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La rebelle de Saint-Ouen

Chapitre 2

Lesbienne
2 Confirmation  La semaine d’après à la fac, j’avais eu l’impression détestable d’être observée. Si je me sentais différente, les autres devaient s’en rendre compte aussi. Une copine un peu plus perspicace me demanda le prénom de l’heureux élu, parce que j’avais la tête d’une nana amoureuse. Entichée de la mère Chapelain ? Et puis quoi encore ! À la limite, je reconnaissais qu’elle était sympa, et vachement douée avec sa langue et ses doigts. Et même ça, je ne pouvais pas en parler sans me trahir. Non, le mieux était de la laisser s’imaginer des choses. Au bas des tours, Juliette et moi, on se contentait à nouveau des sourires simplement polis. Pourtant, je passais plus de temps dehors pour essayer de l’apercevoir, quitte à supporter les remarques des mecs, et leurs insultes quand je les ignorais. Plusieurs fois, j’avais eu envie d’aller sonner à sa porte, mais ses voisins de palier m’auraient tout de suite repérée par l’œilleton. Et une fois mon secret éventé, adieu la relative tranquillité. Me traîner une réputation de gouine à 18 ans dans une cité mal famée de la Seine-Saint-Denis ? Très peu pour moi. Alors je repris mes bonnes vieilles habitudes de la masturbation, même plus souvent qu’avant ; au moins, j’avais un putain de bon souvenir sur lequel fantasmer, mieux que les scènes de cul de La vie d’Adèle. Malheureusement, ce n’était pas pareil, le plaisir pas aussi intense, et c’était souvent la frustration qui l’emportait. Un soir, l’étrange idée de me lécher moi-même le minou me traversa l’esprit. Assez souple pour y arriver, je me roulai en boule, les jambes croisées derrière ma tête. Mais une fois la bouche au-dessus de ma fente, le courage s’envola. Le jeudi en fin d’après-midi, alors que j’allais rentrer, Juliette profita d’une accalmie au pied le tour ; une patrouille de flics avait dispersé la bande de jeunes qui squattaient le rez-de-chaussée près des boîtes à lettres couvertes de graffitis. Elle glissa un bout de papier dans ma main et disparut, son éternel sourire aux lèvres. Trop petit pour une lettre, j’espérai que le message me fixait un rencard dans un endroit peinard, parce l’idée de recommencer m’obsédait, avec la mère Chapelain ou une autre femme, aucune importance. J’avais l’intention de prendre mon pied égoïstement. « Je serai devant chez Darty vendredi à 18 heures. Pense à ta brosse à dents, je m’occupe du reste. » Bingo ! Vendredi, c’était demain, et il me tardait d’y être. Une fois à la maison, je déchirai le bout de papier inutile, ma mémoire fonctionnait très bien, et direction la salle de bain, je voulais être physiquement irréprochable.
♀♀
 J’étais à l’heure, même un peu en avance, Juliette aussi. La voiture quitta le parking et s’engagea direction Porte de la Chapelle, loin de Nogent-sur-Marne, il n’y aurait pas de dîner sous la tonnelle ce soir. — On va où ? Je dus me contenter d’un sourire charmeur en guise de réponse. Aucune importance, tant qu’elle me donnait du plaisir. Je remarquai un petit sac de voyage sur la banquette arrière. Moi, j’avais fourré ma brosse à dents dans un pochon. — T’étais sûre que je viendrais ? — Disons que je l’espérais très fort. La voiture engagée sur l’autoroute, ça sentait bon le dépaysement, même si j’aurais aimé savoir où on allait. — On a rendez-vous avec une copine. Tu vas voir, elle est géniale. À voir sa tête, elle n’avait pas prévu une retraite dans un couvent, ça me convenait. Une partie à trois ? Je me sentais prête à relever le défi tant qu’on ne me demandait pas d’avoir un rôle actif. — Ça va comme je suis sapée ? Une main s’égara sur ma cuisse et un doigt se glissa sous mon short. Le contact me fit frissonner. — Tu es parfaite. La caresse se fit insistante, et je sentis bientôt l’ongle à la limite de ma culotte. Zut ! Juliette avait vraiment envie de me le mettre. Soudain, le jeu s’arrêta, je restai comme une conne à fixer la route, excitée. L’allumeuse s’engagea sur l’aire d’autoroute au niveau de Vemars. Besoin de faire le plein ou envie de soulager sa vessie ? Mystère. Elle roula au pas jusqu’à l’aire de jeu et se gara dans un coin. — Tu m’as manqué. Sans me laisser répondre, Juliette me roula un patin auquel je répondis, son baiser fiévreux réveilla mon excitation. Oubliant ma bouche, un œil aux alentours, elle baissa ma braguette. — J’ai envie de te doigter. Moi aussi, mais je n’étais pas tranquille, n’importe qui pouvait nous surprendre. Sa main à plat sur mon minou réveillait des putains de bons souvenirs, elle glissa un doigt dans ma grotte.
 — Montre-moi tes seins. Tant que ça se passait sous la vitre, pourquoi pas, mais là, je n’étais pas certaine de vouloir la suivre dans son délire. Tant pis, l’envie de jouir était trop forte, je remontai mon tee-shirt.
♀♀
 On arriva au bord d’un étang dans la forêt de Senlis, un peu à l’écart du chemin. Une femme nous fit un signe de la main, elle avait monté une toile de tente et dressé la table avec trois pliants autour. Un petit feu de bois crépitait sur le sable, assez loin des arbres pour ne pas risquer de déclencher un incendie. C’était donc là qu’on allait passer le week-end. Du camping sauvage à soixante bornes de Paris, fallait oser, mais je trouvais ça plus amusant que de nous enfermer dans une baraque. — Chloé, je te présente Axelle. La blonde d’une quarantaine d’années m’embrassa sur la joue avant de m’observer de la tête aux pieds. Apparemment, j’étais à son goût. Elle laissa traîner une main sur mon bras. — Délicieuse. On va prendre l’apéro. Bonne idée, parce que de la branlette sur l’aire d’autoroute au regard insistant, tout ça me donnait soif. Je me laissai entraîner jusqu’à la table, décidée à profiter de chaque instant comme il venait. — Bière ? Whisky ? — Euh… une bière merci. La blonde extirpa une canette de la glacière. À la voir penchée plus que nécessaire, je compris son intention de m’exposer deux seins ronds prêts à jaillir du décolleté de la robe d’été. — Toi, je ne te demandes pas, sourit-elle à Juliette en lui servant une copieuse rasade d’alcool sur un glaçon, comme d’habitude. Les copines échangèrent un bécot appuyé, curieuse façon de trinquer. Ces deux-là partageaient plus que de l’amitié.
♀♀
 — Mets-toi à l’aise. Oui… euh… peut-être pas. Elle en avait de bonnes, Juliette, me foutre à poil comme ça après dîner ne m’enchantait pas vraiment. D’accord, elles se montraient sympas, et puis après ce qu’on avait fait… mais ça n’empêchait pas la pudeur, je n’avais pas envie de tenter le diable, ou plutôt les deux diablesses qui se moquaient de ma timidité. Je me sentais un peu perdue avec mes 18 piges entre ces quadras déjantées, plus ou moins saoules. En plus, la fraîcheur du soir tombait au bord de l’eau. — J’aurais plutôt envie de mettre un pull. Axelle, une vraie blonde d’après les poils de sa chatte, se glissa dans mon dos. — Détends-toi, Chloé, on est entre nous. Rassure-toi, on sait comment faire monter la température. Justement ! Je n’étais plus vraiment certaine de vouloir une partie à trois. Même pas le temps de réagir, la garce fit passer mon tee-shirt par-dessus ma tête. Et comme je ne portais pas de soutien-gorge… — C’est vrai qu’elle a des seins superbes, très fermes. Le short et la culotte atterrirent sur le sable, puis plus rien, Axelle retourna dans l’herbe près de sa copine. Enfin, plus rien c’était vite dit, car les regards sur moi laissaient sous-entendre qu’on m’avait invitée pour une bonne raison. Merci Juliette de m’avoir embarquée dans ce plan cul, un mec n’aurait pas fait mieux. Bientôt, elles commencèrent à se chauffer sans plus se préoccuper de moi. Ça me faisait bizarre de les regarder s’embrasser à pleine bouche et se peloter comme si je n’existais pas. Bientôt, les caresses de plus en plus franches les excitèrent, moi aussi. J’hésitai entre me masturber et les rejoindre, pas longtemps.
♀♀
 Axelle oublia la bouche de Juliette pour me sourire, une invitation à participer. Elle me tendit ses lèvres brillantes de salive. Je l’embrassai, et la saveur de son baiser me plut. D’abord patiente, douce, attentive, Axelle s’enhardit, et sa langue força ma bouche. La mienne accepta de jouer le jeu, on se roula un patin de folie. Loin d’être jalouse, Juliette soupesa mes seins. — Hummm… Sans demander mon avis, de toute façon j’en mourrais d’envie, la garce commença à me caresser. C’était bon de sentir ses mains sur ma peau, ses lèvres et sa langue agacer mes tétons. Après la branlette accordée d’une main secourable sur l’air d’autoroute, je mourais d’envie de connaître le grand frisson. Juliette sourit, un encouragement à me laisser aller. C’était mon intention. Non en fait, elle s’adressait à sa copine. — Tu veux la goûter ? Aucun doute, elle parlait de ma chatte. Je me sentis sortie de l’eau puis allongée sur un drap de bain. Juliette continua à s’occuper de mes seins en poussant la tête d’Axelle vers mon bas-ventre que j’avais renoncé à raser, une demande expresse de celle qui m’avait donnétant de plaisir semaine dernière.
♀♀
 La blonde ouvrit ma fente et plongea sa langue dedans avec gourmandise. Le choc me cloua sur l’herbe. Peut-être que l’expression « bouffer une chatte » venait de là. En tout cas, ça lui plaisait, et à moi aussi. — Hummm… Elle mouille déjà. Évidemment ! Je la sentais partout, c’était plus excitant que la première fois, peut-être parce que j’étais mieux installée que dans la voiture, ou qu’elle étaient deux à s’occuper de moi. La garce fit mieux que me brouter le minou, elle me baisa avec la pointe de sa langue, c’était dément. — Lèche-la bien. Axelle n’avait pas besoin d’encouragement, ce qu’elle me faisait était divin. Excitée comme une folle, je commençai à peloter un sein de Juliette sans m’en apercevoir. Et quand je me rendis compte de mon audace involontaire, il était trop tard. — Suce mon téton. Pour être franche, ce corps me rebutait en peu avec ses kilos en trop, mou à cause de l’âge, mais la langue dans ma chatte me forçait à ouvrir la bouche, et Juliette en profita. Je pinçai le mamelon entre mes lèvres. Elle rugit. En dessous, Axelle se régalait de ma mouille. Si je n’avais pas déjà pris mon pied, je crois que j’aurais joui tout de suite. Mes caresses sur le sein lourd se firent plus précises, ça me plaisait de sentir le téton gonfler dans ma bouche. La blonde s’attaqua à mon clito, et la décharge électrique fut immédiate. La bouche pleine, je grondai de plaisir. Pourtant, j’aurais voulu que ça dure longtemps, jusqu’au bout de la nuit. — Laisse-toi aller, ma chérie. Ce que je fis, jusqu’à jouir en silence.
♀♀
 Que la retombée fut longue, bercée entre Juliette et Axelle. Elles me caressaient en évitant les endroits sensibles, parce que après, ça devenait vité désagréable. Je les sentais excitées, mais l’audace avait disparu avec le retour au calme dans ma poitrine, du moins celle de participer. Alors elle devraient se débrouiller sans moi — J’ai envie de vous regarder faire l’amour.
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