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Réconfort & vieilles dentelles. I. Marcia

Chapitre 5

Hétéro
Nous étions mi-septembre. Six mois s’étaient écoulés depuis la dernière visite de Marcia. J’avais son numéro de portable, elle avait le mien, mais jamais ne nous téléphonions ni ne nous envoyions de s.m.s.Pour nous dire quoi ?C’était mieux ainsi. Quel intérêt d’entretenir une relation ennuyeuse où nous aurions échangé des banalités ? Et puis ses venues-surprise étaient toujours un plaisir.Et nous conservions ainsi – moi surtout – notre liberté, dont je profitais un peu. J’avais d’autres « maîtresses » avec qui les relations étaient aussi espacées, à part de temps en temps une semaine de vacances ou un week-end ensemble.
Evidemment, sans nous enquérir de ce que nous devenions, il y avait un risque qu’il n’y ait plus jamais de suite. Moi je lui avais dit que je ne voulais aucune relation sérieuse et encore moins une nouvelle vie à deux avec quiconque. Mais elle n’était pas un lapin de six semaines, et elle connaissait la vie : bien qu’elle n’eut pas exprimé de doute lors cette mienne affirmation, elle devait bien penser qu’un jour elle me trouverait ayant entamé une relation durable et exclusive avec quelqu’un.Ce qui ne l’avait pas décidé pour autant à prévenir avant de débarquer à l’improviste, elle préférait en prendre le risque, au risque d’être déçue.
En même temps, elle pouvait penser qu’ayant pris autant de plaisir lors de nos petites galipettes, même engagé je pourrais céder à la tentation de remettre le couvert avec elle, pour une petite partie discrète, ni vue ni connue.Le besoin, peut-être, chez certaines femmes d’évaluer le désir qu’elles peuvent encore nous inspirer, de tester leur pouvoir de séduction restant, et de le comparer avec celui d’une autre.
Mais simplement, bien qu’elle ne me connaisse que très peu, il était logique aussi qu’elle pensât que si je ne voulais plus la voir débarquer chez moi de façon impromptue parce que j’avais quelqu’un, je pouvais tout simplement la prévenir à l’avance sobrement par texto.
Bon, il faut avouer que ça aurait été peu délicat, peu galant, un peu lâche, et peu reconnaissant envers celle qui m’avait redonné goût à la vie, et m‘avait tant donné sur le plan sexuel.
Pour moi une visite d’elle serait toujours un cadeau-surprise ; quel homme se plaindrait de voir débarquer à l’improviste une femme toute chaude, pleine de désir, d’envie de plaisirs sexuels, surtout après de longs mois sans l’avoir vue, espace de temps suffisant pour qu’elle lui manque ?
Et le souvenir de nos ébats tellement jouissifs laissait toujours présager d’un véritable feu d’artifice, une fête des sens, un moment unique de félicité intense.

J’étais donc autant attaché à la surprise qu’à son évènement même, tant l’effet d’imprévu décuplait le plaisir de cette rencontre, de ce partage sensuel et charnel.
Il est possible au demeurant qu’elle fut passée certains soirs où je n’étais pas encore rentré ou alors que je fus sorti, mais elle me n’en fit jamais part ensuite.
J’avais repris le boulot depuis presque trois semaines, ainsi que la routine un peu triste, en ce début d’automne.
DRING DRING, on sonna à ma porte. Il était bien rare que j’eus de la visite à cette heure un peu tardive (hormis un colis que le facteur laisse à ma voisine durant mon absence en pleine journée), mais il me semblait ne pas en attendre. Et puis 18H30 – 19H était souvent l’heure de Marcia, aussi, tel celui d’un adolescent, mon cœur se mit à battre plus fort.
Elle était devant ma porte, toute radieuse, bronzée comme je ne l’avais jamais vue : ses yeux bleus clairs tranchaient comme jamais sur son visage tanné comme du pain d’épice.
« - Bonjour ! En voilà une bonne surprise ! Dis-donc, tu es radieuse.— Oui, je reviens de vacance ! J’ai repris le boulot, hier.— Entre. Tu en as bien profité, apparemment.— Oui, tu penses. Nous étions en Thaïlande.— Effectivement ! Quelle chance !— Oh oui, c’était un super voyage. Nous avons terminé par cinq jours de plage. Un endroit paradisiaque !— J’imagine. »
Nous étions à l’intérieur. Elle était toute dorée, plus séduisante que jamais, ses cheveux avaient même viré au châtain.
« - Je ne pouvais pas ne pas passer venir te dire un petit « bonjour »… d’autant que ça fait longtemps… et te montrer mon bronzage.— Je vois. J’ai vu tout de suite !— Oui mais tu n’as pas tout vu. C’est encore plus impressionnant quand on le voit à côté de ce qui est resté blanc… » ajouta-t-elle, coquine…
« - Eh bien montre. Tout de suite !— Oui ? Tu veux ? » gloussa-t-elle.« - Tu veux que je te l’ordonne ? Tu veux recevoir l’ordre d’exhiber ton petit cul et tes petits nichons ?— Chiche. J’ai envie de te voir autoritaire, en mâle dominateur » répondit-elle avec comme un frisson dans la voix.— A poil ! » ordonnai-je d’une voix forte.« - Hum… Ça m’a manqué…» dit-elle sensuellement tout en commençant à déboutonner son chemisier sage, en petite fille obéissante.« - Qu’est-ce qui t’a manqué ? » la questionnai-je d’un ton neutre, étonné car elle n’avait pas eu l’habitude de me voir agir de façon autoritaire avec elle.« - Eh bien de me déshabiller devant toi… pendant que tu regardes. Et puis… de venir ici, te retrouver, et nos petites parties de jambes en l’air.— Si ça t’avait manqué tant que ça tu n’aurais pas attendu plus de huit mois avant de revenir ! » lui fis-je remarquer sèchement.« - Oh tu sais, ça n’a pas été très facile de trouver le temps de passer après le boulot… j’ai souvent fini tard ces derniers…— Je m’en fous de tes excuses vaseuses ! Si tu avais voulu, tu aurais pu. Je pense que tu en n’avais pas très envie » dis-je en grimaçant, feignant la déception et la colère froide.« - Oh non, c’est pas vrai ! Je t’assure que j’avais…— Fous-toi à poil au lieu d’essayer de te justifier avec tes excuses à deux balles ! Regarde-moi ça : t’as même pas encore enlevé ton soutien-gorge ! »
Elle s’activa, du coup. Je pouvais lire une certaine inquiétude dans son regard, comme une crainte. Elle n’était pas sûre d’avoir compris que je jouais un rôle.
Elle se hâta et fit passer le soutien par-dessus, s’en débarrassa. La peau de ses seins sembla encore plus laiteuse à côté des épaules et des bras bien dorés. Les petites pointes roses ressortaient au milieu de façon indécente, semblables à une cible. Ses petits nichons pointus commençaient à m’exciter en diable.Eux aussi ils m’avaient manqué.
Elle resta quelques secondes immobile face à moi, torse nu, attendant sans doute un commentaire de ma part.
« - Allez, le reste ! Déculotte-toi, dépêche-toi ! Je veux te voir entièrement à poil dans ma cuisine ! »
Elle baissa pantalon et slip, défit ses hautes bottes. Elle se retrouva enfin nue.
« - Remets tes bottes maintenant ! Tu auras l’air beaucoup plus salope comme ça. »
Elle se rechaussa, puis me regarda, docile et un peu craintive, attendant les ordres.
« - Fais voir un peu que je te mate. Mets tes mains sur ta nuque ! Ecarte un peu les cuisses. C’est bien, tu as la chatte bien épilée. Tire tes coudes en arrière. Oui comme ça. Et un peu vers le haut. Et redresse-toi, mets en avant ta poitrine. Voilà. C’est bien. »
Je me mis à la mater longuement du haut en bas, faisant durer le plaisir et son attente. Je prenais tout mon temps.
« - Hummm… Tu es sexy comme ça. Bien bandante. Tu as les seins tellement blancs que je suis sûr qu’on les verrait dans le noir… »
Elle sourit.
« - Allez, tourne-toi ! »
Elle s’exécuta et je vis le plus charmant des petits culs, dont le teint blafard tranchait violemment sur les reins et les cuisses parfaitement cuivrés.
« - Hummm » fis-je, « voilà un joli petit fessier, mignon à croquer, et dont je vais ne faire qu’une bouchée.Mais il est vraiment très blanc, et moi je vais lui donner quelques couleurs.D’ailleurs ça t’apprendra à me délaisser pendant de longs mois, me privant de ton joli corps, de tes mignons petits nichons, de ton cul délicieux et de ta chatte toute lisse et toute douce.Allez, penche-toi sur la table, cuisses légèrement écartées. »
Bien docile, elle se mit en position, sans illusions sur le sort que je réservais à son petit fessier. Elle posa ses mains bien à plat sur la table, se cambra sensuellement. Elle était vraiment bandante ainsi avec ses bottes qui montaient jusqu’au creux de ses genoux, une vraie chienne ! Elle me donnait l’envie de la fustiger à la cravache.
Elle me regarda à la dérobée et me susurra :
« - Pas trop fort, s’il te plait.— Tu n’as rien à dire, ma petite salope ! Tu vas recevoir la punition que tu mérites. Et tant pis pour toi si tu rentres chez toi avec les fesses rouge tomate et le cul en feu ! »
Je pris la bonne distance par rapport à elle, et je me mis à la fesser d’une main leste, à un rythme d’abord assez lent mais bien régulier. Ça claquait dans cette grande pièce, les murs résonnaient des sons secs de la claquée.
Les pauvres petites fesses, peu rebondies et un peu affaissées, un peu ridées, en prenaient d’autant plus pour leur grade qu’elles n’offraient qu’une faible surface ; elles prirent vite un ton rose vif.Elle prenait sa punition de bonne grâce, sans broncher, comme si elle approuvait mes accusations de m’avoir délaissé (alors qu’en fait l’élasticité de notre relation, qui préservait notre liberté, me convenait parfaitement.)
Son cul aussi était souple et élastique, et encore ferme (les muscles révélaient une bonne tonicité, signe d’un entretien physique suffisant), et ses fesses réagissaient en se contractant sous mes claques.
Puis je me mis à accélérer, ses petites miches virèrent au rouge, la grêlée s’abattait plus fortement et commença à lui arracher des cris.Je ne voulais pas trop prolonger ce châtiment, ne souhaitant pas lui faire mal, mais juste lui chauffer assez le cul pour que le feu descende plus bas, entre ses cuisses.Je finis donc par six claques plus fortes, bien appuyées, qui la fit se pâmer, se tortiller, avec des petits cris vifs.
Sa tension retomba, elle se détendit ; et encore plus quand je passai deux doigts entre ses cuisses, écartant sa petite fleur souple et que je commençai à la masser, non sans l’avoir humectée de salive : elle se mit à soupirer comme une jeune fille, mes doigts la caressaient, glissaient sur ses pétales lisses, puis rentrèrent en elle, d’abord juste à l’entrée, puis de plus en plus loin.
Elle commença à s’exciter vraiment, son bassin allait à la rencontre de mes doigts, elle gémissait, tout son corps ondulait.
« - Hum, j’aime bien te branler, ma petite salope. Et toi tu aimes ça aussi, hein… ? » lui soufflai-je dans le cou.« - Oh ouiii, tu me fais du bien, tu es vraiment doué. »
Je ressortis les doigts massant toute la longueur de sa vulve, du petit bourgeon tout gonflé jusqu’à l’arrière, puis remontant de plus en haut entre ses fesses, massant son petit cratère, l’enduisant de sa mouille toute luisante.Pour la première fois elle me donnait envie de son cul.
« - Allez, à quatre pattes, salope ! — Où ça ? » risqua-t-elle timidement« - Ici, à mes pieds. »
Elle obéit tandis que je la saisissais par la chevelure, la guidant vers la posture que je désirais.
« - Ecarte les cuisses, cambre-toi bien, tends bien ton cul ! Offre-le bien !Ah tu sais que tu es vraiment une belle chienne ! Tu m’excites terriblement comme ça, tu es vraiment bandante ! Prépare-toi je vais te saillir, je vais te baiser comme une salope ! Ça fait tellement longtemps, j’en ai envie !— Oh moi aussi j’en ai envie » osa-t-elle, la voix rauque.
Je défis mon pantalon et tout ce que j’avais en dessous de la ceinture pour être plus à l’aise.Je me mis à genoux derrière elle, caressai un peu son petit cul ferme, lui saisis la taille à deux mains et l’enserrai fort pour qu’elle sente qu’elle m’appartenait, qu’elle était ma chose, mon jouet sexuel :
« - Je vais te prendre, ma petite salope ! »
Positionnant mon vit sur sa corolle entrouverte, je m’avançai suffisamment et je la tirai sur moi, l’empalant jusqu’au fond !
« - Ohhh… Hummm ! » poussa-t-elle, de plaisir et de satisfaction.« - Oui, c’est bon, hein… ?— Oh oui… Le moment tant attendu…— Tu n’avais qu’à venir avant, ma petite chienne…— Oui je sais…— Dorénavant, quand tu auras envie de te faire prendre, tu passeras et je t’enfilerai…— Oh oui ! J’hésiterai pas… »
Je lui saisis ses petits nichons à pleines mains, les malaxant sans ménagement, les pressant, lui mordillant le cou tandis que je la couvrais comme une femelle, et je lui soufflai à l’oreille :
« - Hummm… t’es ma petite pute. J’adore te baiser. Tu m’excites.— Oui, je suis à toi, toute à toi. Tu me fais perdre la tête. »
Je commençai à la besogner sérieusement, mes mains bien serrées sur sa taille, au-dessus de ses hanches, et je lui donnai des coups de boutoir de plus en plus fort, tant en lui assénant des coups de reins puissants, qu’en l’attirant à moi, la forçant à s’empaler à fond sur mon membre.
Le jeu avait l’air de lui plaire, à ma petite salope, car elle poussait des cris de plus en plus fort, se lâchant sans retenue.J’allais et venais en elle, butant contre son cul, ça faisait des FLOC, FLOC.Cette belle sexagénaire à poil et en bottes, à quatre pattes à côté de mon frigo, cette commerciale si sérieuse, j’étais en train de lui défoncer la chatte et elle me rendait dingue, je prenais mon pied.
Ses petits seins pendouillant se balançaient en cadence comme à un arbre de Noël, elle me faisait bander comme un malade.Et j’étais dans une forme olympique : mon plaisir ne montait pas et je ne ressentais aucune fatigue, je la pilonnais sans aucun signe d’épuisement.
Et elle, elle appréciait vraiment : ses ululements appuyés montraient que ses orgasmes se succédaient sans interruption.
Je sortis d’elle et lui ordonnai de ne pas bouger, de garder la position.
Un peu inquiète elle tourna la tête et me vit prendre ma ceinture. Son regard, de plus en plus craintif, m’interrogeait.
« - Je vais tu punir, Marcia, pour deux raisons :
— d’abord parce que tu m’as manqué, et que j’ai souvent pensé à toi en ton absence ; j’ai eu envie de toi et j’ai dû me branler (en pensant en plus que je ne te baiserai peut-être plus jamais !)
— deuxièmement parce que tu m’excites trop avec ton petit cul et ton air de ne pas y toucher, ton air de femme mûre très sage qui se comporte comme une petite salope dès qu’elle est à poil devant moi. »
Elle gémit et se mit à vouloir se relever. Je la maintins dans sa position en appuyant sur sa nuque :
« - Tu n’y vois aucune objection… ?— Si… Ecoute, j’ai peur de… Je n’ai pas trop envie…— Tu voulais que je sois autoritaire, que je te domine ? Eh bien te voilà servie. Je vais te dominer et tu vas te comporter en bonne petite fille soumise. Tu vas te plier à mes envies, à mes caprices, à mes désirs. Et tu vas me prouver que tu es une bonne petite salope ! »
Elle avait sur moi ses beaux yeux bleus métalliques pleins d’inquiétude. Je la rassurai. Je baissai de ton :
« - Rassure-toi, Marcia. Je ne vais pas te blesser. Je vais juste fouetter ton petit cul. Je vais t’administrer 12 coups, le cuir va mordre ta chair. Tu vas compter après chaque coup, OK ?— Oui mon chéri. Vas-y, je le mérite. Mais… doucement… »
Je m’écartai, pris la mesure de la bonne distance. Je levai le bras et le cuir s’abattit en travers de son petit cul blanc :
SCHLAAAK !
« AÏE !!!... Un ! »
Son petit fessier était si étroit que j’avais bien du mal à marquer la peau blanche en zébrures bien parallèles.Je dosai bien la force pour ne pas lui faire trop mal. Elle encaissait. Mais quand j’arrivai à dix elle avait les yeux humides.Je marquai une petite pause. Puis :
« - Allez, plus que deux. Courage.…Mais les deux derniers tu vas les sentir passer. »
J’envoyai ma ceinture avec force, elle la toucha au sommet de son fessier, elle cria, s’écroula sur le ventre. Du coup j’envoyai le dernier, encore plus fortement, et le cuir siffla et claqua sèchement le cul juste au-dessus de la racine des cuisses.Elle poussa un long gémissement. Porta la main à ses fesses, se frotta.
« - Laisse », lui dis-je, « je vais m’en occuper. Je vais te passer un baume apaisant. Remets-toi en position. Ça ne te dispense pas d’obéir. De rester une bonne soumise. »
Je lui passai donc de la crème sur son petit cul. Ses téguments étaient chauds, bouillants. Ils communiquaient à mes mains cette chaleur irradiée que la crème absorbait peu à peu.
Puis ma main s’égara, bien évidemment, entre ses cuisses, retrouvant ses pétales entrouverts et humides ; elle accueillit cette caresse avec un soupir de contentement, fermant les yeux, puis commençant à gémir et au fur et à mesure que mes doigts se mettaient à la branler.Pendant ce temps les doigts de ma main gauche ne restaient pas inactifs et s’étaient saisis de ses mamelons qu’ils s’amusaient à triturer l’un après l’autre, les tiraillant, pressant ses seins fuselés.
Je rentrai mes deux doigts dans sa chatte et me mis à la baiser avec, lui arrachant cris aigus et gémissements de bête.Puis je les ressortis et montai jusqu’à son sillon fessier, enduisant sa rosette froncée de mouille, et lui dis d’une voix rauque et solennelle :
« - Maintenant, Marcia, je vais te mettre ma pine dans le cul !— OH… dans le… ?— Parfaitement, tu as bien entendu, ma petite salope.Tu m’as d’ailleurs dit que tu étais toute à moi. Toute à moi veut bien dire ce que ça veut dire… et pour toi « toute » sera bien entendu « sans exception » ! »
Elle ne protesta pas davantage et je continuai à lui caresser l’œillet, je me mis à y introduire lentement une phalange, la ressortant, la lubrifiant un peu, poussant mon avantage, lui travaillant progressivement le cul : elle était étroite, tellement serrée, il fallait m’armer de patience.
Etant donné qu’elle était à quatre pattes à côté du frigo, j’eus l’idée lumineuse d’en ouvrir la porte et d’y prendre la margarine. J’ouvris la barquette, en prit une bonne noisette et la déposai sur sa rosette.
Elle se laissait faire, bien docile ; à poil avec ses bottes et elle me donnait une furieuse envie de lui défoncer le cul ! Mon vit se dressait encore plus dur tandis que lui rentrai de la marga dans son petit trou, assouplissant le canal étroit, y enfonçant bientôt deux doigts, l’élargissant progressivement, en douceur et avec persévérance.
Son canal anal s’assouplissait sous le traitement que je lui administrais, elle semblait se détendre, confiante, sachant très probablement que je n’étais pas une brute, et que je n’allais pas la forcer comme un cosaque, au risque de la déchirer, de lui faire mal.
Je me plaçai derrière elle et m’accroupis en lui annonçant :
« - Maintenant, ma petite Marcia, je vais bien t’enculer. »
Elle se mit à geindre :
« Oh… va doucement…— Ne t’en fais pas, je vais y aller lentement. N’aie pas peur, aie confiance. Allez, écarte bien les cuisses, avance tes genoux, cambre-toi bien, offre-moi bien ton cul ! »
Elle creusa ses reins d’avantage, avança ses jambes, écarta ses pieds, me présenta sa lune bien déployée, avec au centre la cible, sa petite rondelle toute luisante, à demie-ouverte.
J’y positionnai mon gland gonflé et durci et je poussai lentement, forçant légèrement l’orifice qui céda par à-coups.Je la sentis se crisper, la bouche pincée, les doigts repliés.Je lui murmurai :
« - Détends-toi, relâche ton petit muscle, livre-toi. »
Elle respira fort, se concentra sur sa tâche et son cul s’ouvrit plus largement.Ma pine victorieuse s’enfonça lentement en elle, toute serrée par le petit canal. Je progressais petit à petit :
« - C’est bien. Ouvre-toi bien, mon trésor. J’y suis. Je suis presque à fond. »
Son cul s’offrit, finit de se livrer et j’arrivai tout au fond, mon pubis butant contre ses fesses. Elle était brûlante et douce.
« - C’est bien, ma chérie. Tu es enculée à fond ! Je vais bien te travailler le cul, tu vas aimer, tu vas voir… »
Je la saisis par la taille et coulissai en arrière, sans faire ressortir le gland, et redescendis, retournant à l’assaut de sa place forte qui s’était rendue.Ses entrailles s’assouplissaient, ses tissus devenaient plus élastiques, s’abandonnaient à mes va-et-vient, lui faisant découvrir des sensations nouvelles, appuyant sur sa zone G à travers la mince paroi alors que je m’efforçais de descendre ma pine le plus verticalement possible pour stimuler cette zone-cible.
Je commençais à accélérer le mouvement, à la pilonner, je lui donnais des coups de bélier qui ébranlaient tout son bas-ventre ; elle se mit à gueuler à chaque coup de boutoir, qui lui arrachait manifestement des violents spasmes de plaisir.J’allai de plus en plus fort, excité comme jamais, je lui défonçais son petit cul profondément, jubilant, exultant, emporté par mon plaisir vicelard :
« - Ah c’est bon, ma Marcia, je t’en mets plein le cul ! Je te défonce, t’aimes ça, hein… ?!— Oh oui, vas-y, c’est bon ! »
Je la saisis par les seins et continuai à la pilonner à un rythme accru. Elle beuglait, commençait à avancer à quatre pattes, comme si elle cherchait à s’échapper, ou comme si mes coups de reins la propulsaient en avant.Elle finit par s’écrouler à plat ventre, je restai planté dans son petit trou, allongeant mes jambes, et continuai à la sodomiser par de longs mouvements de hanches.Mes mains étaient plaquées sur ses épaules rondes. Je l’écrasais de mon corps.Elle criait d’une voix cassée et déchirante. Je croyais qu’elle allait me claquer sur mon carrelage.
Une longue plainte saccadée annonça qu’elle jouissait, son petit trou se resserra, elle me faisait un effet bœuf.Je sentis mon plaisir monter d’un seul coup, brulant et violent :je lâchai tout en elle, lui envoyant mon sperme bien au fond de son cul, râlant comme une bête blessée à mort.
Je restai allongé sur elle, un petit moment ; nous peinions à reprendre notre souffle, ma queue était encore enserrée dans son petit œillet.
Je finis par coulisser hors d’elle et la libérer, l’aidai à se relever.
« - Eh bien, mon bon, on peut dire que tu m’a bien défoncé le cul.— Tu as aimé ?— A ton avis ?...je ne vais dire que je n’ai pas aimé… mais je ne recommencerai pas ça tous les jours. »
Elle se toucha le derrière :
« - Je sens que je vais avoir du mal à m’asseoir pendant quelques jours…— C’était pour la bonne cause » ris-je en lui claquant un baiser sur la bouche.

Je vous étonnerais si je vous disais que Marcia ne passait plus me voir.
Tous les deux, trois mois, elle débarque entre 18 H 30 et 20 H, toujours à l’improviste, les yeux brillants, et après quelques paroles échangées pour nous enquérir de comment nous allons l’un et l’autre, les mots qu’elle me jette d’une voix trouble sont invariablement :
« Déculotte-moi ! », ou : « Baise-moi ! », ou « Je suis venue pour que tu me baises, salaud. Dépêche-toi de me prendre, j’ai pas beaucoup de temps ! »
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