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Recalée de Parcoursup

Chapitre 1

Vous êtes-vous déjà demandé ce qui arrive à celles qui ne reçoivent aucune affectation ?

Trash
11 Mars 2019
« Tu as fait tes vœux pour l’année prochaine ?— Oui.— Moi j’hésite. À partir du cinquième souhait, je ne sais plus quoi mettre.— J’ai pas ce problème, j’ai fait un vœu unique.— Un seul vœu ?— Oui.— Mais après, tu vas en mettre d’autres ?— Non.— T’es folle ! Et si t’es refusée ? Ah non, je suis bête, t’as choisi une filière non sélective...— Pas du tout, math et physique appliqués, il n’y a que trente places à Paris.— Trente ! Mais t’es complètement tarée ! T’es douée, mais pas à ce point, tu vas te faire recaler.— Je sais.— Je comprends pas...— Je t’explique, on ne peut pas être vraiment recalée de Parcoursup, ils sont forcés de proposer quelque chose.— T’es sûre ?— Oui, déjà parce que tout le monde a droit à une éducation supérieure, c’est la loi. Et ensuite, imagine que des élèves se retrouvent avec nulle part où aller... ça la foutrait mal pour le gouvernement.— Mais même s’ils te proposent quelque chose, tu peux pas savoir ce que ça sera... ça n’aura peut-être rien à voir avec ce que tu veux !— T’es bête, c’est facile de manipuler le système. Il y a un algorithme qui étudie nos choix. En fonction de ce que tu demandes, il proposera ce qu’il y a de plus adapté pour toi. Comme j’ai mis qu’un seul choix, il me proposera forcément mathématique et physique appliqués.— Mais... Si c’est sélectif, il n’y aura plus de place pour toi...— Bien sûr que si... t’est vraiment naïve, il y a toujours des places supplémentaires de disponibles. S’ils disent que la filière à trente places, en réalité il y en a trente-cinq. Ils gardent toujours quelques créneaux de libres au cas où... Ils ne veulent pas prendre de risques.— Je sais pas... ça me semble sacrément risqué.— Pas du tout. Quand tu connais la façon dont marche le système, que tu as étudié les algos, il n’y a rien de plus simple que de jouer avec. »

Le 15 mai 2019
Lorsque le site web de Parcoursup se mit à jour pour annoncer les acceptations et les refus, je ne fus pas surprise de me retrouver dans la seconde catégorie. J’étais 207ème et je savais que jamais les 177 places précédentes ne se libéreraient. Math et physique appliqués était un premier choix pour les étudiants, une filière d’exception disposant d’un matos de dingue. Si la 31ème personne finissait par passer 30ème ce serait déjà un miracle.
Mais j’étais confiante en ma logique, il n’y avait aucune faille ; j’avais étudié le cas de plusieurs personnes recalées l’année dernière et j’étais sûre de moi, je ne pouvais pas me tromper quant à mon futur.
Au cours des mois suivants, je passais le Bac haut la main (non que ça veuille dire quoi que ce soit de nos jours) et je patientais. Ce n’était pas une situation confortable d’être recalée, et je commençais à éprouver une certaine inquiétude. En août, des doutes commencèrent à émerger dans mon esprit, aurais-je pu faire une erreur quelque part ? Mes parents ne comprenaient pas mon choix d’un seul vœu, et c’était pénible de me justifier en expliquant que je ne voulais que ça.
Ils insistaient pour dire qu’il y avait plein d’autres filières intéressantes, qu’une fille intelligente comme moi n’aurait aucun mal à intégrer. J’avais beau dire qu’ils se faisaient du souci pour rien, que j’allais intégrer math et physique appliqué, je sentais qu’ils doutaient de mon bon sens.
À dire vrai, je commençais à me ronger les ongles. Quand je me regardais dans le miroir, j’avais une sale tête. Alors d’accord, j’étais toujours une jeune fille blonde magnifique avec des seins que les garçons ne pouvaient s’empêcher de fixer. Mais mon visage commençait à avoir des cernes provoqués par des nuits sans sommeil.

Ce fut le 13 septembre qu’arriva ma délivrance. Je reçus un mail, j’étais acceptée en Math et physique ! Ce n’était pas à Paris, mais à Limoges, une nouvelle université ouvrait là-bas avec cette filière. Bon, ce n’était pas l’endroit que je voulais, mais après des mois d’inquiétude, je n’allais pas faire la fine bouche. Je me sentais submergée par une vague de soulagement. Ce soir-là, je fis une fête de tous les diables chez des amies. Je les sentais jalouses pour avoir eu ce que je voulais, et ce n’était pas pour me déplaire.
La page web sur cette filière était succincte, je n’arrivais pas à trouver de renseignements sur les enseignants ou le matériel disponible dans cette Fac. Par contre, l’université m’informa que j’avais droit à un logement universitaire en CROUS, et cela m’arrangeait bien, je n’avais plus trop le temps de me mettre à chercher un appartement privé à louer. Je partais une semaine plus tard avec toutes mes affaires. Mes parents, fiers de moi, m’aidèrent à emménager. Je leur souhaitais un bon retour, je ne prévoyais de les revoir qu’aux prochaines vacances.
Comme j’étais une des dernières à arriver à l’université, on m’expliqua que les démarches administratives se feraient en même temps que les premiers cours. Je découvris donc l’univers de la fac en y allant pour mes premières leçons. Elle était plutôt petite, même pour une université de province. Elle ne devait pouvoir contenir que cinq cents étudiants à tout casser.
Le premier cours était un cours d’initiations, tous les étudiants en avaient un. Nous allions rencontrer notre professeur principal, on était divisé en groupe de dix. Bizarrement en parlant avec les neuf autres étudiantes qui étaient avec moi, je me rendis compte qu’aucune ne faisait math et physique appliqués. L’une faisait droit, une autre journalisme, une autre macroéconomie... je trouvais curieux qu’une aussi petite fac propose autant de matières.
Arriver devant la salle, le professeur nous expliqua que nous aurions chacune un entretien individuel. Comme je m’appelle Jessica Worsy, j’étais la dernière à passer. Autre étrangeté, lorsqu’une étudiante entrait, elle ne ressortait pas. Quand ce fut mon tour, je m’attendais à les voir dans la salle de cours, mais non... il n’y avait que le prof. Il y avait bien une porte arrière pour sortir par une autre salle, mais je ne comprenais pas l’utilité d’un tel manège. En tout cas, le prof était bien habillé et semblait sympathique, c’était un de ces gros bonshommes souriants qui inspirent confiance.
« Bonjour Professeur.— Bonjour Jessica, assis toi sur cette chaise. »
Ce que je fis.
« Je m’appelle Thomas Guirinau. Je serais ton prof principal, as-tu des questions concernant cette fac ?— Oh oui, plein ! Le site web est encore en travaux, du coup je ne sais pas grand-chose. Vous avez un collideur à particule simple par exemple ?— Un quoi ? »
J’étais surprise, ce genre de matériel coûtait des centaines de milliers d’euros et occupait pas mal d’espace, c’était difficile à ignorer.— Un C. P. S. quoi. Ou bien vous avez un G. P. U. C. ?— Non, je crois qu’on n’a rien de tout ça. Mais maintenant, c’est moi qui vais te poser une question Jessica.— Oui ?— tu croyais pouvoir baiser le système ?— pardon ? »
J’étais stupéfaite, autant par le ton dur qu’il avait pris que par le langage employé.
« Tu n’as fait qu’un seul vœu, tu voulais baiser le système.— Mais non. C’est juste que... euh... c’était la seule filière qui m’intéressait.— Tu vas vite apprendre qu’ici il vaut mieux éviter de prendre ses profs pour des cons. Parce qu’en fait, on ne baise jamais le système, c’est lui qui te baise. Ça va être ta première leçon.— Je crois que... vous êtes qui ?— Ton prof principal et de langue.— Je fais des maths moi, pas linguistique. Je crois que vous vous êtes trompé d’élève.— Oh non, je sais qui tu es Jessica... Et ici, il n’y a cours ni de math ni de linguistique. Cet établissement a été crée pour les recalées de Parcoursup. Celles qui sont trop idiotes pour décrocher quoi que ce soit, et celles qui sont trop malignes et cherchent à abuser du système comme toi.— Je ne comprends pas...— C’est une université pour vous apprendre à être des putes. Il y en a qui ne seront pas douées et qui feront le trottoir devant les prisons... et d’autres qui deviendront call-girls de luxe. Toi, je crois que tu as du potentiel, tu pourras peut-être faire de la vidéo porno.— Vous êtes fou...— Tu vas apprendre à tailler des pipes en enfonçant une bite profondément dans ta gorge. Tu vas apprendre à simuler des orgasmes, tu vas apprendre à parler comme une vraie salope en chaleur. Ça, c’est moi qui vais te l’apprendre.— Ça suffit, je me casse. Je vais voir le directeur pour que vous soyez viré. Je ne sais pas à quel jeu pervers vous jouer, mais ça n’a rien de drôle. »
Je me levais de ma chaise et je sentis le sol se dérober sous mes pieds. Il y avait une foutue trappe dans la salle de classe. Dans quel genre d’université étais-je tombé ?! Heureusement, je ne tombais pas sur un sol dur, mais dans une pièce toute blanche et capitonnée comme dans un asile de fou. Je tombais sur mes fesses au moment où la porte de la cellule se refermait. J’eus le temps de voir l’étudiante précédente être emmenée, je me relevais et me précipitais pour forcer la porte, mais elle avait été fermée à clef. J’étais coincée ! Je fis le tour de la cellule, cela me prit dix secondes... Elle faisait trois mètres carrés de superficie, avec juste un lit miteux et un trou servant de WC. Je me mis à hurler à l’aide, et comme personne ne venait je me mis à vociférer des insultes :
« Salauds ! Je vous ferais mettre en prison ! Connards ! Enfoirés ! Libérez-moi ! »
Tout ça sans le moindre résultat. Au bout d’une heure, j’avais la gorge sèche et finissais par me taire. Au bout de quatre d’heure d’enfermement, j’entendis un clic ; comme quelque chose qui se déverrouillait. Je surveillais la porte prête à foncer dessus, mais ce fut un petit panneau inférieur qui s’ouvrit par lequel fut glissé un plateau avec une miche de pain et une bouteille d’eau en plastique. Je bus l’eau, mais laissais le pain. Je ne voulais pas entrer dans leur jeu, ils seraient forcés de me faire sortir d’ici si je refusais de me nourrir...
Deux heures plus tard, la porte s’ouvrit enfin, je me jetais dans l’ouverture, espérant m’enfuir, mais trois hommes imposants en costume cravate m’en empêchèrent. Ils formaient comme une muraille devant moi. L’un d’eux demanda :
« Alors tu as fini ta crise ?— Ma crise !?— Tu vas te comporter comme une bonne élève ?— Une ÉLÈVE ?! Vous voulez dire, comme une PUTE ! Jamais !— Très bien... »
Un des hommes sortit un ciseau, les deux autres me maintenaient immobile alors que je me déchaînais pour les faire lâcher prise. Je vis mes boutons de mon chemisier sauter les uns après les autres dévoilant progressivement ma poitrine, il coupa la ceinture de ma jupe. Je me retrouvais en sous-vêtement devant ces trois ignobles individus. Mais ils voulaient me mettre complètement à poil, ma culotte et mon soutien-gorge furent aussi sectionnés et tombèrent à terre. Tous mes habits étaient ruinés, déchirés, et moi j’étais nue, avec seulement mes chaussettes qui furent rapidement retirées à la main. Et je ne fus bientôt même plus maîtresse de mes gestes, un des hommes passa derrière mon dos, il me saisit les poignets et des anneaux métalliques se referment sur moi. J’étais menottée. Ce n’était pas tout, un autre anneau fut fixé à mon cou. Un collier auquel était fixée une chaîne en métal. Profitant de ma dernière liberté, j’ouvris la bouche pour m’indigner : « Qu’est-ce que vous faites ?! Vous ne pouvez pas faire ça, j’ai des droits ! »
Ils ne répondirent pas, et ce fut les dernières paroles que je prononçais avant qu’ils ne me fourrent un gag-boule dans la bouche. J’étais paniquée, j’ignorant totalement ce qu’ils comptaient faire de moi. Ils tirèrent sur la chaîne pour me faire avancer, comme si c’était une laisse et que j’étais une chienne. J’essayais de résister, bien que tous mes efforts soient vains. Ma force était dérisoire face à ces types, mais je ne comptais pas abandonner le combat sans lutter. Je freinais des quatre fers, je me sentis traînée par terre, et cela sans qu’ils ne versent la moindre goutte de sueur. Autour de moi, le couloir contenait d’autres cellules, sans doute avec d’autres étudiantes emprisonnées derrière. On monta les escaliers pour arriver au rez-de-chaussée, des étudiantes déambulaient dans le couloir, se rendant à leurs cours ou se contentant de papoter. Et moi, j’avançais nue et en laisse parmi eux, la plupart me regardaient avec des yeux écarquillés, on me montrait du doigt, on riait, mais personne ne me venait en aide. J’étais humiliée aux yeux de tous. Je criais dans mon gag « Au secours ! » peut-être ignoraient-ils qu’on me faisait parader ainsi contre ma volonté, mais il était impossible de me faire entendre. Je remarquais que les étudiantes avaient elles aussi des colliers, et qu’en fait il n’y avait presque que des étudiantes, aucun mâle à l’horizon... Après m’avoir tirée pendant dix minutes on arriva à une salle de cours, sur la porte était fixé un écriteau indiquant : « BDSM – cours débutant » on me fit entrer dans la salle alors qu’un cours avait déjà commencé.
Le professeur expliquait quelque chose à propos de bougies, moi pendant ce temps j’étais installé sur le bureau, chacun de mes membres à un coin où des attaches étaient spécialement prévues pour me retenir prisonnière. Au-dessus de moi, le prof discourait :
« Avec un cierge de type M, comme on en trouve en église, la durée moyenne de consomption est d’une heure. Si vous l’utilisez dans le cadre d’une pratique BDSM il faut diviser ce temps par trois, car plus vous penchez la bougie, plus la cire fondra rapidement. Et attention, si vous inclinez trop la bougie, à plus de 160° alors elle risque de s’éteindre. Maintenant, le plus important est dans le mouvement... »
Pendant qu’il dissertait, je pouvais voir les étudiants et étudiantes prendre des notes comme s’il s’agissait d’un cours normal. Je rugissais sous mon gag... en vain.
Le professeur prit la bougie et retira mon gag. Immédiatement, je braillais : « Relâchez-moi ! vous n’avez pas le droit de faire ça ! Je suis ici contre ma volonté ! »
Le prof se pencha sur moi et répondit froidement : « Si tu parles encore une fois sans y être invitée, je te brûle la chatte avec cette bougie. »
Il n’avait pas l’air de blaguer, je me taisais. Lui reprit son exposé :
« Dans une pratique sado-maso, il est important de connaître les limites de votre partenaire. Cela peut se faire par des safewords, mais son usage doit rester exceptionnel, il est plus important de reconnaître les signaux verbaux et non-verbaux. Cela dévoile bien plus exactement l’état d’esprit de la soumise et permet de savoir ce qui plaît ou ne plaît pas. »
Il se mit alors à verser de la cire de sa bougie allumée sur mon ventre, je criais : « Aaaiiee ! »
« Vous entendez ce cri ? Ça, ce n’est pas un vrai cri de douleur. »
Il se mit alors à verser la cire sur mes tétons, cette fois je hurlais : « AAAAAAAHHHH !!!! »
« Voilà qui est de la vraie douleur, il va vous falloir discerner le nombre de décibels produit ainsi que le ton employé dans le cri. Vous devrez aussi apprendre les emplacements sensibles, et à quelles fréquences alterner entre douleur forte et douleur faible. Aujourd’hui pour mon cours préliminaire, je ferais un tour d’horizon de ces pratiques. Vous aurez l’occasion de vous exercer sur des modèles, comme cette étudiante, lors de T. D.
Une fois que nous aurons vu la cire, nous passerons à la fessée. Celle faite à la main, celle avec une règle ou une spatule et enfin celle avec un fouet. Je vous apprendrais comment faire mal et obtenir des fesses bien rouges, mais non sanglantes. Un cul qui saigne n’est pas sexy. »
Les deux heures qui suivirent furent horribles. Je servais de modèle de démonstrations à des pratiques barbares sous les yeux d’étudiantes de mon âge. Au départ, je me sentais humiliée, mais rapidement ce sentiment s’évanouit et je n’aspirais plus qu’à la fin de cette séance d’infâme torture.
Quand ce fut le cas et que j’entendis la sonnerie de fin de cours, les deux des hommes qui m’avaient amené furent de retour. Ils me tirèrent par la laisse jusqu’à une cellule capitonnée. Aussi étrange que ça paraisse, je fus contente d’y retourner. Au moins, là, j’étais à l’abri des profs sadiques.
Mais ce repos fut de courte durée. Une heure s’était à peine écoulée que la porte s’ouvrait de nouveau sur les trois malabars. Sachant le sort qui m’attendait, je suppliais :
« Non ! Par pitié, j’ai trop mal, je veux pas y retourner.— T’inquiète, t’auras pas mal cette fois.— C’est vrai ?— Bien sûr, tu dois servir de modèle pour le cours de scatologie et urologie.— Nooon !!! Pas ça !— Alors tu veux devenir une élève ?— Oui !! »
C’est ainsi que je devenais une élève de cette fac pour pute. Une nouvelle venue parmi les autres recalées de Parcoursup. Les petites malignes, comme moi, ayant voulu gruger le système étaient rares. La plupart des futures putes étaient des débilos rejetées par toutes les formations où elles avaient candidaté. Lorsqu’elles avaient reçu en septembre une proposition bien supérieure à ce qu’elles étaient en droit d’attendre, elles avaient sauté sur l’occasion sans se poser de questions.
Les colliers étaient équipés d’un capteur GPS, pour que les membres de la faculté puissent savoir à tout moment où nous nous trouvions, ainsi que d’un chokeur. Si on cherchait à quitter le périmètre de l’université, une puce envoyant une décharge de 400 joules nous terrassait. Nous ne pouvions donc plus retourner à notre logement universitaire, à la place il y avait de grands dortoirs avec des lits superposés, une cinquantaine d’élèves pouvaient y dormir par salle.
La faculté disposait d’un règlement intérieur assez simple, en cas de rébellion ou de mauvais comportement l’étudiante était utilisée comme modèle (c’est-à-dire pour faire la démonstration des dangers de, par exemple, enfoncer un gode de 30 centimètres dans le cul sans préparation.) Pire encore, l’élève punie perdait 1 point sur sa moyenne.
On nous expliqua le programme que nous allions suivre. Le premier semestre servirait de tronc commun à toutes les élèves on y apprendrait les bases pour devenir une pute fonctionnelle :

I) 1er trou : la bouche
A) 20 heures de théorie sur la pipe. Comment lécher des glands, comment bien saliver, comment émettre des bruits de succion convaincant et excitant.
B) 20 heures de formations à la gorge profonde. L’élève passe le cours avec un gode qu’elle doit enfoncer dans sa gorge. D’abord un gode de dix centimètres. Une fois cette étape franchit, on lui fournit un gode de quinze centimètres... ainsi de suite jusqu’à une taille maximale de quarante centimètres. L’élève est libre de progresser à son rythme, et un gode peut-être fourni pour celles souhaitant étudier hors cours.
C) Roulage de pelle : 10 heures.
Savoir utiliser sa langue au mieux, et jouer avec la langue de l’autre. Les étudiantes sont encouragées à s’exercer entre elles hors cours.
D) Bukkake : 5 heures.
Apprendre à avaler le sperme, même en grande quantité. Pour les exercices, du sperme de cheval est utilisé (moins cher et plus facilement disponible)

II) 2ème trou : la chatte
A) Gymnastique : 10 heures.
Débutant : placer ses jambes par-dessus ses bras.
Intermédiaire : placer ses jambes au-dessus de sa tête
Avancé : Le pont ; avoir la tête en bas, entre les jambes.
L’élève doit parvenir à tenir ces positions tout en se faisant baiser et en suçant une queue.
B) Biologie : 10 heures.
L’élève doit connaître toutes les zones érogènes du corps. Elle doit être capable de les toucher et de parvenir à déclencher le plaisir chez son partenaire. Études à faire sur le corps des hommes et des femmes (les étudiantes sont laissées libres de pratiquer ces exercices avec une partenaire dans leur dortoir.)

III) 3ème trou : le cul
A) Anal : 15 heures
Utilisation de boules de geisha, et de godes de plus en plus gros et long. La notation finale se fera en fonction de la quantité qui sera enfoncée dans le cul de l’élève, mais aussi de sa réaction. Elle n’aura la moyenne que si elle est capable de montrer du plaisir et non de la douleur en se faisant enfoncer un énorme gode dans le fion.

IV) Divers
A) BDSM : 15 heures
Formation basique sur le sado-masochisme. Utilisation de la cire, de la fessée. La moitié des heures doit être passée comme sujet d’expérience pour les autres élèves.
C) Lesbianisme : 20 heures.
Apprendre à bien lécher, à caresser des seins et à mordiller un clito. Apprendre à mouiller quand il le faut.
D) Masturbation : 10 heures
Comment se toucher en ayant l’air sensuel et donner envie aux autres, rien qu’en ayant l’air de prendre son pied avec ses mains.

4) Apparence
A) Langage : 15 heures.
Apprendre à parler comme une pute, utiliser les termes adéquats au bon moment. Savoir comment vendre son corps et se désigner en tant que salope bouffeuse de queue. Savoir utiliser un langage soutenu quand il s’agit de se faire passer pour une poule de luxe.
B) Strip-tease : 10 heures.
Les trois premières heures serviront à enseigner la manière de retirer ses vêtements langoureusement. Les sept suivantes pour faire de même, mais avec de la musique et en dansant.
C) Apparance vestimentaire : 15 heures
Comment et quand s’habiller sexy ou vulgaire. Comment faire savoir à un client que l’on est une pute au premier coup d’œil. Dans la vie courante, quel vêtement choisir pour avoir l’air classe tout en ne laissant pas de doute que sous ces habits se cache une cochonne en chaleur ?
D) Épilation : 5 heures.
Quelle épilation pour avoir une chatte qui donne la trique ? Du ticket de métro, à la chatte toute lisse, inventaire des choix.
E) Maquillage : 10 heures.
Maquiller comme une voiture volée. Plus facile à dire qu’à faire...

À la fin du semestre, nous avions bien sûr des partiels notés et toutes les matières n’avaient pas le même poids. Par exemple, réussir à faire une bonne pipe était capital. L’épreuve était divisée en deux parties, chacune avec un coefficient de 10. La première partie consistait à parvenir à effectuer une gorge profonde avec un gode... Une copine se mit à vomir après avoir mis dans sa bouche un gode de seulement vingt centimètres, elle eut droit à un 0 pointé. Cette nuit-là, elle pleura dans mes bras en craignant d’avoir une moyenne inférieure à 4.
Pour la deuxième partie de l’épreuve, nous devions prodiguer une pipe sur un professeur pendant deux minutes. La note était laissée à son appréciation. Mais il était de notoriété publique que si l’on parvenait à le faire jouir, on pouvait être sûr d’avoir au moins un 18.
Cependant une des filles était tellement contente d’être parvenue à le faire gicler que, pressée de fêter son succès, elle avait recraché le foutre. Cette idiote aurait de la chance si elle avait plus de cinq. Avaler le sperme, c’était vraiment une des bases du métier...
Vu que d’autres épreuves, comme celle d’avoir une épilation impeccable n’avait qu’un coef de 2, mieux valait ne pas se rater sur ce genre de partiel !
Pour le second semestre, tout dépendait de la moyenne obtenue. Au-dessus de 16, on suivait des cours pour devenir escort-girl. Entre 12 et 16, nous avions le droit de suivre une formation de pornstar. De 8 à 12, c’était le plus basique, des cours pour être pute. De 4 à 8, on devait aller en cours pour devenir pornstar de vidéo fétichiste. Quant à celles qui avaient moins de 4, elles devenaient des « trous à foutre ».

Pour être escorte-girl, les cours comprenaient :
100 heures de langues, pour apprendre trois langues (l’apprentissage du russe étant obligatoire.) Cela devait permettre d’obtenir un niveau suffisant pour savoir quand un oligarque vous demande de le sucer.
10 heures de connaissance du luxe : comment reconnaître un bijou vulgaire et en toc, d’un vrai diamant.
8 heures sur l’alimentation : connaître les régimes pour garder une taille fine. Et bien sûr, apprentissage des différentes méthodes pour se faire vomir.
5 heures d’opération de chirurgie esthétique : obligation de se faire opérer du visage, des seins, et des fesses pour rentrer dans les canons de beauté attendue d’une escorte. (Opération qui devra être remboursée à l’université.)
20 heures de gymnastique : perfectionnement des techniques du Kâma-Sûtra.
15 heures d’études sur les positions sexuelles : quel technique est apprécié par qui.
200 heures d’exercices pratiques : baiser et se faire baiser jusqu’à obtenir un niveau suffisant pour être considéré comme un super coup.
20 heures de pratique de l’orgie : comment avoir des relations avec plusieurs hommes à la fois sans un laisser un seul insatisfait. Et aussi comment exciter un homme en pratiquant le lesbianisme avec une autre call-girl.
10 heures de familiarisation des lieux de luxe : comment fonctionne un yacht, un hôtel quatre étoiles...

Pour être pornstar, les cours comprenaient :
200 heures d’informatique : savoir créer un site web, comment monter ses vidéos, comment uploader ses vidéos. Quels sites web de vidéo porno sont les plus populaires...
50 heures d’apprentissage de la comédie : comment avoir l’air naturel en baisant devant une caméra.
3 heures d’opération de chirurgie esthétique : obligation de se faire opérer du visage, des seins, pour être suffisamment bandante à l’écran. (Opération qui devra être remboursée à l’université.)
25 heures de langue : apprentissage de l’anglais spécialement le vocabulaire pornographique.
30 heures de cours de droit : les contrats avec les sites d’hébergement de vidéo. Le droit à l’image...
5 heures de cours de mise-à-jour des relations publiques/privées : obligation d’annoncer à sa famille que l’on souhaite devenir une star du porno.
100 heures d’exercices pratiques : baiser et se faire baiser jusqu’à obtenir un niveau suffisant pour être considéré comme un bon coup.

Pour être une simple pute, les cours comprenaient :
15 heures de géographie : savoir où se placer dans une ville pour trouver des clients, et quels sont les lieux de passages les plus fréquentés.
20 heures de cours vestimentaire : choisir des vêtements qui ne laissent pas place au doute sur sa profession, mais qui donne envie. Option couture disponible.
1 heure d’opération de chirurgie esthétique : obligation de se faire opérer des seins pour être suffisamment attirante pour un client. (Opération qui devra être remboursé à l’université.)
20 heures d’économie : comment marchander le prix de sa prestation à la tête du client.
20 heures de sociologie : connaître les principales filières de prostitution en cours. Savoir l’utilité d’un mac.
5 heures de droit : étude de la loi sur le racolage et la pénalisation des clients.
5 heures de cours de mise-à-jour des relations publiques/privées : obligation d’annoncer à sa famille que l’on souhaite devenir une pute.
15 heures sur l’exhibition : comment donnée envie au client de vous baiser par votre démarche et votre gestuelle.
50 heures d’exercices pratiques : baiser et se faire baiser jusqu’à obtenir un niveau suffisant pour être considérée comme méritant son salaire.

Pour être une pornstar fétichiste les cours comprenaient :
100 heures de BDSM avancé : apprendre à résister à la douleur.
20 heures d’initiation à la scatologie et l’urologie : comment ne pas vomir.
30 heures d’étude zoologique : études des animaux, de leur façon de se reproduire, approfondissement des pratiques interespèces. (Étude centrée surtout sur les chiens et les chevaux.)
5 heures de cours de mise-à-jour des relations publiques/privées : obligation d’annoncer à sa famille que l’on fait un choix de vie alternatif et que l’on a développé une passion peu comprise pour le masochisme et les animaux.
10 heures de cours sur le body-art : comment se faire percer les seins et tatouer ou marquer la peau...

Pour être un trou à foutre, il n’y avait pas de cours. Les étudiantes abandonnaient leurs études et la faculté se chargeait de leur trouver une « place. » Souvent les filles étaient emmenées dans des bordels qui pratiquaient des passes pas chères et où elles se feraient baiser au moins quatre fois par heure. Ces bordels se trouvaient souvent à l’étranger, cependant ne servant que de réceptacle à sperme, il était inutile de leur apprendre la langue du pays où on les envoyait.
L’étudiante devait commencer à rembourser les frais de sa scolarité dès la fin d’année. Cela incluait le logement (internat propre à l’université), la cantine (matin-midi-soir), le salaire des professeurs, des employés, les opérations de chirurgie esthétique, l’achat de vêtements, de colliers, d’accessoires propres à l’éducation (fouet, gode...) Le tout donnait une somme de 100.000 euros. Bien sûr il faudrait plusieurs années pour rembourser. Quant au taux d’intérêt, il était calculé sur la note que l’on avait au second semestre. Cela allait de 8 à 20 % (20 % si on avait une moyenne de 8, et 8 % si on avait une moyenne de 20.) Si on avait une moyenne inférieure à 8 au second semestre, on était alors rétrogradé comme trou à foutre. Pour ces dernières elles avaient un contrat de passé avec l’université selon lequel elles devaient reverser la moitié de leur salaire.
Les escortes-girls pouvaient ainsi assez rapidement s’acquitter leur frais de scolarité, mais les simples putes allaient devoir passer de nombreuses années de travail intensif avant de pouvoir sortir du rouge. C’était injuste, vu que la scolarité des escortes-girl était plus longue et plus coûteuse, mais cela nous motivait à avoir les meilleures notes possible.

Mon année scolaire se passa plutôt bien. Je me découvrais des talents insoupçonnés, je m’enfonçais des godes de 30 centimètres facilement dans la bouche, la gorge profonde était presque innée pour moi. J’avais du mal à ne pas rougir de plaisir quand le professeur me faisait des compliments pour mon expertise devant toute la classe. La comédie ne me posait pas non plus de problème, je pouvais dire : « Oh oui ! Enfonce ta grosse bite dans ma chatte de pute, j’en ai trop envie » avec un naturel parfait, tout le monde y croyait.
Là où j’étais en difficulté, c’était pour la gymnastique. Je m’écroulais par terre dès que la position devenait un tant soit peu compliquée, quant à me baiser dans une position du Kâma-Sûtra, c’était peine perdue. Le prof de gym m’insultait et me surnommait « la chienne » parce que je n’étais bonne qu’à me faire baiser en levrette. C’est vraiment cette matière qui me coûta des points aux partiels. Mais je n’étais pas non plus à l’aise avec le lesbianisme, je me sentais vraiment mal à l’aise quand j’enfonçais ma langue dans la fente d’une de mes camarades, et j’avais presque mal à cœur, quand une fille m’embrassait ou me léchait la chatte. Mais je faisais des efforts, je gardais un grand sourire tout le temps (peut-être un peu figé...) et je prenais sur moi pour embrasser une des filles juste après lui avoir donné un orgasme. Je crois que lors du contrôle final, l’examinateur ne devina pas une seconde que je trouvais ça répugnant.
Au final, je me retrouvais avec un 13 de moyenne, juste assez pour faire pornstar et éviter d’être une pute de trottoir.
Lors du cours de relation publique/privé et que j’annonçais à mes parents que j’allais arrêter mes études pour faire de la pornographie, cela se passa mal. Ils me traitèrent de pute. Je me retins pour leur dire que j’étais justement doué pour ça.
À la sortie de la fac, avec mon diplôme de pute mention « pornstar » en poche, je montais un site web avec quelques copines. On balança des vidéos hots sur les sites gratuits, mais avec juste les cinq premières minutes, pour voir le reste, il fallait aller sur notre site et payer. Comme j’étais doué pour sucer des queues et avaler le sperme, je me spécialisais dans le gangbang. Tout un tas de mecs me passaient dessus, puis, quand ils étaient prêts à jouir ils me jutaient sur ma gueule ou dans ma bouche. Le sourire que j’arborais quand j’avalais le foutre était splendide. Mes fans me disaient en commentaire qu’ils s’imaginaient que j’avalais leur sperme et que je les en remerciais, tellement ça devait me faire plaisir.
Mes copines faisaient plutôt du sexe endiablé, mais on apparaissait souvent dans les mêmes vidéos. Par exemple, ma camarade venait avec une cuillère pour racler le sperme qui maculait mon visage et me donner le tout à manger. Dans une autre vidéo, c’est moi qui arrivais après qu’elle se soit envoyée en l’air avec deux mecs, je me mettais alors à genoux pour lui lécher la chatte et aspirer tout le sperme qu’on lui avait fourré dedans.
Cela marcha bien, on était vraiment sexy, tout le monde voulait se branler en nous regardant baiser.
Maintenant, je suis assez connu et je ne regrette pas ma formation. C’est pourquoi je voulais poster ce message à toutes celles qui s’inquiètent en se voyant uniquement sur les listes d’attente de Parcoursup. Si vous n’êtes prise nulle part, vous pourrez devenir une pute comme moi. Mais attention ! il faudra quand même bien travailler à la fac des recalées, ou sinon vous finirez comme trou à foutre...

Fin.
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