.
Nous nous déshabillons totalement. La dernière fois que je l’avais vue nue, c’était une adolescente qui n’avait quasiment pas de poitrine et une toute petite touffe de poils recouvrait son pubis. C’était à la plage, elle enlevait son maillot de bain mouillé et je lui tenais la serviette pour la cacher des regards indiscrets. Elle descend à présent sa culotte dévoilant un petit abricot totalement rasé. Je me penche dessus et le caresse délicatement.
— Magnifique, laisse-moi te lécher.— Si ça peut te faire plaisir !— Assieds-toi sur le bord de la baignoire.
Je suis à genoux en admiration devant cette vulve bombée et sa fente où perle une goutte que je lèche avec avidité. Puis ma langue s’introduit doucement dans ses petites lèvres et remonte jusqu’à son clitoris. Elle a posé ses mains sur ma tête et me guide en l’appuyant plus ou moins fortement sur son sexe. Elle se tortille au fur et à mesure que ma langue se fait plus insistante sur ses endroits les plus intimes. Elle écarte un peu plus les jambes, son sexe est trempé. Je décide d’y introduire un doigt. Il glisse dans son vagin. Elle m’accompagne en écartant de ses mains les petites lèvres. Deux doigts vont et viennent à présent de plus en plus loin dans sa caverne pendant qu’elle se caresse le clitoris.
— C’est bon ça vient !
Elle avance ses fesses et les place sur rebord de la baignoire. J’en profite pour entrer un doigt de ma main restée libre dans son anus. Elle ne dit rien. Deux doigts qui s’activent dans son vagin et un dans son cul pendant qu’elle se masturbe le clito. Au bout d’un moment, elle ne tient plus. Tout s’accélère, elle se recule, me repousse et se lève en se masturbant de plus en plus vite le clito. Son corps tout entier se contorsionne. Il est à présent parcouru de nombreuses secousses d’orgasme. Puis comme un soulagement, elle se rassied et reprend son souffle comme un sportif après l’effort.
— Waouh ! Merci.— Il n’y a pas de quoi.— Avec mon mari, il ne se passe plus rien ! Depuis qu’il a changé de boulot, il est stressé.— Ce sont des choses qui arrivent.— Et toi, qu’est-ce qui te ferait plaisir ? — Te prendre en levrette !
Elle se retourne, pose ses deux mains sur le rebord de la baignoire et présente ses fesses. Elles sont assez plates et intégralement bronzées. Je suis sûr qu’elle doit en faire bander plus d’un à la plage avec un string ficelle. Elle a gardé ses bas autofixants la rendant encore plus attirante.
— Tu veux que je me penche un peu plus ?
Ma queue est droite à hauteur de son entrejambe. J’avance doucement et la pénètre. Ma queue s’enfonce d’un coup au plus profond de son vagin. Elle hurle.
— Oh putain ! — J’ai envie de te défoncer !
Je la prends par les hanches et admire ses petits seins balancer au gré des va-et-vient. De temps en temps, elle donne un coup de reins pour bien montrer qu’elle participe pleinement à l’action. Tout à coup, elle se déchaîne. C’est elle qui mène la danse et accélère la cadence. Son corps tout entier avance et recule de plus en plus vite sur ma verge. Observant son petit cul se dandiner en rythme, je vois ses fesses se contracter libérant son anus par intermittence. Des gouttes de sueur perlent sur son dos jusqu’à ses fesses. Je glisse un doigt dans sa raie, m’attarde sur sa rondelle et le rentre progressivement dans son anus. Quand je remplace mon doigt par ma queue en la plaçant au bord de son petit trou, Sandy proteste.
— Non, pas là ! J’ai trop peur d’avoir mal ! — Pourtant avec mon doigt tu n’as rien dit.— Oui, mais là c’est pas pareil ! Elle est trop grosse.
Je fais comme si je n’avais rien entendu. J’introduis lentement ma queue, elle ne bronche pas. Sa respiration est haletante. Le sphincter passé, je m’enfonce dans ses entrailles. Elle ne dit rien et au contraire place ses mains de chaque côté de ses fesses pour me faciliter le travail en les écartant. Ma queue coulisse maintenant dans son cul. Un premier aller-retour puis un deuxième un peu plus violent, au troisième, l’ensemble de mon corps s’ébranle. Et après quelques saccades, j’éjacule dans son cul. Je reste un moment la pine plantée entre ses petites fesses. Elle se dégage de mon étreinte et se redresse.
— Salaud, tu l’as fait quand même ! — Je n’ai pas pu résister.— Je l’ai toujours refusé à mon mari.— Essaie, je suis sûr qu’il en redemandera.
Il était temps qu’on termine. Un bruit de moteur, c’est la voiture de Léa qui arrive.
— Ma mère vient de rentrer, j’entends le portail se refermer.— Je m’habille et je vais l’aider à décharger ses courses.
Je profite de ce petit moment de panique pour lui subtiliser sa culotte. Nous mangeons tous les trois, Léa, Sandy et moi. Aubin ne rentre pas le midi et déjeune avec ses collègues à la cantine du lycée. Puis Sandy part à son travail et me chuchote en m’embrassant une fois de plus sur le coin des lèvres.
— Je n’ai pas retrouvé ma culotte.— Tu veux dire que tu es à poil sous ta jupe ? — Non, j’ai piqué un string à ma mère, il est trop grand, mais c’est toujours mieux que rien.— Fais voir !
Je l’accompagne jusqu’à sa voiture. Avant de s’asseoir, elle fait semblant de chercher quelque chose sur le siège arrière en me présentant son joli cul. D’une main je remonte sa jupe, un string noir cache en partie sa raie. Mon doigt glisse jusqu’à son petit trou. Mais Léa, intriguée par mon absence prolongée, surgit sur le perron de la maison. Sandy surprise, tire sur les pans de sa jupe et prend place dans sa voiture.
— A bientôt tonton !
Je murmure pour que sa mère n’entende pas.
— J’ai mis ce que je t’ai emprunté dans le vide-poches de ta voiture.
Pour toute réponse, j’ai droit à un large sourire quand elle pose sa main dans le vide-poches et découvre sa culotte encore humide. N’étant pas fétichiste, je n’avais pas vocation à la garder.

Chapitre 3
Nous nous retrouvons tous les deux, Léa et moi. Je compte repartir en début d’après-midi afin d’éviter les embouteillages de la région parisienne en fin de journée. Ne comptant pas en rester là, Léa me propose de terminer ce que l’on avait commencé tout à l’heure.
— Je suis désolée pour ce matin, je ne pensais pas que Sandy resterait manger.— Ça m’a fait plaisir de la revoir.— Mais je vais te montrer que je ne suis pas une ingrate. Viens vite dans la chambre !
Nous allons dans sa chambre. Habillée d’un jeans serrant qui lui rentre dans la fente et d’un tee-shirt moulant sa poitrine. Le soutien-gorge qu’elle porte fait ressortir ses seins qui ressemblent à deux obus. Elle me pousse sur la couette et d’un geste énergique, elle me baisse le pantalon et le shorty. A genoux sur le lit, elle commence une fellation. Elle suce divinement bien la salope. Dans le même temps, elle me masse les bourses. Sa bouche descend pour me gober les couilles. C’est divin, mais brusquement elle s’arrête.
— Au fait, il m’est venu une idée pendant que je faisais les courses. Ne bouge pas, j’arrive !
Elle revient avec un concombre et un tube de vaseline.
— Mets-toi à plat ventre sur le lit. Ma sœur m’a confié que tu aimais bien par-derrière !
Décidément, je savais que les deux cousines avaient une certaine complicité, mais pas au point de dévoiler en détail nos secrets d’alcôve. Elle glisse un oreiller sous mon ventre, m’écarte les fesses, et me tartine de vaseline en insistant bien sur ma rondelle. Après avoir introduit plusieurs doigts, elle finit par enfoncer petit à petit le concombre. Son autre main qui s’est positionnée entre la couette et mon pubis s’active en me branlant la verge qui grossit jusqu’à me faire mal. Elle accélère sa masturbation en continuant à me défoncer le cul.
— Arrête j’en peux plus !
Ma queue va exploser. Je me retourne et lâche une grosse giclée de sperme. Je lui enlève son tee-shirt et malaxe ses seins sortis du soutien-gorge. Mon genou appuie sur son sexe. Elle se masturbe dessus. Une tache apparaît sur son jeans au niveau de son pubis. Quand je descends la fermeture éclair du jeans, je m’aperçois qu’elle n’a pas mis de culotte.
— Alors comme ça tu n’as rien en dessous de ton jeans.— Ça me fait des sensations, et pas qu’à moi d’ailleurs si j’en crois les regards des hommes que je croise.— T’es vraiment une belle salope ! Allez, maintenant tu retires tout.
En moins de temps qu’il faut pour le dire, elle est à poil et se met à quatre pattes sur le lit en dodelinant du cul. J’enduis de vaseline le concombre resté sur la couette. Il passe le long de sa raie jusqu’à l’entrée de son anus sans pour autant le pénétrer. Puis il descend en effleurant sa fente jusqu’à son clitoris. Je répète l’action un certain nombre de fois avant de l’enfoncer au plus profond de son vagin.
— Waouh ! Tu m’as complètement défoncé la chatte.
Le concombre s’active de plus en plus rapidement dans sa caverne. Elle mouille énormément. Son corps convulse, plusieurs orgasmes se succèdent. Je ne lui laisse pas le temps de souffler et retire le concombre. Alors qu’elle pense que c’est fini, je lui enfonce dans le cul. Quel plaisir de le voir disparaître entre ses grosses fesses.
— Là, t’es vache ! — C’est ce que tu m’as fait tout à l’heure.
Une belle claque sur les fesses pour couronner le tout. Le concombre a presque intégralement disparu dans son cul rougi par la fessée. Je le ressors totalement, observe son trou dilaté, avant d’enfoncer à nouveau la cucurbitacée. Elle est toujours à quatre pattes, ses mamelles ballottent au rythme des secousses provoquées par mes aller-retour entre ses fesses. D’une main, elle se caresse le clito. Sa masturbation s’accélère. Au bout de quelques instants, une forte secousse la parcourt avant de s’affaisser de tout son long sur le lit. Maintenant, il faut que j’y aille sinon je ne serais jamais chez moi avant la nuit.
Quand je quitte leur maison, je croise Aubin qui rentre de son boulot. Je parcours quelques kilomètres et souhaitant téléphoner, la console centrale m’indique mon portable en absence. Je l’ai oublié chez eux et fais immédiatement demi-tour. La porte d’entrée n’étant pas fermée à clé, je pénètre discrètement dans la maison et me rends dans la cuisine où je trouve mon portable posé sur la table. Alors que je m’apprête à partir aussi discrètement que j’étais venu, j’entends des soupirs et des gémissements du côté de la chambre où quelques instants plus tôt Léa et moi, faisions l’amour. En quelques pas, je me dirige vers la chambre. La porte étant légèrement entrouverte, je les aperçois en position 69. Ils sont en travers du lit, les fesses d’Aubin me font face avec la tête de Léa lui suçant la bite. Il est au-dessus, avec le concombre planté dans le cul.
Ils ne m’ont pas vu, je repars sur la pointe des pieds. Cela fait maintenant une petite heure que je roule. Coup de téléphone, c’est Léa qui m’annonce qu’elle m’a aperçu dans l’encoignure de la porte par le reflet du miroir de la commode. Elle me raconte qu’elle avait oublié le concombre sur le lit. Aubin s’en est aperçu et elle est passée à la casserole selon son expression. Se doutant de ce qu’il s’était passé, il a parlé d’une revanche à prendre sur Françoise qui ne payait rien pour attendre. Pour ma part, je ne suis pas sûr que ma femme ait envie de baiser avec lui, mais ça c’est une autre histoire !
D’ailleurs n’ayant rien d’autre à faire dans la voiture, mon esprit vagabonde pendant le trajet. Pour faire passer le temps, j’essaie d’imaginer Aubin avec ma femme : lui, avec son gros bidon de buveur de bière et elle, avec son corps svelte de sportive. La meilleure position pour lui serait de la prendre en levrette. Son gros ventre claque sur les fesses de Françoise. Il empaume ses petits seins dont il pince les tétons jusqu’à lui faire mal. Mais elle adore ça alors elle accélère les va-et-vient de son corps sur le membre d’Aubin. Il transpire comme un bœuf. Elle sent qu’il va lui envoyer la purée et le repousse d’un coup de reins. Il la retient d’une main et se masturbe sur son cul. Un long jet de sperme gicle. Aubin étale son foutre dans le sillon jusqu’au petit trou avant de l’introduire dans l’anus de ma femme. Elle gémit et écarte ses fesses pour qu’il aille encore plus loin. Deux doigts s’agitent maintenant dans son cul.
Il y va à fond mon salaud et bande à nouveau quand elle commence à se branler le clito. Prenant sa queue à pleine main, il se masturbe et une deuxième vague de sperme inonde les fesses de Françoise. Elle se retourne et lèche la queue tout en continuant de titiller le petit bourgeon de son clitoris pour enfin atteindre l’orgasme.
Ce fantasme me fait bander comme un fou dans la voiture. Je suis sur l’autoroute, il n’y a pas grand monde, je suis en mode pilote automatique. J’ouvre ma braguette et sors mon braquemart. Mon calcif est tout humide. Les images continuent de circuler dans ma tête. Françoise qui se tourne vers Aubin et lui nettoie la queue tout en se caressant. Françoise qui lape avec avidité le liquide gluant telle une chienne. Mes doigts accélèrent leur pression sur ma queue. L’orgasme de ma femme se conjugue au mien, j’éjacule.
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