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Recherche d'un emploi

Chapitre 1

Travesti / Trans
Une nouvelle traduction libérale, réecrite, d’une histoire de Fictionmania

H-Tr Malentendu ou la recherche d’un emploi impossible entraine le jeune garçon dans le métier de serveuse pute entièrement hormonée (Cheryl Lynn de Fictionmania)
Demande d’emploi pour l’été
Nom de Dieu, je suis dans la merde ! Pensai-je. J’avais fait une demande d’emploi complètement stupide et impossible à trouver et voila que la société me répond qu’elle est preneuse ! J’avais fait cette demande pour contrecarrer ma mère qui voulait absolument que je prenne un emploi d’été et surtout elle voulait m’embaucher dans sa boutique de coiffure et d’esthétique. Il n’y a que les gays pour travailler dans ce milieu ! Moi j’avais prévu deux mois entiers dans les bras de ma douce Sherri ! J’allais avoir 18 ans, pas un sou en poche et si je refusais le job j’étais obligé de payer les frais de recherche et d’inscription du chasseur de tête. J’étais piégé. Et pourtant j’avais fait fort ! Je me rappelle lorsque je me suis amusé en dictant mes exigences. Je voulais travailler dans un centre de Vacances privé et non public, on devait me payer le voyage, l’habillement et la nourriture tout en réclamant le double d’un salaire normal et lorsque je devais cocher la case « H » ou « F » j’ai barré pour indiquer « Indéterminé ». Tout cela avec une photo de moi, une bonne bouille ronde qui ne respirait pas l’énergie et des cheveux longs. J’en riais d’avance mais maintenant je riais jaune car j’avais un emploi pour trois mois et possibilité d’emploi définitif ! Foutu je vous dis !Je relus la lettre de mon embauche et effectivement toutes mes réclamations étaient prises en compte. Je devais soigneusement lire le contrat et le renvoyer signé électroniquement. Trente pages à lire, du n’importe quoi ! Je décidais de mettre tout cela à la corbeille et de ne rien dire à Mumm ainsi je lui dirai que je n’ai rien trouvé et elle me fichera la paix.Le dernier jour d’école est enfin arrivé. Deux mois avec ma Sherri ! En sortant j’eu la surprise de voir devant le portail la voiture de ma mère qui attendait. Impossible de la louper, sa voiture était un énorme 4x4 peint en rose avec le logo de sa société !Elle me fit monter et me tendis un recommandé.-« Je pense que c’est important car cela vient du bureau des chercheurs de tête ». Il s’agissait d’une réclamation de 850 euros plus les frais administratifs si je décidais de ne pas prendre l’emploi. J’étais au pied du mur et effaré. Mumm prit la lettre, la lu et poussa des hurlements-« Petit salopard ainsi donc tu avais du travail ! Tu as intérêt à accepter car sinon je t’emploie à nettoyer les sols du magasin à genoux toute la journée et ton salaire servira à payer ses braves gens qui se sont décarcassés pour toi ! ». Je n’avais plus le choix et dès notre retour elle me fit ouvrir l’ordinateur, récupérer le dossier et le signer. Ce que je fis sans lire le contrat, bousculé par ma mère en colère, d’ailleurs elle semblait connaître la société-« C’est une dame qui est à la tête de l’entreprise. Ils ont des spa un peu partout en Europe. C’est surement bon pour un fainéant comme toi » conclu t’elle.Avant de recevoir un billet de transport je vais bien avoir une semaine de libre pour voir Cherry pensai je pour essayer de me consoler mais malheureusement des le lendemain matin le facteur nous apportait un pli : c’était un billet de transport pour le soir même et un conducteur m’attendrait à la Gare Centrale. Suivez des détails et la mention « Inutile d’apporter des vêtements, tout vous sera fourni ». Je fus accueilli par une grande dame type mannequin en tailleur gris et bouton blanc, très chic et très strict. Elle me fit monter à l’arrière d’une magnifique limousine et me mit à l’aise tout de suite-« Le voyage sera long. Vous pouvez dormir mais ne m’embêter pas avec un bavardage insipide ». J’espère que l’accueil sera plus chaleureux en arrivant pensai je et effectivement je ne tardais pas à m’endormir devant le monotone paysage. Apres un arrêt « pipi » nous sommes enfin arrivés dans un complexe perdu dans la nature. Les bâtiments de type espagnol étaient blancs avec des toits rouges et autour de chacun s’étalait une magnifique pelouse. Mon pilote me fit sortir devant un bâtiment marqué « Administration » puis me fit attendre devant un bureau « Réception ».Assis derrière le bureau un petit homme trônait vêtu d’une chemise rouge brillante aux épaulettes bouffantes et au pantalon en velours noir. Il hésita à trop le regarder mais il lui semblait qu’il avait du rouge à lèvre et que sa coiffure était bien bouffante et ondulé pour une coiffure d’homme !!-« Ah oui vous devez être Mr Chou. Nous vous attendions. Veuillez me suivre, vous allez rencontrer Maîtresse Martin notre chef du personnel ». C’était dit sur un ton enjoué mais le mot « maitresse » intrigua le jeune Paul. En le suivant il n’en croyait pas ses yeux, le petit homme tortillait des fesses en marchant et tenait ses coudes collés au corps en pliant légèrement l’avant bras tout en laissant pendre ses mains. Le pantalon lui-même choquait car il était très moulant au niveau des fesses et s’arrêtait en bouffant au niveau des chevilles découvrant une paire de chaussures à talon aiguille, pas très haut mais talon aiguille tout de même. Paul se réconforta en pensant qu’ils avaient embauché un travesti pour appuyer leur slogan qui parlait de vie alternative dans une vallée cachée.Madame Martin était une grande femme d’une quarantaine d’année habillée d’un tailleur et pantalon très classique.-« Je suis contente de vous voir enfin Mr Chou. Nous sommes impatients de vous voir travailler pour nous. Asseyez vous que je vous explique votre rôle ». Cela était dit tout en lui broyant la main énergiquement.Lorsqu’elle commença à lui expliquer son futur rôle il commença à blêmir, surpris et effrayé et du regard il commença bêtement à chercher une issue de secours. Il eut le courage de l’interrompre-« Vous avez dit « serveuse » je pense que vous vouliez dire « serveur » Je ne suis pas macho mais je reste un garçon »-« Veuillez ne pas m’interrompre. Je passe pour cette fois mais nos punitions simples sont déjà le fouet alors essayé d’être obéissant. Serveuse et non serveur, vous êtes dans un monde alternatif comme le dit notre publicité mais au moins avez-vous lu votre contrat ? »-« Non Madame c’était trop petit et trop long »
-« Permettez moi de vous dire que vous êtes stupide mais je vais faire une exception pour vous. Vous allez pouvoir repartir mais bien sur il faudra nous payer les frais que nous avons engagés. C’est normal non ?-«Bien sur Madame mais c’est combien ? »-« Le voyage, l’annonce, les divers paperasses, les vêtements que nous avons prévu tout cela devrait tourner autour de 7.000 euros. Vous payer et vous repartez sinon vous me signer cette pile de document ». Je n’avais pas 100 euros sur moi alors des milliers ! J’étais coincé et me permit de bafouer -« Je vais accepter le job bien sur « -« C’est très bien comme je vous disais vous serez serveuse puisque vous êtes un garçon et vous seriez serveur si vous étiez une fille. Voila pourquoi nous utilisons le mot « alternatif ». Vous devez servir des clients qui sont rois et qui ont, j’insiste la dessus, tout pouvoir. En cas de mécontentement nous avons tout une suite de punitions qui sont notamment corporel et je ne vous souhaite pas d’y avoir droit. Pour vous engager définitivement, comme je vous disais, signez moi cette pile de paperasse ». Le premier était des documents fédéraux d’embauche et je signais sans hésitation. Le deuxième concernait une visite médicale, je signais aussi, le troisième me fit tiquer car il parlait de protection obligatoire pour des rapports sexuels, je n’en voyais pas le but mais pourquoi pas. Par contre le dernier me fit bondir : je ne m’appelais plus Mike Allen Chou mais Fleur de Lotus Chou et loin d’être un document interne c’était une demande officielle administrative ! A mon refus la réponse cingla-« Soit vous acceptez soit vous nous payer nos frais. Maintenant reprenez tous les documents et sous votre ancienne signature résigner avec la nouvelle ». Elle avait raison j’étais coincé mais uniquement pour l’été. Ce ridicule prénom « Fleur de Lotus était surement du à mon origine asiatique joint à mon aspect un peu frêle. Je me jetais donc à l’eau.-« Bon maintenant que tout est en ordre vous allez pouvoir déjeuner. Bienvenue dans votre nouvelle univers Mademoiselle Fleur de Lotus » conclu Maîtresse Martin
Ma première journée
J’ai donc suivi le réceptionniste qui ne cessa pas de babiller disant qu’il était là depuis 3 ans et que pour rien au monde il vivrait ailleurs. Il me complimenta avec insistance sur mes magnifiques cheveux noirs en m’expliquant toutes les coiffures qu’on pourrait me faire porter. Je fus un peu effaré mais aussi lorsqu’on me présenta mon plateau composé de quelques feuilles de salade et d’un yaourt. Pas une once de viande ! Protester ne servirait à rien je le sentais et je pus seulement savourer mon thé quoiqu’un peu trop parfumé.Le réceptionniste m’entraina ensuite dans une aile du bâtiment chargé du « traitement ». Je devais d’après lui comme tous les nouveaux employés être formé pendant une semaine et suivre donc le traitement. Bien mystérieux tout cela. La personne qui nous accueilli était un homme de par les vêtements, le visage carré, la corpulence physique mais un léger renflement à la poitrine et une voix un peu trop perché me fit penser que c’était une employée « alternative ».-« Vous devez être Fleur de Lotus. Tournez vous que je vous regarde ». Ce que je fis en rougissant « Effectivement on va pouvoir faire quelque chose de vous en une semaine. Je vais vous laisser à mon équipe de déstructuration et en quelque jours je suis sur que votre coté féminin dominera. A propos mon nom est Maitre Sam ».Je me rends compte que j’avais fait une sacrée bourde en acceptant le poste. Il aurait cent fois mieux fallu nettoyer à genoux le salon de coiffure de ma mère ! C’est sur je ne suis pas le plus masculin des hommes, je n’avais pas beaucoup de poil et mon visage plutôt rond aurait pu être celui d’une fille mais tout de même à mes yeux j’étais un garçon. Je fus remis entre les mains de 3 personnes Maitresse Samantha et Louise et Maitre Henry. En sortant Maitre Sam leur demanda-« Avant toute chose donnez lui dix coups avec la main pour cette fois. Il faut lui apprendre la politesse, il aurait du me répondre « Bien Maitre Sam ». Je fus immédiatement saisi, déculotté et reçu effectivement 10 coups très forts. J’avais les larmes aux yeux. Ensuite je me retrouvais tout nu devant mes trois professeurs montrant ainsi une petite touffe de poils sur mon sexe, un peu sur ma poitrine mais c’était tout. Ils ont pris aussi la mesure de ma queue qui était aussi loin d’être énorme. J’aurais voulu me cacher dans un trou. Maitre Henry m’intriguait beaucoup car il aurait du être une fille en garçon mais je le trouvais bien musclé. J’appris par la suite que les femmes sont bourrés d’hormones males et que chaque jour ils doivent faire du culturisme d’où cet aspect ambiguë lorsqu’ils sont en cours de transformation. Samantha et Louise par contre à mes yeux semblaient parfaites alors qu’en théorie ce devait être des garçons. Ma tête tournait à essayer de comprendre. On me prit des échantillons de sang, je dus subir plusieurs injections puis allongé sur une table on m’épila au laser les quelques poils que j’avais. A moitié endormi je me laissais faire lorsqu’ils triturèrent ma queue. Je m’aperçus trop tard qu’ils me l’avaient enfermé dans un cylindre métallique chromé, courbe de façon à ce que je ne puisse bander, qui ramenait ma queue entre mes jambes tout en écrasant mes couilles enfoncées dans l’aine. J’étais déjà certain qu’avec un simple slip mes attributs masculins ne se discernaient plus. Dans les bras de mes bourreaux je fus aspergé d’un parfum puissant puis frictionné vigoureusement. Ce fut ensuite le tour des cheveux qui furent lavés et séchés par trois fois pour ensuite revenir sur une de mes épaules et un de mes yeux d’une façon très provocante. Mes sourcils furent épilés et réduit à la plus simple expression et mes oreilles percées en trois endroits. Des petits diamants en haut et des pendentifs avec clochette au dernier trou. Une des injections devait y être pour quelque chose mais je ne réagissais plus et même je souriais parfois bêtement en me voyant dans un miroir. Par contre lorsque je vis mes longs faux ongles rouge vifs en place je me suis quand même posé la question Comment fais je pouvoir attraper quelque chose avec des griffes pareillesLa suite fut bien plus douloureuse et me fit pleurer car sans précaution particulière on m’avait allongé, enserrer la tête et les bras puis avec une longue aiguille on m’avait injecté du collagène (je le sus après) par petite doses et en de multiples endroits de mes lèvres qui se sont mis à grossir. Elles me laissèrent me reposer un instant puis ce fit au tour de mes mamelons. La douleur était insupportable et je me mis à pleurer sans retenue.Je fus remis debout, mes grosses lèvres pendaient provisoirement insensibles et mes tétons avait grossis d’au moins trois fois. Il fallait ensuite passer à l’habillage. J’eu droit à un string noir avec des motifs floraux rouge et un soutien gorge satin. Si j’ai tout de suite apprécié le soutien gorge qui protégeait ma poitrine douloureuse par contre je haïssais ce string qui me coinçait ma queue mais aussi entrait dans la raie de mes fesses d’une façon désagréable. Comment les femmes pouvaient elles supporter cela !Malheureusement ce ne fut pas fini car j’eu droit au serre taille que Samantha se mit à lacer par derrière en me demandant d’expirer profondément. Je n’arrivais presque plus à respirer et commencé à m’affoler-« Mais non Fleur de Lotus, pas de panique il va se mettre en place. Nous portons tous un serre taille ou un corset car c’est obligatoire. Je ne le serre pas trop pour ta première journée mais plus tard je pense que tu pourras avoir une des plus fines taille de l’entreprise »-« Merci Maitresse Samantha de pas trop le serrer ». J’avais compris qu’il fallait que je m’attire les bonnes grâces de mes maitres et maitresses au lieu de les braquer.Je reçu une paire de bas noir auto fixant et on m’apprit à les enrouler le long de mes jambes. Je déteste le reconnaître mais l’effet du nylon sur ma peau glabre me fit frissonner de plaisir, ce qui n’échappa à personne vu les petits rires qui s’ensuivirent. Par contre enfiler des bas lorsqu’on est en corset n’est pas du dernier pratique. Vint ensuite un corsage de soie blanche aux motifs fleuris avec un col rond de dentelle à zipper dans le dos ce qui faisait ressortir ma petite poitrine « wonderbra » et une jupe longue moulante de satin aussi, descendant jusqu’aux cheville et se terminant par une collerette évasée comme les danseuses de flamenco, moulante faisant déjà ressortir ma taille mince et mes fesses. Cette fois ci impossible de me pencher pour mettre les chaussures, des espadrilles avec talon aiguille de 6 cm « Pour débuter » me précisa t’on. Une fois habillé elles m’aidèrent à me mettre debout et à commencer à marcher. Les talons aiguilles d’une part et la jupe tellement serrée aux genoux d’autre part je ne pouvais qu’avancer par petits pas et obligatoirement l’un devant l’autre ce qui bien sur faisait onduler mes fesses car je travaillais avec mes hanches. Résultat ravageur garanti, j’en étais convaincu vu le nombre de fois que je m’étais retourné devant ses filles aux démarches chaloupées. Je du marcher ainsi jusqu’à la pièce d’a coté ou m’attendait l’esthéticienne qui me fit asseoir et sans un mot commença son travail. Fond de teint, blush sur les joues, mascara, paupières sombres, faux cils, trait épais du rouge à lèvre et enfin je fus amené devant un miroir après une énorme vaporisation de parfum.Ce que j’y vis me laissa sans voix. Manifestement j’étais devenu une magnifique poupée de porcelaine, le modèle avec grosses lèvres et dans la rue il me serait impossible de m’aventurer sans risque d’une émeute ! Au fond de moi je me suis réellement plu ! De nouveau je fus dirigé vers une autre pièce qui comportait deux lits, deux bureaux et deux armoires principalement. La couverture des lits était rose, ainsi que les napperons des tables de chevet et avec les lumières tamisées cela donnait l’effet d’un dortoir pour deux jeunes filles passionnées de dentelles et froufrou.-« Lotus tu va vivre avec Opal qui devient une serveuse confirmé. Vous devez devenir des amies car elle t’aidera et tu l’aideras pour vous habillez et déshabiller. Je te conseille de lui obéir car quoiqu’il arrive c’est toi qui auras tort et ce sera le fouet cette fois, pas la main. J’espère que tu as compris ? » Me demanda Maître Henri-« Oui Maître je serais obéissante ». Il reprit-« La salle de bain est au fond et à partager entre 6 personnes. Chacun votre tour vous êtes chargé du nettoyage. Maintenant il est l’heure d’aller dîner, Maîtresse Louise va t’y amener puis il y aura cours de réorientation suite à votre métamorphose.Comment pouvait il appeler cela « Dîner » ! Une petite salade verte, un gâteau de riz et du thé ! Alors que ceux qui étaient en garçon avaient droit à des steaks frits ! Ecoeurant ! Il est vrai aussi qu’avec mon serre taille je ne suis pas sur de pouvoir manger correctement tellement mon estomac semblait comprimé ! La classe d’orientation dura deux heures et je dus marcher, m’asseoir, avoir des gestes arrondis face à une maîtresse Samantha devenu hyper sévère et j’eu droit à plusieurs coups de badine durant le cours. C’est courbé en deux avec les pieds en feu que je regagnais enfin le dortoir.Sur l’autre lit était assise une jeune fille noire avec une énorme paire de seins vu sa taille, sûrement du E d’après ma faible expérience. Elle avait ses cheveux maintenu par un diadème et sa tenue était exactement celle des soubrettes de magazine : en robe courte noire et dentelle blanche au col et aux manches. Il y avait même le petit tablier. Elle aurait pu être très appétissante mais pour ma part son nez était trop gros et ses lèvres vraiment trop pulpeuse avec ce rouge à lèvres très vif. J’avais oublié cinq minutes que moi aussi on m’avait gonflé les lèvres !-« Bonjour tu dois être Fleur de Lotus. On m’a prévenu de ton arrivée. Je suis serveuse actuellement et toi que dois tu faire ?-« Bonjour oui ils m’ont appelé de ce prénom ridicule et je viens de me faire 2 heures d’exercices pour faire de moi une poupée Sissy semble t’il. J’en ai marre »Je n’eu pas le temps de finir que Maître Henry entrait dans la pièce, me jetait sur ses genoux et commençait à me fouetter avec une badine en me demandant de compter. A vingt il s’arrêta, j’avais le cul en feu et pleurait.-« Aucune critique n’est autorisé » rappela t’il « Toi Opale tu aurais du lui dire de se taire mets toi à genoux pour une série de 10 »’. Opale semblait avoir l’habitude et elle subit le fouet les larmes aux yeux mais sans pleurer.Une fois notre bourreau repartit elle me dit-« Excuses moi j’aurai du te dire de ne pas critiquer nos employeurs. C’est la moindre des corrections non ? ». Tout en disant cela elle se pencha et me murmura-« Dans l’angle il y a une caméra cachée » et d’ajouter d’une voix normale « Allons prendre un bon bain. Cela fera du bien à nos jolis fessiers ». Elle prenait cela en souriant et cela fit du bien à Lotus.Apres s’être déshabillé et seulement vêtu d’un joli déshabillé rose froufroutant qui m’était dévolue, celui d’Opale était plus simple mais il semblait que nous étions habillé selon notre futur métier nous arrivâmes dans la salle de bain ou trônait une énorme baignoire à remous pour 6 personnes au moins. C’est avec plaisir que je me glissais dans le bain pour soulager mon derrière brûlant, suivi par Opale. Elle prit une grosse éponge et me dit-« Relaxes toi je vais te frotter le dos ». Je fis la grimace car Opale était bien un mec, comme moi son sexe était rabaissé dans sa gangue de métal et malgré son opulente poitrine cela me reboutait. Me voyant hésitant elle me saisit par les épaules et me murmura à l’oreille-« Moi aussi j’étais comme toi au début mais cela ne me fait plus rien. Ne refuse pas car la aussi il y a une camera. Ensuite lorsqu’on se sera lavé mutuellement j’augmenterai les jets et on pourra discuter ». Je me laissais donc faire et les mains douces d’Olga firent leur effet apaisant. Lorsqu’elle passa sur le devant je ne pus m’empêcher de pousser un glapissement lorsqu’elle toucha mes mamelons hyper sensibles-« Dans un mois ou deux ils seront moins sensibles » voulut me rassurer Opale.Ce fut mon tour ensuite de la laver et j’essayai d’imiter la douceur de ses gestes. Par contre je n’arrivais pas à me décider à lui laver ses énormes seins. Ceux de mon amie étaient bien plus petits et je ne pouvais les caresser qu’à travers le soutien gorge. Ceux la étaient énormes et sous mes yeux. C’était plutôt de la timidité mais Opale ne le compris pas et me saisissant les poignées elle me signala-« Vas y frotte les, c’est ce qu’ils attendent, je n’ai pas envie d’être fessé de nouveau. Apres tu les embrasseras ils aiment bien voir ça ». Cela me fit tout drôle de laisser mes grosses lèvres se poser sur les mamelons hypertrophiés mais pas désagréables du tout. Même mes mains appréciaient le soyeux de sa peau. Enfin elle dirigea les jets hors de l’eau et je pus y présenter avec soulagement mes mamelons.-« Maintenant on peut parler » murmura t’elle-« Opale explique moi ce qui se passe. Je ne suis pas gay et je n’ai pas envie de m’habiller en fille ! »-« Tu as signé un contrat qui est en béton et ils peuvent maintenant faire de toi ce qu’ils veulent. Je me suis fait piéger comme toi par le gros salaire offert. Crois tu vraiment que j’aurais voulu devenir soubrette avec ses énormes lolos ! » En disant cela à voix basse Opale m’embrassa sur la joue et ajouta « embrasses moi si tu veux qu’on puisse discuter ». J’approchai mes lèvres de ses joues en fermant les yeux mais je me retrouvais avec mon visage entre ses mains et ses grosses lèvres sur les miennes puis en insistant avec sa langue elle ouvrit ma bouche et me roula une pelle d’enfer. Pendant que je reprenais mon souffle elle dit à voix haute pour la camera-« Oh Lotus tu me plais beaucoup. Tu embrasses si bien ! » Et de nouveau à voix basse « C’est une société qui s’adresse aux gays et aux lesbiennes très riches. Ces mécènes payent pour avoir à leur service quelqu’un du même sexe mais transformé dans l’autre sexe. Cette ambiguïté fait tout le sel de la relation du maître et de l’esclave. Je suis soubrette mais ils peuvent me demander de faire l’amour. Ils ont tous les droits. Toi tu es une sissy parce que tu es très fine et tu seras plutôt réservé pour la baise à outrance si ils le veulent ».-« Ce n’est pas possible. Dis moi que ce n’est pas légal de me forcer à faire l’amour ! »-« Détrompes toi ! Le fait de changer de prénom et de résigner ton contrat explique bien ta tendance gay. Je te le dis le contrat est béton. En plus ils ne vont pas te forcer c’est toi qui le fera volontairement. Ils sont diaboliques. J’étais comme toi il y a un an ou deux. Tu vois je ne sais même plus depuis combien de temps je suis là et je n’ai plus envie de repartir. J’ai trop peur du monde qui m’attendrait avec mes énormes seins, mes grosses lèvres et mes fesses « pousse au crime ». Maintenant il faut sortir du bain et on va s’essuyer. N’oublie pas de m’embrasser en le faisant. Il faut qu’ils croient que tout va bien. Je n’aime pas être fessé surtout à cause d’une autre. D’accord ?». Je hochai la tête et tout se passa comme elle me l’avait demandé. Je m’apercevais que sa peau douce me plaisait beaucoup et j’avais de moins en moins de mal à la caresser essayant de la considérer comme une fille et non un garçon.Durant la semaine heureusement que j’avais Opal pour me conseiller le soir car sinon en étude d’orientation je repartais souvent après des coups de fouet et mon cul me faisait mal quotidiennement. Cette même semaine j’ai pu rencontrer les autres filles qui comme moi étaient des anciens garçons mais leurs transformations étaient plus ou moins avancées, on s’en apercevait notamment par la taille des seins. Je savais que les piqûres que je recevais chaque jour avait comme but ma féminisation et je me rebellais de moins en moins sûrement du à d’autres injection de drogue.Spice était une blonde à la belle poitrine de bonnet C et aux taches de rousseur sur le nez. Elle travaillait aux bains de vapeur. Pearl était une blonde platine avec des tatouages un peu partout. Des guirlandes de fleurs aux chevilles, un dauphin à l’épaule et un colibri sur la poitrine.Raven était brune aux cheveux tombant à mi dos et à la peau laiteuse. Ses lèvres épaisses étaient toujours recouvertes d’un rouge à lèvre très brillant et ses petits seins avec ses longs tétons hypertrophiés recouverts aussi du même rouge en faisant une personne très sensuelle qui devait travailler comme masseuse dans la salle de gymnastique des hommes. J’imagine qu’elle devait la pauvre être embêté tous les jours ! Sunrise elle avait les cheveux longs teints en jaune et orange. Les mamelons de sa belle poitrine étaient aussi maquillés avec du rouge à lèvre mais ce qui étonnait, c’était ses grands yeux. J’appris plus tard qu’elle avait été opérée pour obtenir ce regard candide et qu’elle travaillait à la piscine à distribuer les boissons. Elle aussi devait être embêté quotidiennement avec son air ingénue et sa silhouette longiligne. Le dernier Morelle était bardée de piercing. Huit pour chaque oreille, deux pour le nez, un pour la langue, deux anneaux pour les lèvres et les tétons. Ceux-ci étaient même reliés par une chaîne ! J’oubliais aussi le piercing au nombril et les cheveux rasés sur les cotés comme les anciens iroquois ! Lui par contre ne savait pas à quoi il était destiné.
Apprentissage comme serveuse asiatique
Toute la semaine suivante je passais 12 heures à apprendre les rites des filles orientales. Je devais tout apprendre avec rapidité, les façons de marcher et parler des geishas, les manières, le maquillage et à la moindre erreur mes fesses prenaient. C’est fou ce qu’on apprend vite ensuite !En fin de semaine je du retourner voir Maître Henri avec Louise et Samantha pour une nouvelle série de piqûre plus poussé que les quotidiennes. Je pris conscience en sortant de la séance que j’avais dorénavant une poitrine digne d’un bonnet B avec des mamelons encore plus gros. Je fus un peu rassuré en apprenant que des que j’aurais arrêté les hormones dans trois mois la poitrine diminuera. J’espérais que ce sera la même chose pour les fesses car depuis que je portais un corset au quotidien ma taille devenait de plus en plus mince mais mes hanches prenaient de l’ampleur tandis que mon cul s’arrondissait. Je reconnais que j’étais devenu une belle femme sexy et mon origine asiatique apportait une touche de plus à ma sensualité.Il semblait que je devais servir en tant que serveuse et non poupée sissy ce qui me convenait parfaitement. Mon stage d’orientation terminé je fus affecté au salon de thé japonais qui servait aussi de restaurant. Magnifique endroit ou les clients étaient servis dans des alcôves semi privées entouré de mur et table en email noir et de tatamis traditionnels au sol. Les tentures traditionnelles au mur et les nombreux cousins de soie aux dragons brodés ajoutaient au raffinement du lieu. Dans un coin un nécessaire visible de tous pour préparer le thé. Chaque alcôve avait une serveuse désignait et celle-ci avait un aide qu’elle dirigeait fermement. Ce fut mon travail : j’étais aide d’une serveuse nommée Kiko. J’appris avec surprise que pour la cérémonie du thé il fallait des années pour savoir le servir avec tout le rituel de l’époque. J’étais loin de faire le poids avec ma semaine d’apprentissage !Maîtresse Lee qui dirigeait le restaurant m’expliquait tout cela avant de passer à mon travail proprement dit-« Vous serez présente de 6h du matin à 22h le soir. Plus parfois si le client désire un service plus personnel. Vous êtes nouvelle et Mai Tai vous réservera deux heures chaque jour pour vous apprendre les rudiments. Je comptes sur vous pour être opérationnel la semaine prochaine ». Je calculais mes heures de travail : plus de 12 heures sans un jour de repos ?-« Excusez moi maîtresse mais j’aurais un jour ou deux de repos ? »-« Oui vous aurez le dimanche mais même ce jour vous devrez réservé 2 heures pour votre apprentissage. Il sera temps plus tard lorsque vous serez confirmé de ne travailler que 40h par semaine. C’est un club ici pas un bureau pour fonctionnaire. C’est bon ? Vous n’avez plus de questions stupides ? ». Je sentais qu’il ne fallait pas insister mais si je me souvenais il fallait presque 10 ans pour être au point dans le rituel du thé ! J’avais compris qu’il valait mieux que je parte au bout des trois mois et j’aurais bien gagné mon salaire !Elle me présenta à Mai Tai une femme âgée aux cheveux gris habillé d’un traditionnel kimono de geisha en soie brillante décorée de fleurs. Elle était assise tout aussi traditionnellement sur ses genoux face à ce qui semblait être un service complet à thé. Me faisant signe de m’asseoir à ses cotés j’essayais tant bien que mal de l’imiter.-« Aie » Elle venait de me taper sur la cuisse avec une baguette flexible-« Vous devez vous asseoir le dos droit, mains pliées soigneusement sur vos genoux. C’est un signe d’humilité et d’obéissance envers son maître ou sa maîtresse. Maintenant taisez vous et observez »Les quatre heures suivantes servirent à me faire apprendre en japonais tous les noms des ustensiles nécessaires pour la cérémonie du thé ainsi que le nom de toutes les fleurs que je devais dorénavant mettre chaque jour dans les petits pots. Nous avons ensuite pris une petite collation en guise de repas puis il y a eu répétition générale. Cela faisait des heures que j’apprenais le japonais mais aussi que chacun de mes gestes devaient être retenus et plein de grâce si je ne voulais pas recevoir un coup de badine sur la cuisse et je n’en pouvais plus. Bien sur je commençais à faire de plus en plus d’erreur et lorsque je pus enfin revenir à la chambre mes cuisses étaient martelées par les coups reçus. Heureusement Opal connaissait un onguent qui fit merveille et je me laissais faire entre ses douces mains. Le reste de la soirée se passa à étudier le manuel et le menu du restaurant. Epuisé à l’heure du coucher j’eu juste la force de passer ma nuisette de mousseline et de soie rouge, d’embrasser sur la bouche Opal et de m’endormir dans ses bras au grand plaisir de ceux qui nous regardait par camera interposée.A la fin du mois j’avais bien changé. Je ne reculais plus lorsque une des cinq filles venaient se coller à moi pour m’embrasser dans l’oreille ou le cou et même il m’arrivait de participer à leur jeu. Porter des vêtements féminins était devenus naturelles et je me voyais plus en jean ou basket. Même le corset bien serré m’était devenu indispensable et depuis j’avais effectivement une taille de guêpe avec des hanches larges et des fesses bien rondes. Apres toutes les lotions que l’on devait se passer ma peau étaient devenues comme celle d’Opale toute douce et je prenais plaisir à me caresser notamment mes seins qui devaient prendre un bonnet C avec des mamelons toujours hypertrophiés et sensibles. Pour mon travail au restaurant je devais toujours avoir une attitude humble et obéissante avec les yeux baissés et maintenant même dans ma chambre je me comportais ainsi. Le garçon rebelle avait disparu et cela m’inquiétait car normalement dans deux mois je pourrais partir. Par contre je me voyais mal mettre des chaussettes alors que j’aimais mettre des bas et sentir les jarretelles à chacun de mes pas. Je me sentais mal à l’idée de ne plus avoir le poids de mes beaux cheveux longs sur mes épaules ou même à devoir sortir dehors sans maquillage et sans rouge à lèvre. Mon esprit était dérouté et douté même que mon corps puisse apprécier redevenir un garçon ; Pour mon deuxième mois de travail j’eu la bonne nouvelle d’apprendre que je ne ferais plus que 50 heures par semaine par contre en compensation je devais aider Kiko lorsque des soirées étaient demandés. Dans ce cas je devais accompagner Kiko, vêtu comme elle d’une simple robe de soie ouverte jusqu’au nombril et dévoilant à chaque mouvement des seins dont les mamelons étaient peint de la couleur de notre rouge à lèvre. C’était très sensuel et ma poitrine plus grosse que la sienne attirait plus les mécènes. Je devais les laisser faire lorsqu’ils désiraient me les sucer ou les lécher et même les y incitait. Ce que je faisais me souvenant de mes deux premières soirées avec mes cinq colocataires ! Ces soirs là j’avais refusé de jouer à leurs jeux érotiques et leurs embrassades pensant que faire semblant avec Opale était bien suffisant. C’était l’époque ou je me sentais garçon et aucunement fille. Les maîtres et maîtresses m’installèrent allongé sur un cheval de bois en salle de gymnastique et je dus être fouettés par les cinq locataires. Mes fesses étaient brûlantes et rouge mais cela ne suffisait pas, ils me frictionnèrent avec du sel et me laissèrent ainsi plusieurs heures, pleurant seul dans le noir. Deux séances suffirent pour me briser et depuis je participe à leurs jeux sexuels. J’allais faire de même en me laissant sucer les seins mais cela me rappela la phrase d’Opale me disant que personne ne me forcerait mais que je participerais de moi-même à ses soirées. C’était le cas, je n’avais plus l’esprit à me rebeller. J’étais au milieu des deux hommes tandis que Kiko préparait le thé. L’un me suçait le sein tandis que l’autre me triturait l’autre. Mon esprit se rebellait d’être traité comme une pute mais aussi à ma grande honte j’y prenais plaisir. Celui qui me caressait me demanda-« Vous êtes vraiment une ravissante lady boys. J’adore vos seins. Peut être que Maîtresse Lee acceptera que vous veniez dans ma chambre. On fera longuement l’amour. C’est d’accord petite fille ? » Je devins tout rouge sous la proposition et ne savait comment refuser. Je fus sauvé par Kiko qui servit le thé avec grâce puis s’installa à coté d’un des deux hommes. Je l’observais et fut très surpris de la voir mettre la main dans le kimono de son voisin et de lui sortir sa queue. Elle me regarda et hocha la tête. C’était un ordre, je devais faire de même. Tout mon être voulait refuser mais le souvenir de la punition dans le gymnase me fit prendre conscience que je ne pouvais pas reculer. Je pris donc la queue de mon voisin puis, imitant Kiko je la masturbais délicatement en la prenant avec deux doigts. Continuant de l’imiter de mon autre main je lui massais les boules. Le plus stupéfiant dans la scène fut que les deux hommes continuaient de siroter leur thé comme si de rien n’était. Lorsque sa queue bien droite fut prête à éjaculer, je le sentais aux tressaillements, il abaissa ma main pour mettre sa queue vers le bas et présentant sa tasse vide la remplit de son sperme, sans un gémissement de jouissance, toujours imperturbable. Je le regardais interloqué mais compris lorsqu’il me tendit la tasse pleine avec un léger sourire. J’avais envie de vomir, de tout envoyer balader mais je pris la tasse et commençait à avaler le liquide épais et chaud. Plutôt fade, sans grand goût pour ma part j’avalais consciencieusement. Regardant Kiko qui elle se régalait semble t’il, je la vis se lécher les lèvres et faire une courte révérence pour remercier. Je fis de même bien qu’au fond de moi jamais je n’avais été autant humilié et malade de honte. Jamais je ne pourrai me regarder dans une glace ! C’était horriblement dégradent pour une femme mais que dire pour un garçon travesti ! A ma grande surprise après cette soirée la vie continua comme de rien n’était. Le lendemain je devais aller à la clinique pour ma nouvelle et longue série de diverses piqûres. J’étais devenu une femme très rapidement, trop rapidement semble t’il et ils accéléraient le processus d’après ce que j’ai pu surprendre de leur conversation. Maîtresse Samantha me mit un petit gode dans les fesses, gode que je devrais porter nuit et jour. -« Tu vas adorer » me prévint elle. J’en doutais. Un petit système de balancier à l’intérieur permettait de le sentir vibrer lorsque je me baissais par exemple. C’était à la fois gênant d’avoir cet objet dans l’anus mais plaisant lorsqu’il vibrait doucement. La semaine prochaine je retournerais à la clinique pour avoir un gode plus gros, m’avait t’on prévenu.A la fin du mois je recevais un gode d’un diamètre de 6 et d’une longueur de 15cm. Mon anus acceptait sans trop de problème. J’avais été prévenu que bientôt je serais disponible pour les messieurs qui le désireraient. J’enrageais d’être ainsi traité comme un simple objet sexuel mais les séances de torture au gymnase m’avaient à tout jamais guéri de la rébellion. Je préférais pleurer dans mon lit.
De serveuse je deviens pute au service des clients
Le mois s’écoula avec de moins en moins de travail au restaurant en journée et de plus en plus avec Kiko pour des soirées très spéciales. C’était maintenant une routine que de boire ou de sucer une queue lors de ses soirées. Maîtresse Lee vers la fin de mon deuxième mois m’informa que j’allais remplir les fonctions qui m’étaient échu à mon arrivée : celle de poupée sissy ou ladyboy et donc à la disposition de tous les désirs sans exception de mes clients et qu’ils seront prévenu des ce soir. Devant mes légères protestations elle me rappela que lors de ma demande de travail j’avais bien stipulé « souvent » à côté de la case « sexe ». J’étais assommé d’autant plus qu’elle me proposa en souriant une nouvelle séance de cheval d’arçon au gymnase si cela ne me convenait pas. J’en ai frissonné de peur.Le dernier mois fut consacré au sexe et je n’allais même plus servir au restaurant. J’étais chaque jour réservé le soir. J’avais beaucoup de succès. Parfois tout ce passait bien et j’en repartais le cœur léger. Comme prévu par maîtresse Samantha maintenant que mon anus était élargi je souffrais moins des pénétrations et souvent si mon maître était prévenant je jouissais comme lui. Parfois aussi je tombais sur des sadiques. Une fois je me suis retrouvé attaché par les chevilles et les poignets puis suspendu sans pouvoir crier car bâillonné avec une boule. La, mes deux bourreaux m’accrochèrent des poids sur mes tétons et me laissèrent suspendu tout en me faisant tourner sur moi-même par des claques judicieusement placé. Apres avoir joué avec moi ils m’ont redescendu suffisamment pour se mettre entre mes cuisses écartées et me sodomiser sans préparatif à plusieurs reprises. Lorsque je pus enfin rentrer dans la chambre je du réveiller Opale pour me faire soigner. Cette nuit là je me blottis dans ses bras, rassuré de sentir les tétons de sa grosse poitrine pressée dans mon dos. Il était loin le temps du garçon rebelle. Je n’étais plus qu’une petite pute asiatique qui vivait dans la peur et les yeux baissés. C’est ainsi qu’arriva le jour de ma libérationLorsque Maîtresse Martin, chef du personnel, me convoqua, ce n’était plus Mike Allen Chou qui se présenta mais une jeune fille soumise et craintive Fleur de Lotus.-« Fleur de Lotus nous sommes très fier de vous car ce dernier mois vous avez atteint tout nos objectifs et accepté toutes les situations des mécènes qui parfois ne font pas trop attention à la marchandise. Je vous propose donc de reprendre un contrat d’un an chez nous. En attendant prenez donc ce cheque de 10.000 euros, un bon salaire pour 3 mois de travail nourri logé ne trouvez vous pas ? » Je répondis doucement-« Oui maîtresse mais comment vais-je rentrer chez moi ? »-« On vous déposera à l’aéroport. Vous avez de l’argent pour vous payer l’avion et vous repartirez avec vos vêtements de garçon » Avec un grand geste de la main en montrant mon corps-« Mais Maîtresse ma poitrine ne rentrera pas dans une chemise de garçon ! Je serais incapable de marcher sans talon »-« Je sais bien tout cela et j’ajouterai qu’en arrivant chez vous vous aurez tous les garçons de la ville derrière vous et vos lèvres sont un appel au viol. Vous êtes en sécurité ici mais si vous ne résigner pas un nouveau contrat cela ne nous concerne plus. Peut être que si vous signez vous pourrez prévoir un peu mieux votre départ dans un an. C’est ce que je vous conseillerais » Bêtement je répétai-« Mais je ne peux pas rentre chez moi comme ça. Que dira ma mère ? Et ma petite amie ? Vous avez détruit ma vie »-« Lotus vous commencez à m’énerver et aujourd’hui encore vous êtes mon employé et cette badine pourrait bien vous remettre les idées au clair. Je vous rappelle une dernière fois que vous aviez demandée un bon salaire, nourri, logée, transport payé et beaucoup de sexe. J’ajouterai même qu’à sexe vous aviez mis « Indéterminé ». C’est exactement ce que vous êtes un travesti hormoné au sexe indéterminé mais bien payé. Je vous répète qu’en un an vous pourrez cette fois ci organisez votre départ. En partant avec un client si vous voulez. Par contre si vous restez il faudra me signer en plus ses trois formulaires.-« Qu’est ce donc ? »-« Une petite amélioration de votre physique que réclame certains clients à qui vous plaisez beaucoup. Un formulaire pour les implants mammaires, bonnet E, un autre pour des implants fessiers, le dernier pour une intervention chirurgicale définitive sur vos lèvres et vos pommettes. Ainsi vous serez parfaite mais décidez-vous tout de suite ! ». Que pouvais-je faire ? Bien sur j’ai signé mon nouveau contrat
FIN
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