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Et si on réalisait du porno ?

Chapitre 1

Premières scènes

Erotique
“Et… action !”
Au son de ma voix, sous un silence religieux, bien éclairés par une lumière finement ajustée, sous l’oeil attentif d’une caméra qui tourne habilement autour du canapé qu’ils occupent, Diana commence à embrasser sensuellement Kurt, qui de son côté empaume déjà un des seins de sa partenaire et entreprend de le masser doucement. Derrière l’objectif, Clémence, ma plus précieuse amie, crée avec talent et dextérité les angles de prise de vue que je lui indique silencieusement, improvisant parfois d’un élégant mouvement de caméra qui régulièrement vient enjoliver la scène. Voilà déjà une prise qui s’annonce très bonne.

Un peu plus d’une année s’est écoulée depuis que j’ai touché un énorme et inattendu héritage. Là où le reste de ma famille l’a investi dans de belles maisons, voitures ou voyages, je n’ai pas su tout de suite quoi en faire. J’ai bien sûr quitté mon emploi, qui m’emmerdait, séance tenante. Mais j’ai vite tourné en rond. Mes goûts restaient simples, et rapidement mon quotidien s’est résumé à me demander quel film aller voir au ciné, quel livre m’acheter, dans quel restaurant aller manger. Peu sociable, si je n’y allais pas seul, je n’y étais généralement accompagné que par ma meilleure amie.
Clémence a toujours été là pour moi quand personne d’autre ne l’était, depuis notre rencontre sur les bancs du lycée. Elle a réussi à me faire parler de tout avec elle, moi qui était particulièrement coincé pendant cette période. Elle m’a sorti de ma réserve, de ma solitude.Chez moi, elle a toujours pu trouver refuge quand ça se passait mal chez elle avec ses cons de parents. Dès que j’ai eu mon premier emploi, nous nous sommes mis en colocation, à la fois pour profiter à loisir de notre amitié et pour qu’elle puisse se lancer plus sereinement dans ses études d’arts visuels.
Tous nos proches se sont un jour demandés - voire se demandent encore - s’il y a quelque chose entre nous, pourtant cela n’a jamais été le cas. Il n’y a jamais eu d’attirance amoureuse ou sexuelle entre nous, ce qui d’ailleurs nous permet régulièrement de nous raconter les détails de nos vies intimes respectives sans gêne, ni jalousie, ni tabou.
C’est justement ce qui s’est passé un soir où, peinant à trouver le sommeil, j’ai reçu un sms de sa part, qu’elle m’envoyait du fond de son lit.
< Putaiiiiiiin j’arrive pas à trouver UN bon porno ce soir. T’en as pas un sympa qui traîne ?> Non… ça fait un moment que j’n’essaie plus, c’est vraiment trop souvent décevant ou frustrant...< Mais ouais ! Toujours trop brutal, ou glauque, froid, robotique, impersonnel. Draps blancs sur lit blanc sur mur blanc complètement suréclairé, quel magnifique décor pas du tout similaire aux 381398 vidéos que j’ai vu avant.> C’est ça… Sans parler des jeux d’acteurs, des jouissances exagérées, ou pire, de la musique quand ils essaient d’en mettre. Moi ça, c’est pas possible, ça me casse immédiatement le mood< Pareil, team sécheresse instantanée ici ! Et puis les scénarios… si on peut appeler ça comme ça. Quelle blague. Va falloir me vendre un peu plus de rêve avant de me prendre la chatte mec, parce que ça glisse zéro là ! On devrait postuler pour leur écrire leurs scénarios, ça aurait un peu plus de gueule.> Mais grave !
Je marquai alors un stop, pris d’une révélation.
> Merde mais c’est une putain de bonne idée !< Quoi, leur écrire leurs scénarios ? Si c’est pour faire de la merde avec…> Nan, on le fait nous !< Quoi ?> Tout !

Je sortis en trombe de ma chambre et vins taper à sa porte. Je lui détaillai mon idée, surexcité.
J’ai les moyens de financer du matériel, de payer correctement des acteurs, on a tous les deux déjà écrit de petites histoires qui conviendraient parfaitement pour des moyens métrages érotiques qui nous plairaient. Elle a de l’expérience en photographie, en éclairage, en travail de l’image. Je m’y connais en musique, en son, en montage.
Elle a d’abord beaucoup ri devant l’absurdité de cette idée. Puis, faisant montre de cet intérêt prononcé que je lui connais pour tout ce qui touche au sexe - et que je partage - elle est devenue intéressée.On pourrait faire les choses bien, vraiment bien. Essayer quelque chose d’aussi beau artistiquement qu’excitant sexuellement. Choisir les actrices et acteurs qui nous plaisent, les faire travailler dans de bonnes conditions, bien payés, en sécurité. Créer un porno qui nous plaît, qui nous inspire. Mon amie est rapidement devenue aussi emballée que moi. Nous avons passé la nuit à imaginer la suite, et dès le lendemain nous commencions à mettre le projet en place.
Après quelques mois de travail, tout était prêt. Notre entreprise était créée. Via certains réseaux, nous avons trouvé tout le staff dont nous avions besoin. Tout le matériel était prêt, et même plus. Plusieurs scénarios étaient écrits. Nous serions co-réalisateurs, elle serait en charge de tout ce qui concernait l’image, moi du son et du montage. Ne restait qu’à trouver les acteurs. Nous voulions qu’ils se sentent bien avec nous, en confiance, nous avons donc décidé que tout recrutement serait précédé d’au moins une rencontre “civile” avec nous deux en même temps, autour d’un café par exemple, afin de les jauger ainsi que de les mettre en confiance.
Encore quelques mois plus tard, et deux courts métrages réalisés à grand renfort de déboires de débutants et de nuits blanches, mais également sources de beaucoup de satisfaction, nous voilà au tournage de notre plus gros projet à ce jour, l’adaptation d’un récit érotique en trois parties et cinq personnages, que j’avais écrite des années plus tôt.
Clémence a trouvé Pete, Jake et Kurt - tous des pseudos bien sûr - trois acteurs bien à son goût. Je dois bien admettre moi-même qu’ils sont effectivement très mignons tous les trois.
Kurt, le plus jeune, beau blond aux longs cheveux négligemment attachés haut à l’arrière du crâne et à la barbe assortie, ne nous était pas inconnu, puisqu’il était l’un des acteurs de notre précédent film. Après qu’il a sympathisé puis passé quelques nuits dans le lit de ma meilleure amie, j’ai eu tout le temps d’apprendre à connaître et à apprécier cet adorable jeune homme, intelligent, honnête, et bon musicien pour ne rien gâcher.
Nous ne connaissons pas encore aussi bien les deux autres, mais la première rencontre a dans les deux cas été séduisante. 
Jake, beau gosse athlétique à la barbe de trois jours brune bien soignée, nous a été chaudement recommandé, étant très à l’aise sur un plateau, très ouvert et à l’écoute de ses partenaires.
Enfin, Pete, notre personnage principal, grand et bel homme noir à la musculature finement dessinée, était notre dernière recrue. Je l’ai trouvé parfait physiquement pour le rôle, et le premier aperçu que j’ai eu de son talent d’acteur était plus que satisfaisant.
Côté actrices, le rôle principal a été attribué à Ellana - encore un pseudonyme -, une superbe rousse de quelques années plus âgée que les autres; des années qui la subliment d’autant plus. Grande, aux très longs cheveux ondulés impeccablement coiffés, une magnifique petite poitrine surmontant des hanches généreuses, ce sont pourtant ses yeux qui vous obsèdent plus que tout. Quiconque s’y perd trop longtemps risque d’en tomber irrémédiablement amoureux. Même Clémence, pourtant strictement hétéro, s’est perdue plus d’une fois dans ce regard. Pour parfaire le tableau, elle est très bonne actrice, absolument parfaite pour le rôle principal: l’audacieuse colocataire qui initie une romance adultère avec le personnage de Pete.
La dernière recrue a la tâche la plus ardue. Petite amie du personnage principal, il lui incombe de participer à pas moins de trois scènes de sexe, la faisant successivement s’accoupler avec chacun des trois hommes, dont une fois en trio.
Malgré sa beauté et son charme indéniables dès le premier coup d’œil, elle ne correspondait pourtant pas vraiment au rôle tel que je le pensais à l’origine. Je l’imaginais petite, frêle, fragile, émanant d’une candeur renforçant le contraste avec les scènes torrides d’adultère qu’elle allait jouer. Mais si Diana est tout sauf petite et frêle, avec sa poitrine généreuse et ses cuisses épaisses surmontées d’un fessier rebondi, son visage rond encadré d’une masse épaisse de cheveux noirs emmêlés est l’incarnation de la douceur et de la candeur que je recherchais et qui, à mes yeux, définissait son personnage et l’érotisme de ses scènes. Elle était parfaite pour le rôle.
La première scène a été tournée il y a quelques jours, une scène très intime, au lit, de nuit, agrémentée d’une certaine quantité de dialogue chuchoté. Plus simple, plus agréable pour les acteurs impliqués, Ellana et Pete, mais un calvaire pour nous: pour moi à la prise de son, mais surtout pour Clémence, auprès de qui j’ai insisté pour que la scène soit telle que je l’avais imaginée, sans source de lumière directe provenant de la chambre. Ma pauvre amie a passé un temps fou à régler ses lumières et ses objectifs pour que tout ait l’air éclairé le plus naturellement possible, tout en ne perdant rien des expressions des protagonistes.
Heureusement, Ellana et Pete étaient très professionnels, restant sagement allongés l’un sur l’autre pendant des dizaines de minutes pour nous laisser le temps de terminer toute notre fine préparation, agrémentant même cette attente de quelques traits d’humour qui détendaient efficacement l’atmosphère.
Leur scène est parfaite. Ellana, qui avait le plus de texte, l’a impeccablement joué à chaque prise, délivrant à chaque fois ses répliques avec l’intonation la plus subtile. Tous ses murmures transpirent tour à tour le désir, la passion, l’espièglerie, l’amour, la jalousie, et bien sûr, le plaisir. Leur alchimie à tous les deux était palpable, et je sais déjà que le résultat sera formidable sur les prochaines scènes développant leur relation.
Leur scène de sexe est à la fois belle visuellement et terriblement érotique. Clémence a réussi à capturer avec brio la danse de leurs langues pendant leurs baisers, les frissons de la vulve ouverte soumise au cunnilingus, le rebond des seins d’Ellana et l’ondulation des fesses de Pete durant l’accouplement, le tout dans une nappe de gémissements et de soupirs qui mettait toute la pièce en émoi.
— Fiou… si tu veux refaire ça hors caméra, c’est quand tu veux pour moi! a lancé Ellana à son partenaire à la fin de la nuit de tournage, déclenchant une hilarité générale.
A titre personnel, j’étais d’autant plus satisfait de pouvoir me dire que l’expérience avait été agréable pour eux aussi.

La scène d’aujourd’hui est du même acabit, toute en sensualité malgré la différence de ton. Là où Ellana et Pete étaient dans une chambre, dans le noir, dans l’intimité d’un lit, Diana et Jake apparaissent frontalement nus, en lumière, au milieu d’un salon, sans rien pour dissimuler leur nudité ou leurs ébats aux regards. C’est malgré tout une bonne première scène pour leur permettre de commencer le tournage en confiance et développer une complicité.
La scène n’étant qu’un prélude à sa suite, que nous tournerons plus tard, elle n’a pour objectif que de nous fournir un maximum d’images supplémentaires à ajouter dans le montage final. Je les laisse donc prendre tout le temps de s’apprivoiser, de se faire du bien mutuellement jusqu’au moment du coït à proprement parler, et nos deux vedettes du jour ne se font pas prier, ce que j’observe attentivement depuis le retour vidéo que je reçois de la caméra de Clémence.
D’abord longuement focalisée sur leurs lèvres scellées en un long baiser - plus timide que celui de Ellana et Pete - , l’image descend ensuite lentement pour venir se placer en contre-plongée. D’ici apparaissent en une seule image le ballet de leurs bouches qui, progressivement, s’échauffe, et leurs poitrines que leurs mains stimulent mutuellement à l’envi. D’un côté, les doigts de Jake testent l’élasticité du sein volumineux de Diana, parcourant inlassablement la peau laiteuse en esquivant à dessein le mamelon déjà gonflé d’envie. De l’autre, sa partenaire n’a pas eu cette patience, sa main posée sur le pectoral bien dessiné triturant allègrement le téton qu’on peut déjà voir légèrement pointer. 
J’observe Clémence et voit que ses yeux sont, malgré elle, en train de glisser plus bas. La pauvre s’en mord les lèvres, ce qu’elle voit a l’air de lui plaire. Je l’encourage à filmer l’objet de son envie.
Et quel objet! Ce mec est vraiment en tout point gâté par la nature, c’est à vous rendre jaloux. Ni trop petite, ni trop grosse, de forme harmonieuse et à la pilosité soigneusement entretenue, juste à la bonne longueur pour pouvoir pénétrer ses partenaires jusqu’à la garde sans leur faire mal, sa bite se dresse bien droit entre eux, encore vêtue de son protecteur prépuce, appuyée contre le ventre de celle qui la met dans cet état.Je laisse mon amie la filmer à loisir, mettre en valeur l’abondant liquide pré-séminal luisant à la lumière de la lampe qui éclaire la scène. Puis j’indique à Diana de commencer à onduler du bassin pour se frotter contre ce sexe tendu, ce qu’elle fait sans se faire prier en gémissant doucement. Après quelques uns de ces mouvements, les grandes lèvres de la belle brune s’écartent naturellement pour épouser la queue qui glisse contre elles sans la pénétrer, la lubrifiant abondamment de mouille.
Clémence s’est maintenant éloignée d’eux pour pouvoir les filmer entièrement. On peut voir nettement comment il tient désormais sa partenaire par le bassin, une main fermement agrippée sur sa fesse, la maintenant en place contre lui pendant que l’autre main, glissée entre ses cuisses par l’avant, lui fouille la chatte avec entrain. Je fais approcher la perche au maximum pour capter aussi bien les gémissements contrôlés de plaisir que les clapotis des doigts qui s’agitent en elle.
Quand j’estime qu’on a assez d’images, je me permets d’interrompre les acteurs pour les en informer. Diana étant visiblement bien lancée, je lui demande si elle préfère finir sa masturbation et reprendre la suite de la scène dans un moment, ou s’interrompre et enchaîner dès que tout le monde est prêt.— Non c’est bon on peut enchaîner. Je me finirais bien mais… pas comme ça.
Quelques rires résonnent dans la pièce. Moi, je me demande brièvement à quoi elle pensait en disant cela… Puis je passe à autre chose, il faut préparer la suite, une transition pour faire enfiler un préservatif à Jake tout en faisant croire dans le montage final qu’ils le font sans.
Elle doit d’abord prendre sa queue en mains, sans capote, la caresser un instant, la branler doucement, puis avec beaucoup d’hésitations, soulever le bassin pour amener la verge à l’entrée de sa chatte. C’est là qu’on coupera alors pour la suite.
Mais à ma surprise, la belle brune s’interrompt avant pour improviser des répliques.— C’est… Je devrais pas, murmure-t-elle après s’être assurée que le son était bien capturé. J’ai un copain, il est juste ici, dans cette maison… C’est mal. C’est mal, mais… - elle regarde le sexe qu’elle tient en main avec un désir qu’elle peine visiblement à contrôler - mais j’ai tellement envie. Est-ce que je suis mauvaise?— Non, pas du tout, lui répond son partenaire après un court instant d’hésitation. On ne fait rien de mal, tu n’es pas mauvaise, tu es une belle femme avec de belles envies!— J’ai tellement envie de te sentir en moi… Tu ne diras rien hein?— Non je ne dirai rien, je te le promets.Elle lève alors brusquement son fessier et fait mine de s’empaler sur lui en lâchant une grande expiration de plaisir.
Je mets quelques secondes à m’écrier “Coupez!”. Nos protagonistes soupirent de soulagement et de satisfaction. Diana me regarde, semble attendre mon avis sur cette improvisation qui lui a sans doute demandé une certaine dose d’audace, mais c’est Clémence qui l’exprime en premier.— C’était génial, Diana! Toi aussi Jake, belle… répartie! les complimente mon amie qui n’est visiblement toujours pas remise de ce que le bel homme avait à montrer.— Oui c’est parfait, tu as vraiment saisi le personnage, bravo! je m’exclame à mon tour, très enthousiasmé.Diana semble très contente que ça nous plaise, et cela me ravit. 
Une petite pause plus tard, et une capote dûment enfilée pour Jake, nous filmons la dernière partie du tournage de cette nuit, l’acte de pénétration à proprement parler.La scène est très belle, très sensuelle. Là encore, l’alchimie entre les acteurs fonctionne à merveille. Jake se maîtrise parfaitement, sait demander des pauses avant d’atteindre le point de non-retour, il est très doux et très caressant avec sa partenaire, et sait être démonstratif de son plaisir sans avoir l’air exagéré. Même moi, je trouve ses gémissements sexy! Diana le chevauche magnifiquement, ondule sur lui avec la grâce d’une nymphe, maîtrise parfaitement ses expressions de plaisir vocal pour montrer sa jouissance tout en se réfrénant suffisamment pour que de fictives oreilles indiscrètes ne l’entendent pas. Tous deux arrivent à insuffler dans leurs expressions faciales la culpabilité que leur fait ressentir cet acte adultère. 
Quand il nous prévient par un signal muet qu’il va jouir, elle se retire rapidement, le débarrasse de son habit de latex, s’installe à nouveau sur ses genoux et se caresse devant lui pendant qu’il se branle jusqu’à exploser entre eux. Une action que Clémence prend bien soin de filmer sous le meilleur angle, jusqu’à ce que les dernières gouttes de sperme terminent de se perdre dans la forêt de leurs poils pubiens. Je lâche alors le dernier “Coupez” de la nuit sur leur dernier baiser essoufflé post-orgasme, les félicitant chaleureusement pour leur performance de la soirée, et me hâtant de leur apporter de quoi se couvrir enfin.

Alors que nos vedettes se succèdent à la douche, Clémence et moi revoyons en accéléré les prises de vue de la nuit. Devant l’éjaculation de Jake, mon amie s’exclame, avec son habituelle franchise crue:— Mec, en rentrant j’embarque la vidéo et je me branle dessus jusqu’au jour.— J’ai remarqué qu’il t’avait bien plu, oui! je réponds avec un sourire— J’en peux plus, ça fait une heure que je suis trempée! Elle en a de la chance Diana…— Ouais…
Ma meilleure amie, qui me connait par cœur, me regarde bizarrement après cette réponse vague. Elle semble vouloir en savoir plus, mais est interrompue par la belle actrice, toute fraîchement sortie de la douche et prête à partir, qui vient nous remercier une nouvelle fois pour cette bonne soirée de travail et nous souhaiter bonne nuit, ou plutôt bon matin. Mes yeux s’attardent sur la belle brune jusqu’à ce qu’elle disparaisse complètement de notre champ de vision, ce que ne manque pas de remarquer Clémence, dont le regard se fait soucieux.
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