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Réconfort & vieilles dentelles. I. Marcia

Chapitre 4

Hétéro
Honnêtement, je ne savais pas si elle reviendrait me voir. Si elle ne revenait pas, tant pis, j’en prendrais mon parti.
J’avais le sentiment qu’elle m’avait remis sur les rails, m’avait déculpabilisé, achevé de m’ôter mes derniers scrupules.
Dans les mois qui vinrent, j’eus en effet plusieurs aventures assez décomplexées.Pour certaines, ce ne fut pas vraiment une réussite. Avec une femme, le week-end passé ensemble avait été des plus agréables, mais au lit je m’étais ennuyé ferme tant elle était coincée.Et à notre deuxième rencontre j’avais eu une « panne », mon corps me signifiant que je n’avais pas vraiment envie de renouveler l’expérience parce que le sexe avec elle avait été trop frustrant. Le corps parle parfois ainsi, à notre place, ce qui, je dois dire, dans certains cas, nous arrange.En effet, elle ne reprit pas contact après ce fiasco, et franchement je ne cherchai pas non plus à la rappeler.
Avec une autre, nos ébats avaient été assez satisfaisants, quoique pas super torrides ; par contre, je m’aperçus vite qu’elle était chiante comme la mort et que nous n’avions aucun centre d’intérêt commun, aucune possibilité d’avoir avec plaisir une conversation intéressante et encore moins épanouissante ; quelque chose me gênait donc dans ce début de relation qui n’eut donc aucune suite.
Il y en eut d’autres trop occupées, et de qui, après un premier rendez-vous, j’attendis en vain un signe. Je me fis donc une raison, et décidai d’avoir une vie professionnelle et sociale bien occupée, pour meubler le temps, pour ne pas être dans l’attente d’un hypothétique « coup » entre la poire et le fromage.
Dans ce contexte, il m’arrivait de repenser avec nostalgie et « émotion » à la partie fine à laquelle que nous nous étions livrés avec Marcia.

Et un jour, en une fin d’après-midi, elle était de retour à ma porte.J’avoue que, malgré moi, je m’étais fait un peu de souci pour elle. Je m’étais dit qu’il lui était peut-être arrivé quelque chose, un ennui de santé, des problèmes familiaux.Je n’avais pas osé l’appeler cependant, bien qu’ayant toujours gardé son numéro de portable, mais je n’avais pas voulu la déranger au boulot, ni lui donner l’impression que je la relançais, que j’étais en manque.
J’étais rassuré. Elle allait bien. Et dès que je la vis je compris que j’étais en manque d’elle, de son corps, de nos étreintes, de la fougue avec laquelle nous avions fait l’amour.
Je lui fis la bise (après ce que nous avions fait, je n’allais quand même pas lui serrer la main ; par contre lui rouler une pelle dehors, avec d’éventuels voisins aux fenêtres n’aurait pas été très prudent), et lui fis comprendre que ça me faisait du bien de la voir, tant parce qu’elle avait l’air d’aller bien que parce que sa présence me mettait en joie.
Elle avait un joli chemisier blanc, vaporeux et assez transparent (ce qui me surprit chez elle, d’habitude si sage, parce qu’il laissait voir ses seins que son soutien-gorge minimaliste ne cachait pas vraiment), un pantalon sombre moulant et brillant comme on fait maintenant, et des bottes (on s’attendait à ce qu’elle parte randonner à cheval… je pensais déjà à qui elle allait chevaucher !)
Nous nous assîmes à la table de cuisine, comme à notre habitude – et je ne pus m’empêcher de penser en regardant cette table à la façon dont elle nous avait servi la dernière fois.
Elle me sourit avec plaisir en me regardant, devant sa tasse de thé. Elle se sentait bien ici, dans cette pièce, et avec moi.Je posai ma main sur la sienne, lui répondit que moi aussi j’étais bien avec elle, et que sa présence me faisait du bien, tellement de bien.J’ajoutai que j’allais beaucoup mieux et que c’était grâce à elle, elle m’avait aidé à passer un cap, j’avais repris confiance en moi, retrouvé de l’assurance.
« - Mon pauvre, c’est vrai que la première fois que je suis venu vous… te voir, tu étais en piteux état.— Oui j’étais un peu au trente-sixième dessous. C’est grâce à toi si je vais mieux aujourd’hui. Tu m‘as aidé à remonter à la surface, ta chaleur m’a fait tellement de bien.— Oui, je t’ai prodigué une rééducation… efficace ! »
Je ris de ces termes, choisis avec humour.
« - Je suppose que maintenant tu vas aller de l’avant, sans doute même refaire ta vie. Tu as certainement trouvé une « petite copine »… ?— Penses-tu. J’ai eu quelques aventures, mais c’était que des chieuses. Quant à refaire ma vie c’est exclu. Je ne retrouverai jamais quelqu’un comme ma femme, quelqu’un que j’aime assez et qui me donne envie de partager ma vie avec elle.— On dit ça……En tout cas, c’est bien. Je suis contente pour toi. Tu n’as plus besoin de Tata Marcia pour te remettre sur les rails.— Plus besoin, plus besoin, c’est vite dit » ironisai-je. « Je vais mieux sans doute, mais je ne suis pas prêt à me passer de toi, moi… »
Elle sourit en buvant une gorgée de thé, flattée et charmée.
« - Tu veux dire » ajouta-t-elle, « qu’il ne faut pas interrompre la thérapie… sous peine de rechute ?— Exactement ! » affirmai-je en souriant.
« - Bon », fit-elle en reposant sa tasse, « je suis contente de voir que tu vas beaucoup mieux…— C’est grâce à ta présence réconfortante. Tu es comme du baume apaisant sur mon cœur. — Tant mieux » fit-elle en se levant, me faisant comprendre qu’elle s’en allait.« - Tu t’en vas déjà !?— Il est tard, mon bon…— Bon, OK. Je ne veux pas te retenir. »
Elle se leva, l’air un peu gêné. Dans ses yeux baissés je crus voir du dépit, comme un semblant d’amertume.Notre conversation - et surtout ma dernière réplique - pouvait laisser croire qu’elle avait été une étape pour moi, et que nos ébats de la dernière fois n’étaient pas appelés à se renouveler ; qu’en somme je ne voulais plus d’elle et que je me contentais de son amitié.
J’eus un pincement au cœur, réalisant qu’elle pouvait à cet instant se considérer comme un kleenex, comme un coup accidentel d’un jour, d’un moment d’égarement, alors que ce n’était qu’un quiproquo, une incompréhension mutuelle, une espèce de retenue entre nous, une gêne qui s’était installée on ne sait comment ni pourquoi.
Pourtant, elle était encore plus sexy que la dernière fois, et cette attention qu’elle avait apportée dans sa tenue ne pouvait pas être due qu’au hasard.
En fait, inconsciemment, je voulais sans doute voir jusqu’où elle allait aller, si elle ferait le premier pas.Ça n’était apparemment pas le cas. La peur d’être rejetée, l’impression de se sentir vieille, la crainte de passer pour la salope – l’éternelle histoire de la femme en lutte avec son image.
Heureusement, elle ne s’était pas encore dirigée vers la porte de sortie, elle montrait peu d’énergie pour s’en aller, ne semblant pas vraiment décidée à ce qui risquait de devenir un adieu : elle était debout près du frigo, levant ses yeux clairs vers moi, et ne disait mot.
Sans hésiter je posai ma main sur sa joue et la caressai.Elle ferma d’abord les yeux sous cette sensation, ce signe tellement espéré, puis posa sa main sur cette main, inclina la tête pour mieux ressentir la pression de ma main sur son visage. Puis elle embrassa ma main, geste qui ressemblait à s’y méprendre à un geste de gratitude.
Attendri et excité tout à la fois je fis glisser mon pouce sur ses lèvres boudeuses pour les caresser. Elle entrouvrit la bouche, absorba le bout de son pouce et le suça en me regardant droit de ses yeux bleu clair ; soutenant son regard je me mis à faire des va-et-vient avec ce doigt entre ses lèvres.
Je n’attendis pas plus : je m’approchai, je l’attirai à moi en refermant mes mains sur sa taille fragile et l’embrassai à pleine bouche. Elle me rendit mon baiser de façon lente d’abord puis, quand je me mis à explorer sa bouche de fond en comble avec ma langue, elle m’embrassa fougueusement, comme si je venais de réveiller ses sens.
Quand je lâchai sa bouche, hors d’haleine, je lui dis dans un soupir :
« - Tu m’as manqué. »
Elle gloussa un peu, avec un sourire de contentement, le sourire d’une femme heureuse d’être aimée, ou au moins, désirée.
Elle me le confirma en m’expliquant presque à voix basse :
« - Tu sais je n’ai pas refait l’amour depuis la dernière fois avec toi. Mon mari est plus âgé que moi, il n’a plus de désir, il ne bande plus et ne me baise plus. Tu es mon seul amant, mon corps est à toi.— Oui tu es toute à moi, tu me reviens comme une vierge, vierge de tout homme. Si ça se trouve tu as encore mon odeur en toi. Ça m’excite ! Je vais t’honorer, je vais te baiser. Oui je vais bien te baiser, je vais te baiser à fond ! »
Elle gémit :
« - Oui, prends-moi, baise-moi, je suis toute à toi. Fais-moi l’amour, donne-moi du plaisir, donne-nous du bonheur, fais-moi jouir ! »
Je repris sa bouche, lui roulai une pelle monumentale et je commençai avec mes deux mains à déboutonner son chemisier un à un, en commençant par le haut ; profitant d’une courte pause entre deux langues fourrées je lui glissai vicieusement :
« - Je vais te foutre à poil ! Je veux te voir complètement à poil !— Oh » feignit-elle de s’indigner, le sourire aux lèvres« - Parfaitement, je te veux à poil dans ma cuisine. Tu vas te retrouver à poil devant ton client, dans cette cuisine que tu lui as fait visiter il y a à peine un an… Tu n’imaginais pas, hein, à ce moment-là… ?— Ah non, c’est sûr, je n’aurais jamais imaginé ça ! » rit-elle.
Mais déjà je lui faisais passer les bretelles du soutien-gorge par-dessus ses épaules en la regardant droit dans les yeux, tandis qu’elle le dégrafait derrière pour que ça aille plus vite. Je lui arrachai, tandis que nous étions les yeux dans les yeux, pleins d’un désir fou.
« - Ah ces jolis petits nichons… qu’est-ce qu’ils m’ont manqué ! » dis-je en m’en emparant tandis qu’elle ferma les yeux quelques secondes, s’abandonnant à mon empoignade. Les petites pointes étaient déjà toutes dures et toutes dressées.Ma bouche fondit dessus et je les suçai, les aspirai fortement, aspirant ensuite tout le sein, cherchant à le gober. Elle poussa un petit cri.
Puis je m’attaquai à sa ceinture, et levai à nouveau mes yeux vers ses beaux yeux acier :
« - Je vais te déculotter, Marcia. J’adore te déculotter. Je veux ta chatte et ton cul !— Humm… Ils sont tout à toi, tu sais qu’ils sont tout à toi » murmura-t-elle tendrement en caressant mes cheveux.
D’un geste un peu brutal je lui baissai d’un seul coup pantalon et slip, dévoilant un pubis que j’eus la surprise et le bonheur de découvrir lisse comme un œuf. Devant mon air satisfait elle me sourit :
« - Je l’ai fait pour toi. J’étais sûre que ça te plairait.— Hummm oui » grognai-je avec contentement et en prenant dans ma main la belle vulve charnue et douce comme du satin. « Mais tu vas y gagner aussi, tu sais que ça va attirer ma langue… »
Je l’aidai à se débarrasser de ses bottes et de son pantalon et elle fut enfin nue :elle était si belle et émouvante, avec un air si fragile avec son corps mur et offert, dans son simple appareil, livré à mes regards, dans ma cuisine spacieuse.
Je lui pris la main et l’invitai à monter sur la grande table, puis à s’y mettre à genoux, cuisses écartées près du bord, face à moi ; ce qu’elle fit de bonne grâce.Elle ne semblait même pas éprouver de gêne dans cette posture, son mont de Vénus glabre bombant fièrement en avant ; elle me faisait penser à la figure de proue d’un bateau, ma petite sirène à moi.
Je m’assis confortablement devant, et je la pris par les fesses, attirant sa chatte voluptueuse sur ma bouche ouverte ; je plongeai avec délectation dans l’exploration de sa petite grotte d’amour, et elle se mit à roucouler immédiatement, ses mains caressant mes cheveux.
Ma langue glissait dans tous ses recoins, je suçais ses tendres muqueuses, butinant son petit bouton de rose. Elle se mit à pousser des gémissements de plus en plus forts, puis des cris aigus de femme blessée : elle était touchée, elle coulait, et je recueillais son nectar, n’en perdant pas une gouttelette, léchant son miel sur sa petite pèche fendue, au creux de sa fleur rose, et même sur ses cuisses luisantes. La machine se remettait en marche, elle coulait comme une fontaine.
Je sentis à nouveau ses cuisses trembler, elle se remettait à jouir, toute agitée de spasmes qui lui arrachaient des longues plaintes, qu’elle poussaient sans aucune retenue.
Je mis fin au « supplice » ne voulant la vider entièrement de sa substance, nous avions d’autres plaisirs variés à partager.
Je me levai de ma chaise, elle me susurra en soupirant tendrement :
« - Oh tu m’as encore faire jouir très fort mon chéri. J’en avais besoin. Ça m’a tellement manqué…— Et ça n’est pas fini, ça ne fait que commencer » lui confiai-je avec un clin d’œil.
Je la fis descendre de la table puis prit un préservatif (j’avais quand même baisé deux ou trois femmes différentes ces derniers mois) et tandis que je m’efforçais de le déballer, la petite cochonne s’était agenouillée devant moi, avait pris ma queue dans sa main et s’efforçait de lui redonner de la vigueur, vigueur qu’elle avait un peu perdu pendant que je faisais reluire sa chatte avec ma bouche.
Comme une vraie petite cochonne elle me branlait doucement tout en prenant le gland dans sa bouche, le suçant comme une friandise ; la voir faire ceci avec ses yeux bleus perçants qui me mataient vicieusement à travers ses lunettes sages de femme d’âge respectable me fit redurcir ma pine en un temps record.
Je caressai ses bras, pelotais ses petits seins, puis la fis se relever, et saisissant sa taille, je lui fis comprendre que j’avais envie d’elle à califourchon sur moi, face à moi.Elle ne se fit pas prier et s’empala lentement sur mon vit dressé en poussant un « AHH » de contentement.
J’avais son joli petit corps sur moi, j’étais aux anges.Elle se mit à faire des va-et-vient d’avant en arrière, comme sur une balançoire, ma queue raide allait et venait dans son délicieux petit fourreau, j’avais ses fesses dans les mains, j’embrassais son cou, son épaule, elle m’excitait comme un malade !
Je prenais sa bouche de temps en temps tout en me soulevant légèrement et en rythme pour accentuer mes coups de queue. Son joli pubis tout lisse, tout doux, et dodu comme une caille frottait contre moi, je la besognais en la tenant serrée par la taille.
Mais comme elle est assez petite, elle avait du mal à se tenir sur la pointe des pieds et à se soulever. Alors, voyant ça, je lui dis :
« - Chérie, remets tes bottes, tu auras moins de mal. »
Je la vis se lever de moi, aller enfiler ses bottes ; à poil, avec ses jolis petits nichons qui pendaient, elle me faisait un effet bœuf !Elle revint vers moi, juste vêtue de ses bottes, une vraie déesse : j’avais envie de la baiser comme jamais !
Elle écarta à nouveau les cuisses, s’assit sur ma pine.Elle était bien ancrée sur moi et s’offrait le luxe de se pencher en arrière pour se balancer lentement ; je la tenais par ses épaules frêles, je l’accompagnais dans ses mouvements.
Je lui pelotai ses petits tétons doux et pointus, lui saisissant les extrémités toutes dures, les pressant jusqu’à ce qu’elle gémisse et me regarde d’un œil sévère, mais sans me demander de cesser.
Je n’en pouvais plus, je l’enlaçai très fort en lui enserrant la taille et me mis à la pilonner rapidement, très fort et de plus en plus vite. Elle se mit à pousser des cris rythmés, de plus en plus violents, des râles, puis des exclamations : elle était en train de jouir la petite dame si sérieuse.
« - Oh oui, baise-moi ! Baise-moi fort ! Oh c’est bon, tu me fais jouir mon salaud ! »
Je finis par la prendre sous les fesses et la soulevant de terre comme un fétu, je la promenai sur moi, bien empalée, à travers ma cuisine puis mon séjour. Elle poussait des râles désespérés, j’étais en train de l’emmener au 7ème ciel.
Je la reposai sur le rebord du dossier du canapé, elle était à demi-debout, jambes pendantes, et je lui martelai la chatte à grands coups de reins, en lui mordant les seins !Je lui enfonçai mon majeur dans le cul – qui rentra comme dans du beurre (elle poussa un « OOHHH ») et je mis à jouir en rugissant comme un fauve, comme un dément, je partis dans sa chatte, lui balançant tout, toute la purée accumulée depuis des jours.
« - Oh oui, c’est bon. Viens, jouis, mon grand, prends ton plaisir, jouis bien au fond de Tata Marcia. »
Je finis en lui assénant quelques coups de reins longs et lents tandis que j’enfouissais mon visage dans son cou.
Nous restâmes quelques longues secondes tendrement enlacés, mes bras autour de sa taille, ses mains sur mes épaules, moi dans elle, ses jambes nouées autour de moi.
« - Hum, c’est toujours aussi bon » dit-elle d’une voix un peu rauque. « J’espère que tu me feras encore du bien comme ça. Je repasserais bien te voir de temps en temps…— Autant que tu veux, Marcia. ».
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