Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 92 J'aime
  • 0 Commentaire

Réconfort & vieilles dentelles. I. Marcia

Chapitre 3

Hétéro
Mes mains, désormais, se promenaient sur ses flancs sans vergogne, glissant mêmes vers ses hanches. J’étais rempli d’un désir insatiable d’elle, de son corps de femme, empli d’une envie d’elle irrépressible, et je me pressais fortement contre elle, assouvissant en même temps le besoin impérieux de mon sexe en rut de se frotter contre un corps chaud et féminin, lui faisant sentir quel effet il me faisait, mais également les promesses de ma virilité inassouvie.
Sans me lâcher elle recula jusqu’au réfrigérateur contre lequel je la plaquai. J’embrassais son cou et elle se pâmait, la tête en arrière, murmurant des mots d’encouragement à peine audibles, ses mains s’activant sur mes épaules, dans mes cheveux. Tout son corps transpirait le désir, et c’est désormais elle qui frottait à qui mieux mieux son ventre contre la colonne dure qui restait emprisonnée dans mon slip.
Mes mains palpèrent ses seins qu’elles trouvèrent petits et souples à travers le chemisier, ma main droite descendit directement entre ses cuisses où elle saisit son sexe que je sentis renflé à travers le pantalon.
N’en pouvant plus et tout en la bécotant furieusement, je dégrafai avec hâte sa ceinture, déboutonnai son pantalon de flanelle gris et le fis tomber à ses pieds. Elle ne protesta pas et me facilita la tâche tout en me rendant mes baisers avec frénésie. Le moment était torride et j’avais l’impression d’être dans la scène culte du Facteur sonne toujours deux fois.
Me laissant tomber à genoux, je fis passer ses pieds chaussés de bottines hors des jambes du pantalon pour l’en libérer, puis n’y tenant plus, je saisis la petite culotte, la descendis et l’ôtai complètement.Je me retrouvai en face d’une jolie chatte renflée et garnie d’une toison brune très rase. Posant mes mains à l’intérieur des cuisses je lui fis écarter avec douceur et je vis les lèvres s’entrebâiller.
Elle accueillit la pointe de ma langue avec un profond soupir tandis que je m’efforçai habilement à entrouvrir la petite tirelire aux rebords bien ourlés ; je me délectai de son goût musqué de femme tandis que mes mains remontèrent le long de ses hanches douces, et saisirent ses fesses pleines :je fis surpris mais ravi de constater que Marcia était une fausse maigre. Si elle était petite et semblait menue, sa maturité lui avait donné des formes féminines que ses pantalons de ville assez stricts dissimulaient.
Je pelotais ses fesses à pleines mains, les palpant, les massant énergiquement tandis que ma langue montait et descendait sur son coquillage salé ; elle finit par en trouver l’entrée et s’y enfonça faisant geindre Marcia sans retenue, bouche ouverte ; ma cuisine n’avait pas encore eu l’habitude de retentir ainsi de cris de plaisir de femmes !Mon majeur s’était aventuré dans son sillon fessier et avait également trouvé sa récompense en un petit cratère tout lisse qu’il caressa lentement et agaça doucement.
J’avais maintenant ma bouche collée toute entière sur sa chatte, la ventousais tandis que ma menteuse allait et venait dans les profondeurs de sa grotte, cherchant à aller toujours plus loin.Mes doigts étaient allés chercher un peu de sève qui débordait de la vulve et en avaient humecté la petite rosette, si bien que mon majeur avait trouvé le moyen de pénétrer lentement mais sûrement l’orifice étroit qui se livrait peu à peu.
Au fur et à mesure que Marcia, qui avait ses mains sur ma tête - autant pour la maintenir en place (bien que je n’eus aucunement l’intention de m’échapper) que pour me caresser les cheveux – fléchissait sur ses jambes presque tremblantes, mon majeur progressait régulièrement en elle, conquérant le petit canal de son cul, étroit et brûlant.Elle réagissait à cette double intrusion en poussant des râles de plus en plus hauts, trahissant une excitation intense ; son corps réagissait lui aussi, et elle ondulait des reins, se pâmait, et je sentais sur ma langue et mon majeur les spasmes de sa chair qui révélaient ses ondes orgasmiques.

Je finis par abandonner sa chatte onctueuse à regret et je me relevai, mais en ayant toujours mon doigt bien enfoncé dans son cul. Je repris sa bouche et elle m’embrassa profondément et passionnément, et avec une fougue que je pris pour de la gratitude.Pendant ce temps-là, mon majeur ne restait pas inactif, et restant bien enfoncé entre ses fesses il continuait à la fouiller, à la fouailler, à lui baiser le cul, ce qui m’excitait comme un malade et était loin de lui déplaire.Ce doigt bien enfoncé en elle, au plus profond d’elle, et dans son orifice le plus intime, le plus secret, le plus tabou, était la manifestation évidente du fait qu’elle m’appartenait toute entière, qu’elle s’était offerte, elle s’était livrée, et que je l’allais la prendre comme une chienne, j’allais lui faire tout ce que j’avais envie de lui faire, j’allais faire tout ce que je voulais d’elle : elle m’était soumise, je la possédais.
Tel était en tout cas ce qui se passait dans ma tête à ce moment-là, au niveau le plus haut de mon excitation, dont la preuve physique bien tangible se trouvait comprimée dans mon slip, tant je bandais comme jamais.
Elle n’avait rien contre cette possession, manifestement. Elle me prouva d’ailleurs qu’elle était, elle aussi, bien excitée en dégrafant ma ceinture fébrilement, puis me débraguettant ; elle sortit ma queue qui était tendue et raide comme la justice et la prit dans sa main. Elle la pressa, comme pour en apprécier la dureté, la caressa un peu, la branla de haut en bas, sans cesser de me galocher. Pendant ce temps, de ma seule main gauche (la main droite s’agitait toujours entre ses fesses) j’entrepris tant bien que mal de lui défaire un à un les boutons de son chemisier.
Elle se laissa glisser à genoux et je dus retirer à regret mon majeur droit de son anus, mais ce fut pour une bonne cause : elle emboucha le gland rond et gonflé de mon sexe, le suça goulument comme une friandise. Sa bouche était soyeuse et douce, c’était divin !
Elle commença à l’aspirer plus avant entre ses lèvres pulpeuses, puis entama de lents va-et-vient, tandis que je fis passer son chemisier déboutonné par-dessus ses épaules puis m’attelai à lui dégrafer son soutien-gorge.
Elle m’apparut dans toute sa nudité, ses seins en poire majestueusement posés sur sa poitrine, ses fesses rebondies bien cambrées : elle était terriblement bandante ainsi, à genoux dans ma cuisine, vêtue uniquement de ses bottines, en train de s’appliquer à me gratifier d’une pipe magistrale, avec ses lunettes sages et sa belle chevelure brune toujours bien coiffée.
Je sentais le plaisir m’envahir, j’étais aux anges, je n’avais jamais connu d’aussi bonne suceuse, et de voir cette belle agent immobilier, d’un âge avancé, d’ordinaire si sérieuse, si professionnelle, en train de pomper son ancien client dans la maison qu’elle lui avait fait obtenir, me rendait dingue d’excitation !D’autant que je n’avais pas fait l’amour depuis de longs mois et que si les quelques branlettes que je m’octroyais relâchaient régulièrement le trop plein de tension sexuelle accumulée, rien ne valait les caresses et le corps voluptueux d’une femme, nom de Dieu !
Elle me suçait avec ardeur et dévouement et mes mains lui témoignaient ma gratitude en caressant tantôt sa chevelure souple, tantôt ses seins provocants, malmenant leurs pointes jusqu’à ce qu’ils durcissent, les faisant rouler, les agaçant, les étirant, testant leur élasticité, mettant à mal leur sensibilité, mais sans arriver à lui arracher un cri ou un gémissement : Marcia était manifestement une coriace, une endurante !
Quand je n’en puis plus, je la saisis sous les bras et la fis se relever, l’amenai à ma hauteur et lui repris fougueusement la bouche tout en lui pelotant les fesses ; puis sans lâcher sa langue je lui collai mes doigts dans sa fourche bien luisante et la branlai du bourgeon jusqu’à l’orifice vulvaire où j’entrai trois doigts, la fouillant convulsivement, rentrant bien à fond mes doigts, lui arrachant des cris étouffés – ma bouche étant toujours refermée sur la sienne, sa langue emprisonnée et sucée avec avidité par mes soins.
Je la pris par la taille et la guidai jusqu’à la table de la cuisine, la faisant ployer sur celle-ci ; elle comprit bien ce que je voulais d’elle et se cambra, appuya ses avant-bras sur le plan en bois, écarta les cuisses.A ce moment-là, elle tourna la tête et me dit d’une voix rauque et sourde :
« - Viens. Prends-moi ! »
Je n’allais évidemment pas me faire prier, elle n’allait pas avoir besoin de me le demander deux fois.Je pris une capote dans le tiroir, la déballai en un temps record, coiffai ma pine toute dure et déroulai le latex dessus.
Son petit cul légèrement fripé était là qui m’attendait, me narguait. Je posai mes mains de chaque côté de sa taille et la serrai fort, histoire de lui montrer qu’elle m’appartenait en ce moment, et que j’allais la saillir en levrette, comme elle en avait envie.
Ses jolis seins murs pointaient vers le bas, tout fuselés, et je bandai de plus belle. Sa chevelure tombait sur sa nuque et j’avais une envie furieuse de voir tout ça s’agiter sous mes coups de pine !
Mes mains se posèrent sur son bassin, descendirent sur ses fesses, qu’elles empaumèrent pour bien s’imprégner de leur agréable volume, les palpèrent avec de légères pressions pour en apprécier la fermeté, sentir le muscle sous le galbe.Puis je leur décochai à deux mains des claques sonores et bien sèches qui la fit crier et tressaillir.
Pour ponctuer ma courte fessée et adoucir l’effet de la cuisante surprise, et aussi expliquer mon geste auquel elle ne s’attendait pas, je lui lançai :
« - J’aime ton cul ! Tu as un beau cul, il me fait de l’effet !Je vais te baiser, je vais te prendre comme une chienne !— Oh oui viens ! » répondit-elle d’une voix de gorge.
Je lui écartai un peu plus et sans douceur les cuisses, me plaçai juste derrière elle et présentai ma pine à l’entrée de sa belle chatte dont les lèvres ouvertes et baveuses étaient plus qu’une invite.
Lentement je l’enfilai et glissai en elle, jusqu’à aller buter bien au fond d’elle. Elle poussa un « AAH » de plaisir et de pleine satisfaction, m’accueillant comme la pluie après des mois de sécheresse. Son fourreau était étroit, souple et chaud.Je refermai mes mains sur sa taille, juste au-dessus de ses hanches bien saillantes, la maintins fermement ainsi, et commençai à lui donner des coups de boutoir, de plus en plus rapides et de plus en plus fort.
Chaque coup de bélier était accueilli par un cri de folle et des mouvements de révulsion de sa nuque agitaient sa belle chevelure ; ses tétons se balançaient comme deux petits battants de cloche, les plis un peu gras de sa peau (apanage des années) se prenaient des ondes de choc, et je dus ralentir un peu et marquer une pause pour ne pas jouir de suite.
Je ressortis ma pine, la fis coulisser entre ses fesses, histoire de caresser un peu sa rosette brune, de baiser aussi ses petites fesses, lui laissant planer le doute (qu’elle se demande un peu si je n’allais pas l’enculer dans la foulée.)
Mais si l’idée de la sodomie m’excite toujours, c’est parfois un peu compliqué, et puis je dois reconnaître que je prends plus de plaisir dans la chatte d’une femme que dans son cul. Mais cette possession, il faut bien avouer, est quand même une preuve de totale soumission, et cette offrande qu’il ne faut jamais imposer est quand même le plus beau cadeau qu’une femme fasse à son amant.
Aussi, bien qu’elle ne s’insurgeât pas contre cette manière annonciatrice d’une enculade imminente, je ne poursuivis pas dans cette voie et réintroduisis ma queue dans sa chatte et me remis à la besogner en cadence, non sans l’avoir attrapée à pleines mains par les seins et la tirant par là en arrière à chaque fois, l’empalant violemment sur ma queue. Ses cris montèrent de plus en plus fort et elle se mit à jouir bruyamment, comme une folle, tandis que je lui mordis l’épaule et le cou, en lui pressant avec force ses mamelons turgescents.
L’air de la pièce était électrique, pleine d’une tension sexuelle qu’on aurait pu toucher, tant elle était aiguë, proche d’une explosion à laquelle on s’attendait à la moindre étincelle d’excitation supplémentaire.
J’avais envie de lui faire mal, de la griffer, de la gifler, de l’assouvir, de la traiter comme ma petite pute, mon esclave sexuelle, mon objet, et pourtant j’étais en même temps transporté de reconnaissance envers elle qui m’avait livré son corps, qui se donnait à moi sans condition.
Il semblait en tout cas qu’un peu de brutalité mâle, appréciait les gestes de domination sexuelle et machiste, dans ce moment torride, ce moment où l’excitation, où l’incendie de nos deux corps avait atteint son paroxysme.
Encore une fois, pour ne pas jouir de suite, je me retirai de sa chatte et attrapai Marcia par les cheveux l’obligeant à se relever de la table, puis lui prenant la nuque tandis que je restai debout, j’amenai sa bouche à ma queue et la lui enfonçai, l’obligeant à me sucer en restant courbée en avant.Elle se plia de bonne grâce à mon caprice et me suça avec zèle et avidité un bon moment.
Puis je lui ré-empoignai à nouveau sa belle chevelure, la redressant un peu plus, et prenant ma pine dans l’autre main je me mis à lui fouetter le bout de chaque sein avec le gland, visant bien la pointe, titillant le mamelon, étalant sa propre cyprine luisante sur le téton.Ce jeu semblait l’amuser, et continuait de l’exciter.
Puis j’attrapai de nouveau sa tête et lui soufflai :
« - Je vais te baiser la bouche. »
Je n’attendis ni sa réponse ni son consentement et j’enfonçai à nouveau ma queue raide entre ses lèvres pulpeuses, et tout en agitant sa tête pour des va-et-vient vigoureux coordonnées avec mes coups de reins impétueux, je fis pendant une demi-minute ce que j’avais promis.
Quand je redressai son visage, elle était en sueur, un peu échevelée, et me sourit d’un air entendu. Je la relevai complètement, la fis tourner et me collai contre elle ; une main enserra sa taille, se plaqua sur sa chatte, mes doigts dans sa fente, l’autre main lui pelotant les seins l’un après l’autre avec véhémence. J’avais ma queue raide entre ses fesses, tout en haut de son sillon (Marcia est petite), ma bouche lui suçota le cou et je lui dis vicieusement, vachard et vicelard :
« - Maintenant je vais te baiser comme un malade, Marcia. Je vais te baiser comme on ne t’a jamais baisée.Je vais t’enfiler, te pistonner, te bourrer, te défoncer… Tu vas être baisée comme une salope !— Chiche » murmura-t-elle, « Vas-y !»
Mes mains d’abord sur ses épaules, je reculai un peu, m’écartai d’elle puis me mis à la fesser vigoureusement mais pas trop fort. Elle cria et se tortilla, essayant d’échapper aux claques sonores.
Puis je lui fis faire demi-tour, posai mes mains sur sa taille, et je lui happai les bouts des seins que j’aspirai, suçotai goulûment, mordillai, étirai, tétai avec des bruits humides.
Je l’assis sur ma table de cuisine (elle avait déjà mis ses mains sur mes épaules) et la renversai lentement ; je tirai un peu son bassin pour que son cul et sa chatte soient bien dans le vide et m’enfonçai d’un seul coup dans son orifice vulvaire encore bien ouvert.Elle m’accueillit avec un soupir de contentement et installa ses jambes de chaque côté de moi, enserrant ma taille de façon possessive.
Je commençai à aller et venir lentement, en de longs mouvements souples, et profondément jusqu’en butée. Je la regardais droit dans les yeux, ses beaux yeux clairs, et elle me regardait intensément, en souriant légèrement. Je la baisais avec amour, avec un plaisir inégalé, je prenais mon pied.
Je lui dis :
« - Tu es bonne, vraiment très bonne. J’adore te baiser, Marcia. Je prends mon pied comme jamais. »
Elle me sourit, dit de sa voix un peu nasillarde :
« - C’est bon pour moi aussi. Tu me baises bien. Tu me donnes beaucoup de plaisir. J’adore comme tu me baises. »
Je caressais ses fesses, son anus. J’avais envie de lui fourrer un doigt, de forcer son petit anneau souple. Mais j’y entrai à peine le bout de ma phalange, juste pour la narguer, la provoquer. Elle ferma à demi les yeux, elle soupira.
Je relevai ses belles cuisses pour les mettre à la verticale, posant ses bottines de chaque côté de ma tête, et me mis à la besogner de plus en plus vite, de plus en plus fort, tout en la fixant intensément, guettant ses réactions.Sa bouche s’entrouvrait, je pouvais lire le trouble dans ses yeux qui se fermaient à demi, son regard qui partait dans le vague : elle partait.
Je lui donnai des coups de boutoir de plus en plus fort, lui arrachant des cris qui devinrent de plus en plus intenses, des cris de plaisir, qu’elle lâchait désormais sans aucune retenue.
Elle se faisait baiser sur ma table de cuisine, ce spectacle m’excitait en diable, cette femme qui paraissait si sage quand on allait la voir dans son agence, elle au maintien si sérieux, si élégante, si posée, elle était en train de prendre son pied comme une salope, et putain, qu’est-ce qu’elle me faisait comme effet !
Je ne pus me retenir plus longtemps, et tout en lui pressant ses deux seins, au milieu de ses cris de jouissance aigus qui emplissaient la pièce je rugis comme un dément et envoyai toute la purée en elle en lui mordant la cuisse.
Nous restâmes quelques secondes figés dans la même position, comme anéantis, moi en elle, ses jambes en l’air, tandis qu’elle reprenait avec peine son souffle.
Ce fut elle qui prononça la première parole :
« - Eh bien… Si je m’attendais à ça… On peut dire que c’était une super partie de jambes en l’air. Et quel baiseur !— Merci » répondis-je un peu gêné, « Faut dire que vous me faites beaucoup d’effet…— J’ai vu ça ! »
Nous passâmes à la douche. Je lui proposai de la savonner, mais elle déclina l’invitation. Un reste de pudeur sans doute.
Puis elle se hâta un peu, rappelant que son mari l’attendait pour dîner. Elle avait l’habitude de rentrer tard du travail, mais quand même.
Nous parlâmes peu. Je la raccompagnai jusqu’à la porte. Au moment de la quitter, j’avais encore envie de la remercier. Mais j’avais le sentiment que ça aurait paru un peu déplacé. Elle avait pris son pied, elle ne m’avait pas fait don de son corps par abnégation, elle en avait eu envie et n’avait pas été déçue.
Je lui dis juste :
« Ma porte vous est, et vous restera, toujours ouverte, Marcia— La mienne aussi » répondit-elle avec un clin d’œil coquin et du tac-au-tac.— Ohhh… Cochonne ! » rigolai-je en la laissant partir avec une caresse dans les cheveux.
Diffuse en direct !
Regarder son live