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La réalisation inattendue de mon premier fantasme

Chapitre unique

Hétéro
Ça a été dur, mais enfin, je viens d’obtenir le Bac ! Ma terminale n’a pas été de tout repos avec les cours à distance puis de nouveau en présentiel, le stress de ma dernière année au lycée... Bref, je me suis accrochée, et je me retrouve aujourd’hui à enlacer ma meilleure amie, Emma, pour notre obtention du diplôme. J’ai même réussi à obtenir la mention « Bien », à ce moment-là, je suis trop heureuse.
— Du coup, tu viens toujours à la fête demain ? me demande Emma.— Évidemment ! Je ne vais pas te laisser t’amuser toute seule.— On sera plus nombreux que prévu en revanche, il y aura même des surveillants et...— Et qui d’autre ?— MBG, répond mon amie avec un grand sourire.
Je ne dis rien, mais je sens mon visage devenir rouge écarlate. « MBG », c’est de cette façon dont nous parlons de Monsieur Beau Gosse, mon prof d’espagnol, Rafael, qui est devenu depuis quelques mois l’objet de mes fantasmes les plus torrides. Un homme de taille normale, un mètre soixante-dix à peu près, des cheveux noirs, très courts, des yeux noisette toujours pleins de gentillesse, et un corps fin, mais que je soupçonne d’être bien bâti sous ses tee-shirts jaunes habituels. Il n’a jamais laissé un élève à la traîne depuis que je suis entrée au lycée, et je l’ai toujours trouvé très gentil et je l’aimais bien... Jusqu’à ce que je me rende compte de l’effet qu’il me faisait.
J’ai eu dix-huit ans au mois de mars, et c’est à la même période que j’ai commencé à penser à autre chose que ses cours quand j’étais seule dans mon lit. La première fois que j’en ai parlé à Emma, j’ai cru qu’elle allait se moquer de moi, mais pas du tout, elle m’a prise au sérieux. Cela ne l’empêche cependant pas de me taquiner de temps en temps, surtout quand elle se rend compte que mon imagination fertile me distrait pendant les cours.
— Ce n’est quand même pas toi qui l’as invité ?— Non, c’est Damien le surveillant qui lui en a parlé et qui lui a dit de passer.— Ça ne va pas faire bizarre pour les autres d’avoir un de leur prof à la même soirée ?— Pas du tout, il est très apprécié alors les autres sont plutôt contents. D’ailleurs, je pense que tu devrais te lancer ce soir.— Pourquoi... Pourquoi je devrais ?— Pour deux raisons : premièrement, lui part dans quelques jours en Espagne voir sa famille, et quand il revient, toi, tu pars à l’autre bout du pays pour tes études. Deuxièmement, parce que je sais de source sûre que tu n’es pas la seule présente à la soirée à le vouloir.— Je... Je ne pense pas que j’en serais capable. C’est juste un fantasme qui finira par me passer une fois à l’université. J’aurais d’autres sources de plaisir et de fantasmes.— Tu fais comme tu veux. Mais il serait quand même dommage de se priver si l’occasion venait à se présenter non ?
Notre discussion est interrompue par d’autres amis qui viennent se réjouir de leur réussite avec nous, mais le regard d’Emma en disait long : pour elle, la soirée de demain est le moment où je dois sauter le pas. Nous passons le reste de la journée entre amis, à planifier les derniers détails pour le lendemain, mais les propos de ma best me restent en tête. Ils me restent même en tête lorsque, après avoir pris une bonne douche, je m’allonge dans mon lit, nue, pour entamer une nouvelle séance de masturbation.
Je commence toujours par laisser le bout de mes doigts dessiner des cercles sur mes tétons pour les faire durcir, puis je prends à pleine main mes petits seins bien ronds. Je ferme alors mes yeux, et pendant que le plaisir commence à envahir ma poitrine, ma main droite descend entre mes cuisses, passe sur mon léger duvet couronnant ma partie intime, pour venir titiller et caresser mon clito.
— Hum, Rafael...
Et une fois de plus, le nom de mon prof sort tout seul de ma bouche, imaginant que ce sont ses doigts et pas les miens qui pénètrent mon intimité. J’ai maintenant trois doigts en moi, faisant des allers-retours frénétiques, et je vois alors l’image de Rafael au-dessus de moi en train de me prendre de tout son membre viril. Je mouille alors énormément et une immense vague de plaisir secoue mon corps dans sa totalité, je suis même obligé de mordre dans mon oreiller au moment où mon prof me fait jouir dans mon esprit.
Une fois remise de mes émotions, je m’endors rapidement, et je me réveille plus tard que dans mes habitudes. Je passe l’après-midi à chercher une bonne tenue à mettre pour la soirée ; à la base, je comptais seulement mettre une tenue décontractée, mais les propos d’Emma me sont restés en tête. Je veux maintenant plaire à Monsieur Beau Gosse, je ne m’attends absolument pas à quoi que ce soit, mais je veux qu’il voie que je ne suis pas seulement son élève, mais également une jeune femme.
J’opte donc pour une robe mauve échancrée sur le devant mettant en valeur mes seins, descendant jusqu’à mes genoux, et mes bras sont également nus, me laissant libre de mes mouvements. J’attache mes cheveux en queue-de-cheval, me passe un léger coup d’eye-liner noir ainsi qu’un peu de rouge à lèvres bordeaux, et je pars quelques minutes après dans une petite salle des fêtes louée pour l’occasion.
Je suis la dernière arrivée, les trente autres invités sont déjà là, y compris Monsieur Beau Gosse. Comme d’habitude, il porte un haut jaune avec un jean slim bleu mettant en valeur ses jambes... Ici que ses jolies petites fesses bien fermes...
— Bonsoir Lilou, hurle presque Emma de très bonne humeur. Tu en as mis du temps !— Désolée, j’ai eu du mal à choisir ma tenue.— Oh la vache oui ! Je t’ai rarement vue comme ça. Alors, tu as réfléchi à ce que je t’ai dit ?— Je veux juste qu’il me remarque, c’est tout. Je n’ai pas d’autres objectifs en tête.— À d’autres !
Je fais mine de ne pas avoir l’avoir entendue et de me lancer dans un débat inutile, et je me prends un verre punch. Tous les invités semblent embarqués dans de grandes discussions sur leur futur job d’été ainsi que leurs études, et une très bonne ambiance règne dans la salle. Rafael lui, rigole de bon cœur avec une des surveillantes que je déteste le plus, Laura. Elle n’arrête pas de reprendre pour des raisons futiles les élèves, et râle toujours pour un rien, et là, voilà qu’elle n’hésite pas à laisser glisser sa main le long du bras de cet homme si gentil.
— Jamais il ne s’intéresserait à une fille aussi superficielle que toi, pétasse, marmonné-je entre deux gorgées.
Mais même s’il n’y a en effet aucune chance que ça arrive, je vais bientôt être loin de lui, alors... Je dois au moins lui parler avant que cela n’arrive. J’attends alors le moment propice, et dès qu’il se retrouve seul, je vide mon verre d’une traite et je fonce lui parler après lui avoir tapoté l’épaule pour qu’il se tourne vers moi.
— Lilou ! J’ai bien failli ne pas te reconnaître, dit-il de son léger accent espagnol. Tu es magnifique.— Merci, monsieur, dis-je en rougissant comme une tomate. Monsieur, je...— Lilou, nous ne sommes plus professeur et élève, tu peux m’appeler par mon prénom.— D’accord monsieur... Rafael pardon. Je voulais juste vous remercier pour ces années de cours, notamment la dernière qui était... stressante. J’ai bien failli décrocher à un moment.— Je sais, je l’ai senti. Tu as eu une période un peu creuse, mais au vu des événements de ces derniers-mois, tu es loin d’être la seule à qui c’est arrivé. Et en plus de ça, tu t’es relevée et tu t’es battue, je suis très admiratif Lilou, vraiment.
Je ne sais pas quoi répondre, je me contente de baisser la tête et de sourire assez bêtement. Mes mains se croisent et mes doigts s’entremêlent, c’est de cette façon que mon stress s’extériorise.
— Qu’est-ce qui te rend nerveuse ? demande-t-il d’une voix douce.— Rien, tout va bien.— Lilou, tu as été mon élève pendant trois ans, et je reconnais les signes de stress chez mes élèves. Sois franche, quelque chose ne va pas ?— Tout va bien Rafael, c’est juste que... J’aimerais juste que vous sachiez que vous avez beaucoup...— BATAILLE DE SERPENTIN !
À la seconde où la voix d’Emma hurle ces mots, de multiples filets de serpentins fusent d’un bout à l’autre de la salle, et les hurlements des invités se mettent à couvrir la musique de fond. J’ai beau essayer de me protéger, je reçois quand même des projectiles sur ma robe, mes cheveux ainsi qu’en plein sur mon visage. Je ne vois plus rien, mais je sens une main se poser sur mon épaule et m’entraîner à l’écart des festivités, et d’un coup, le brouhaha se fait moins fort, j’ai été emmenée dans une autre pièce.
— Attends, laisse-moi faire, tu en as partout.
C’est la voix de Rafael qui vient de me parler, puis je sens sa main passer sur mon visage pour me débarrasser de quelques fils. C’est la première fois que je sens ses doigts sur ma peau et cela déclenche un léger frisson sur ma peau, et en gardant mes yeux fermés pour mieux profiter de cette sensation, je sens ses doigts fouiller dans mes cheveux pour en retirer les derniers fils.
— Tu peux ouvrir les yeux, il te reste un fil, mais je ne peux pas le retirer.
En regardant ma robe, je vois en effet qu’un dernier fil s’est logé dans l’ouverture de ma robe, juste entre mes seins, directement sur ma peau. Je regarde alors ce fil, puis Rafael. À cet instant, alors que nous sommes tous les deux isolés dans une sorte de petite réserve, je sens mon corps être envahi d’une bouffée de chaleur qui se répand jusqu’à mon intimité. Sans réfléchir, je dis alors dans un soupir lourd :
— Retirez-le.
Sans dire un mot, mais avec beaucoup d’hésitation dans le regard, la main de Rafael s’approche de ma poitrine et commence à retirer le fil. Il fait très attention, prend soin de ne pas toucher ma peau, mais je sens quand même la chaleur de ses doigts, et la sentir aussi près de mes seins... Je sens ma culotte s’humidifier. J’ai déjà eu plusieurs relations, mais je n’ai encore jamais été excitée comme ça, non pas que mes anciens partenaires étaient mauvais, mais ils n’étaient pas... Ils n’étaient pas Rafael.
Une fois le fil retiré, je ne peux m’empêcher de me jeter au cou de ce bel homme et de l’embrasser à pleine bouche. Pourquoi ? Comment ? Je suis venue ici pour lui dire merci et lui montrer que j’étais une femme, mais... Je n’avais pas envisagé de l’embrasser. Alors comment est-ce que je me retrouve à plaquer mon ancien prof contre le mur, et à lui enfoncer ma langue dans sa bouche ?
Je suis prête à arrêter et je commence à me décoller de lui quand ses mains viennent s’enlacer autour de ma taille. C’est alors à son tour de venir m’embrasser avec passion, et mes mains passent derrière sa tête pour appuyer encore plus nos baisers. Nos langues s’entremêlent et sa main gauche se pose sur ma poitrine par-dessus ma robe, je le guide alors dans l’ouverture du tissu et je sens enfin Rafael me saisir pleinement mon sein droit. Il caresse, touche délicatement et pince mon téton déjà dressé par l’excitation, me faisant lâcher un soupir de plaisir dans sa bouche.
— Tu me plais beaucoup, Lilou, mais tu es sûre ?— Oui Rafael, ça serait avec plaisir. Et comme vous l’avez dit, nous ne sommes plus prof et élève.
Je sens alors une lueur illuminer mon regard, et le visage de mon Monsieur Beau Gosse se fend alors d’un sourire qui en dit long. Nous sortons alors du placard où nous nous trouvons, et sortons discrètement de la salle des fêtes, pendant que les autres sont toujours occupés à se balancer des fils. Nous montons dans sa voiture, lui à l’avant et moi à l’arrière, et nous roulons quelques minutes le temps de nous éloigner. Une fois garé dans une forêt tranquille, il me rejoint à l’arrière et vient immédiatement s’allonger sur moi.
Nos baisers reprennent, plus passionnés et moins hésitants que tout à l’heure, mes cuisses s’écartant pour le laisser passer et sentir son érection contenue dans ce jean dorénavant trop étroit pour lui. Je m’empresse de baisser sa braguette pour libérer la bête, sentir son membre viril chaud et dur entre mes doigts m’excite encore plus... Je veux cet homme, je le veux ! Je veux qu’il me prenne, je veux qu’il me baise !
Je prends les devants et l’allonge à son tour sur la banquette pour commencer une des fellations dont j’ai le secret. Ma langue remonte lentement de la base de sa queue jusqu’à son gland, prenant tout mon temps pour tout goûter, avant d’enfin gober l’engin tout entier. Rafael est très doux et me laisse aller à mon rythme, mais je sens qu’il y prend beaucoup de plaisir : sa respiration s’accélère et ses caresses sur ma tête se font de plus en rapides. J’accélère la cadence, je veux tout goûter de lui, tout ! Je me délecte du liquide séminal qui sort de sa queue, mais Rafael m’arrête dans mon élan. Avec une pointe de frustration dans la voix, je lui demande :
— Pourquoi vous m’arrêtez ? Vous n’aimez pas ?— Si j’adore, mais je n’ai pas envie de jouir sans rien te donner en retour.
Il prend une des capotes qui se trouve dans sa boîte à gants, l’enfile, et s’assoit en me faisant signe de venir s’asseoir sur son membre viril. Je m’exécute immédiatement et l’homme sur qui je fantasme depuis des mois me pénètre enfin.
— Lilou, tu es vierge ? demande-t-il en s’arrêtant après avoir juste fait entrer son gland.
Sans dire un mot, mais en lui adressant un sourire, j’appuie sur mon bassin pour faire entrer sa queue de tout son long en moi. Et bordel, que c’est bon ! Même avec sa capote, je sens sa chaleur et je commence à onduler du bassin pour le sentir contre mes parois. Je baisse le haut de ma robe et lui dévoile mes petits seins, il en profite immédiatement et vient les gober tour à tour. Il les suce, les pince exactement de la même manière que moi lors de mes masturbations, et les mordille même légèrement et j’adore ça ! Je suis totalement à lui et je murmure à ses oreilles :
— Prenez-moi, enseignez-moi comment vous baiser.— Lilou, je suis un peu plus... rude pour baiser que pour enseigner.— Alors, prouvez-le.
Et si seulement j’avais su plus tôt comment il baise, jamais je n’aurais attendu jusqu’à ce soir. Il donne aussitôt des coups de bassin sec, qui viennent claquer contre mon intimité, et au plus profond de moi. Le fait d’être sur la banquette arrière ne le gêne absolument pas, ses mouvements sont de plus en plus rapides en plus de secouer mes seins dans tous les sens à chacun de ses coups ; il empoigne mon cul, le malaxe et le gratifie de quelques claques qui résonnent dans le véhicule, il veut me faire comprendre que je suis à lui.
— Baisez-moi ! Baisez-moi Rafael !— Je ne te pensais pas... si coquine.— Vous êtes mon fantasme ! Je... Han oui, plus fort ! Cela fait plusieurs mois que je vous veux ! Hum !— Alors je ne dois pas te décevoir.
Il me couche de nouveau sur la banquette et me prend en missionnaire sans ralentir le rythme de ses coups de reins ? Je veux le regarder dans les yeux, mais le plaisir immense qui se répand dans tout mon corps m’en empêche. Je les ferme donc, et laisse mes cris résonner dans la voiture. Je ne peux m’en empêcher, et à chaque cri, Rafael donne un coup encore plus fort, il doit adorer !
J’en viens à perdre toute notion du temps, et quand enfin l’orgasme traverse tout mon être, Rafael ne ralentit pas, il en veut encore, il veut me rendre cette nuit inoubliable, et ça marche. Je ne sais pas s’il me baise depuis dix ou trente minutes, mais clairement, cette partie de jambes en l’air restera l’une des plus belles de ma vie.
Il finit par se retirer pour retirer la capote, et approche sa bite de mon visage au moment de jouir pour me faire une bonne faciale. Je reçois son foutre sur le front, le nez, ainsi que sur la bouche. Ni une ni deux, je m’empresse de lécher le précieux liquide qui se trouve sur mes lèvres, puis j’essuie le reste de mon visage avec un mouchoir. Et après un tel moment de bestialité, où je me retrouve essoufflée comme rarement je l’ai été, Rafael revient sur moi pour une étreinte beaucoup plus douce.
Pendant plusieurs minutes, nous reprenons nos esprits, sans dire un mot. L’excitation commence à descendre, et je commence à ressentir une certaine tristesse : ce soir, c’est la dernière fois que je le vois, et je ne sais si et quand je le reverrais. Je le serre alors fort contre moi, ma robe débraillée et la moitié de mon corps encore nu, et je profite des battements de son cœur. Quand vient le moment de me ramener chez moi, j’ai du mal à lui dire au revoir, et je ne suis capable de ne lui dire qu’une seule chose :
— Merci pour tout.
Heureusement, Rafael est un homme très gentil, et nous avons gardé contact. Nous nous échangeons régulièrement des mails, il se soucie réellement de mes résultats et de ma vie à la fac. Je lui raconte donc tout, même mes aventures au lit, mais à chaque fois que je termine une anecdote de ce genre, je lui dis qu’il restera l’un des meilleurs hommes que j’ai eus.
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