Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 35 J'aime
  • 0 Commentaire

Réaliser l'épreuve imposée par Mon Maître

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Tina,Je veux te faire progresser toujours plus vers ta condition de chienne soumise.Pour cela, voici deux épreuves à réaliser pour te transformer en pute.
Epreuve n°1 :Avant de quitter ton travail, tu iras aux toilettes retirer ton string et ton soutien-gorge. Tu roules jusque sur le parking où des routiers sont en attente.Remonte la jupe bien haut sur tes cuisses de chienne en chaleur.
Maitre,Comme vous me l’avez imposé lundi, j’ai réalisé votre demande hier en fin de journée.Avant de la réaliser, vous pouvez imaginer que je suis passée par plusieurs stades, déstabilisée par cette demande. Ma condition m’imposant de la réaliser sans état d’âme, mais mentalement, "aller me jeter dans la gueule des loups" n’est pas facile à assumer. Tout l’après-midi cette idée m’a perturbé.Vêtue d’un tailleur gris clair, jupe droite au-dessus du genou, un bustier blanc manche courte, veste croisée, dessous un string blanc et un soutien-gorge blanc, aux pieds des escarpins à lanières avec de petits talons.Tout l’après-midi, j’ai en tête ce que je devais faire à la sortie du travail. Par moment une excitation d’être exhibée, par d’autre l’angoisse d’aller provoquer, la honte m’envahissant, semant le doute en moi. Essayant d’être la plus naturelle possible, masquant mes doutes mes angoisses, mais aussi une certaine excitation.A 17h30, j’ai quitté le bureau en souhaitant une bonne fin de journée à mes collègues, mais la gorge serrée, le cœur battant à l’idée de ce que j’allais faire. Je suis passée par les toilettes pour être dans la tenue que vous m’avez imposée. Là j’ai quitté le string et le soutien-gorge que j’ai rangé dans mon sac. Devant la glace, un tremblement dans les mains je me suis réajustée, corrigé ma tenue en fermant bien la veste pour que l’on ne puisse deviner que j’avais les seins nus dessous.Une grande inspiration, pour trouver un peu de calme en moi, les yeux fermés, puis je me suis décidée, je suis sortie des toilettes une démarche la plus naturelle possible regardant droit devant moi et souhaitant que je ne croise personne. D’apparence calme, mais à l’intérieur de moi un mélange déstabilisant allant de l’excitation à la peur la honte.Le trajet jusqu’à la voiture m’a paru interminable. Sensation folle d’être nue sous ma jupe, de sentir un courant d’air venir caresser mes cuisses très haut, de sentir les pointes de mes seins se tendre sans que je puisse les maîtriser.Assise dans la voiture, la jupe remontée sur mes cuisses les dénudant haut, un moment à respirer à calmer le rythme de mon cœur, j’ai pris la direction du parking. Dans la circulation, j’ai conduit comme une automate, sans regarder autour de moi, suivant le flot de la circulation sans prêter attention à ce qui se passait autour de moi. Sortie de la rocade, à 500m du parking je ne suis arrêtée sur une place en bordure de rue, j’ai quitté ma veste. Là je ne pouvais plus reculer, juste ma jupe très haut sur mes cuisses et le chemisier fin dissimulant ma nudité. Chemiser qui ne faisait que faire ressortir les pointes des seins tendues excitées sans que je puisse les maîtriser.Lentement j’ai démarré, remonté la rue, pris la bretelle pour entrer sur le parking. Les mains accrochées au volant pour masquer les tremblements, le souffle rapide, le cœur battant à 100 à l’heure j’ai remonté tout le parking longeant la fille de camion arrêté. Le regard droit devant moi, ne voulant pas croiser les regards qui m’observaient, me dévisageaient. J’ai dépassé la baraque à frites où une foule de chauffeurs était là.Je dois dire que mon passage les a quelque peu perturbés, je sentais des regards perçants sur moi. Je me suis arrêtée à une dizaine de mettre de cette baraque, faisant semblant de chercher quelque chose dans la voiture. La fenêtre ouverte, j’ai pu entendre des commentaires, voir même quelque sifflet. Le temps d’attente m’a paru une éternité, avec la peur au ventre d’être abordée. Combien de temps je suis restée là je ne sais pas, mais au bout un d’un moment j’ai redémarré et j’ai quitté ce parking le cœur battant troublée. En moi je ne savais plus quoi penser. Fierté d’avoir osé obéir à mon Maitre mais aussi honte, panique même d’être une salope provocatrice. Une fois sortie du parking, j’ai repassé ma veste pour retrouver un semblant de calme et de pudeur.Merci MaitreTina la chienne salope de Maitre Olivier
épreuve n°2 :Tina,À nouveau tu vas te rendre sur le parking mais en plus, tu descends de voiture et tu restes debout quelques minutes. Si on vient t’aborder, tu réponds favorablement. Je te rappelle que tu as accepté d’être ma pute. Il faut maintenant me le prouver et surtout le rapporter.
Bien entendu, tu es nue sous tes vêtements.
Maitre,Vers 18h j’ai quitté le travail, la peur au ventre, indécise, je suis rentrée chez moi. Seule dans la maison, le cœur battant en pensant à ce que je devais faire, anxieuse, j’ai pris sur moi, et je suis allée me changer.Dans la chambre, je me suis mise nue, au sens propre comme au figuré, une transformation en moi. L’esprit certes troublé, en ébullition, mais aussi décidé à être celle que vous vouliez que je sois. J’ai sorti une jupe noire moulante, arrivant en dessous de la mi-cuisse, mais découvrant quand même une bonne partie de mes cuisses. En haut un chemisier coton blanc à manche courte, les 2 deniers boutons ouverts pour laisser voir la naissance de ma poitrine. J’ai passé mes escarpins à lanière, talons environ 5 centimètres, laissant les pieds dégagés, mais les cambrant, lanières serrées à la cheville. Devant la glace, j’ai rajusté ma tenue, lissé la jupe, la tirant vers le bas comme pour la rendre plus longue.Me regardant dans la glace, une bouffée de chaleur m’a envahi. Une bouffée mélange de honte d’excitation, de folie, de plaisir, d’angoisse. La vision, ma vision d’une femme totalement différente que celle qui venait juste de rentrer chez elle. Il y a quelques minutes, une femme respectable, très BCBG, et là une femelle aguichante, presque vulgaire. Les seins pointant sous le chemisier, une femelle appartenant à son Maitre prête à tout pour lui.Par instinct de pudeur, avant de sortir, j’ai passé une veste légère, noire, pour dissimuler ma tenue peu ordinaire dans mon quartier.Je me suis vite engouffrée dans la voiture et quitté ma maison rapidement avec l’angoisse de croiser un regard ou une personne de ma connaissance.Sur le trajet, conduisant comme une automate, sans regarder ce qui ce passé autour de moi, juste concentrée sur la conduite, ne voulant pas croiser un seul regard. Cela ne voulait pas dire que j’étais "froide" bien au contraire, la tête en ébullition, mille questions, mille sensations venant à mon esprit. L’angoisse, la peur la honte, mais aussi de la fierté de faire ce que je faisais pour mon Maitre.Plus j’approchais du parking, plus l’angoisse grandissait, le doute en moi montait, la peur de me montrer telle que j’étais. A l’entrée du parking, l’envie de faire demi-tour m’est venue, arrêtée à l’entrée, j’ai dû prendre sur moi, de grandes inspirations pour me calmer, les mains tremblantes, fébrile, d’un coup je me suis décidée. Je suis rentrée en voiture sur ce parking, me suis dirigée lentement vers la fille de camions garés là. Respirant le plus lentement possible pour maîtriser mes tremblements, mon angoisse ma peur, je suis allée jusqu’au bout en ne regardant personne, le regard pointé vers l’extrémité du parking. Je me suis arrêtée, j’ai fait demi-tour, je voyais des groupes de chauffeurs discutant entre eux, m’avaient-ils vue passer ? Je ne savais pas, mais l’angoisse me serrait le cœur.J’ai baissé ma vitre, et j’ai refait le chemin inverse. Lentement j’ai remonté la file, là je n’avais plus de doute, des regards posés sur moi, me dévisageant, me déshabillant, quelques sifflets, des voix même, mais je ne voulais pas entendre. Il ne me tardait qu’une chose : c’est d’arriver au bout de ce parking.Là ma tâche n’était pas finie, je devais descendre de voiture et faire quelque pas à portée de mâles qui n’en espéraient pas tant. J’ai garé ma voiture juste à l’entrée, un moment immobile, figée, respirant calmement pour retrouver un peu de quiétude.Dans un sursaut de fierté, je suis descendue, le mouvement a fait remonter très haut ma jupe. Debout je me suis réajustée, et les yeux presque clos, je suis partie marcher.Je sentais sur moi des regards pleins de désirs, des regards perçants. Oubliant ou j’étais, ce que je faisais, j’ai marché un moment, pas très loin de la voiture car la peur au ventre, celle-ci était mon seul "réconfort" qui pourrait me sortir de là en cas de problème.Je suis revenue plus lentement vers ma voiture, d’un pas posé, sentant les regards sur moi mais sans agressivité. Un sentiment d’être désirée, convoitée a fait monter en moi une forme d’excitation. Une fois à la voiture, je suis repartie très vite sans me retourner, avec une seule envie d’être chez moi pour retrouver un peu de calme.
Terrifiée mais aussi remplie d’une excitation que je n’avais encore jamais connue, je fais demi-tour. Vitre baissée, je reste garée, assise dans le fauteuil, persuadée que quelqu’un allait venir me parler.Je n’ai pas trop à attendre. Un homme d’une trentaine d’années s’est approché de la voiture, et très poliment m’a dit bonjour. J’ai répondu à ce bonjour et nos regards se sont croisés.Une bouffée de chaleur m’a envahi, un trouble que j’essaye de cacher. Il me souriait, puis me demande : « je peux vous aider ? Vous cherchez quelque chose ? » Avec un regard narquois qui en disait long... Perdant de ma retenue, je lui réponds de façon plutôt confuse que non je n’ai besoin de rien.Pas besoin d’être un grand psychologue pour voir mon embarras et ma confusion. Il se penche vers moi et me dit : « je comprends... je peux vous aider si vous voulez, plutôt que d’être ici, il y a trop de monde, faite le tour du parking à l’arrière il y a une autre entrée plus discrète, vous verrez mon camion rouge c’est le seul garé là-bas. »Puis me souriant il me dit a tout à l’heure et part.Estomaquée, n’osant revivre ce que je venais d’entendre, perdue, tiraillée entre une moralité qui refaisait surface, et l’ordre donné par mon Maitre, je ne savais plus trop quoi faire. Je mets la voiture en route et sort du parking, hésitante sur la direction à prendre. Instinctivement je prends à nouveau la direction du retour chez moi, mais après quelques mètres je le vois là-bas allant à son camion.D’un coup ma décision est prise je fais à nouveau demi-tour pour contourner ce parking et lentement je remonte jusqu’à trouver cette entrée. Je me gare à côté du camion rouge, affolée n’osant descendre.......
Diffuse en direct !
Regarder son live