Nous voilà autour d’un verre comme si de rien n’était. Elle avait signé sans commenté la feuille et avait trinqué. Nous étions à table et malgré l’envie de passer à l’action j’attendis encore un peu. Je me suis levé pour aller chercher d’autres petits fours en cuisine. A mon retour, je déposais le plateau sur la table. Je passais derrière elle et me mis à l’embrasser dans le cou. Elle se laissa faire et ne dit pas un mot quand ma main se referma sur son sein droit. A travers le soutien gorge je lui massais le sein de façon ferme tout en continuant à lui embrasser le cou. J’étais debout derrière elle et elle laissa sa tête partir en arrière. J’en ai alors profité pour lui prendre les deux bras et les réunir dans son dos. J’ai sorti les menottes que j’avais dans ma poche arrière de jean. — Je me doutais que tu commencerais par m’attacher ! Dit elle dans un souffle— Alors tu te doutes aussi que je vais te bander les yeux ? Joignant le geste à la parole, je lui mis un bandeau rouge sur les yeux. Elle était désormais à mon entière disposition. Je l’ai laissé dans cette position le temps d’organiser la suite. Mon ordinateur portable sur la table allait immortaliser ce moment et l’achat d’un petit oeuf vibrant télécommandé allait me permettre de faire monter la pression. La vidéo tournait quand j’ai commencé à lui défaire sa petite chemisette bleue. J’embrassais ses épaules, puis le haut de ses seins. Je sortis un premier sein du soutien gorge en l’embrassant puis le deuxième. Ils étaient toujours aussi gros mais tombés un peu plus que dans mes souvenirs. Il était temps de passer à des choses moins douces. Avec délicatesse, j’ai commencé à faire rouler les pointes de sein dans mes doigts. Puis petit à petit la caresse est devenue torsion. Elle haletait de plus en plus, jusqu’à ce que la douleur lui fasse comprendre que nous n’étions plus le gentil petit couple qui jouait comme par le passé. Je connaissais son goût pour la douleur et son envie d’être maltraitée mais mon désir de vengeance encore présent allait intensifier les choses. Je tenais maintenant ses pointes fermement et je tirais sur ses seins fortement. Elle serrait les dents pour ne pas me donner la satisfaction d’avouer sa douleur. Je laissais retomber ses seins. Les pointes toujours sorties et bien dures. Je le fis se mettre debout pour m’occuper de son ventre. Je la basculais sur la table. Sa robe vite relevée me donner une vue imprenable sur son cul. Elle avait mis un string. Je n’ai jamais aimé voir son cul dans un string. Elle a des hanches pour porter des tangas ou alors ne rien porter du tout. Je me débarrassé de l’intrus pour aller constater que l’entrée en matière lui avait plu. Elle mouillait comme une fontaine. Je commençais à lui caresser le clitoris d’une main, pendant que l’autre lui appuyait sur le dos pour la cambrer encore plus et l’aplatir sur la table. Je remontais ensuite sur son anus. Je l’ai malaxé un petit moment. J’ai ensuite attrapé l’oeuf vibrant, je l’ai présenté à sa chatte déjà ouverte. Il est entré sans peine. — "Prends moi maintenant " me dit elle— " Je te prendrais quand je le voudrais et où je le voudrais c’est dans le contrat. Tu vas rester couchée sur la table, sans bouger. Et surtout ne t’avises pas de croire que je plaisante" Je profitais du spectacle pour prendre une première série de photos. Elle ne bougeait pas. La suite allait être très agréable. En tout cas pour moi.