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Recherche de travail

Chapitre 1

Hétéro
Cette sacré crise fait que tu cherche un emploi, La boite le Pole Emploi ne cherche des conneries. Tu cherches par toi-même. Tu fais à peu près tous les magasins, les bureaux, enfin tout ce qui tu trouve. Tu fais même le trottoir pour avoir de l’argent. Mais faire semblant de jouir avec des inconnus après leur avoir demandé 100 € ne te convient pas particulièrement sinon que tu jouis quand le client ou le couple est particulièrement vicieux.Vendre ton corps n’est pas la panacée.Enfin un jour tu tombe dans une petite boite qui cherche une vendeuse particulièrement sexy pour vendre des vêtements féminins et au sous-sol des objets coquins. Je suis ce patron: je te reçois rapidement entre deux portes, je te demande de passer après l’heure de fermeture vers 19 h 15. Tu attends cet instant magique: tu va certainement trouver un travail, même s’il ne convient pas tout à fait à tes compétences.L’heure du rendez-vous est là: Une porte à coté du magasin s’ouvre: c’est moi qui y’invite à entrer. Je te précède: tu commence à trembler: qui sait ce que je vais te dire ?Je te fais entrer dans mon bureau. Ton travail, mise à part la vente de vêtements féminins sexy, très sexy même s’accompagne de la vente des objets personnels pour les femmes. Tu comprends à demi mots. Pourtant je veux être sur que tu sais exactement ce que je te propose de vendre. Au sous sol il y a une autre pièce plus grande que le magasin lui-même. J’allume cette pièce: tu vois presque tout: les simples boules de geisha de différentes tailles, d’excitateurs surtout destinés au caresses clitoridiennes, des chapelets de différentes grosseurs et de godemichés de toutes formes et tailles, naturels ou avec des formes en œufs. Enfin des rabbits destinés au con, au clitoris ou au cul, Et enfin le fin du fin les doubles godes destinées soit à deux femmes en même temps, soit pour la plus part destinés aux doubles pénétrations. Je te demande si ça ne te gêne pas de vendre toute cette collection. Je t‘avertis en plus qui du sera emmenée à faire sur toi même des démonstrations.Tu a des doutes. Pour te faire fléchir je te promet de te baiser après chaque démonstration, enfin le soir, après la fermeture. Nous remontons et dans le bureau je te prends dans mes bras: tu sais ce que je veux: te baiser, là, dans mon bureau. J’ai dans ma main un double gode. Tu sais déjà que je vais te demander de te branler devant moi. Tu ne veux pas que je te fasse quoique ce soit. Pourtant tu sais que si tu veux travailler, il n’y a rien à faire: tu dois y passerRésignée, tu fais ce que je te demande:— Mets-toi nue devant moi et montre-moi ton cul, tes seins, tes fesses et ton con ouvert. Tu obéis contrainte et forcée. Tu t’approche comme je te le demande: je passe mes mains sur ton corps, absolument partout, surtout sur les jambes au début: je vais sur tes seins après! Je les caresse délicatement. Tu commence à trouver un début de plaisir. Je me lève pour t’embrasser sur la bouche: ma langue force tes lèvres pour entrer. Tu ne peux plus résister puisque j’ai mis une main sur ton clitoris. Tu participe enfin avec ta langue. Je te pousse vers le magasin fermé où il y a un divan destiné à la clientes avant leurs achats: Tu te laisse tomber avec la ferme intention de me résister: tu ne veux pas être forcée. Je connais les moyens de t’exciter: je force à écarter les cuisses. Même si tu résiste un peu tu ne peux résister aux caresses de l’excitateur. Je l’ai posé sur ton bouton. Tu ne tarde pas à en vouloir plus; je rentre le chapelet de perles dans le cul. Résignée tu te laisse faire, par contre quand je sorts les perles une à une à une cadence lente; tu jouis à chaque fois. Tu jouis ainsi 9 fois;Maintenant c’est à mon tour; je te demande— Tu veux que je te baise ou tu veux me sucer.Tu te donne le temps de la réflexion:— Je préfère te sucer pour la première fois.— Tu aime le sperme ?— Oui— Tu avale ?— Bien sur.— tu veux que je me mette nu ?,— Oui— Alors fait gaffe de bien me sucer, sinon gare !Je suis enfin tout nu, tu regarde ma bite qui semble te convenir. Je suis assis à tes cotés, mes mains sur tes épaules que je caresse tendrement. Tu baisse ta tête, tu ouvre en grand ta bouche pour finalement le lécher simplement le bout du gland. Tu te décide enfin à lécher mon bout de pine et enfin te prends la moitié du bite dans la bouche. Ta tête fait des vas et viens. Je suis sur le point de jouir quand tu t’arrête. Je proteste un peu.— Je ne veux pas que tu jouisses maintenant sinon tu ne pourras pas me la mettre !!— Tu la veux où ?— Où tu veux.— Je voulais ta bouche.— Je te la prendrai à la fin pour que je puisse te goûter.— Fais ce que tu veux.Ainsi non seulement tu me commende moi, ton futur patron mais tu ne veux me sucer que quand tu en auras envie.Tu te pose les genoux par terre, te me tends tes fesses. Je comprends que tu veux que je te la mettre dans le cul. C’est bien ce que tu veux; tu te mouille bien la pastille d’où j’ai sortis le chapelet.A deux mains tu écarte les fesses; je trouve facilement ton anus. Je ne fais que poser ma pine sur lui; j’entre sans forcer. Tu gémis parce que je t‘aurai fait mal. Je m’en fous; je peux faire de toi ce que je veux: tu a besoin de boulot, alors laisse-moi t’enculer comme je veux. J’entre à fond dans ton cul: j’y vais et viens, jusqu’à en sortir complètement. Je sais que je te fais mal. Tu dois de rendre compte que moi je prends mon pied en te sodomisant. Je t’ordonne de te détendre complètement pour que j’encule une fille convenablement. Tu le fais et enfin tu commence à sentir le plaisir monter de ton ventre. Tu le sens tellement qu’à la fin je sens les crispations de ton cul autour de ma bite. J’ai juste le temps de sortir avant de jouir. Je passe ma langue sur ton cul pour que tu continue à jouir un peu. Je m’assieds et te relève aussi. J’ai ouvert ta sexualité normalement débordante. Tu viens sur mes genoux, face à moi. Tu prends ma bite pour te la mettre dans ton con. Je peux t’embrasser encore: tu réponds cette fois toute seule. Tu fais que je m’enfonce dans ta chatte. Pourtant tu veux encore plus de jouissance; tu mets à tour un doigt sur ton clitoris. Tu es comblée avec ce doigt et ma pine dans le con. J’arrive à passer une main derrière toi. Je trouve ton trou du cul, j’entre un seul doigt quez je fais aller et venir. C’est le comble pour toi. Tu t‘agites dans tous le sens et tu jouis.Je te fais relever. J’ai oublié quelque chose dans mon bureau. Je te laisse là: je suis tranquille je crois bien que tu vas te branler en mon absence: quand je reviens c’est justement c’est que tu fais: tes jambes écartées accueillent tes doigts; ton puce dans le vagin et les autres sur ton bouton.Quand je te montre l’objet; tu arrêtes ta masturbation: j’ai dans ma main le gode double que tu vas essayer. Tu es du coup encore plus mouillée. Quand je te le donne, tu as vite compris que les extrémités ne sont pas les même: tu décide de toi-même où tu vas planter le petit bout: tu écarte bien les fesses pour t’enculer et quand tu en as mis le plus long dans ton cul, tu te décide enfin à te baiser avec l’autre bout en pliant bien le gode. Tu a vite fait de comprendre comment te faire seule une double pénétration. Tu es presque couchée pour profiter de ton plaisir. Je veux le prolonger en te donnant ma queue. Cette fois encore tu la prends dans la bouche. Je sais que maintenant tu vas me faire jouir: tu engloutis ma bite jusqu‘au fond de ta bouche, tu es sur le point d‘avoir une nausée. Tu te retiens surtout que mon sperme lui sort pendant ma jouissance. J’en largue un flot puissant. Tu en avale presque tout. Le reste coule sur ta poitrine; tu le ramasse avec l’autre main pour tout récupérer. Pendant que tu me déguste ta main ne cesse de faire aller et venir le gode dans ton con et ton cul; jusqu’au moment où tu sursaute d’un énorme orgasme. Je te lasse récupérer un peu avant de retourner au bureau: J’avais déjà rédigé ton CDI: si tu avais réellement voulu ne pas baiser je t’aurai quand même engagée parce que je savais que tu conviendras pour la place:Reste à savoir si tu pourras d’exhiber devant des femmes à l’affut d’un objet de plaisir solitaire. Pour ça, tu me promets que tu le feras volontiers: tu aime trop la baise.Qui sait un jour tu le fera aux autres femmes et tu y prendras goût. 
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