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Réconfort & vieilles dentelles VI. Les escarpins rouges

Chapitre 3

Hétéro
En tout cas je constatais une fois de plus que l’empathie qu’inspiraient les veufs semblait bien marcher, et j’étais bien décidé à exploiter à fond cette carte avec elle, quitte, si besoin, à en faire des tonnes. Il allait juste falloir la jouer finement avec cette femme d’artisan apparemment prospère, si je voulais la mettre dans mon lit.  " - Ecoutez, lui dis-je, je vais voir ma banque pour le financement, mais bien évidemment ils me demanderont si j’ai fait faire d’autres devis, ce qui est mon intérêt, de toute façon.Evidemment, je préférais vous faire travailler, VOUS.— Oui, je comprends. — Mais je vous promets" lui dis-je, sur un ton presque affectueux, qui aurait pu sembler totalement étrange, "que quels que soient les montants des autres devis, je vous tiendrai au courant.— Je vous remercie" répondit-elle avec un air charmant, "et vous promets à mon tour, que s’il n’y a pas une différence trop importante, nous essaierons de faire un petit effort. Pour vous. » rajouta-t-elle. Elle était attendrissante. Est-ce qu’elle en faisait trop ou était-elle, elle aussi, sous mon charme ?
Elle finit par se lever et je la raccompagnai jusqu’à ma porte. Elle avait toujours ce sourire discret et charmant et ses manières exquises.  Je lui tendis la main et lui dis avec le même sourire léger et charmeur : « - A très bientôt, Mme S. » Et la regardant sortir et rejoindre sa voiture, je pensai : « Si vous saviez comme j’ai envie de vous bouffer la chatte... ! Mais ça, je ne peux pas vous le dire, Mme S. Ces choses-là ne se disent pas entre gens du monde. »
J’imaginais souvent en voyant une belle femme d’un haut niveau social et au physique attirant la tête qu’elle ferait si je lui prononçais cette phrase à haute voix, en la regardant bien en face, avec mon sourire aimable et mondain.Cette pointe d’humour que je me faisais à moi-même me permettait quelques secondes de me distraire de ma préoccupation du moment. Car une question, désormais, me taraudait : mourait-elle - comme moi - d’envie de me revoir ? Son entreprise, manifestement, était florissante ou, en tout cas, l’avait suffisamment été pour que ces gens soient très à l’aise (je disais ça au vu de ses bijoux un peu clinquants, et parce qu’elle avait fait allusion au détour d’une conversation de « ses maisons de campagne »), et elle ne devait pas avoir un besoin vital de mon chantier ; je sais, je suis toujours naïf, et il y a des gens qui n’ont jamais assez d’argent et qui sont mus par une cupidité au-dessus de l’entendement, mais bon... Ils n’étaient manifestement pas dans le besoin et ils n’avaient pas à devoir s’abaisser à « draguer » un client comme si leur survie en dépendait.
C’est pourquoi je nourrissais un petit espoir. Durant les deux semaines qui suivirent, je fis venir deux autres professionnels pour réaliser d’autres devis. Quand je reçus ces devis je constatai qu’ils étaient inférieurs à celui de ma belle voisine ; le premier était très inférieur mais la personne qui était venue ne m’avait pas inspiré confiance, il ne m’avait pas tout listé, et sa prestation, dans le descriptif, semblait moins bonne. Le second semblait similaire dans le descriptif des travaux à celui de Mme S., mais le montant en était inférieur de plus de 2000 €. Ce qui était moins cher que le devis de Mme S., même après le rabais de 5 % dont elle m’avait parlé.   Je décidai donc de prendre mon téléphone et de l’appeler. « - Mme S. ? Bonjour. C’est Monsieur D.— Oui, bonjour Monsieur D. Je vous avais reconnu.— Voilà, je vous rappelle car j’ai finalement fait faire deux autres devis.— Oui...?— Eh bien je suis embêté, Mme S., car ils sont mois chers que vous.— Oui, je vois. Bon, c’est possible..."
Je ressentis dans sa voix, un peu sèche soudain, qu’elle était contrariée.J’enchaînai :
" - Bon, peut-être est-il possible d’en discuter ? Vous m’aviez dit la dernière fois que nous nous sommes vus que vous pourriez peut-être faire un effort."
Du coup, elle se radoucit un peu (elle s’attendait sûrement que je lui dise que je ne retenais pas sa proposition, point-barre) :
"- Oui c’est vrai, je vous l’avais dit. Après, il faut voir quelles prestations on vous propose, pour comparer.— Si vous avez le temps, est-ce que vous pourriez venir chez moi afin qu’on en parle autour d’un café ? Quand cela vous conviendra, bien entendu." Elle eut comme une hésitation. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle réponde à mon invitation. Elle pouvait penser que j’avais, en tant que client, de drôles d’exigences. Elle pouvait en avoir marre de se déplacer, après tout, elle était à moins de deux-cent mètres de chez moi et je pouvais aussi marcher jusque-là, même si c’était moi le client. Mais vu mon insistance, elle pouvait se dire qu’elle avait encore une chance de décrocher le chantier. Aussi me dit-elle :
" - Quand est-ce que ça vous arrangerait, quand est-ce que vous êtes disponible, Mr D ?— Ecoutez... vendredi après-midi, sans problème.— En fin d’après-midi ? Vers, 17 heures – 17 heures 30... ?— Oui oui, pas de problème, je serai chez moi. Je vous attends sans faute.— Mais je n’en doute pas, Mr D" dit-elle avec une voix charmante.
J’osai :
" - Alors, à vendredi. C’est toujours un plaisir de vous voir, Mme S."
Elle rit un peu bêtement puis balbutia :
" - Merci. A vendredi.— A vendredi, Mme S. ! » Nous étions mardi et j’étais tout excité. Il allait falloir que j’attende trois jours pour avoir le plaisir de la revoir, et de tenter de la séduire. Mais déjà, comment serait-elle habillée, comment se présenterait-elle chez moi, quelle serait son attitude ?La verrais-je arriver en femme un tantinet aguicheuse ou en femme d’affaire, âpre au gain, décidée à négocier, à décrocher son contrat à un prix intéressant pour elle, ce qui lui permettrait de gagner suffisamment d’argent, quitte à me faire les yeux doux pour me faire craquer ?En somme, avais-je une chance qu’elle soit un peu attirée par moi, et mon charme de latin lover, de séducteur sur le retour, ou n’était-ce que l’odeur de l’argent qui la faisait mouiller ?

J’attendis le vendredi, je dois dire, avec un certain stress. J’avais tout bien rangé, fait un ménage inhabituel dans ma maison, m’étais vêtu à mon avantage. Je me demandais si elle-même aurait apporté un soin particulier à sa toilette.
A dix-sept heures tapantes elle sonna. J’allai l’accueillir au portillon d’entrée. C’est avec une certaine béatitude que je constatai qu’elle s’était fait ravissante : sa coiffure était impeccable, comme les autres fois, elle arborait un maquillage très léger mais suffisamment visible pour qu’on le remarque ; son mascara lui faisait plus que jamais des yeux de biche en allongeant au maximum ses cils et lui donnait un air très doux, une petite ombre à paupières accentuait son regard, et un très léger fond de teint donnait un peu de relief à ses pommettes et à son visage. Quant à sa tenue vestimentaire, elle était plus que sexy : elle était à tomber ! Elle portait en effet un pantalon marron très près du corps (qui ressemblait à du cuir d’agneau), un chemisier blanc très seyant, et, comble de bonheur, ses ravissants escarpins rouges à hauts talons qui semblaient toujours neufs, tellement ils étaient flamboyants !
Etant bien élevé, je la précédai en montant les quelques marches jusqu’à mon perron (on ne fait jamais passer une dame devant soi dans des escaliers, afin de lui éviter cette possible sensation que l’homme mate ses fesses, situées pour le coup juste à hauteur des yeux de son suivant.)Mais une fois la porte de mon entrée poussée, je ne résistai pas à l’envie de m’effacer et de lui laisser le passage tout en lui indiquant la table du séjour, où j’avais déjà disposé un plateau tout exprès pour le café. Je pus ainsi voir comment son corps mince était si bien mis en valeur par ce pantalon moulant et ses chaussures rutilantes, en cuir rouge sombre, si féminines ! C’était peut-être dans ma tête mais je trouvais qu’elle respirait le sexe à plein nez.D’autant que, pour la première fois, je sentais le parfum fleuri et capiteux d’une vraie eau de toilette de femelle (sans aucun doute de grande marque, un vrai piège à hommes, fabriqué pour les faire succomber et tomber raides) qui émanait d’elle. Je devais faire des efforts pour réprimer le trop plein d’émotion qui m’envahissait, et me maîtriser à tout prix.
Je la priai de s’asseoir et allai faire couler les expressos.
Elle avait son air sérieux et professionnel que je lui connaissais déjà, mais avait tendance à incliner la tête sur la gauche quand elle s’adressait à moi comme si elle voulait me charmer. Cela ne m’échappa pas. Mais j’essayai de ne pas me laisser aveugler.Elle mettait peut-être le paquet pour me faire accepter son prix, un prix plus élevé que les autres, même après remise. Je me disais qu’en femme très fine qui sent bien ces choses-là, elle avait sans doute compris dès le début que je la trouvais ravissante et qu’elle me faisait un effet bœuf et qu’elle allait s’en servir. Et puis, cette femme respectable, travaillant pour une entreprise connue dans le coin, familiale, et avec une réputation à maintenir, savait, j’en étais sûr, jusqu’où elle pouvait aller, et qu’elle pouvait avoir une attitude un peu séductrice, mais sans que ça ne devienne jamais ambigu. Je me demandais comment j’allais pouvoir la draguer, sans que ça soit lourd, sans la choquer, sans compromettre mon image à moi, mais sans céder non plus en acceptant un prix exorbitant et me faisant alors des illusions, sans, en définitive, rien obtenir en retour ; en somme, en me faisant un peu rouler dans la farine – et pour ses beaux yeux - par une femme mûre et mariée qui ne ferait que son job de commerçante.
Je nous servis le café en lui demandant comment elle allait. Elle sembla un peu surprise mais esquissa un sourire poli, et me dit qu’elle allait bien, mais rien de plus.Je n’espérais pas qu’elle me fit la conversation, ça ne semblait pas son genre de s’épancher sur des détails privés de sa vie. Mais je tenais encore à lui montrer que je m’intéressais à elle, au-delà de ce qu’elle avait à me vendre.
Je lui montrai des copies des autres devis (j’avais masqué l’identité des entreprises, par discrétion) pour qu’elle examine ce qu’ils proposaient dans leur prestation, comme elle me l’avait demandé.Elle discuta, argumenta, voire pinailla, cherchant à me prouver que tout n’était pas détaillé, et qu’en conséquence, elle, pour le prix, certes plus élevé, elle m’offrait un service supérieur.
Je la laissai parler, effectuer sa démonstration, l’écoutant attentivement, puis je restai silencieux, les yeux parcourant les deux autres devis, comme pour bien m’imprégner ce qu’elle venait de me dire, et réfléchissant.
Je pris enfin la parole. Ses beaux yeux me fixaient avec attention.
" - Ecoutez Mme S. Ça n’est pas que je ne sois pas convaincu par vos arguments. C’est vrai que votre prestation a l’air supérieure aux deux autres - même si je ne suis pas du métier, et qu’il est difficile de juger sur un papier - mais même avec une remise de 5 % (enfin, celle que vous aviez évoquée), votre prix reste très supérieur à celui du devis le plus cher ; et ça n’est pas que je ne veux pas, mais sincèrement, actuellement, je ne peux pas.— Et vous ne pourriez pas obtenir un financement ? — Sincèrement, je ne crois pas.— Vous savez, nous pouvons vous faire également des facilités de paiement - un paiement en plusieurs chèques, échelonné sur disons - trois mois... voire plus. — Oui, oui, c’est sûr" répondis-je d’un air pensif et peu convaincu.
" - Ecoutez", lui dis-je, l’air vraiment chagriné, il faut que j’y réfléchisse. Ça n’est pas pour vous faire attendre... ni parce que je n’ai pas le courage de vous dire non tout de suite et devant vous ... : je ne suis pas comme ça, je suis franc et quelle que soit ma décision, je vous l’annoncerai de vive voix.— Je n’en doute pas Mr D." 
Elle me regardait un peu bizarrement et pas le moins du monde avec un air contrarié, mais plutôt avec son air toujours charmeur et un peu compatissant. Etant arrivé au terme de ce que je voulais lui dire, je m’attendais à ce qu’elle se lève et prenne congé, mais elle ne semblait pas se décider à bouger.
Aussi, je fis le geste de me lever et ce fut le signal : elle se leva également, mais avec une certaine nonchalance, ce qui était inhabituel chez elle. Elle se tenait debout, à côté de moi, comme un peu figée. Je sentais qu’elle avait encore quelque chose à me dire. En effet, elle dit d’une voix plus basse :
" - Ecoutez, Mr D, je suis sincèrement désolée de ne pouvoir vous faire une offre plus avantageuse pour vous. Ça ne tiendrait qu’à moi, je vous assure, je vous ferai un rabais plus intéressant... mais je ne peux pas... Mon mari a déjà râlé quand il a su que je vous avais parlé d’une remise de 5 % - on s’est un peu disputés... enfin, je ne devrais pas vous parler de ça... mais ça me dérange, il ne fait pas franchement de concessions... enfin, jamais pour tout dire.Moi, je pense qu’on pourrait vous faire cette remise - on est voisins, après tout... et puis vous êtes si sympathique...— Je vous remercie" dis-je doucement, en prenant un air un peu gêné.« - Ce serait malheureux, » dit-elle en prenant un air contrit, « que nous nous quittions ainsi... Je n’aime pas ça. Après ce devis que vous n’accepterez pas » continua-t-elle avec des airs de chatte précieuse, « il y a de fortes chances que nous ne voyions plus... »
Elle avait levé ses yeux vers moi, des yeux de biche troublée, et elle papillonnait un peu des cils, comme une jeune fille qui sait y faire. Sans compter qu’imperceptiblement, elle s’était rapprochée de moi ; je ne l’avais encore jamais eu aussi près de moi. Je sentais le parfum de son souffle que je trouvai très agréable.
« - Et comment pourrions-nous faire ? » lui répondis-je en choisissant un ton un peu enjôleur.
Elle baissa un instant les yeux. Puis les leva vers moi, en posant sa main sur mon avant-bras :
« - Ecoutez, » commença-t-elle : « moi ce que je pourrais faire c’est vous faire une remise de 5 %... mais non officielle... C’est-à-dire que pour vous faire réellement ce rabais de 5 % je pourrais ne pas encaisser un dernier chèque, je peux le faire, mon mari regarde les devis, mais la comptabilité c’est moi qui la tient, il n’y entend rien. Vous comprenez, mon mari est un peu grippe-sous, il est devenu trop cupide, alors que nous avons désormais une bonne situation, nous gagnons encore suffisamment notre vie. Mais il ne se rend pas compte que la vie a changé, avec la concurrence étrangère, tout ça ; les prix ont baissé, mais nous pourrions baisser aussi... Nous serions des artisans en début de carrière, endettés et tout, c’est vrai que ce serait difficile, mais cela fait trente ans que nous avons commencé...— Je comprends. Mais même avec... un rabais de 5 %, vous êtes encore chère, chère Madame S. » lui dis-je plus bas et avec le ton le plus délicat que je pouvais ; et je me surpris, en prononçant ces mots, à lui caresser délicatement la joue.Elle sourit, minauda un peu en se rapprochant encore :
« - Songez, cher Monsieur, que nous aurions ainsi l’occasion de nous revoir... » et elle me gratifia d’un délicieux sourire.
Cette fois je posai mes mains des deux côtés de sa taille et l’attirai tout contre moi. Je sentis que son souffle était court.
Je me rendais compte que j’étais peut-être en train de me faire avoir, mais je me disais qu’enfin, j’allais certainement pouvoir la mettre dans mon lit. Ça serait cher payé mais comme je crevais d’envie d’elle... !
Doucement, lentement, je posai ma bouche sur sa petite bouche, qui finit par s’ouvrir et laissa le passage à ma langue. Elle s’offrit et passa ses bras fins autour de mon cou. Je sentais sous mes mains combien sa taille était fine. Je la galochai longuement. Sa bouche avait comme un goût de fraise.
Ma bouche finit par se détacher de la sienne et je la fis glisser dans son cou ; je la sentis glousser légèrement et se pâmer contre moi. Je sentais à peine sa poitrine menue contre mon torse. Son cou avait un goût de parfum très fort et amer sous ma langue (c’est vrai qu’ils ne se sont pas faites pour être léchées ces eaux de toilette de luxe.)
Ma main gauche emprisonna sa nuque frêle, je repris sa bouche : elle m’embrassa fougueusement.
« - Vous êtes si jolie, j’ai tellement envie de vous... » lui murmurai-je sensuellement à l’oreille avec sincérité.« - Ça ne serait pas bien... » minauda-t-elle.« - Vous m’avez plu dès la première fois que je vous ai vue, votre physique, vos manières gracieuses, votre élégance, votre sensualité...— Oh... » me coupa-t-elle d’un air gêné. Mais à quoi jouait-elle, cette petite chatte ? Je sentais qu’elle se raidissait. Je me rendais compte qu’elle n’avait pas envie de passer à la casserole, quelque chose la retenait. Elle se crispait, elle était anxieuse, comme si elle avait peur de quelque chose.
Moi j’avais une gaule d’enfer.J’embrassai sa bouche, je pris sa lèvre inférieure entre mes lèvres ; ma bouche glissa sur son menton, son cou, sa gorge, lui faisant ployer sa tête en arrière. Mon visage descendit encore, et je le pressai contre son chemisier entre des seins moelleux mais menus.Je me laissai glisser lentement à genoux, mon nez contre son ventre ferme, en humant, respirant son odeur.Je pris ses hanches entre mes mains, mon nez descendit sur son pubis. Elle me laissait faire, ses mains s’étaient posées sur mes épaules, toute en retenue.
Elle tenta de m’empêcher quand j’entrepris de déboutonner son pantalon de similicuir mais je me saisis de ses mains qui comptaient m’arrêter et les couvris de baiser. Elles me parurent si fines, si douces, si délicates avec ses gros bijoux en or à ses doigts.Mais c’est un autre bijou que je convoitais.Elle me laissa faire finalement : j’arrivai à ouvrir son satané pantalon, tombai sur une culotte très fine de satin rose ourlée de dentelles, et pour aller plus vite j’écartai la culotte pour plonger ma langue dans sa fente.J’avais réussi à baisser légèrement son pantalon mais pas assez pour que ses cuisses s’ouvrent autant que je le voulais : je pouvais faire aller et venir ma langue en pointe entre ses jolies lèvres fines, mais j’étais frustré de ne pas pouvoir coller ma bouche à cette chatte que je désirais tant, que j’avais envie de dévorer.Ça m’énervait, elle allait croire que j’étais un mauvais lécheur alors que comme bouffeur de chattes je suis le meilleur !
Néanmoins, elle soupirait de plus en plus fort ; elle se mit à gémir, m’encourageant avec des petites plaintes timides mais sincères. Je réussis finalement à plonger ma langue dans sa grotte, le plus profondément possible, à lui lutiner le bouton, et elle poussa des petits cris retenus mais d’une voix que je ne lui connaissais pas : elle jouissait la petite biche !
J’entendais bien pousser mon avantage et je me relevai, décidé à l’entraîner dans ma chambre, mais déjà, reprenant ses esprits, elle se rajustait, remettant sa culotte en place, refermant son pantalon. Elle s’excusa presque :
« - Mr D, je ne peux pas rester plus longtemps. J’ai un rendez-vous dans un quart d’heure et il n’y a personne au bureau.— OK » dis-je, dissimulant mal ma déception.« - Il faut que j’y aille, désolée.— Je comprends, Madame S. Je vous raccompagne. »
Après ce que je venais de lui faire, ma politesse semblait presque surréaliste.Éprouvait-elle un remords, se disait-elle qu’elle était allée trop loin ? Allait-elle laisser tomber le dossier et faire comme si j’avais refusé tout bonnement son devis ? C’est ce que j’étais en train de me demander au moment où elle se retourna tandis que j’avais déjà ouvert la porte d’entrée, et qu’elle me murmura avec les yeux d’une femme amoureuse :
« - Je n’ai pas le temps... aujourd’hui. Nous reprendrons rendez-vous... Et je reviendrai... Et soyez sûr, je vous... consacrerai le temps... que nous aurons besoin.— Mais avec plaisir, Madame S., ma jolie petite Madame S. » mon visage s’était de nouveau éclairé.Elle eut un regard vers la table, vers son devis :
« - Et le devis, vous ne l’avez pas signé... ?— Mais quand vous reviendrez, Madame S, rien ne presse. »
Elle eut un regard étrange, hésita un moment. Moi je n’hésitai pas et lui dis à brûle-pourpoint :
« - Je vous signerai le devis quand vous serez à moi. »
Elle posa sa main sur ma poitrine, me regarda tendrement, sensuellement, et repoussant un peu la porte pour qu’on ne nous voit pas de la rue, elle m’offrit sa bouche que je ne refusai pas, et je la gratifiai d’une pelle monumentale.« - Tu vas connaître le goût de ta chatte, ma petite salope » pensai-je tout en la galochant passionnément. Le baiser dura à peine trois secondes. Elle lâcha ma bouche, ouvrit la porte et s’en fut, très raide, descendit les huit marches de mon perron en trottinant, et sans même se retourner, sans même me dire au revoir, elle disparut dans la rue. Était-elle troublée ou contrariée, je me demandai longtemps après qu’elle fut partie.
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