Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 8 J'aime
  • 5 Commentaires
  • Concours Récit angoissexy

Le récit angoissexy de Wanderer

Chapitre 1

Hétéro
« Hey chéri, et si on creusait une fausse tombe pour Halloween ? »
C’est suite à cette brillante idée qu’Edgar J. s’était retrouvé un après-midi à pelleter des heures durant, excavant des kilos de terre humide. Bien entendu, par « on », la dame voulait dire « tu ». Par chance, l’été commençait vraiment à laisser place à l’automne et les températures s’accordaient à la situation. Après avoir obtenu une profondeur qu’il jugeât convenable, Edgar appela celle qui était sa femme depuis bientôt deux ans, afin qu’elle lui donne son avis.
Sélène C. (elle avait souhaité garder son nom de naissance), arriva avec un grand verre d’eau fraîche. Satisfaite de la profondeur du trou, elle aida son époux à sortir du trou en tirant son bras valide, l’autre tenant le verre d’eau. Edgar jeta un coup d’œil autour de lui tandis que Sélène rentrait à l’intérieur, et observa les décorations. Les citrouilles étaient en place, les fantômes suspendus, le faux sang était bien répandu. Ne manquait plus que le squelette qui devait sortir de la tombe, et tout serait fin prêt pour la fête. Les préparations avaient été terminées deux jours à l’avance, ils avaient de quoi être fiers.
Dimanche arriva lentement. Passant la matinée au lit, Edgar ressenti les courbatures des heures passées à creuser. Faignant de souffrir le martyr, il demanda à sa femme si un massage était possible.
« Après tout, c’est toi qui le voulait ce trou » dit-il comme pour se justifier. « Il est normal que tu en assume les conséquences. »
« Mais, mon beau époux, j’espérais justement que tu sois fourbu ce matin. J’ai reçu ma commande vendredi, et je mourrai d’envie de l’essayer. Tout ce qu’il me fallait, c’est que tu sois affaibli par l’effort », lui répondit-elle en lui embrassant le front.
Jouant le jeu, Edgar laissa sa belle lui menotter les mains aux barreaux du lit. Les bras tendu derrière sa tête, il essaya de bouger mais les menottes jointes aux courbatures lui empêchaient réellement tout mouvement. Redressant la tête, il vit sa femme revenir avec un bâillon et un cache-yeux dans une main, l’autre cachée dans son dos. Sélène chevaucha son mari, posant l’objet caché derrière elle de telle sorte qu’il ne put voir de quoi il s’agissait. D’une main délicate elle plaça le bâillon dans la bouche de son époux, qui se laissait faire docilement, avant de lui poser le cache-yeux. Ne pouvant ni voir, ni parler, ni bouger, Edgar vint à se demander si c’était vraiment une bonne idée.
Il se passa quelques minutes sans que rien ne se passe, sinon la couverture qui fût retirée entièrement, et son bas de pyjama avec. Enfin, il sentit un liquide gluant lui couler du bas des bourses, et les doigts de sa douce lui étaler sur son rectum. Edgar déglutit. « Oh, c’est donc ça », pensa-t-il en déglutissant. « Juste un mauvais moment à passer Edgar, aller, sers les dents. Enfin, le bâillon ! »
Et la « torture » commença. Un premier doigt vint s’enfoncer, suivi d’un deuxième. Ne pouvant que faire des gémissements plus ou moins forts, Edgar préféra se détendre et se laisser faire. Il avait donné son consentement à sa femme, il y a quelques mois, qu’un jour il la laisserait le prendre. « Après tout », avait-il dit « si je veux te prendre par derrière, il est logique que je sache d’abord ce que ça fait. ». Et il le su, sitôt que se femme enfonça le bout de son sextoy, monté en ceinture. La demoiselle prenait son pied à voir son époux si impuissant. Elle regardait son visage se tordre en même temps d’une honte certaine, mais aussi d’un plaisir caché. Elle donnait de grands coups dans le derrière de son tendre, puis se décida à le prendre en main en même temps. Le traitement expert de la jeune femme eut tôt fait d’avoir raison de son maris, qui jouit comme jamais auparavant.
Restant tous les deux pantelants, elle retira le bâillon de la bouche d’Egard, qui fonça l’embrasser avant même qu’elle lui retire son cache-yeux. Elle attrapa tendrement son visage en l’embrassa goulûment. Un long câlin s’ensuivit, avant d’être succédé par une douche tout aussi longue. Le soir arriva assez rapidement.
Tandis qu’ils mangeaient dans la cuisine –car personne ne mange jamais dans la salle à manger- ils discutèrent plus en détails de leur séance du matin. Le deal était le suivant : si Edgar prenait son pied en se faisant prendre, Sélène devrait se laisser prendre par derrière au moins une fois à son tour. Edgar regardait d’ailleurs sa femme un grand sourire au coin de la bouche, sourire que sa femme interpréta comme signifiant « Toi, tu vas déguster. » La conversation se tourna ensuite sur la fête prévue le lendemain. Sélène annonça difficilement à son époux qu’elle n’était plus vraiment sûr que le trou dans le jardin soit une bonne idée.
« Je ne sais pas », dit-elle, «ça ne m’inspire plus du tout confiance. Je suis désolé chéri, mais… tu penses que tu pourras le reboucher demain, en rentrant du travail ? »
Edgar ouvrit de grands yeux, n’en croyant pas ses oreilles, puis finit par y voir l’occasion de marchander un peu.

« Après tout le mal que je me suis donné à le faire ? », grommela-t-il «Je veux bien, oui, bien sûr. Mais seulement si tu acceptes de reconsidérer l’idée d’un plan à trois avec une autre femme. »
Sélène grogna à son tour, mais finit par accepter. Edgar comprit alors que le trou devait vraiment la mettre mal à l’aise pour qu’elle lui réponde qu’elle le ferait, et lui promit de s’en occuper.Cette nuit-là, Edgar se réveilla quelques secondes, et se tournant vers sa femme, la vit assise sur le lit, à regarder le trou dans le sol par la fenêtre. Ou alors le rêva-t-il.
Lundi 31 finit par arriver. Edgar se réveilla et constata que sa femme était déjà prête, bien en avance. Ils s’embrassèrent puis partirent au travail en même temps. Le temps semblait passer étrangement ce jour-là. Edgar quitta le travail plus tôt, pour avoir fini de reboucher le trou avant le soir. Sur le chemin du retour, ses pensées se tournèrent vers le futur plan à trois qu’il imaginait déjà. Il savait que certaines collègues n’ayant pas froid aux yeux sauteraient sur l’occasion s’il leur en parlait. La jeune stagiaire-comptable lui semblait être le meilleur choix, puisqu’elle ne resterait pas dans la boite longtemps. Cela éviterait un trop grand nombre de regard coquin au boulot par la suite.
Edgar arriva devant chez lui, et fut surpris de voir que le portail était ouvert. Il se gara à sa place, et ferma le portail derrière lui. La porte d’entrée était fermée, elle. Il se dirigea vers l’établi, pour prendre une pelle, mais passant devant le trou pour s’y rendre, il s’arrêta net quand il vit que le trou n’était plus là. La terre avait été remise à sa place. Sa femme avait dû rentré et le boucher, ou le faire pendant la nuit peut-être ? Ce qui aurait expliqué le fait qu’elle était déjà prête, si tôt dans la matinée. En attendant le retour de sa femme, il commença à préparer le repas du soir.
Lorsque Sélène arriva chez eux trois heures plus tard, elle vint embrasser son mari, et s’excusa pour ne pas l’avoir attendu au lit pour leur gâterie mutuelle habituelle.
« Mais ne t’en fais pas, » lui dit-elle, « ce soir ma porte arrière sera tout à toi. »
Un baiser sur la joue d’Edgar finit par ne lui faire penser à rien d’autre. Le repas fut servi dans la demi-heure suivante. A table, Sélène remercia Edgar pour avoir rebouché le trou. Ce dernier faillit s’étouffer.
« De quoi tu parles chérie ? », demanda-t-il. « Je suis rentré plus tôt du travail pour le faire, mais il était déjà rebouché. »
Un silence s’installa pendant quelques secondes, mais d’une pesanteur incroyablement lourde. Sélène finit par rire, et continua de manger. Edgar rit à son tour, pour masquer sa gêne. Sélène vit bien que son mari était inquiet, et pour le sortir de son état, se leva de sa chaise, s’approcha de son époux et, se penchant dos à lui, baissa son pantalon. Elle passa sa tête par-dessus son épaule et lui demanda s’il avait toujours faim, avant de déplacer son string sur le côté, dévoilant un derrière entièrement épilé.
Dans les vingt secondes qui suivirent, ils étaient déjà dans leur chambre, lubrifiant en main. Edgar en étala une prodigieuse dose sur l’anus de sa femme, qui ronronnait de plaisir. Il s’enfonça très facilement en elle, et lui fit l’amour comme jamais, jusqu’à ce que son regard se pose sur la fenêtre à sa gauche. De sa position, il voyait parfaitement l’ancienne fausse tombe. Continuant de s’occuper de sa femme qui criait de plaisir pour en avoir encore plus, il ne pouvait s’empêcher de se demander qui avait pu reboucher le trou.
Edgar finit par jouir dans le derrière de sa femme, et regarda celle-ci s’endormir rapidement, un grand sourire aux lèvres. Il se demandait désormais non plus qui avait pu reboucher le trou, mais pourquoi. Quelqu’un en avait-il profiter pour se débarrasser de quelque chose ? Si oui de quoi ? Il n’arrivait plus à penser à autre chose. Sa tête commençait même à lui faire mal à force d’y penser. Il savait que cela ne s’arrêterait pas tant qu’il n’aurait pas eu une réponse.
Il descendit doucement les escaliers et fonça au cabanon pour attraper une pelle, puis se dirigea vers la terre retournée du trou. Il planta le bout métallique et sorti une grosse pelletée de terre. Il s’enfonçait progressivement dans la terre, tandis qu’il l’excavait. Bientôt ses genoux étaient au niveau du sol. Une fièvre s’était emparée de lui. Son esprit, comme embrumé, cherchait une réponse au plus vite, et chaque seconde lui devenait plus douloureuse que les précédentes.
Plus la pelle s’enfonçait dans la terre, plus Edgar avait peur de ce qu’il allait trouver au fond du trou. Et pourtant, il continuait malgré la douleur dans ses bras, et la fatigue qui le prenait au ventre. La pelle finit par ne plus être pratique passé une certaine profondeur. Il la jeta par-dessus le trou, et continua à mains nues, se mettant à genoux dans le trou, lorsque soudain, un bruit de plastique. Fébrilement, il dégagea un grand plastique de la terre, très grand. Trop grand. Mais la forme de ce qu’il contenait, qu’il devinait en le tenant, était encore pire. Il y avait un corps dans ce sac.Tenant le plastique dans ses bras, il se releva pour que la lune éclaire ce qu’il avait déterré. Une pulsation à l’arrière de ses tempes et dans son cœur le rendaient presque fou. D’un geste tremblant de la main, il déchira le plastique pour voir le visage qu’il cachait, et son cœur s’arrêta quand il le vit. Sélène reposait dans ses bras, le visage livide, aussi blanc que la lune.
Paniqué. Fou, air, sortir trou. Edgar ne pensait plus de manière ordonnée. Son visage penché, il passa une main hors de la tombe. Une deuxième. Puis, lentement, il leva le visage. La façade de sa maison devant lui, il leva la tête vers la fenêtre de la chambre. Juste à temps pour voir la chose avec qui il avait passé la nuit, qui le regardait d’en haut, par la fenêtre, avant qu’elle ne rabatte le rideau.
Diffuse en direct !
Regarder son live