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Rébecca visite une maison

Chapitre 1

Hétéro
Pendant une courte période de ma vie, j’ai été employé dans une agence immobilière en plein centre de Toulouse. Quand les beaux jours arrivaient, le nombre de visites augmentait considérablement en prévision des mutations et changements de statut de nombreux employés, notamment ceux qui travaillaient dans les usines aéronautiques.
Durant cette période, j’étais souvent mandaté pour faire visiter des appartements ou des maisons dans Toulouse et en proche banlieue. Ce matin-là, le soleil resplendissait et j’avais rendez-vous à 10H avec une cliente à environ 20 kilomètres de Toulouse, elle venait pour visiter une grande et belle maison située au beau milieu d’un immense parc arboré. Le prix de cette maison étant assez important, mon directeur insista pour que je fasse le maximum pour que la visiteuse soit emballée par le produit.
A 10H pile, j’attendais devant le portail d’entrée quand une petite voiture de sport arriva. Elle se gara près de mon véhicule et la portière s’ouvrit. Une grande femme avec une longue chevelure brune en sortit. Elle était vêtue d’une petite robe courte à fleurs qui cachait difficilement la moitié de ses longues jambes. Le décolleté assez profond laissait entrevoir une magnifique paire de seins. Elle était perchée sur de hauts talons aiguilles qui mettaient en valeur son arrière-train. Quelle belle femme, certainement d’origine italienne d’après sa couleur de peau un peu mate.
Elle s’approcha de moi et planta ses grands yeux marron dans les miens :
— Monsieur Brunet, je suppose ? dit-elle, en me tendant une main fine ornée de quelques bagues serties de diamants. Rebecca Beneditti, nous avons rendez-vous pour la visite de la maison, me dit-elle d’une voix assez grave, mais chantante. — Tout à fait ! répondis-je un peu pris au dépourvu. Je vous attendais. Enchanté de faire votre connaissance chère Madame. Je passe devant vous pour vous ouvrir le chemin.
En passant près d’elle, j’ai pu respirer son parfum qui me sembla être, si ma mémoire était bonne du Channel N°5. J’ouvris le portail et j’ai commencé à vanter les mérites du jardin et du parc entourant la maison.
Elle marchait près de moi, ses talons hauts l’obligeaient à se mouvoir avec une démarche chaloupée qui mettait en valeur sa taille mince et ses jolies fesses. Tout en approchant de la maison, je l’observais et je surpris plusieurs fois son regard qui semblait me scruter. Je lui fis les honneurs d’entrer la première pour visiter l’entrée. Elle passa devant moi en ondulant des fesses. En fait, elle avait un cul sublime, à travers l’étoffe de la petite robe, aucune trace de culotte, elle portait sans doute un string. Nous visitâmes la salle à manger qui semblait lui convenir, elle examinait chaque coin et recoin des pièces, quitte à passer tout près de moi.
— Nous pourrions peut-être voir les chambres maintenant, c’est pour moi la partie la plus importante de la maison, après la cuisine bien sûr, me dit-elle avec un sourire enjôleur.
A regret, politesse oblige, je dus passer devant pour accéder à l’étage. Les deux premières chambres semblèrent lui convenir, la troisième, plus grande avait une vue merveilleuse sur tout le parc. Elle s’approcha de la fenêtre, ouvrit les rideaux et s’extasia devant la nature qui s’offrait à elle. Pour moi, c’était une autre nature que je pouvais entrevoir. Le soleil, ce coquin, traversait la fine étoffe de la petite robe et me faisait entrevoir ses longues jambes bien galbées. Elle avait légèrement écarté les cuisses pour se tenir droite et je pouvais admirer sa fantastique plastique.
— C’est superbe, déclara-t-elle. Mais qu’est-ce donc là-bas dans le fond du parc ?
Je m’approchais pour regarder, comme je ne voyais rien, il fallut que je m’approche d’elle jusqu’à la toucher. J’étais placé juste derrière elle, quand elle recula légèrement, elle se colla contre mon érection déjà conséquente. Il me sembla entrevoir un léger sourire sur ses lèvres, elle se tourna vers moi :
— Vous ne voyez pas, au fond du parc, cette petite maisonnette ? Elle est absolument charmante. Voulez-vous me la faire visiter s’il vous plaît ? dit-elle avec une moue enfantine.
Comment résister à une si charmante demande, de plus j’étais là pour contenter le client comme mon patron m’avait dit.
— Comme vous voudrez chère Madame, je suis là pour vous faire visiter la maison, et cette maisonnette fait partie du lot.
Elle battit des mains comme une enfant qui venait d’obtenir ce qu’elle voulait. Nous prîmes donc la direction de la petite maisonnette. En fait, je savais que c’était une dépendance qui servait parfois à loger les convives qui voulaient s’isoler un peu des autres habitants de la grande maison. Évidemment avec ses talons, le chemin fut un peu compliqué pour cette grande dame perchée sur ses échasses. Quand nous entrâmes dans la maisonnette, elle quitta ses chaussures qui étaient souillées de terre. Sans ses talons hauts, elle était à peu près de ma taille.
— Faites-moi donc faire le tour du propriétaire. Après tout, je suis déjà presque chez moi, nous parlerons ensuite des conditions de vente.
Elle fila devant moi en faisant virevolter sa petite robe me laissant entrevoir une jolie paire de fesses. Son parfum laissait une trace invisible dans l’air qui m’invitait à la suivre. Les pièces étaient en bon état, mais assez petites et plusieurs fois, nous dûmes nous croiser pour entrer et sortir. En sortant de la première chambre, elle passa devant moi en frottant imperceptiblement sa poitrine contre mon torse. En sortant de la deuxième, ce fut son fessier qui s’appuya contre mon sexe bandé comme un arc.
Enfin, la visite se terminait, elle semblait ravie. Vint le moment de parler d’argent. J’ouvris mon attaché-case et j’étalais les papiers sur la table de cuisine. Je me devais de lui décrire tout ce que nous avions visité en détail pour voir si je n’avais rien oublié. Elle m’écoutait d’une oreille distraite pendant qu’elle tournait de droite à gauche, puis doucement, elle s’approcha de moi et plaça sa main sur ma main. J’étais un peu embarrassé et ne savais quelle conduite adopter.
— Comment avez-vous trouvé la visite, Madame Beneditti ? demandais-je en avalant péniblement ma salive. — Oh, pas Madame, appelez-moi plutôt Rebecca. C’est plus sensuel et sympathique, vous ne trouvez pas ?
Ce faisant, elle s’approcha de moi et me poussa vers la table.
— Cette maison est admirable, mais il y a encore une chose que vous ne m’avez pas fait visiter, me susurra-t-elle à l’oreille.
En disant ces paroles, elle plaça sa main sur ma queue à travers le pantalon.
— Humm, je crois bien qu’il y a là encore une grande pièce que j’aimerai bien visiter.
Tout en me masturbant à travers mon pantalon, elle se serra contre moi et me présenta sa bouche. Sa langue pénétra d’un coup, cherchant la mienne. Puis elle se retourna et me présenta ses reins, elle frottait ses fesses contre ma queue. J’ai pu ainsi l’étreindre à loisir et malaxer sa superbe poitrine tout en la couvrant de petits baisers dans le cou. J’ai dégrafé sa robe et le petit morceau de tissu se retrouva à ses pieds. J’en profitais pour lui enlever son soutien-gorge et mes mains se lancèrent à l’assaut de son opulente poitrine. Elle n’avait plus sur elle qu’un minuscule string qui lui rentrait dans la raie du cul et ne cachait pas grand-chose de son petit triangle d’amour.
Elle se tourna vers moi et m’enleva ma chemise. N’en pouvant plus d’attendre, je la pris dans mes bras et la déposai sur la table. Le string se retrouva rapidement au sol, j’allais enfin pouvoir admirer son puits d’amour. C’était une vraie brune avec une légère toison bien épilée. L’allongeant sur la table en travers des papiers à signer, ma langue s’infiltra avec gourmandise dans sa petite chatte dégoulinante. Quel bonheur, elle avait une odeur de femelle en rut un peu forte qui m’excita encore plus. Je pris entre mes lèvres son petit bouton d’amour tout en le léchant, cette caresse buccale lui arrachait de légers soupirs de satisfaction. J’en profitai pour masser son opulente poitrine serrant entre mes doigts ses mamelons qui pointaient vers le ciel. Elle me guida dans son antre tout en me tenant la tête à deux mains.
Au bout de cinq minutes de ce traitement, elle se cabra et poussa un cri de jouissance en même temps qu’elle m’envoyait des giclées de cyprine sur la langue.
(A suivre) .....
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