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À la recherche d’un nouvel équilibre

Chapitre 4

Un week-end d’asservissement : vendredi

SM / Fétichisme
Quand j’ai reçu le SMS de Laura me demandant de rentrer le plus tôt possible, je me suis d’abord inquiété. Mais elle m’a immédiatement rassuré en parlant d’une surprise. Et en la matière, au vu de ce qu’elle a été capable de faire la veille de notre départ en vacances, je soupçonne quelque chose d’assez… hard.
Mmm… J’en bande d’avance ! Rien d’urgent à faire en ce vendredi après-midi d’août où il n’y a de toute manière plus grand monde dans l’entreprise. Je me rentre pour voir ce que ma moitié m’a concocté.
Après un retour sans problème à cette heure, je gare la voiture et me précipite à la maison. J’ai à peine le temps de pénétrer chez nous que je trouve Laura face à moi, simplement « habillée » d’un string, l’air grave, qui me demande de but en blanc si j’ai toujours envie qu’elle m’asservisse.
Je ne m’attendais pas à ça… Je me souviens très bien de notre conversation d’il y a trois semaines jour pour jour, alors que j’étais encore planté dans le cul de Laura, qui avait pris auparavant une initiative inouïe. J’y ai souvent repensé pendant notre séjour à la montagne, à tête reposée.
Je suis follement amoureux et totalement dépendant d’elle, au point de la considérer comme une partie de moi même dont je souffre d’être séparé quand je ne suis pas en elle. Ceci explique l’insatiabilité et l’exigence dont je fais preuve à son égard. Je sais qu’elle ressent quelque chose d’assez proche, ce qui fait probablement qu’elle assume bien volontiers cette passion. Mais du coup, il est curieux que, dans notre vie sexuelle, cette dépendance ne se concrétise qu’à sens unique.
Aussi, je me dis qu’il faudrait en tirer les conséquences et tenter l’expérience de l’inversion des rôles pour voir si ça nous rapprocherait encore plus de l’état fusionnel auquel j’aspire et, j’ai la faiblesse de le penser, auquel Laura aspire aussi.
Un peu sur mes gardes, je réponds donc par l’affirmative.
Quand elle me propose alors un week-end entier de soumission sans retour en arrière possible à partir du moment où je l’aurai accepté en connaissance de cause, je suis partagé entre excitation et crainte. Visiblement, elle a bien préparé son coup. Je comprends mieux certains de ses comportements cette semaine.
Après quelques secondes d’hésitation, faisant totalement confiance au jugement de Laura pour qu’elle sache jusqu’où ne pas aller trop loin, j’accepte le deal, curieux de savoir ce qu’elle va me proposer. Après tout, elle ne fait que donner une suite concrète à ma suggestion. Et puis compte tenu de ce que j’exige d’elle au quotidien depuis des années, comment pourrais-je me débiner ?
Je n’avais pas prêté attention au fait que, pendant cette brève conversation, ses mains n’ont pas quitté son dos. Quand elle me présente ce qu’elles contiennent et quand je comprends la nature de l’objet, je passe très rapidement de l’état interrogatif à l’état incrédule. Je dois avoir la tête d’un poisson qu’on sort de l’eau !
J’ai déjà vu des vidéos d’hommes portant des cages de chasteté, avec le traitement qui va avec. Je n’ai jamais compris pourquoi ils acceptaient ça. Ils m’ont toujours inspiré de la pitié, peut-être même du mépris. Et maintenant, me voilà moi-même au pied du mur et il m’appartient de décider si je m’engage de mon plein gré dans cette aventure.
Quand Laura m’annonce que je devrai la porter tout le week-end à partir de maintenant si j’accepte, le tout assorti de conditions de soumission drastiques, je suis sur le point de refuser. Mais le puis-je réellement à ce stade ? Si je refuse, je pressens qu’il n’y aura sûrement pas de deuxième chance.

Elle insiste avec une force et une détermination qui m’ébranlent. J’avale bruyamment ma salive, je prends une grande inspiration pour me donner du courage et je réponds, d’une voix mal assurée.
— C’est oui.— Alors déshabille-toi. On va t’équiper.
Pendant que je m’exécute devant elle très lentement, j’ai le cerveau en ébullition. Mais comment Laura a-t-elle pu avoir une idée aussi… aucun qualificatif satisfaisant ne me vient à l’esprit Je voulais qu’elle m’asservisse un peu pour nous rapprocher encore plus, je vais être servi ! En tout cas en matière d’asservissement car, en ce qui concerne le rapprochement, ce sera pour un peu plus tard…
La perspective d’une abstinence forcée, de cette impossibilité même d’entrer en érection pendant peut-être plus de deux jours si tel est le bon vouloir de Laura, qui sera la maîtresse de la clef, me terrorise.
Je ne quitte plus des yeux l’engin de malheur qu’elle tient toujours bien évidence dans ses mains pendant que je poursuis mon effeuillage sans entrain, comme pour retarder le plus possible l’échéance.
Il est constitué d’un anneau articulé, qui ferme avec une minuscule serrure tout en longueur. Cet anneau, qui entoure la base du pénis en passant derrière les testicules, est destiné à accueillir la cage et la maintenir en position par l’intermédiaire d’une goupille qui vient s’accrocher au dispositif de verrouillage. La cage elle-même est constituée de fines barres métalliques reliées par des anneaux.
À vue de nez, ses dimensions vont permettre à mon pénis d’occuper l’espace avec un peu de marge en longueur comme en diamètre et donc sans devoir être constamment comprimé… en l’absence d’érection en tout cas. Détail pratique qui a son importance : on peut uriner sans l’ôter et sans contrainte puisque le bout de l’urètre vient se positionner au droit du petit anneau situé à l’extrémité.
Je suis désormais nu devant Laura. Elle va s’asseoir sur une chaise et me demande de venir me positionner devant elle, mains dans le dos. Aussi étrange que cela puisse paraître, avant même qu’elle m’ait touché, je sens mon membre se gonfler légèrement. J’essaie de lutter contre le phénomène en pensant à autre chose mais évidemment elle s’en aperçoit. Elle se moque en s’adressant directement à mon sexe, comme si je n’existais que par lui :
— On dirait que ça te fait de l’effet la perspective de te retrouver en prison. Ou alors tu veux profiter une dernière fois de ta liberté avant de purger ta peine ?
Puis elle entreprend de m’équiper, après avoir comprimé le condamné dans sa main pour lui imposer un retour à la position repos. Avec précaution, elle glisse l’anneau articulé derrière mes testicules, le passe autour de la racine de mon pénis et le maintient en position fermé entre deux doigts.
De l’autre main, elle saisit la cage et y fait pénétrer sans trop de difficulté mon pénis car il y a effectivement un petit peu de marge. Elle vient accrocher la goupille à l’anneau. Une fois l’ensemble attelé, elle se saisit de la serrure, verrouille l’ensemble et me montre fièrement la clef qu’elle accroche à une chaîne autour de son cou en chantonnant gaiement :
— Et voilàààà !!!
Mais il était temps. À peine entré dans sa prison, une augmentation de volume incontrôlable fait occuper à mon membre la totalité de l’espace.
En effet, une pulsion due au stress m’envahit. Celui-ci, quand il est soudain, se traduit en général chez moi par une érection. Mais là, je sens le métal froid comprimer désagréablement mon gland constamment décalotté bien que non circoncis et ma hampe. Impossible à mon pénis de se développer plus. C’est terriblement frustrant. Ma bite encagée pointe lamentablement vers le bas alors que dans ma tête, je bande.
L’anneau qui entoure la base du pénis derrière mes testicules les fait saillir et paraître plus gros. Mon scrotum rasé est tendu et brillant. L’ensemble est un peu lourd et tire sur mon bas ventre. Ce n’est pas vraiment douloureux mais franchement désagréable. Je me sens vraiment… contraint.
Laura continue à s’adresser à mon pénis comme si je n’existais pas.
— Tu sais que tu m’excites à mort harnaché comme ça ? Et pourtant tu es si inoffensif maintenant…
Elle se saisit de la cage et la redresse en position verticale. Après m’avoir titillé de la pointe de la langue le méat urinaire, qui s’écrase sur le dernier anneau sous l’effet de mon érection contrariée, elle poursuit :
— Regarde ce que je me suis acheté pour pallier ton empêchement pendant ces trois jours.
Elle exhibe un godemiché présentant des proportions très supérieures aux miennes… quand je bande à mort !
— Tu ne crois quand même pas que je vais faire abstinence ? poursuit-elle en s’adressant toujours à mon membre emprisonné.
Je me sens réduit à l’état de simple objet supportant son infortuné et silencieux interlocuteur. Et en plus elle lui montre un palliatif aux dimensions supérieures à celles qu’il pourrait atteindre s’il n’était pas embastillé. Alors dans l’état où il est maintenu…
Je me surprends à considérer à mon pénis à la troisième personne, comme s’il ne m’appartenait plus.
Après la vision du membre factice et le contact de sa langue sur le bout de mon urètre, qui m’a procuré un délicieux frisson, je me sens soudain encore plus à l’étroit dans la cage. Je suis incapable de bander alors que j’en ai envie. Je suis comme impuissant.
Laura aperçoit les vaines tentatives de déploiement du prisonnier et s’en amuse. Je meurs d’envie de lui demander de me libérer, de la supplier même. Après quelques dizaines minutes seulement ! Mais coupant court à mes réflexions, elle annonce gaiement, toujours sans s’adresser à moi :
— On va aller se taper une bière dans le jardin.
Elle enfile un débardeur qui m’appartient, beaucoup trop grand pour elle, en guise de courte robe. Elle est encore plus sexy et désirable que nue.Je hasarde une réponse, histoire d’exister à nouveau :
— Bonne idée, je vais enfiler un short.
La réponse est cinglante :
— Je ne crois pas te l’avoir autorisé.— …— Je te rappelle une toute dernière fois les termes de notre contrat. Jusqu’à dimanche vingt heures, tu ne prendras aucune initiative sans m’en demander au préalable la permission. Tu exécuteras tous mes ordres sans discuter et tu resteras à mon entière disposition. Et je te conseille vivement d’adopter un comportement humble et poli si tu espères pouvoir compter sur ma bienveillance.
J’inspire un grand coup et je prends sur moi pour formuler ma première demande de permission depuis bien des années.
— Laura, est-ce que je peux aller enfiler un short, s’il te plaît ? en détachant les dernières syllabes de manière un peu provocante.— Tu vois, ce n’est pas si difficile que ça… me répond-elle en souriant, ironique.
Puis, après un temps d’arrêt, elle me répond simplement en me fixant dans les yeux d’un air redevenu subitement extrêmement sévère :
— Nein.
Je ne peux m’empêcher de réagir en élevant la voix.
— Tu veux que je sorte à poil avec cet engin de malheur qui pend lamentablement entre mes jambes ?
Laura balance la tête de droite à gauche avec un air navré.
— Tss-tss. Tu es indécrottable. Ce sont quels mots de notre accord que tu ne comprends pas ? Ordre ? Permission ? Sans discuter ? Tu veux que je te libère de tes engagements ?
Cela sonnerait pour moi comme un échec. Ma fierté s’en trouverait encore plus atteinte que dans la situation actuelle. Et puis je voudrais aller au bout de cette expérience, que j’ai moi-même suscitée. Je fais confiance à Laura pour me pousser dans mes retranchements, me faire sortir largement de ma zone de confort, mais sans aller jusqu’à l’inacceptable pour moi.
D’ailleurs, en y réfléchissant rapidement, son injonction ne me fait courir aucun risque : notre jardin est entouré de haies denses et suffisamment hautes pour empêcher tout regard intrusif, même si nous entendons parfois les voix des passants. Je réponds alors sur le ton d’un repenti :
— Excuse-moi. Il me faut du temps pour me faire à ma nouvelle condition.
À la manière de Dark Vador, en adoptant une voix grave et en fronçant les sourcils, elle répond avec humour :
— Excuses-acceptées, pschh…
Puis, reprenant son sérieux, elle ajoute d’un air sincèrement menaçant :
— Mais c’est la dernière fois. Tu as joué ton joker. La prochaine fois, on arrête tout. Définitivement.
J’encaisse le message yeux baissés, tel un gamin qui se fait réprimander par sa mère, avec un hochement de tête d’acquiescement. Je découvre à cette occasion une facette de la personnalité de Laura qu’elle ne m’avait jamais montrée. Qu’elle est belle, intelligente… et désirable !
Elle saisit deux bouteilles de bière par le col dans le réfrigérateur d’une main et ma prison de l’autre. Elle me mène jusqu’à nos fauteuils et notre table de jardin… par le bout de la queue. En la suivant ainsi comme un toutou docile, à poil, je me sens vraiment… asservi.
Je décide à cet instant de tenter de ne plus résister, de lâcher totalement prise, de me laisser porter par le cours des événements pendant deux jours. Enfin d’essayer en tout cas…
Je ne prends plus aucune initiative en matière de discussion. Je me contente de répondre aux questions. Quand elles suscitent une interrogation de ma part, je lui demande l’autorisation de la formuler.
Je ne sais pas trop comment m’asseoir pour ne pas être gêné par la cage de chasteté. Jambes écartées pour la laisser pendre, serrées ou croisées pour la supporter… aucune n’est vraiment confortable. Je distingue le regard ironique de Laura à chacune de mes tentatives, à chacun de mes changements de position empruntés.
Soudain, elle se lève et m’annonce :
— Tout ça m’a vachement excitée. Et puis je me suis habituée à ton rythme de vacances. J’ai besoin de jouir. Suis-moi.
Il n’y a pas qu’elle qui a besoin de jouir…
Elle se saisit en passant du godemiché, qui était sagement resté à l’entrée en l’attendant patiemment, puis se dirige vers notre chambre. Ce que je redoutais est en passe de se produire. Elle va se donner du plaisir avec son nouveau partenaire sous mes yeux. Quel supplice ! Je me sens subitement envahi d’une bouffée de jalousie… à l’égard d’un bloc de silicone.
Alors qu’elle s’installe confortablement sur le lit face à moi après m’avoir jeté son débardeur et son string au visage, elle me commande :
— Reste-là et profite du spectacle.
Profiter du spectacle. Quel toupet ! Elle se fout ouvertement de moi en plus.
Jambes repliées et cuisses largement écartées, Laura commence à se caresser le clitoris du bout de l’index, en prenant bien soin de ne pas masquer le spectacle. Provocante, elle me fixe droit dans les yeux avec un air de défi. De mon côté, j’ai du mal à détacher mon regard de son doigt qui s’agite, hypnotisé. Je vois ses grandes lèvres se gonfler progressivement, la petite qui dépasse rougir et son vagin devenir luisant.
Une fois suffisamment excitée et lubrifiée, elle rentre deux doigts de son autre main dans sa chatte et se met à se masser le point G. Son souffle s’accélère, son plaisir est en train de monter. Elle se saisit alors de son nouveau partenaire, positionne le gros gland à l’entrée de son vagin et entreprend de l’y faire pénétrer lentement.
Le contraste entre le volume de l’engin et l’étroitesse du fourreau qu’il s’apprête à investir est saisissant. Laura a d’ailleurs du mal. Mais à force de patience, de courts va-et-vient, son nouveau compagnon progresse et finit par l’envahir totalement après quelques minutes d’efforts.
De mon côté, je n’en peux plus. J’ai envie de sauter sur elle, de chasser l’importun et de la prendre furieusement. Je dois avoir la marque des barreaux sur la bite tellement des afflux de sang incontrôlables s’évertuent à se frayer un chemin. Mais c’est impossible. Ma queue reste inexorablement en position basse, pendouillant lamentablement entre mes jambes. Quel calvaire ! Je voudrais au moins la frotter pour me soulager. C’est également rigoureusement impossible.
Pendant ce temps, Laura poursuit sa besogne et se branle frénétiquement le clitoris en agitant le godemiché dans son vagin distendu. Elle finit par partir dans un orgasme en criant. Je suis au supplice. Une fois apaisée, elle retire son partenaire dans un bruit de succion. Sa chatte reste largement ouverte pendant quelques instants avant de se refermer progressivement.
— Ça t’a plu ? me demande-t-elle sur un ton insupportablement ironique.
Je préfère ne rien répondre. De toute manière, j’imagine qu’elle n’attend pas spécialement de réaction de ma part. Elle remet son string et son débardeur mais ne me propose pas de m’habiller. Je reste donc en tenue d’Ève… ou d’Adam plutôt.
Je suis en proie à une forte envie d’uriner. Sans trop savoir si je dois aller jusque-là, j’en fais la demande en gage de bonne volonté :
— Laura, est-ce que je peux aller pisser, s’il te plaît ?— Bien sûr. Je t’accompagne.
Avant que j’aie pu émettre la moindre réaction, elle empoigne la cage et me conduit jusqu’aux WC proches de notre chambre.
— Tu peux y aller, me dit-elle en me positionnant face à cuvette et en se plantant à côté de moi.— Euh… Tu restes là ?— Oui. Ça te pose un problème ?— Non, non.
Oui, oui en fait ! Pisser devant Laura avec cet anneau qui m’enserre la base du pénis et cette cage qui m’opprime… j’ai le plus grand mal à commencer à me soulager. Quelques gouttes commencent enfin à s’échapper, suivies par un jet plus puissant. Mais l’urètre n’est pas bien en face de l’orifice prévu pour cette fonction. Mon jet éclate et se disperse de manière anarchique un peu partout. J’interromps immédiatement ma miction, penaud.
Laura n’en rajoute pas. Elle commente simplement :
— Je crois que tu ferais mieux de t’asseoir, comme les filles…
Effectivement, cela me paraît aussi être la meilleure solution pour assurer le coup. Quand j’ai enfin réussi une vidange totale, elle conclut :
— Maintenant tu sais comment faire pour ne pas en foutre de partout. Nettoie tes dégâts, va faire un brin de toilette et rejoins-moi en bas.
Le reste de l’après-midi se déroule sans autre fait notable : apéro, repas, sage soirée devant la télé avant le coucher. Comme si de rien n’était… Les discussions sont réduites au strict nécessaire. J’attends docilement que Laura m’adresse la parole pour m’exprimer.
Elle me demande d’aller faire le marché demain matin tôt comme d’habitude, en me laissant le libre choix de la tenue qui me paraîtra la plus appropriée.
J’avais espéré qu’elle me libèrerait pour la nuit mais il n’en est rien. Après une inspection approfondie durant laquelle elle manipule mon pénis emprisonné et mes testicules, elle conclut sur un ton doctoral que je supporte « plutôt bien le traitement » (sic) et déclare qu’on peut le poursuivre. Je vais donc devoir passer une première nuit ainsi harnaché. Je ne dois pas la coller pour ne pas la déranger avec mon équipement. Dans le cas contraire, je finis la nuit sur la peau de vache qui décore notre parquet, dixit l’Être impitoyable qui a pris en main ma destinée pour un week-end.
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