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Rébellion au Sénégal

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Scénario : rébellion au Sénégal.
Figurants : Christine 49 ans, cheveux blonds mi-longs, 1,68m, 52 kg 85b-taille inconnue-hanches inconnues mariée, bourgeoise, profession inconnue, vêtue robe longue, large, légère, d’été, boutonnée devant, sans soutien-gorge, slip brésilien blanc, sandales en corde et tissu à haut talons avec lanières montantes pour attache au dessus des chevilles.David : mari de Christine, 55 ans, 1,78m 92 kg, adorant sa femme, pas très courageux, vite intimidé et craintif, peureux.Moi : Jean-Marc, 1,86 m, 81 kg, grosses lèvres, peau ébène, cheveux rasés, martiniquais, un des révolutionnaires.Deux autres copains sénégalais, noirs comme moi et étant mieux montés que le mari et la majorité des Blancs.
Il est midi et demi et vous êtes attablés à la salle-restaurant de l’hôtel « le Lagon Beach » où vous êtes descendus pour 15 jours de vacances. Cet hôtel se trouve au Sud de Dakar (Sénégal), à la périphérie de la ville, au bord de la mer. Il fait beau, le soleil brille. Rien ne laisse à penser que les occupants de cet hôtel-restaurant vont vivre plusieurs heures inquiétantes…
Deux camionnettes s’arrêtent au plus près de l’entrée de l’hôtel et 16 hommes (des noirs) armés de kalachnikov, fusils à pompe, vêtus mi-militaire, mi-civil, font irruption dans la salle du restaurant et tiennent le personnel et les touristes sous leurs armes. Un des « bandits » le chef qui parle bien le français dit à haute voix : « Restez calme, n’ayez pas peur, n’essayez pas de fuir et il ne vous sera fait aucun mal. Si une personne nous cause des problèmes, nous serons sans pitié…..C’est tout ce que j’ai à vous dire pour l’instant sinon que vous êtes mes prisonniers et suis désolé de perturber vos vacances….Je vous demande de présenter vos pièces d’identité…».Des révolutionnaires ont investi les parties communes de l’hôtel tels les cuisines, la lingerie, l’accueil où se trouve le central téléphonique pour rassembler toutes les personnes dans un même lieu…Tous les hommes et femmes sont rassemblés dans la salle du restaurant debout contre un mur. Le directeur de l’hôtel, un sénégalais, qui tentait de s’interposer, est tout de suite pris à partie par 3 « révolutionnaires » qui lui donnent des coups de crosse puis étant tombé à terre, reçoit des coups. Le chef dit que ca suffit et dit « Regardez cet homme, il est de notre race et nous n’avons aucune indulgence à son égard parce qu’il se met contre nous : vous qui êtes des étrangers et la plupart des Blancs, n’allez pas dire que nous sommes racistes si vous recevez des coups pour ne pas avoir écouté nos instructions….. Je crois avoir été assez clair ?..Montrez vos passeports à mes hommes…. » C’est moi qui passe avec un autre vérifier les documents d’identité des personnes alors qu’à 10 m de vous plusieurs hommes armés pointent leurs kalachnikov ou fusil à pompe sur vous, prêts à tirer dans le tas en cas d’une rébellion subite des otages.
Je vous ai repérée depuis le début ayant passé en revue les otages pour voir leur tête et déceler celui ou celle qui pourrait nous nuire ou nous faire des difficultés. C’est votre silhouette qui m’a attiré, vos sandales à haut talons nouées au-dessus des chevilles, votre joli visage, votre prestance, votre jolie nuque dégagée par la chevelure en queue à cheval en raison de la chaleur…Vous avez remarqué que je vous « zieutais » souvent par rapport aux autres personnes que je regardais dans leur ensemble et que pour vous, c’était vous en particulier…comme l’aiguille d’une boussole qui est toujours attirée dans la même direction.J’arrive à vous : « bonjour Mme » vous dis je en vous cherchant le regard et prenant les 2 passeports que vous avez sortis de votre sac à main. Je dis en lisant : « Christine DUPONT épouse PRIGENT et M. PRIGENT David. Ah voici un autre couple de Français ». Je sens votre mari arrogeant alors qu’il dit quelque chose qui ne me fait pas plaisir et lui répond : « Votre pays envoie de l’argent depuis des années à notre pays mais c’est notre président qui garde tout au lieu de le distribuer…Voila pourquoi vous êtes retenus Monsieur. C’est pour faire pression sur Paris afin qu’il persuade notre président de démissionner…C’est simple à comprendre non ? » Votre mari dit « Mais nous n’y sommes pour rien nous… » et je lui réponds sèchement : « Vous payer des impôts? alors vous êtes complice de votre président car avec votre argent vous engraisser notre connard de dictateur et sa suite. Maintenant tu la fermes et comme tu as la langue bien pendue c’est toi qui parleras avec l’ambassadeur de France pour expliquer ce qui se passe ici… ».
Moi et deux collègues, armés de fusil à pompe, nous montons avec vous et votre mari dans votre chambre. Je décroche le combiné du téléphone et compose le numéro de l’ambassade de France à Dakar. A l’autre bout, on décroche et je dis: « Je veux parler à l’ambassadeur mais je sais qu’il est occupé à ne rien faire ou à se branler. Passez-moi un responsable de l’ambassade, ne m’interrompez pas et écoutez bien ce que je vais dire et au besoin enregistrez la communication. Des hommes armés du groupe S.S. (Sénégal Solidarité) ont investi le « Lagon Beach » et ont pris en otage le personnel et 26 touristes dont 16 ressortissants français… »
Pendant que je parle au téléphone, mes deux collègues vous tiennent en respect avec leurs armes et demandent à votre mari de se dévêtir, de se mettre nu…S’il oppose une résistance, ou s’il ne veut pas, il reçoit un coup et l’un d’eux dit « tu préfères qu’on fasse du mal à ton épouse, connard ? On te dit de te mettre nu car il y a moins de chance qu’un homme nu se sauve…et ça nous gênerait que tu te sauves car c’est toi qui va parler avec l’ambassadeur … »
Moi au téléphone, je continue à parler : « Notre demande est simple. Le gouvernement français envoie, donne de l’argent depuis des années au Sénégal pour relever la situation économique de la population. Mais les sénégalais d’en bas, la plus grande majorité de la population pauvre, n’ont rien tout étant gardé par notre président dictateur. Nous demandons seulement que Paris fasse pression sur notre président pour qu’il démissionne. Nous vous rappellerons dans quatre heures. Nous pouvons tenir pendant 5 jours grâce aux provisions de l’hôtel mais il y aura des exécutions d’otage si cela n’avance pas. Dans 5 jours au plus tard, il faut que notre président soir parti ou que vous envoyez des forces spéciales pour nous tuer ou tuer notre président…A vous de voir avec Paris..Je vous passe M. PRIGENT David un ressortissant français avec lequel vous allez pouvoir discuter quelques instants et pour authentifier les propos de SS » « Tiens, toi qui a langue bien pendue, parle donc à l’ambassadeur : tu fais moins le fanfaron tout nu hein ? » et je lui donne le combiné. Il est debout, vous aussi et je fais le tour de la chambre ouvrant les tiroirs de la commode où je trouve vos sous vêtements féminins : je prends une culotte en vous regardant et la porte à mes lèvres et à mes joues, la frottant doucement tout en vous fixant le regard alors que votre mari parle au téléphone…Je prends un sg et je fais de même sur mes lèvres puis revient sur votre culotte sur mes lèvres l’embrassant. C’est une culotte propre, non usagée. Je m’approche de vous ayant gardé dans ma main le sg et la culotte, et, étant plus grand que vous je regarde dans l’encolure de votre robe ayant déjà remarqué l’absence de sg sur vous. Je murmure à votre oreille comme un secret, pour que votre mari n’entende pas : « Vous avez oublié cela dis-je en vous montrant le sg ou alors vous êtes une coquine pour allumer les hommes… »
Bon assez causé dis je en appuyant sur le contact du téléphone pour couper la communication. Un copain prend une chaise en bois de la chambre, la met dans la salle de bains et on fait asseoir monsieur sur la chaise après lui avoir lié les poignets dans le dos avec du ruban adhésif large. Du ruban est entouré à chaque cheville avec un pied de la chaise et l’abdomen est relié au dos de la chaise par du ruban également, c’est-à-dire qu’il ne peut plus bouger sans emporter la chaise : il ne peut que se renverser sur le sol toujours étant solidaire avec la chaise. Je luis fais ouvrir la bouche et mets dans celle-ci votre culotte pressée en boule avec du ruban tenant à ses joues. Un des collègues lui dit : « Ne t’en vas pas…On est à côté à surveiller ta femme et c’est le début de l’attente....On ne va pas l’attacher comme toi : on n’est pas salauds…A part si elle joue à la conne…». On tire la porte de la salle de bains la laissant juste entrouverte de 1 cm.
On vous fait allonger sur le dos sur le lit vêtue de vos vêtements décrits au début. Chacun de mes collègues s’assoit sur le bord du lit à hauteur de votre visage et chacun a son poignard à la main mettant la pointe du poignard de chaque coté de votre bouche c’est-à-dire que vous ne pouvez pas remuer le visage sinon vous vous piquez aux poignards. « Nous ne vous ferons aucun mal mme : si vous remuez c’est vous qui allez vous blesser dis’je. » De plus chaque collègue tient une de vos mains sur votre estomac pour immobiliser vos mains. Chacune de mes mains saisit une de vos chevilles sur les lacets des chaussures type sandales (huummm) et je remonte vos pieds à vos fesses, vos genoux se relevant, votre robe remontant et votre entrejambe apparaissant dévoilant votre slip brésilien blanc, vos cuisses, votre entrejambe. Huummm j’apprécie la vue et je m’allonge sur le ventre sur le lit enfouissant ma tête entre vos cuisses, mes lèvres venant déposer un baiser sur le pubis, sur le tissu de votre slip ; Mes mains tiennent solidement vos chevilles collées à vos fesses. Tout ce que vous pouvez faire c’est basculer de droite à gauche et de gauche a droite vos genoux mais cela sans grand effet. Là, je ne peux me mettre à votre place mais vos réactions devraient être : « S’il vous plait ne me faites pas du mal, je suis mariée, des pleurs, des réactions de votre bassin de haut en bas et de droite à gauche, peut-être « David au secours !!! , ne me violez pas, je vous donnerai tout ce que j’ai comme argent, salauds, etc… » Mes copains vous maintiennent fermement vos mains aux poignets les écrasants contre l’estomac pour vous immobiliser, pour vous faire mal et vous calmer ainsi de la sorte. Votre visage se pique aux poignards si vous le bougez. Avec mon poignard, je coupe le slip brésilien, qui ne cache pas grand-chose, dénudant vos hanches à merveille, à l’aine droite et ma langue va vous lécher le haut de vos grandes lèvres juste en dessous des poils taillés étroitement et en longueur au-dessus de votre fente. On se fout de vos réactions de ce que vous pouvez nous dire, nous insulter. Lentement mais surement la pointe de ma langue cherche à trouver les petites lèvres à vous exciter malgré votre refus, à trouver le clito. Imperturbable, vous êtes à notre merci : j’aime sentir ma langue sur les lèvres d’une femme, trouver son clito pour l’exciter et la sentir se détendre, se laisser aller, car aimant, approuvant ces caresses intimes. Je pense que c’est cela que vous devez ressentir au fur et à mesure de mes caresses avec la pointe de ma langue qui devient de plus en plus précise pour trouver votre clitoris car vos gémissements, cris n’ont aucun effet sur nous si ce n’est que d’affoler votre mari qui ne peut voir mais qui entend vos cris, gémissements, pleurs, etc. Moi et mes collègues on ressent et on voit que vous remuez moins que vous êtes de moins en moins crispée, que vous vous « abandonnez » à ce qui vous arrive, que vous devenez consentante parce que vous vous devenez excitée, oubliant que nous sommes des ravisseurs mais pensant seulement au bonheur ainsi procuré, au bonheur jamais obtenu de la sorte…
Vous ne voyez de mon visage que mon crane rasé, noir, lisse, qui s’affaire à votre intimité. Ma tête reste enfouie dans votre entrejambe, vous maintenant toujours les chevilles collées à vos fesses. Mes copains commencent à écarter la pointe des poignards de votre visage, à desserrer l’étreinte à vos poignets alors que vous vous laissez faire, que vous ne protestez plus et que votre visage devient de plus en plus rayonnant. J’ai trouvé le clito et je le branle le titille avec la pointe de ma langue : je cherche à vous exciter un maximum et pourquoi pas à vous faire avoir un orgasme si vous êtes clitoridienne. Dans vos chevilles, je ressens un abandon de votre corps et je comprends que vous aimez mais que vous ne pouvez pas le dire…Je lâche vos chevilles mais vous gardez les cuisses ouvertes et les genoux relevés afin que je puisse continuer à vous donner du plaisir intime, à branler votre clitoris avec ma langue.Dans la chambre, on entend plus aucun de bruit, aucun cris, aucun gémissements, aucune parole..Mes deux copains vous ont lâchée complètement, se mettent debout sans rien dire et se dévêtissent en vitesse : leurs queues apparaissent…Ils vous déboutonnent la robe : vous protester soit sans bruit, soit en disant à haute voix pour faire « voir », pour que votre mari entende que vous n’êtes pas d’accord : « Non laissez moi, je suis mariée, s’il vous plait…, n’allez pas plus loin… » Je ne dis pas que vous allez jouir par des cris mais je pense que si vous aimez ces caresses, vous retiendrez vos gémissements de plaisir pour ne pas que votre mari entende. Nous, on veut abuser de vous mais que vous soyez devenue consentante, appréciant les 3 mâles que nous sommes en lieu et place de vote mari seul, qui ne vous donne du plaisir que par la routine : toujours la même position au lit, les mêmes préliminaires,…la routine…Vous voulez voir, gouter à autre chose : c’est là dans des circonstances peu ordinaires, un fantasme qui deviendrait réalité…huuummmm.
Mes copains vous embrassent dans le cou, la nuque, y déposant de nombreux petits baisers vous léchant parfois la peau avec la pointe de leur langue, pelotant vos seins, les bouffant, les tétant chacun le sien, chaque pote étant de chaque côté de vous, vous empêchant également de fuir si l’envie vous en prenait…L’un murmure à votre oreille : « Votre peau est douce, sucrée, Mme : vous me rendez fou.. » L’autre murmure à l’autre oreille : «Tu apprécies hein beauté ? » ; J’ignore si vous refermez sur mon visage vos cuisses, mais ma tête quitte votre entrejambe me redressant en partie. Chaque pote prend une de vos mains et la pose sur leur sexe pour se caresser Vous comprenez qu’ils veulent que vous les masturbiez. Moi, je m’assieds sur le bord du lit à votre coté droit et la paume de ma main droite est posée sur votre pubis : mon majeur vous pénètre et je vous branle avec ce doigt, d’abord doucement, puis de plus en plus fort le recourbant à l’intérieur comme pour aller toucher le clito en appuyant plus ou moins fortement sur votre bas du pubis avec la paume de ma main selon vos réactions du corps : en effet, vous êtes sur le chemin d’un orgasme et c’est ce que je veux que vous ayez… Je reste très attentif à vos réactions du corps, de votre visage, si vous vous mordez les lèvres, le mouvement de vos jambes…Je regarde votre main gauche et je vois l’alliance à l’annulaire et une bague à l’index remuant la queue de mon pote : j’aime voir la main d’une femme mariée caresser, branler une queue d’un pote ou la mienne. Je trouve cela excitant et vos mains sont très belle peut être du fait de la forme des ongles coupés assez courts et luisant d’un vernis incolore. Je sens que vous vous crispez : je vous branle plus fort mon majeur appuyant à l’intérieur de votre vagin vers le clito vous branlant en appuyant fortement avec la paume de ma main sur la partie supérieure des grandes lèvres. Je sens que vous allez jouir. Les copains le ressentent aussi à vous voir : l’un se penche a votre oreille et murmure : « ne faites pas de bruit pour votre mari…». Je vous branle très fort pour que vous ayez votre orgasme. Mon majeur remue en vous fortement pressant du bout du doigt la paroi du vagin que je gratte comme pour faire un trou pour rejoindre le clito…Vous seule savez comment ça se passe en vous à savoir vos réactions, si vous criez, si vous vous retenez de crier, en vous contorsionnant, vous mordant les lèvres...Je continue à remuer mon majeur. Vous vous crispez de plus en plus et soudainement vous vous mordez les lèvres fortement, votre bassin remue, a des soubresauts, je continue à vous branler fortement avec mon majeur ressentant que votre jouissance est là perceptible, présente, que votre vagin est inondé. Puis vous enserrez vos cuisses sur ma main l’empêchant de remuer, mon majeur restant en vous…Nous vous contemplons, mes collègues vous caressent avec leurs mains votre cou, vos épaules, vos bras, vos seins ; moi c’est le ventre et les cuisses que je caresse avec ma main gauche comme pour vous remercier de ce que vous nous avez apporté comme satisfaction alors que moi et mes potes n’avons pas joui, pas encore du moins…Nos trois bouches déposent des baisers sur votre corps, le visage, le cou, les épaules, les seins, moi les cuisses, jambes, ventre, vous remerciant de ce que vous nous avez apporté comme bonheur...
J’ignore si vous avez crié mais j’en doute, vous ayant vu mordre vos lèvres pour ne faire échapper aucun son pour que votre mari ne sache pas ce qui se passe entre vous et nous. Vous lâchez l’étreinte de vos cuisses sur ma main que je retire doucement. Un de mes collègues vous murmure à l’oreille de vous mettre à 4 pattes sur le lit en travers, l’autre vous ôtant la robe. Celui qui vous dit de vous mettre à 4 pattes vient derrière vous et sa queue en érection, il l’enfonce en vous, remuant dans votre vagin inondé. Je me présente debout devant vous ma queue en érection, écartant mes jambes pour diminuer ma hauteur et mes mains vous tiennent la tête vous forçant à me sucer la queue. Vous êtes à quatre pattes sur le lit reposant sur vos genoux et tibias allongés et sur vos mains, bras tendus : vos seins pendent et mon collègue qui remue en vous, fait en sorte de suivre le mouvement des seins qui se balancent d’avant en arrière, calquant son va et vient sur le mouvement de vos seins. Mon troisième collègue vous embrasse dans le dos, la nuque vous pelote les seins qui pendent, les malaxe, les pétrit en restant à l’écoute de vos réactions du corps… Vicieux, il murmure à votre oreille : « Tu vois que c’est meilleur qu’avec ton mari chérie…J’espère que tu prends la pilule pour ne pas être enceinte beauté…».
On entend votre mari qui remue sur sa chaise dont les pieds en bois crissent sur le carrelage : il doit trouver le temps long tout seul, peut-être que les liens sont trop serrés, peut être fait-il exprès de faire du bruit pour qu’on aille le voir ? On sait qu’il ne peut pas s’enfuir et nous sommes agréablement installés à recevoir et donner du plaisir qu’on ne s’inquiète pas pour lui…Je maintiens votre tête fermement et je remue mon sexe dans votre bouche à ma convenance. Mon collègue qui est en vous se retire et vient prendre ma place, celui qui vous embrassait, vous caressait, va mette sa queue en vous. Vous ne voulez pas sucer la queue de mon pote qui a votre jus mais il vous force, relevant la tête en l’air par la chevelure, vous faisant mal au cou et mettant sa queue sur vos lèvres, la frottant comme pour vous dire « c’est ton jus chérie, ce n’est pas dégueulasse ». Bon gré, mal gré, vous ouvrez la bouche et il enfonce son sexe mouillé de votre jus dans votre bouche. Si vous le sucez il se laisse faire sinon il vous tient la tête et il remue dans votre bouche…Quant à moi, je vous embrasse dans la nuque déposant de nombreux baisers à la naissance de vos cheveux, vous léchant parfois la peau et murmurant à votre oreille : « votre peau est douce, sucrée, mme : vous nous rendez fou.. ». Je vous embrasse derrière votre épaule droite, déplaçant ma bouche pour aller vous embrasser à votre aisselle vu que vous êtes toujours à 4 pattes, vos bras tendus mains appuyées sur le lit…Je déplace ma bouche sans la retirer de votre corps c’est-à-dire que mes lèvres effleurent constamment votre peau lorsque je ne vous embrasse pas. Vous sentez le souffle chaud de ma respiration sur votre peau et vous ressentez cette respiration forte étant excité par votre corps, vous-même et l’ambiance feutrée dans laquelle se déroule cette situation. Mes lèvres vont vous embrasser à l’aisselle droite (poilue, épilée, rasée ?). Je sorts ma langue et vous lèche doucement dans ce creux puis mes lèvres vont descendre à l’intérieur de votre biceps droit. J’aime effleurer la peau d’une femme à ces endroits en l’absence d’odeur de transpiration : ce sont des zones sensibles pour les femmes qui sont le plus souvent oubliées d’être embrassées par les hommes amoureux…Vous ne pouvez pas me dire que vous êtes sensible à cela car mon copain remue son sexe dans votre bouche, mais je le sais et le fait agréablement, gentiment ce qui est en contraste avec le fait d’avoir une bite dans le vagin et une autre dans la bouche par des mecs qui ne veulent assouvir que leur désir d’homme. Puis tout à coup, celui qui est derrière vous et qui se tient à votre taille par ses mains se mord les lèvres et a un son rauque : il remue fortement en vous, vous tirant à lui et vous repoussant avec ses mains placées à votre taille : du contact bref entre votre croupe et son pubis et ses cuisses, se dégagent des claquements. C’est l’effet de la montée de la jouissance qui fait qu’il crie pour s’extérioriser au lieu de crier son plaisir naturellement pour masquer la jouissance à votre mari. Le second copain que vous sucez ou qui remue dans votre bouche son sexe, a compris l’astuce et il se met à crier de même pour masquer les claquements car il vous tire fort à lui et vous repousse à toute vitesse ignorant si vous avez du plaisir ou non…Il ne peut plus se contrôler c’est trop tard : il est crispé : seul ses bras remuent alors que ses mains sont crispées de part et d’autre de votre taille, vous tire à lui et vous repousse, mouvements accentués par son bassin qui remue aussi à toute vitesse. La sensation est trop forte et il est arrivé à un point où il ne peux plus s’empêcher de ne pas jouir. Il jouit en vous avec des cris, des râles « aaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh » qu’il ne peut maîtriser, mesurer. Celui devant vous se mord les lèvres également car il est arrivé à son paroxysme et ne sait plus se contrôler : vous avez juste le temps de quitter son sexe que vous recevez sa semence sur votre visage alors qu’il tient fermement dans sa main sa queue qu’il branle tout en dirigeant les deux jets sur votre visage….. ». « J’espère qu’avec moi vous allez jouir murmurais-je à votre oreille » avant de me lever et d’aller prendre la place de celui qui était derrière vous. Je mets ma queue en érection en vous excité d’avoir vu mes copains vous saillir ensemble et d’avoir vu leur jouissance en même temps. Mes mains prennent place à votre taille de part et d’autre de votre ventre : je remue en vous facilement : vous êtes trempée mon copain ayant joui en vous. Mes copains se sont tus : il y a un calme, un repos dans la chambre comme après une tempête. Alors que je remue en vous lentement pour bien vous faire sentir la longueur de ma queue, soudain je vous pénètre vigoureusement d’un coup de reins violent : mon gland heurte le col de l’utérus et je reste en vous immobile 4 à 5 secondes, mon gland restant collé au fond puis je retire mon gland de 5 cm environ et d’un coup de reins brutal vous heurte à nouveau le col de l’utérus : je vous baise de cette façon car j’aime cette façon de faire, de faire sentir et de donner du plaisir aux femmes qui d’ailleurs ne le refusent pas, au contraire : à chaque contact violent entre le gland et le col, c’est un gémissement ou un cri de bonheur ou de bonheur-douleur qui sort de votre bouche et dont les copains regardent votre attitude…Les copains voient que vous criez ou que vous mordez vos lèvres à chaque fois que je vous pénètre par un violent coup de reins et qu’après ce cri suit un silence alors que je reste en vous collé à vote col, me dégageant à nouveau de 5 cm environ pendant 4 à 5 secondes, suivi d’un nouveau coup de reins violent. Nous nous prenons au jeu et je vous donne les coups de reins les plus violents que je peux vous donner étant excité par la situation particulière dans laquelle nous sommes. Puis ma main droite lâche votre taille, passe sous votre ventre et mon majeur droit va titiller votre clito pour vous exciter continuellement et faire monter en vous l’orgasme que j’attends. Voyant que vous devenez plus excitée, je remue normalement en vous sans m’arrêter. Je sens monter en moi la jouissance et comme mon copain tout à l’heure, je mords mes lèvres. Je suis complètement tétanisé. Seul mon bassin que je ne contrôle plus remue à toute vitesse mes deux mains crispées à votre taille, ayant abandonné votre clitoris et repris ma main pour vous serrer la taille de part et d’autre. Mon bassin va et vient à toute vitesse ma queue en vous : je ne commande plus rien puis c’est la jouissance pour moi me mordant les lèvres pour ne pas crier. Mes deux copains nous regardent en caressant leur sexe en le promenant sur votre visage, cheveux, toucher votre peau. J’ai chaud : de la sueur perle de mon front ; ma respiration est forte et accélérée. En ce qui vous concerne, je ne sais pas si vous avez eu un orgasme car cela a été très fort pour moi. Je m’arc-boute sur vous, ma queue en vous, déposant amoureusement de petits baisers dans votre dos comme pour vous remercier de la satisfaction que vous m’avez fait avoir… Vous sentez ma respiration forte dans votre dos, sur votre peau, la respiration se régularisant petit à petit.
Voici le déroulement imaginaire de ce premier jour de rébellion. Toute relation entre des personnes existantes, ayant existé ou les lieux, ne saurait être que pure coïncidence fortuite.
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