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Le récit angoissexy de Matt

Chapitre 1

Divers
Maureen se pencha pour lire le nom sur la sonnette : John BAIANUS. C’était là. Elle n’eut à sonner qu’une fois au numéro indiqué sur la petite annonce car une ombre se profila derrière la porte qui s’ouvrit aussitôt. La jeune fille eut un mouvement de recul en voyant la personne en face d’elle : un colosse hirsute à la pilosité abondante d’un noir de jais qui ne reflétait pas la lumière, un visage rude taillé à la serpe, des yeux sombres enfoncés dans des orbites surmontées de sourcils broussailleux, un nez large et cassé, une bouche épaisse et cruelle. « Cet homme ne respire pas le bonheur », pensa-t-elle en prenant son courage à deux mains.
— Bonjour, vous avez toujours une chambre à louer ?— Oui. Si ça t’intéresse, tu me suis.
La petite rouquine opina et entra dans un vestibule mal éclairé ; elle suivit le propriétaire dans un escalier en marbre gris qui menait à l’étage. Sur un palier carré, quatre portes identiques.
— Là, c’est ma chambre, expliqua l’homme d’une voix sèche. Là, les toilettes, ici la salle d’eau, et ici la chambre que je loue.
Maureen entra et découvrit une pièce austère : sol carrelé en grès, murs blanchis à la chaux, un grand lit, un placard occupant tout un pan de mur, deux chaises, un bureau sous une fenêtre protégée par d’épais barreaux. Elle fit la grimace, mais c’était propre et dans ses prix. Si on comprenait les services à rendre. Elle grimaça encore, elle n’aimait pas trop l’idée de faire la bonne à tout faire pour un homme, surtout celui-là. Il lui faisait un peu peur, en fait.
Mais elle n’avait pas trop le choix, Londres étant hors de portée pour ses maigres finances. Son école post-bac d’arts plastiques lui coûtait déjà toutes ses économies, avec son voyage depuis Nancy. Elle se tourna vers l’homme qui attendait à la porte et hocha la tête.
— C’est parfait, je la prends.— Bien. Redescendons, tu vas signer les papiers.
Il la conduisit dans un salon aussi froid que la chambre et s’assit sans proposer de chaise à la jeune fille, lui montrant la lourde table de ferme.
— Tu remplis le questionnaire sans rien oublier.
Elle prit le stylo-bille posé à côté des feuilles et commença.
Nom : MarlotPrénom : MaureenAge : 18 ans
Taille : 1,63 mPoids : 64 kgPointure : 38Situation : célibataire.Adresse : rue Jacques Gruber, 54000 Nancy, FranceVierge :
Maureen leva la tête, déstabilisée. Un questionnaire, d’accord. Mais des questions intimes comme ça...
— Tu réponds à tout ou tu peux partir, lui lança l’homme d’une voix glaciale.
Les oreilles en feu, Maureen baissa la tête sur la feuille et cocha « non ». Elle avait fait l’amour avec un copain de classe, puis avec un garçon un peu plus âgé depuis. Ceci sans trouver ces expériences concluantes. Manque de connaissances et de technique de part et d’autre, semble-t-il. Les questions suivantes étaient plus neutres, dieu merci. Mais tout aussi inquisitrices. Allergies, pathologies, maladies génétiques, dysfonctionnements... Surprise, elle répondit : néant.
L’homme reprit le formulaire et le parcourut en diagonale avant de relever la tête vers Maureen.
— Je te laisse t’installer ; je t’apporterai ta tenue avant le repas du soir.— La tenue ? Pourquoi...— Tu ne vas quand même pas faire la bonniche en jean et gros pull, non ? J’ai ce qu’il faut pour toi.— Ah bon... D’accord.
Le soir venu, alors que Maureen compulsait un article sur les sculptures de Niki de Saint Phalle, le propriétaire frappa deux coups secs à la porte et entra sans plus de manières. Il tendit un petit sac à la jeune fille.
— Tiens. Je t’attends dans dix minutes, dans le salon et en tenue. Tu as intérêt à être à l’heure.— Euh... Oui, bien, monsieur.
Seule dans sa chambre, Maureen ouvrit le sac en papier et en sortit plusieurs articles vestimentaires qu’elle considéra avec suspicion : une paire d’escarpins à talons hauts pointure 37, un string rouge sang, un bustier assorti, des bas résille rouges autofixants. C’était tout. Pensant à sa situation financière, la jeune fille soupira ; elle n’avait pas trop le choix, en fait. Il lui fallait prendre sur elle et accepter.
Après tout, ce n’était qu’un mauvais moment à passer, se dit-elle, fataliste. Elle irait jusqu’au bout, quitte à laisser le colosse abuser d’elle. Elle n’était pas en sucre, elle survivrait. Une fois changée, elle s’examina dans le miroir de l’armoire, fronçant les sourcils : rentrant le ventre, elle arrangea les bonnets du corset dont sa poitrine abondante menaçait de s’échapper. Les chaussures lui faisaient mal : trop petites d’une pointure, trop hautes de talon, c’était un véritable supplice. Elle descendit l’escalier précautionneusement, en se tenant à la rampe.
« Pourvu qu’il ne se moque pas de moi, pensa-t-elle en entrant dans le salon. Je suis mignonne, mais je n’ai rien d’un top-model non plus. Pas assez grande, quelques maudits kilos de trop... »
— Tu es en retard, Maureen ! la morigéna l’homme, assis dans un fauteuil.— Euh... Oui, pardon monsieur.— Ça va pour cette fois. Tu es mignonne habillée ainsi. Tu n’es pas comme ces mannequins anorexiques qui envahissent les écrans, au moins. Sers-moi un whisky, ordonna-t-il en désignant le bar. Puis tu me suceras pendant que je le bois.
Fataliste, car elle s’y attendait un peu (beaucoup), Maureen hocha la tête. Ses pommettes et ses oreilles brûlantes lui confirmant qu’elle piquait un fard, elle s’activa, servant une dose généreuse de Talisker, un whisky qu’elle devinait onéreux.
— Je n’ai pas mis de glaçons, monsieur, prévint-elle.— Ce serait un sacrilège, malheureuse.
Sans attendre elle s’agenouilla entre les cuisses musculeuses de son logeur qui exhiba une verge au repos qui la stupéfia : épaisse et veineuse, elle était extrêmement velue, pratiquement recouverte de la même toison noire que le visage du colosse. Incertaine, la jeune fille releva les yeux et rencontra le regard inflexible de l’homme. « Bon, quand faut y aller... » décida-t-elle avant de saisir l’objet du délit dans sa main délicate. Ses coups de langue et la chaleur de sa cavité buccale entraînèrent un rapide accroissement de volume. Très vite, Maureen se retrouva devant une bite imposante, bien plus que celles des deux amants rencontrés par le passé. Par son oeuvre, le sceptre de chair durcit encore, le gland mafflu emplissant la bouche pourtant généreuse de la jeune fille.
— Je viens... Avale tout, sinon...
Maureen, par chance, adorait le goût du sperme ; elle déglutit les rasades épaisses et copieuses, songeant que son logeur n’avait point dû se vider depuis longtemps. Consciencieuse, elle lécha ensuite le gland et le débarrassa de toute semence résiduelle. Puis elle leva à nouveau les yeux, cherchant une approbation de son logeur.
— Pas trop mal pour une première fois. Bon, tu manges avec moi, et tu as intérêt à avoir un bon coup de fourchette, je n’aime pas les maigrichonnes qui picorent dans leur assiette.— Merci, Monsieur. Vous n’avez rien à craindre, je me tiens bien à table. Un peu trop bien, hélas, je dois quand même surveiller mon alimentation si je ne veux pas grossir.— Sottises que cela !
La vie de Maureen s’organisa donc chez son logeur londonien : une pipe tous les soirs suivie d’un copieux repas. En quinze jours la jeune fille avait pris cinq kilos, à son désarroi mais au contentement de son hôte. Un soir celui-ci lui confia :
— Maureen, je reçois plusieurs amis vendredi soir, pour le dîner de la pleine lune que j’organise cette fois. Tu es invitée.— Je ne sais si je dois, Monsieur. Je ne connais personne, à part vous bien sûr...— Pas de problème, mes amis attendent de te rencontrer avec impatience. Je leur ai vanté tes talents et ils ont hâte de manger avec toi.— Mes talents ? Mon dieu...
Rougissante, Maureen déglutit, songeant qu’elle allait sûrement devoir sucer tous les convives. Bah, ce ne serait pas forcément désagréable, songea-t-elle. Elle aimait cela et son hôte lui reconnaissait un talent certain.
— Vous serez combien ?— Sept, c’est notre nombre sacré.« Sept ? Bon sang ! ça fait beaucoup, il exagère quand même ! » songea Maureen en rosissant de la plus belle des manières. « Bah, j’aime bien sucer, je devrais y arriver. »
À 10 heures du soir le vendredi, Maureen attendait dans le salon, debout en face de Baianus qui lisait confortablement installé dans son fauteuil préféré. Régulièrement, ses yeux noirs se portaient sur la jeune fille qui soupirait, consciente de sa quasi nudité : elle était vêtue d’une nuisette rouge transparente et rien d’autre. Et comme la nuisette ouverte sur le devant ne tenait que par une fine ceinture noire, son pubis épilé de frais était clairement visible, tout comme sa poitrine un peu lourde aux aréoles dardées.
Un coup de sonnette la fit sursauter, les invités étaient arrivés. Baianus les fit entrer, elle constata qu’ils avaient le même gabarit que son hôte : grands et un peu forts, sombres de poil et hirsutes. Dans le salon, il les présenta à la jeune fille rougissante.
— Maureen, voici le Prince Anatole Lycaon, Grec pure souche. Et le Prince Bran Véréticus, Gallois. Bjorn Egill, Norvégien ; Yves Bisclavret, Breton, Julien Mourioche, un compatriote à vous. Enfin, Vladimir Vseslav, Russe de son état.— Je suis ravie de vous rencontrer, messieurs. Je suis Maureen, pour vous servir.
Ça, pour les servir... La jeune fille se retrouva bien vite à genoux au milieu du salon, à tour de rôle les six invités lui présentèrent leur verge qu’elle honora de son mieux. Ce qui surprit le plus la jeune fille, hors la taille plus qu’honorable des verges présentées, c’était leur pilosité abondante. À la fin, le Breton revint présenter sa verge puissante à Maureen. Bonne fille, elle ne fit pas d’histoire et lui prodigua une nouvelle fellation. Il s’enfonçait parfois un peu trop loin et la jeune fille déglutissait pour accompagner le passage de sa luette par le volumineux gland.
Quand le gourmand Breton eut éjaculé aussi copieusement que la première fois, la gorge de Maureen était un peu douloureuse ; elle n’en nettoya pas moins soigneusement la verge épaisse de toute trace de semence.
— Messieurs, il est presque minuit ; le festin de pleine lune va pouvoir commencer. Je vous propose donc, mes chers amis, de vous rendre dans la salle à manger pour vous préparer. Cette succulente jeune fille nous rejoindra dans sept minutes exactement. — Sept minutes ? s’étonna Maureen. Bien monsieur.
À minuit précisément, Maureen poussa la porte de la salle à manger qu’elle trouvait étrangement silencieuse. Toute à ses pensées, elle entra avant de comprendre réellement ce qu’elle voyait.
Les sept convives étaient entièrement nus, exposant leurs corps puissants et velus. Leurs yeux cruels fixaient avec envie la jeune fille. Leurs langues rouges passaient et repassaient en salivant sur leurs longues canines luisantes. Sept loups dressés sur leurs pattes postérieures l’entouraient. Des loups-garous.
Elle hurla.
Pas longtemps.
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