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Réalisation d'un fantasme d'adolescent

Chapitre unique

Erotique
Depuis les premiers mois qui ont suivi ma naissance, j’ai toujours eu pour habitude de partir en vacances avec mon grand-père, ma grand-mère et ma tante dans un petit village du sud de la France. C’est le village dans lequel mon grand-père a vécu toute son enfance et adolescence, avant de devoir le quitter et emménager à Lyon pour le travail. C’est là-bas qu’il a rencontré ma grand-mère et qu’ils ont eu ma mère et ma tante. Cependant, il a toujours conservé la maison familiale qui se transmet de génération en génération. A la retraite, il y retournait dès qu’il en avait l’occasion pour y passer quelques semaines et s’éloigner de la ville. Il n’y ait jamais retourné y vivre à plein temps pour pouvoir profiter de tout le monde à Lyon. Lorsque l’été arrivait, il y partait durant deux mois. C’est donc là-bas, que mon petit frère et moi avions l’habitude de nous rendre tous les mois de juillet lorsque mes parents travaillaient encore, avant de partir avec eux au mois d’août.
C’est un village typiquement provençal. Les rues sont très étroites, les maisons toutes en pierre, les volets de couleurs différentes selon les maisons. Il y a très peu d’âmes qui y vivent : une centaine d’habitants à tout casser. La population est également très âgée. Plus jeune, j’avais l’habitude de dire que la moyenne d’âge était de 80 ans et qu’il y avait plus de chats que d’habitants. Ce n’était pas la réalité mais n’empêche, je ne devais pas en être très loin... ! Même si cet endroit représente beaucoup pour ma famille car c’est le symbole de la tradition familiale, pour moi, à l’époque, cela était surtout le lieu de l’ennui absolu. Bien que proche de mes grands-parents et de ma tante, je n’étais pas du tout enthousiasmé à l’idée de devoir partir là-bas chaque été. Durant un mois, je ne voyais pas mes parents, mes copains et je ne pouvais pas jouer à la console vidéo.

A ce stade, vous devez vous demander pourquoi ma tante faisait partie du voyage. Bien qu’ayant quelques aventures, je ne l’ai jamais connu installée durablement avec un homme. Elle n’a jamais réellement coupé le cordon avec ses parents et elle les accompagnait donc à chaque vacances au village. Il faut dire aussi que sa meilleure amie (qui est aussi une très bonne amie à ma mère) vit dans ce village. Elle aussi est un peu dans le même cas que ma tante : elle est restée très proche de ses parents et n’a jamais construit sa vie avec un homme. Il faut dire qu’à cet endroit, les occasions de rencontrer des hommes sont quand même plus maigres qu’à Lyon. Son nom, c’est Solange. Elle venait régulièrement à la maison pour boire un verre avec mes grands-parents et ma tante. En retour, nous allions aussi très souvent chez elle. Je l’appréciais beaucoup et bien qu’étant un simple enfant, je la trouvais très belle. Je me souviens tout particulièrement de l’odeur de son parfum. Autant vous dire que les choses ne se sont pas arrangées à l’adolescence...
J’ai dû continuer à aller chaque été dans le village familial jusqu’à mes 13-14 ans. Ensuite, je partais en vacances avec mes copains et leur famille. A cet âge-là, je commençais à connaître mes premières envies sexuelles. Je me branlais très régulièrement en pensant à mes copines de classe. Je devais faire travailler très fort mon imagination lorsque j’étais au village car ce n’est pas là-bas que je pouvais rencontrer des filles de mon âge. Par contre, il y avait Solange. Chaque année passant, je la trouvais toujours plus belle. Désormais, je ne la regardais plus avec les yeux d’un enfant mais avec ceux d’un adolescent en soif d’aventure sexuelle. Aujourd’hui, je suis très attiré par les femmes plus âgées que moi. Je me dis que cela a sûrement commencé très tôt finalement, avec Solange. A cette époque, elle devait avoir la cinquantaine. Elle est brune avec une coupe au carré qui s’arrête entre ses oreilles et ses épaules. Elle mesure environ 1m50. Sa taille est très fine. Elle ne doit vraiment pas peser bien lourd. Ses seins sont petits et elle ne portait que très rarement un soutien-gorge, laissant apparaître sous le tee-shirt ses minuscules tétons. Comme tout est petit chez elle, ses fesses l’étaient aussi, ce qui lui donnait un joli petit cul. En plus, elle semblait vraiment m’apprécier. J’avais l’impression que son regard était plein de tendresse pour moi. Ce n’était sûrement que des affabulations d’un ado croyant plaire à toutes les filles qui ont un minimum d’attention pour eux mais il n’en fallait pas moins pour que j’use pas mal de mouchoirs en pensant à elle.

Puis les années ont passé et les choses ont changé. Ma grand-mère et mon grand-père sont décédés. Ma tante a continué à se rendre au village à la même fréquence que le faisait mes grands-parents lors de chaque vacance scolaire. Moi, je n’y venais quasiment plus. Je devais m’y rendre à peu près tous les 2-3 ans au mois d’août et pas plus de 2-3 jours. Le peu de temps que je restais ne me permettait pas de recroiser Solange. Jusqu’à ce fameux jour où je la croise au volant de sa voiture sur la place du village. Elle arrête sa voiture à côté de moi et baisse sa fenêtre pour me parler. Son sourire était radieux. Son petit accent chantant du sud de la France me ramenait à la mémoire plein de souvenirs.
— Quel plaisir de te voir !! Mon dieu mais ça fait tellement longtemps que je ne t’ai pas vu ! Tu es un homme maintenant ! Quel âge as-tu ?— J’ai 30 ans.
— Mooonnn dieeeeuuuu... C’est incroyable comme le temps passe vite. Je te revois encore avec ton papie et ta mamie en train de jouer au foot sur la place du village. Ils étaient fous de toi !
— Et oui.. Cela fait très longtemps effectivement. Je reviens rarement maintenant. En tout cas, je suis très heureux de te revoir également Solange.— Oh bah moi aussi mon petit ! Dis, tu veux venir boire un verre à la maison en fin d’après-midi ? Nous aurons l’occasion de discuter un peu plus je ne peux pas trop rester là.
— Ce sera avec plaisir. Vers 19h, c’est bon pour toi ?— C’est parfait, à tout à l’heure.
Je n’aimais pas revenir au village car j’avais quasiment le même genre de discussion avec tous les vieux du village qui m’ont connu enfant : "qu’est-ce que tu es beau", "qu’est ce que tu as grandi", "tu travailles dans quoi ?", "tu as toujours tes beaux yeux bleus"... comme s’ils allaient devenir marron en vieillissant !! Mais là, c’était différent... Alors qu’avec le temps, je n’avais plus jamais pensé à cette femme, instantanément mes souvenirs d’adolescent reviennent à la surface durant quelques secondes. Je me dis que c’est complètement stupide et que je n’ai plus aucune attirance pour elle. Depuis, je me suis créé une vie sexuelle totalement épanouie, ayant pu faire toutes sortes d’expériences avec des femmes différentes. Et puis, aujourd’hui, Solange doit avoir pas loin de 65 ans... Certes, j’aime les femmes mûres, mais là...
A 19h, j’informe donc ma tante que je vais boire un verre chez Solange. Sans connaître les raisons précises, je sais que les deux se sont disputées il y a des années et qu’elles ne se parlent plus aujourd’hui. J’arrive devant chez elle. Le même sourire radieux que quelques heures avant dans la voiture m’accueille. Elle est habillée tout en noir. Elle porte une petite jupe volant laissant apparaître ses belles jambes. Elle est toujours aussi fine que dans mes souvenirs et franchement plutôt très bien conservée pour une femme de son âge. Je lui donnerai facilement 10 ou 15 ans de moins. Son tee-shirt est en V, s’arrêtant à la frontière de ses seins et laissant apparaître son collier avec une petite croix en or. Je ressens à nouveau le même parfum que celui de mon enfance et mon adolescence. Sans trop comprendre sur le moment, je me sens totalement enivré avant même de m’installer dans son salon.

A l’intérieur de chez elle, c’est incroyable mais le temps semble s’être figé. Les mêmes meubles, la même déco. Tout est disposé de la même manière. Rien n’a bougé depuis quasiment 20 ans. C’est très perturbant. Aujourd’hui encore, je me demande comment un tel immobilisme est possible. Je m’installe sur le canapé et je me sens déjà un peu déstabilisé par cet environnement.
— Alors, je te sers une bière ou une grenadine comme quand tu étais petit ?
— Je ne suis plus l’enfant et l’ado que tu as connu tu sais.— Oh oui, je le vois bien. Tu es un homme maintenant. Je te taquine t’inquiète. Ça me fait tout drôle de te voir assis là, tant d’années après.— Je t’avoue que cela me fait tout drôle aussi. Je vais te prendre une bière s’il te plaît.— Et bien moi aussi je vais en prendre une alors.

Solange ramène les bières et s’installe à mes côtés sur le canapé. Le malaise que je ressens va continuer durant seulement quelques minutes avant de se dissiper totalement. Nous parlons un peu de tout. De nos vies, de ce que nous avons fait durant toutes ces années. Elle me parle de sa solitude dans ce village, du regret qu’elle a de n’être jamais partie vivre sa vie ailleurs. Je sens qu’elle me perçoit désormais comme d’égal à égal, elle ne voit plus l’enfant qui jouait sur la place du village. Le temps passe. Nous ne nous arrêtons pas de parler. Et nous enchainons les bières. L’ambiance est vraiment détendue. Nous rigolons beaucoup. Nous commençons à nous caresser légèrement les bras, pour "rigoler". Je sens une tension sexuelle qui se créée entre nous. La même que je ressentais adolescent lorsque je me branlais en pensant à elle. La grande différence est qu’aujourd’hui, je sens que cette attirance est partagée et je commence à avoir du mal à maitriser mes émotions. Mais d’ailleurs, pourquoi devrais-je chercher à les maitriser ?

Solange se lève pour chercher une nouvelle bière. Je me décide de l’accompagner à la cuisine. Au moment où elle ouvre le frigo, je suis derrière elle. Je devrai plutôt dire, collé à elle. Lorsqu’elle se retourne, je ne bouge pas d’un iota. Nous sommes face à face, nos visages à quelques centimètres l’un de l’autre. Sans rien dire, je lui enlève les bières des mains et les déposent sur le meuble juste à côté. Ma main gauche vient l’attraper dans le bas du dos. Je la colle contre mon corps et je l’embrasse tendrement. Elle ne repousse pas mon baisé. Bien au contraire, ses bras enlacent mon cou. Je l’attrape par la taille et nous nous embrassons ainsi de manière très sensuelle contre le frigo. Nos regards s’entremêlent. Ses yeux brillent et sont plongés dans les miens. Elle murmure :

— Mais qu’est-ce qu’on fait... On ne peut pas...
— On prend du plaisir... Laisse-toi faire. Lâche un peu la pression.— Tu es fou...— Chut...
Je ne lui laisse pas l’opportunité de parler à nouveau. Je plonge à nouveau ma langue dans sa bouche. Mes mains descendent sur ses fesses. Je suis en train de malaxer le petit cul de Solange qui m’excitait tant adolescent ! Et je sais que je vais faire bien plus que cela dans quelques temps. Je la prends par la main et nous retournons dans le salon nous asseoir sur le canapé. Au passage, elle a récupéré sa bière et en boit une bonne gorgée à peine assise, comme pour se donner de la force. Je ne veux pas qu’il y ait d’interruption, je ne veux pas qu’un de nous ait la lucidité de se dire que ce que nous faisons est immoral, gênant. Je pose sa bière sur la table basse et me remet à l’embrasser. Je me mets à caresser ses petits seins. Sa main passe sous mon tee-shirt pour me caresser le ventre et le torse. Je commence à bander très fortement. Je ne sais pas si elle l’a vu mais une grosse bosse se dessine sous mon short.
Je décide d’enlever mon tee-shirt. Au même moment, elle retire le sien. J’en profite pour lui dégrafer son soutien-gorge et commence à lui embrasser et lui lécher le bout des seins. Je vois sa tête partir en arrière pour se poser contre le siège du canapé. Elle passe ses mains dans mes cheveux pour me les caresser, comme on peut le faire à un enfant effrayé ou à un animal. Elle commence à gémir. Je n’ose imaginer depuis combien de temps Solange n’a pas eu de relation sexuelle. Petit à petit, ma main commence à glisser entre ses jambes, sous sa jupe. Sa culotte est toute humide. Je suis en train de la mettre dans tous ses états ! Je remonte pour l’embrasser brièvement sur la bouche. Juste après, elle se glisse le long du canapé pour atterrir les genoux au sol. Je reste assis sur le canapé, face à elle. Elle attrape mon short ainsi que mon caleçon en même temps et m’enlève tout d’un coup. Je me retrouve la tige bien dressée et bien dure face à elle. Elle l’attrape et commence à me branler tout doucement. Puis, sa langue vient glisser de bas en haut sur mon sexe. Je regarde le spectacle avec délectation. Je me suis imaginé ce scenario tellement de fois. Elle insère maintenant ma bite dans sa bouche. Là encore, elle y va doucement pour commencer. Elle s’applique parfaitement. C’est à mon tour de coller ma tête contre le siège du canapé et de fermer les yeux. La pipe de Solange est royale !
Elle va continuer de me sucer ainsi durant de longues minutes. Elle prend un réel plaisir à faire cette fellation. Elle me lèche les couilles tout en me branlant, ce qui est je crois une des choses que je préfère dans les préliminaires que je qualifie de "classiques". Je suis tellement excité. Je ne peux plus attendre. J’attrape Solange par les bras pour la faire se relever. Debout face à moi, je lui retire sa jupe et sa culotte. Je la veux entièrement nue face à moi. Je la regarde durant quelques secondes. Mon petit côté pervers lui demande même de faire un tour sur elle même pour que je puisse la reluquer totalement. J’ai devant moi une femme de 65 ans, je n’en ai que 30 et je vais coucher avec elle. Elle se positionne à califourchon sur moi. Elle mouille tellement que ni elle ni moi avons besoin de positionner mon sexe contre le sien. Sa chatte vient d’aspirer complètement ma bite. Je suis étonné qu’elle puisse être autant mouillée à son âge. Elle n’a pas pu retenir un long râle de plaisir au moment de la pénétration. Elle devait attendre cela depuis si longtemps...
Ses mouvements sur ma queue sont royaux. Elle se déhanche parfaitement, maitrise totalement la cadence pour se faire plaisir et me faire plaisir. De mon côté, je pétris ses fesses en les lui écartant le plus possible et je m’autorise de temps en temps à lui asséner des petites fessées qui ne semblent pas lui déplaire du tout. Face à elle, j’alterne entre ma langue dans sa bouche ou sur ses seins à les lécher, les mordiller. Là non plus, cela ne la laisse pas de marbre. Un puissant orgasme la saisie en moins de 5 minutes. Je dois bien avouer que de mon côté, il était moins une pour que j’envoie également toute ma semence. Je m’en serai tellement voulu que cela ne dure pas plus longtemps.

Je dois absolument faire une pause si ne je veux pas éjaculer tout de suite. Je suis submergé par mes émotions et par le plaisir que tout cela me procure. Je soulève Solange pour extraire ma bite de sa chatte. Je l’installe à côté de moi et décide, cette fois-ci, de prendre la position qu’elle avait avant que je ne la pénètre. Je me retrouve donc à genoux face au canapé. Je lui attrape ses petites jambes frêles et les tire vers moi afin que ses fesses et sa chatte soient le plus au bord possible. Je plonge ma langue dans son petit abricot tout trempé. Solange vient de jouir quelques secondes auparavant, son souffle est encore haletant. La pauvre n’a pas le temps de se remettre de ses émotions que je suis en train de lui dévorer son entre-jambe. Le bout de ma langue vient titiller son clitoris. Je m’amuse à faire des cercles avec, puis sans qu’elle puisse s’y attendre, je passe des grands coups de langues de bas en haut. Elle crie de plaisir tout en se tripotant les tétons. J’ajoute à mon cuni un doigt, puis un second. Cela en est trop pour Solange qui a un nouvel orgasme. Sa voix raisonne dans la pièce. Mes doigts sont trempés. Elle me supplie d’arrêter. J’ai fait cela durant une bonne dizaine de minutes ce qui a permis à mon excitation de redescendre un peu. Je suis désormais prêt à pouvoir la baiser à nouveau.
Je l’attrape et la fait mettre à 4 pattes au bord du canapé. La hauteur est idéale pour moi. Je la pénètre une nouvelle fois.
— Tu vas me tuer... Je suis une vieille dame tu sais, me dit-elle en rigolant.
Je l’attrape par les hanches et la baise plus violemment qu’auparavant. Je délaisse un peu la sensualité pour quelque chose d’un peu plus bestial, quelque chose qui me correspond plus d’ordinaire. Là encore, cela ne semble pas lui déplaire. J’ai même son approbation.
— Vas-y... Défonce-moi, défonce-moi, défonce-moi !!
Puisque c’est si gentillement demandé... Je pilonne Solange dans cette position. Je suis tout excité de voir que ses fesses sont naturellement ouvertes. Je peux admirer et contempler son petit trou du cul qui semble aussi serré que l’écart entre Fignon et LeMond en 89 sur le tour de France. Je sais pertinemment que je ne pourrai pas le pénétrer. Je crois que je n’en ai même pas envie. Juste la regarder dans cette position m’excite. J’aime claquer ses fesses qui marquent très vite. De temps en temps, je me penche pour que ma main puisse agripper ses petits nichons. Solange a depuis quelques minutes la tête recroquevillée dans ses bras qui sont posés sur le siège du canapé. Je n’en peux plus de retenir mon éjaculation. Si je m’étais laissé aller, j’aurai joui en moins de 5 minutes. Cela fait un peu plus de 20 minutes que cela dure. Certes, ce n’est pas exceptionnel mais je sens que ma jouissance va être explosive. Je l’attrape par les cheveux afin de lui retirer le visage du canapé et viens planter mon dard au fin fond de sa chatte. Je gronde de plaisir et y déverse ce qui me semble être des litres et des litres de sperme. Solange explose dans un hurlement de bonheur. A chaque nouvelle giclée, je replante ma bite de façon extrêmement sèche et brutale dans sa chatte. Lorsque je suis sûr que plus aucune goutte ne peut sortir de ma queue, je me retire et je m’affale sur le canapé. Elle se retourne et s’assoit à côté de moi. Sans un mot, elle attrape à nouveau ma bite et me suce. Elle me donne l’impression de vouloir tout simplement la nettoyer mais aussi et surtout pouvoir à nouveau gouter le goût du sperme. Quelques instants plus tard, gardant toujours ma bite dans sa bouche, j’aperçois ma semence sortir de sa chatte et commencé à dégouliner. Ce tableau est magique.
Nous nous rhabillons ensuite sans dire un mot. C’est à présent que la situation est embarrassante. Elle l’est tellement que je ne resterai pas plus de 10-15 minutes chez elle. Un petit bisou sur la bouche avant de partir et nous nous quittons le sourire aux lèvres.

Lorsque je rentre chez ma tante, elle est devant la télé. Je savais qu’elle m’attendrait, elle le fait toujours.

— Alors, c’était bien chez Solange ?— Oui, c’était super sympa !
Si seulement elle savait ce que son neveu et son ex-meilleure amie ont fait ce soir malgré leur trente années d’écart... Elle doit être à mille lieux d’y penser !

Depuis cet épisode, je ne suis retourné que deux étés au village. Toujours que quelques jours. Ces fois là, je n’ai pas recroisé Solange. Je me suis toujours demandé comment cela se passerait si nous nous revoyions.
Qui sait, peut-être qu’une nouvelle histoire sera à raconter ?
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