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Récits forcés d'un adultère consenti

Chapitre 4

Trash
J’ai tellement hâte de retrouver Eddy à midi. Je me demande ce qu’il me réserve.
Nous avons une équipe de kinésithérapeutes qui travaille à la clinique. Le gymnase est occupé du lundi au vendredi. Samedi, il n’y aura personne pour nous déranger. Je ne suis jamais allée dans leur salle, alors, j’ignore de quel matériel ils disposent. J’ai fait une recherche sur internet : des espaliers, des barres parallèles, des cages de pouliethérapie
pratique en kinésithérapie utilisant un système de poulies, de cordes et de poids. Les poulies et les poids permettent d’effectuer divers exercices de rééducation ou de servir de cage de BDSM
. Mon esprit échauffé m’a imaginée attachée aux espaliers, suspendue dans la cage grillagée. Cela m’a excitée au point de devoir me masturber avec mon gode que j’ai affectueusement rebaptisé Eddy-2.

Il est 10h30. J’ai fini de prendre ma douche.
Hier soir, Rémy est rentré tard et est allé directement se coucher. Quand je me suis levée à 9h, il dormait encore. C’est seule et nue que j’ai pris mon petit-déjeuner à la cuisine. Quand j’étais célibataire, je vivais nue dans mon appartement. J’ai gardé cette habitude lorsque Rémy est absent, car il trouve ça vulgaire. Par beau temps, je prends mon petit-déjeuner dans le jardin. Les hautes haies me protègent des regards curieux des voisins. Même si ça ne me dérangerait pas d’être observée.
Bref, je me sèche et attrape mon plug. Je le lèche avec application. Je me penche au-dessus de la baignoire, glisse ma main entre mes cuisses et insère le jouet dans mon anus. Il le pénètre très facilement. Peut-être devrais-je en prendre un plus large ? Je laisserai à Eddy le soin de décider. Après tout, il est devenu le propriétaire de mon cul. Je m’observe dans le miroir de pied. Sans me vanter, je me trouve encore bien foutue pour mes 48 ans. Je soupèse mes seins, lourds de mes deux maternités mais encore fermes. Cela me fait penser aux aspi-tétons à vis. Je les récupère dans mon sac et les applique sur mes mamelons. Je tourne la vis… un peu trop vite peut-être… je grimace de douleur. Je serre les dents, en attendant la douleur devienne supportable. Je fais de même avec l’autre. Je regarde mes tétons aspirés dans les aspi-tétons. Je retrouve la même sensation que lorsque j’allaitais mes enfants, un mélange délicat de douleur et de plaisir. Je donne de nouveaux tours de vis et regarde avec fascination les tétons s’étirer encore plus. Ils sont presque à la moitié du tube.
— On dirait une vache à la trayeuse, lance une voix avec mépris.— Eh bien, y’en a qui apprécient mes mamelles, réponds-je sur le même ton, en me caressant amoureusement les seins. Il faut bien que je me donne le plaisir que tu me refuses.
Il lâche un ricanement de mépris.
— Et ça lui plait à lui ?— Tu devrais le savoir, puisque les premiers chapitres sont publiés.— J’espère que tu n’as rien de prévu ce soir, me lance-t-il pour changer de sujet.
Je m’arrête devant la porte.
— Pourquoi ?— Nous dînons avec un de mes collègues et sa femme. À Dix-neuf heures trente chez eux.— Très bien. À quelle heure doit-on partir ?— Dix-huit heures trente.
— Très bien, répété-je, je serai rentrée.— Oh, attends là !
Il se précipite sur moi et m’attrape le bras pour me retenir.
— Qu’est-ce que ça veut dire ?— Tu le sauras bientôt, réponds-je en me dégageant vivement de sa main. Je dois me préparer.
Il est encore tôt, mais je n’ai envie ni de l’avoir dans mes pattes, ni d’arriver en retard et donner à Eddy l’occasion de me punir à nouveau… même si je dois reconnaître que ça m’a excitée. Arrivée dans ma chambre, je retire les aspis. Je suis impressionnée par la grosseur de mes tétons. Je passe mes doigts dessus, ils sont très durs et sensibles. Ça me plait énormément. J’enfile une robe bleue, à manches courtes, qui se termine à mi-cuisse. Même si Eddy exige que je l’attende nue, je ne peux pas m’empêcher de m’habiller sexy. Sous le tissu, mes tétons pointent fièrement. Je mettrai plus souvent les aspi-tétons avant de sortir.
Je passe la porte sous le regard pesant de Rémy et gagne ma voiture. Je croise mon voisin qui louche sur ma poitrine.
— Eh bien Inès, vous êtes bien jolie.— Merci de le remarquer, Benoit. Vous êtes chou.
Pauvre Benoit. S’il savait que je laisse dominer et baiser par un agent de sécurité… je tomberais bien bas dans son estime. Mais je l’aime bien, ce petit papy, alors je garde ce secret pour moi... pour le moment.
Je me glisse derrière le volant de ma 107 adorée. Je sens le plug s’enfoncer un peu. Je sors mon collier de cuir et le passe autour du cou. Fin prête, je mets le contact, la musique à fond et quitte ma place. Même si je suis pressée d’arriver, je ne me hâte pas. Je n’ai pas envie de prendre un PV et être en retard. La circulation est fluide le samedi matin et j’évite le centre-ville et son marché. Une demi-heure plus tard, je me gare au sous-sol de la clinique.
Cette fois, j’ai un quart d’heure d’avance. Je prends le temps de vérifier qu’il n’y a personne et me rends au rez-de-chaussée où se trouve le gymnase. Je ne suis pas surprise de trouver la porte ouverte. Tout est étrangement calme. Seul le bruit de mes talons qui claquent sur le carrelage résonne dans le couloir. J’arrive devant la porte : elle est encore fermée à clé. Ce n‘est pas grave. Je retire ma robe et mes chaussures et les range dans mon grand sac. Je sors les aspi-tétons et les remets sur mes mamelons. C’est que je commence à y prendre goût. Je parviens à aspirer un peu plus mes tétons. Ils prennent une couleur violette. Je préfère ne pas forcer. Je vérifie le positionnement du plug et m’agenouille devant la porte. J’attends.
La position est moins douloureuse, je commence à m’y habituer. Je meurs d’envie de me caresser en attendant Eddy. Mais je ne sais pas comment il régira. Pourtant, je sens une légère moiteur gagner mon entrejambe. C’est que la situation m’excite énormément.
Il a dit qu’il ne sera pas seul… Que me réserve-t-il ?
Je n’ai pas le temps de m’appesantir sur ce sujet que j’entends la porte du couloir s’ouvrir et se verrouiller et des pas se diriger vers moi. Je reconnais le pas lourd et déterminé d’Eddy. Spontanément, je mets les mains derrière la tête pour bomber la poitrine et mettre en avant mes seins ornés de ses aspis.

— Assis ! m’ordonne Eddy.
Je baisse les bras, m’accroupis et lève la tête pour offrir mon cou à Eddy qui y accroche la laisse au collier. Je regarde autour de moi et suis surprise de ne voir personne accompagner Eddy. Il avait pourtant dit qu’il ne serait pas seul.
— Qu’est-ce qu’il y a chienne ?— Vous… rien…— Parle ! ordonne-t-il en tirant sur la laisse.— Vous avez dit que vous ne seriez pas seul.— Ça t’aurait plus ? T’es vraiment une belle salope !
Eddy ouvre la porte du gymnase et tire sur la laisse. Je me mets à quatre pattes et lui emboite le pas. Comme je m’y attendais, la salle est déserte et bien rangée. Il m’entraine vers une grande table de rééducation et m’ordonne d’y monter. Je me hisse sur la table. En silence, il passe derrière moi. Ses doigts écartent et étirent mes grandes lèvres.
— Tu mouilles déjà, salope ! Ça te plait tant que ça d’être traitée comme une chienne ?— Oui, maître. Je suis une salope, j’aime être traitée comme une chienne— Y’a pas à dire, j’ai touché le gros lot avec toi !
Il joue avec le plug, le faisant tourner, tirant dessus à la limite de le faire sortir. Je gémis de plaisir en sentant les mouvements du plug en moi.
— On va passer aux choses sérieuses, me dit-il en me claquant la fesse. Tu vas choisir un mot de sécurité. — Pourquoi ? C’est quoi ?— Si la douleur devient intolérable, tu as le droit de le donner et je m’arrêterai. Quel sera ton mot, chienne ?— Euh… euh…
Je n’en sais rien moi. Je n’y ai pas réfléchi.
Une violente claque s’abat sur ma fesse.
— Dépêche-toi !— Avion ! Ce sera avion.— Ne l’oublie pas. Lève-toi !
Je descends prudemment de la table et me remets à quatre pattes sur le parquet. Eddy tire brusquement sur la laisse et m’entraine jusqu’aux espaliers. Les aspi-tétons se balancent au rythme de mes pas, m’étirant délicieusement la peau. Je m’accroupis aux pieds d’Eddy et, levant les yeux, je vois des contentions en cuir fixées aux quatre coins de celui du milieu. Je me redresse et viens plaquer mon dos contre l’appareil en bois. Eddy attrape mon poignet droit et l’élève au-dessus de moi pour l’attacher à une contention de cuir qu’il serre fort. Mon bras est douloureusement étiré. Je gémis de douleur. Il s’arrête et procède de la même façon à gauche. Il m’écarte les jambes avec son pied et me contentionne les chevilles. Il recule de quelques pas, comme pour admirer son œuvre avant de s’éloigner pour fouiller dans un sac en cuir. Il revient avec des objets en métal dans les mains.
Sans explication, il glisse une main dans mon entrejambe bien écarté. Ses doigts glissent entre mes lèvres humides. Ils remontent bien sur mon clitoris pour parcourir mes lèvres puis mon sillon jusqu’à mon anus. Je ferme les yeux, profitant de cette caresse excitante. Mon bassin ondule sur ses doigts, cherchant réclamant une caresse plus forte, plus appuyée.
— Putain, c’est que tu en veux, aujourd’hui.
Deux doigts me pénètrent profondément. Ils glissent avec facilité en moi tellement j’ai envie qu’il s’occupe de mon cas. Très vite, ses deux autres doigts rejoignent les premiers et son pouce écrase mon clitoris. Mes gémissements deviennent plus forts. Mon bassin ondule encore plus. Il retire ses doigts.
— On a le temps, chienne.
Il s’agenouille devant moi. Deux de ses doigts saisissent ma grande lèvre droite et je sens les mâchoires d’une pince se refermer dessus. Je glapis de surprise et lâche un cri lorsqu’Eddy relâche l’objet qu’il a posé. Les mâchoires se resserrent sur ma lèvre qui s’étire douloureusement sous le poids de l’objet.
—  C’est une pince japonaise. Plus on y met du poids, plus les mâchoires se resserrent.
Sans attendre, Eddy procède de la même manière à gauche. Il me retire les aspi-tétons en les dévissant rapidement. Le relâchement brusque m’arrache un gémissement de douleur qui se transforme en cri lorsqu’il me pince les tétons et les tord. Je me tortille désespérément pour échapper à ses doigts. Il m’agrippe alors un sein, le presse fort avant de le téter. J’adore sa façon de me téter et de me presser le sein en même temps. Des décharges de plaisir se déversent dans mon corps jusqu’à mon bas-ventre qui se contracte de plaisir. Il passe d’un sein à l’autre. Il me mord les tétons me faisant crier de douleur. C’est comme un apprentissage. Eddy apprend à mon corps et à mon cerveau que douleur et plaisir peuvent ne faire qu’un. Il prend plaisir à me faire souffrir et il veut que j’en jouisse aussi.
Il se retire, me laissant pantelante. J’entends un bruit métallique et les lourds pas d’Eddy revenir vers moi. Aussitôt, je ressens la morsure des mâchoires de nouvelles pinces sur mes mamelons. Elles sont aussi lourdes que celles suspendues à mes lèvres. Mais cette fois, il les lâche brusquement, m’arrachant un cri de douleur. Je sens de nouveau mes larmes couler sur mes joues.
De nouveaux poids s’ajoutent aux premiers. La douleur est difficilement supportable. Je lâche le mot « avion » pour qu’Eddy n’en ajoute pas. Il se contente de les secouer un peu pour m’entendre gémir.
— Deux cents grammes ! Eh bien ma p’tite salope !
Sa main se plaque sur ma vulve ouverte. Mon corps se tend quand ses doigts me pénètrent. J’en sens trois aller et venir dans ma chatte trempée. Mon corps se tend faisant bouger les poids au bout de mes seins et de mes lèvres. De nouveau, c’est un mélange de plaisir et de douleur. Les tiraillements sur mes chairs tendres se mêlent à la pression qui monte dans mon bas-ventre. Eddy accélère ses mouvements me faisant gémir de plus en plus.
— Plus fort, prié-je, plus fort.— Que veux-tu chienne ?— Allez-y plus fort, maître.— Tu vas être servie, salope.
C’est avec quatre doigts qu’il me ramone alors que son pouce me malaxe le clitoris. Je n’en peux plus. Mes cris rebondissent contre les murs du gymnase.
— Vas-y chienne, crie encore !
Il enfonce profondément ses doigts alors que je beugle mon plaisir. J’ai l’impression que mon vagin a pris la taille d’un ballon de hand. Mais Eddy ne retire pas ses doigts et recommence à me ramoner de plus belle. Je crie à nouveau, je pleure, je veux jouir mais il m’en empêche. La pression monte encore. J’ai mal. Mon bas-ventre semble sur le point d’exploser.
— Jouis, chienne !
Il retire ses doigts. Au même moment, je sens ma chatte éjecter une grosse quantité de liquide chaud. Je glapis de soulagement alors que je me vide sous le regard de mon tourmenteur.
Mes jambes ne me portent plus. Si je n’avais pas les poignets entravés, je me serais écroulée. Je continue de gémir, en sentant quelques gouttes s’écouler de ma chatte délicieusement martyrisée. C’est ce moment qu’Eddy choisit pour ajouter des poids. Mon cerveau embrumé ne comprend pas et me fait gémir de plaisir à l’ajout des poids.
— Trois cents grammes ! De mieux en mieux !
Il me libère les chevilles puis les poignets. Je m’écroule à quatre pattes. Je crie de douleur que je tombe à quatre pattes sur le parquet : le choc de mes genoux sur le bois et surtout les secousses sur les pinces lestées.
— Parfait, chienne, dit Eddy en raccrochant la laisse.
Il me tire. Je commence à le suivre en gémissant car chaque mouvement fait bouger le plug dans mon rectum et les pinces qui tirent sur ma peau. Je m’arrête un instant, mais Eddy tire brutalement sur la laisse. Surprise, je m’écroule sur le sol. Il tire à nouveau sur la laisse pour me faire relever. Je lui obéis péniblement. Il me fait faire plusieurs allers-retours dans le gymnase. Les poids tintent entre eux au bout de mes mamelons et de mes lèvres. Les pinces se resserrent à chaque pas. La douleur est supportable, pourtant des larmes roulent sur mes joues. Le plug pèse de plus en plus dans mon cul. J’ai envie de pousser pour l’éjecter. Mais si je fais ça, il me punira encore. Eddy s’immobilise et m’ordonne de m’asseoir. Je m’accroupis les cuisses écartées. Les poids tirent toujours, mais la douleur commence à être supportable. Il me relève le menton et sourit, satisfait, voyant mes joues humides. Je sens le plug glisser, mon anus se détendre. Je fais tout ce que je peux pour le retenir, mais il finit quand-même par tomber par terre dans un bruit sourd.
Le chute de l’objet n’échappe pas à Eddy. Il le ramasse en fronçant les sourcils.
— Qui t’a permis, chienne ?— Pardon, maître, réponds-je en me recroquevillant. Je ne l’ai pas fait exprès.— Ouvre la bouche !— Maî… maître…
Devant son regard menaçant, je préfère obéir. Il me fourre le plug dans la bouche. J’ai la nausée en sentant le goût du jouet. Heureusement pour moi, il n’était pas trop fort car je me suis bien lavée ce matin.
— Ne t’avise pas de le faire tomber.
Je me contente de hocher la tête.
— Lève-toi. Mains derrière la tête.
Il m’entraine dans une cage de pouliethérapie. Une large sangle pend au bout d’une corde fixée sur le haut de la cage, entourée de deux contentions de cuir. Au sol, trainent deux autres contentions, reliées par des cordes. Il appuie dans mon dos pour me faire pencher en avant. Plus je me penche, plus les poids tirent sur mes mamelons. Je gémis de plus belle. Eddy passe la large sangle sous mon ventre et la fixe au-dessus de ma tête. Puis il passe les bracelets de cuir autour de mes poignets et me les attache dans le dos avant de les suspendre. Il m’écarte les pieds pour les attacher à leur tour et fixe les cordes à la cage.
— Tu me fais bander, salope !
Une violente claque s’abat sur mes fesses. Il me punit pour avoir lâché le plug. Il me punit pour le faire bander. Mais cette fois, il ne le fait pas avec la main. La surface est plus petite. J’imagine facilement une cravache. Chaque coup m’arrache un cri étouffé par le plug dans ma bouche, me secouant plus que le précédent, faisant bouger les poids de plus belle. La douleur des coups de cravache se mêle à celle des pinces lestées. La peau de mes fesses me brûle atrocement. Elle doit être rouge. Les coups s’arrêtent.
— J’adore ton cul !
J’entends plusieurs déclics. Il prend mon cul en photo. Ses doigts écartent ma vulve qu’il photographie aussi.
— Ça te plait d’avoir mal, salope !
Il décroche les poids de mes lèvres. Le sang qui revient dans les zones pincées pulse douloureusement. Je l’entends s’agenouiller derrière moi. Ses doigts s’immiscent dans mes replis trempés pour les écarter avant d’y fourrer sa grosse langue. Il lèche mes parois, se délectant de mon jus. Mon cœur se met à battre comme un fou. Cet homme me rend complètement dingue. Je gémis encore et encore. Mes jambes tremblent tant la tension m’envahit. Il se redresse et défait la fermeture-éclair de son pantalon. Je sens son gland glisser entre mes lèvres puis venir appuyer sur mon anus.
— Alors, la chatte ou le cul, salope ?
Je ne peux pas répondre. La chatte ! La chatte ! Ma réponse ne lui parvient évidemment pas clairement. Il continue son va-et-vient entre mon cul et mon sexe.
— J’adore ton cul !
Son gland presse mon anus et le pénètre progressivement. Même si je lui avais répondu, il m’aurait enculée car il adore ça. Sa queue étire mon rectum, le pénétrant de plus en plus profondément. Ses allers-retours sont de plus en plus brutaux, me secouant d’avant en arrière. Les poids au bout des pinces accrochées à mes mamelons sont eux aussi de plus en plus secoués. Les pinces se serrent et se desserrent à un rythme infernal. De nouveau, douleur et plaisir, humiliation et excitation. Ses mains se posent sur ma taille dans laquelle il enfonce ses doigts. Il me griffe la peau. Il veut me marquer comme sa propriété.
Dans un dernier coup de reins, je l’entends rugir son plaisir. Il se retire légèrement, ne laissant que son gland dans mon cul pour s’y vider. Il se retire complètement et écarte mes fesses. De nouveaux déclics se font entendre.
— Un vrai sac à foutre !
Il vient me contourne et attrape mes cheveux pour me faire relever la tête avant de retirer le plug. Je tousse et crache de la salive. D’un geste rapide, il me remet le plug dans le cul.
— Tu vas le garder jusqu’à ce soir.— Oui, maître.
Il me libère pieds et poignets et retire la sangle sous mon ventre. Je m’effondre au sol en gémissant : douleur, fatigue, plaisir. Tout se mélange dans mon corps. Je l’entends tourner autour de moi. Sans regarder, je sais qu’il me filme ou me photographie.
— La chienne parfaite. Tiens-toi prête pour la prochaine fois.
J’entends ses pas s’éloigner et la porte claquer.
Je ne sais pas combien de temps je reste prostrée sur le sol. Je me redresse péniblement. Les poids encore accrochés à mes mamelons me ramènent douloureusement à la réalité. Je les retire en gémissant. Je soupèse mes seins, observant mes tétons rouges et meurtris. Je m’assois, les pieds écartés. Je regarde autour de moi : la sangle pendouille au-dessus de ma tête, les bracelets de cuir reliés à la cage traînent à côté de moi. Je me caresse le sexe encore palpitant du bout des doigts.
— Eddy… qu’est-ce que tu as fait de moi ? demandé-je à voix haute avant de me lécher les doigts. C’est ce que j’ai toujours été, finalement… une chienne en chaleur refoulée…
Je me redresse. Le plug bouge en moi, me rappelant la queue d’Eddy. Je me traîne jusqu’à mon tas de vêtements. Je me rhabille fébrilement avant de sortir du gymnase. Je regarde bien autour de moi pour vérifier qu’il n’y a personne et file aussi vite que mes jambes épuisées me le permettent jusqu’à l’ascenseur.
Une fois installée derrière mon volant, je regarde l’heure. 14H30… ça a été trop court. Je mets le contact et prends la route de chez moi.
Retour à la vie normale… quel ennui…
Lorsque j’arrive à la maison, Rémy sort de la cuisine. Il me regarde et renifle bruyamment.
— Tu pues le sexe, se contente-t-il de dire.— C’est pas grâce à toi.— J’espère que tu te laveras pour ce soir.— Sans doute oui.
En ultime provocation, je retire ma robe et monte dans ma chambre, entièrement nue, le cul orné du plug d’Eddy. J’imagine le regard médusé de mon mari, mais je m’en moque. S’il me traitait comme le fait Eddy, les choses pourraient changer. J’espère qu’il changera en lisant mes récits.
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