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Réconfort & vieilles dentelles VII. La profiteuse

Chapitre 5

Hétéro
Le lendemain est le jeudi. Je me lève sans faire de bruit, déjeune, prends ma douche et m’habille.Je suis prêt à partir et je vais dans la chambre de Patricia. Elle bouge, à demi-ensommeillée (ou alors elle fait semblant.)
« - Je m’en vais. Il est huit heures moins le quart. »
Il fait chaud, elle n’est couverte que du drap. Elle entrouvre les yeux, tend les bras et enlace mon cou, m’attire à elle. Je l’embrasse langoureusement. Ma main gauche s’est glissée sous le drap et caresse son corps nu, pelote doucement ses seins au volume agréable. Ses pointes de dressent immédiatement. Je descends sur son ventre, lentement, j’empaume le mont de Vénus tout lisse (quelle surprise ! Une bonne surprise qu’elle m’a faite : elle s’est rasée hier soir avant d’aller se coucher, la salope...), je le palpe goulument, le presse, puis mes doigts descendent dans sa fourche (elle est toute humide de la nuit) : je les fais glisser deux-trois fois de haut en bas. Déjà elle entrouvre les cuisses, elle s’offre : elle est chaude comme la braise.Tout ça ne dure que quelques instants - le temps de la pelle que nous nous roulons - et ça n’est pas l’envie de la sabrer comme ça, vite fait bien fait, au réveil, qui me manque (quant à elle, n’en parlons pas), mais je me détache d’elle à regret :
«  - Il faut que j’y aille. Je vais être en retard. A ce soir. Je t’ai laissée une clé sur la table de la cuisine pour refermer la porte (et ouvrir ce soir, si tu rentres avant moi...)— A ce soir » me dit-elle en soupirant,  avec un air sensuel.
— - -
Le soir, mon boulot m’oblige à rentrer plus tard que d’habitude. Il est près de dix-neuf heures quand je passe la porte de chez moi.Bien entendu elle est déjà rentrée. Et oh, surprise, elle acheté des fleurs qu’elle a mis dans un vase. Il n’y a rien à fêter, pourtant. Elle m’accueille avec un sourire encore plus large que d’habitude. Elle porte une fantastique robe d’été, légère et fleurie, dont le tissu flotte sur elle avec grâce. C’est une robe longue mais très décolletée et je m’aperçois qu’elle est fendue sur le côté de la cuisse, d’une fente qui monte très haut. Elle a des souliers à boucles, très élégants, et avec de hauts talons comme je ne lui ai jamais vus aux pieds.
Elle se tient devant moi, m’attend (me barrant le passage, pour ainsi dire, dans l’encadrement de la porte de la cuisine.) Je m’avance donc vers elle, elle me tend lentement les bras et m’enlace, m’offre sa bouche de façon gourmande. J’apprécie toujours de sentir sa taille bien marquée, sa chaleur. Cela me rappelle avec émotion le jour où, pour rire, nous avions pris la pose, moi l’enlaçant par la taille, devant un ami de nos amis dont nous fêtions l’anniversaire. C’était un jour tiède d’automne, clair et beau, et j’ai longtemps regretté de ne jamais avoir pu voir cette photo.
Mes mains descendent vers sa croupe, je presse doucement ses fesses par-dessus le tissu lisse et doux. Elle me roule une galoche d’enfer (j’ai vraiment l’impression qu’elle a été très longtemps sevrée de baisers, de ce genre de baisers profonds et langoureux, et qu’elle vient d’en retrouver le goût, et qu’elle n’a plus envie de s’en passer. Ça me fait un peur, en même temps...)Ce baiser s’éternise, je pensais que ça serait un simple baiser de bonjour, un baiser de bienvenue, mais elle le fait durer, se love contre moi, presse ses seins pleins contre mon torse.Du coup, puisqu’elle en veut, je laisse glisser ma main jusqu’à la fente de sa robe et s’y aventurer. Elle rencontre avec satisfaction la peau nue et douce du haut de sa cuisse ; je la caresse, remonte vers sa fesse. Et là, seconde surprise : elle n’a même pas mis de culotte, elle est cul nu sous sa robe, la salope !

Ma main trouve avec plaisir et gourmandise le galbe ferme et souple de sa fesse : je me mets à les palper l’une après l’autre. La réaction ne se fait pas attendre, elle frotte son bas ventre contre le mien d’un sensuel mouvement de reptation. Je me rends compte que cette fille me fait vraiment de l’effet. Il faut dire qu’elle sait qu’elle me plait et en plus, elle met le paquet, la garce. Heureusement que ça n’est que physique, et que jamais je ne me mettrai en ménage avec cette meuf (je prétexterai - ce qui est vrai - que je ne remplacerai jamais ma femme que j’ai aimée pendant plus de vingt ans et auprès de qui j’ai été tellement heureux...)
Mes doigts glissent entre ses fesses et descendent en glissant vicieusement ; ils passent sur la rondelle où ils s’attardent un peu. Je résiste à l’envie de lui enfoncer mon doigt dans le cul ; pourtant, ça lui ferait les pieds et lui ferait comprendre qu’elle m’appartient – du moins pendant les trois jours où je l’héberge. De toute façon, elle a l’air de l’avoir bien compris et ne s’oppose plus à cette idée ; on dirait même que ça lui convient parfaitement, et que non seulement ça ne la dérange pas de se faire baiser matin et soir, mais qu’en plus, c’est elle qui en redemande !
Mes doigts descendent plus bas, trouvent l’entrée de la corolle et s’y enfoncent doucement : elle est déjà toute moite.Je me mets à bander comme un malade. Elle doit le sentir tellement elle presse son bas-ventre contre moi.Ce qui doit expliquer, que soudain elle lâche ma bouche, et ses mains descendant comme pour une caresse sur mes épaules, ma poitrine, mon ventre, elle se laisse tomber à genoux, et, avant que j’ai eu le temps de réagir, elle s’est déjà attaquée à ma braguette.Elle en extirpe ma queue fièrement dressée et dure – ce qu’elle semble apprécier vu comment elle la presse doucement entre ses jolis doigts – et la prend doucement dans sa bouche délicate et gourmande.Elle commence à me sucer en me jetant des œillades par dessous. Je souris et lui caresse ses beaux cheveux. Elle a vite compris la technique et je dois dire qu’elle s’y prend bien :elle suce méthodiquement et lentement, avec des mouvements d’avant en arrière, s’attardant bien sur le gland... Putain, elle me fait décoller cette salope ! Et on dirait qu’elle aime ça, maintenant.
J’interromps sa caresse buccale, et la prenant sous les bras, je la fais remonter. Sans un mot, je lui attrape doucement mais fermement la nuque et l’invite ainsi à se positionner debout contre ma table de salle à manger.Elle sourit, elle a compris ; elle s’appuie sur ses mains, écarte légèrement les jambes.
Mes mains, passant par les fentes de sa robe, remontent en caressant ses cuisses douces et pleines ; puis me saisissant de la robe, je la remonte d’un seul coup jusque sur ses reins, dévoilant sa croupe blanche, mettant à nu ses deux belles fesses épanouies. Je noue comme je peux la robe par devant son ventre, au risque de la froisser et d’en faire un chiffon (mais je m’en fous.)De la paume, je lui fais encore écarter les cuisses et je guide mon vit dressé entre ses cuisses, où je trouve l’entrée de sa chatte.Sans autre forme de procès, je l’enfile d’un seul coup, et m’enfonce jusqu’à être en butée tout au fond d’elle. Elle pousse un gémissement de contentement qui ressemble à un petit cri bestial.Je positionne mes deux mains sur sa taille bien marquée, l’enserrant, lui faisant bien sentir mon emprise, et je commence à la saillir à un rythme soutenu. Je la besogne à grands coups de reins et tout de suite elle se met à pousser des cris, des râles de joie ; elle accueille chaque coup de bite avec un cri enthousiaste. Elle m’excite, je me mets à la baiser sans relâche, vigoureusement.
Je la défonce, elle baise comme une reine, donne des coups de bassin en arrière, et très vite se met à jouir bruyamment, comme une hystérique. Les fenêtre sont ouvertes à cause de la chaleur, mais tant pis pour les passants s’il y en a !
Vraiment, elle y prend goût à la baise. Comme quoi, il n’y a pas d’âge, il n’est jamais trop tard.Elle a l’air de l’apprécier cette levrette. Je sens dans son ventre les vibrations et les ondulations du plaisir. Elle s’affaisse à moitié sur ses bras, ses jambes flageolent, je la sabre à grands coups de pine, j’y vais de bon cœur, je ne lui fais pas de cadeau (enfin, façon de parler... parce que ses orgasmes ont l’air de se succéder, de la ravager, elle se met à hurler.)
Mon plaisir à moi ne montant pas (j’ai acquis en quelques jours une endurance hors norme, et elle n’a fait que me vider les couilles durant ces trois jours), je lui donne le coup de grâce – quelques coups de reins bien appuyés, bien puissants – puis la libère.Je pars me nettoyer un peu la queue et lui lance, sans transition :
« - Bon, on mange ? J’ai faim. »
Quand je ressors de la salle de bain, elle a repris ses esprits, sa robe rabattue et en place, et elle sort du frigo les hors d’œuvre.
Avant de m’asseoir je l’embrasse brièvement sur la bouche. Nous nous mettons à parler de sa journée, puis des modalités de son départ le lendemain. Nous convenons qu’elle va partir en même temps que moi et que je vais la déposer à la gare, quitte à faire un petit détour. Je la trouve beaucoup plus gaie et plus positive que lorsqu’elle est arrivée.Je me dis que ce qu’elle aurait besoin pour soigner son pessimisme habituel, voire sa sinistrose, c’est des orgasmes réguliers et des coups de pine fréquents. Mais pour ma part, ça ne pourra être qu’occasionnel, et pas trop souvent. De toute façon, elle vit à l’étranger, et quelque part, ça m’arrange bien.
A peine le dîner terminé, je vois sur son visage une grande fatigue : elle a du mal à lutter, ses yeux se ferment ; je la connais bien, je sais que ça n’est pas feint. Entre la fatigue de la journée, moi qui lui ai pilonné la chatte et ses orgasmes en salves tout à l’heure, je crois qu’elle est bien vidée.
Je la laisse aller se coucher, je ne lui demande rien, je vais débarrasser et remettre un peu en ordre la cuisine. Il a été convenu que je la réveillerais demain matin vers 6H30 pour qu’elle ait le temps de ranger ses affaires, de faire sa valise.

Le lendemain matin je me réveille tout seul peu après 6H. Il fait déjà assez chaud et la lumière de ce début d’été emplit déjà la pièce.Patricia, dans la chambre à côté, dort encore comme un bébé.Je me suis réveillé avec la gaule et j’ai envie ; alors je vais lui faire bénéficier de mon état physiologique pour la réveiller en douceur, histoire de lui faire mes adieux en y mettant les formes !
Je me lève, à poil, et marche jusqu’à l’entrée de sa chambre. Nous avons dormi avec nos portes ouvertes et je peux la contempler : elle dort, à poil elle aussi, elle a rejeté le drap loin d’elle.Je contemple un instant son corps si blanc, un peu replet mais sans plus, ses beaux seins étalés et appétissants ; elle a un visage d’ange, elle est jolie même quand elle dort. Elle n’a pas mis de réveil, elle a préféré que je me charge de la réveiller ; être le gardien de son sommeil, c’est touchant.
Je m’assois très doucement à côté d’elle, elle bouge un peu, soupire. Je lui caresse doucement le flanc, elle entrouvre les yeux, ébauche un sourire, se met sur le côté face à moi.Je m’allonge à côté d’elle, tout contre son corps chaud. Les yeux à demi-fermés elle me tend les bras et m’enlace.Je me mets à la caresser, ma bouche fond sur la sienne qui s’ouvre, et ma langue l’investit. Ma queue raide se frotte contre son ventre, je lui caresse les fesses ; elle commence à onduler du bassin dans une danse sensuelle.J’embrasse ses lèvres, je tête sa langue, ma bouche glisse sur son menton, son cou, elle écarte les cuisses, s’ouvre à moi, tout naturellement, sans faire de manières.
Ma langue descend sur ses seins, je prends ses mamelons dans ma bouche et les suçote l’un après l’autre. Ça lui fait l’effet d’une décharge électrique : elle se pâme, ses fraises durcissent immédiatement sous mes lèvres, je les agace entre mes dents, elle gémit, je pétris ses belles pêches de mes doigts.Ma langue continue sa descente, lentement, inexorablement, passe sur son ventre moelleux ; je caresse ses belles cuisses pleines, elles s’ouvrent ; je lèche le pourtour de sa vulve odorante, ses mains caressent mes cheveux. Elle s’abandonne à la promesse d’une caresse encore inédite de ma part. Quand ma langue se fraie un passage entre ses fines lèvres roses elle se met à geindre, et laisse échapper force soupirs.Je lui relève ses cuisses, offrant à ma bouche la fente émouvante de sa conque ainsi que le petit œillet plus sombre juste en dessous.
Je me mets à la lécher avec avidité en de lents mouvements ascendants et appuyés, répétés. Elle pousse des petits cris. Je lui mordille ses jolis pétales tous luisants de sève, les suçote, prends entre mes lèvres le tout petit bourgeon, elle devient quasiment hystérique. Elle n’a pas apparemment eu l’habitude d’un tel traitement, ou alors cela fait bien longtemps. Ma langue descend jusqu’au petit cratère qu’il se met à flécher avec adresse ; elle a l’air d’apprécier la caresse dont la sensation lui semble moins aiguë, plus supportable. Je vais de l’un à l’autre, joue avec ses nerfs à vifs, ses muqueuses satinées sont douces sous mon organe ; je la sens sur le point d’exploser.
Mon muscle buccal en pointe tente de forcer son petit trou ; je le sens bien tonique. Elle ne se plaint pas de cette caresse, se laisse faire, écarte encore plus ses cuisses.Je vois ses mains se crisper sur les draps, sa respiration est saccadée, haletante.A peine je relève la tête qu’elle se redresse à demi pour m’attraper par les bras :
« - Viens, viens ! Prends-moi ! »
Je ne résiste pas et ne lui refuse pas ce service : je monte vers elle, elle m’enlace. Je la regarde droit dans les yeux, ses beaux yeux verts qui ont comme un éclat amoureux ; ma bite dressée se pose sur sa vulve. Je sens qu’elle commence à onduler du bassin, me réclame.Ma queue trouve toute seule son chemin, comme si on se connaissait depuis des lustres, je glisse doucement en elle, son fourreau m’absorbe et m’enserre. Je sens déjà des spasmes de plaisir dans le bas de son ventre qui vient au-devant de moi ; elle se balance d’arrière en avant comme une hystérique, elle me contemple, la bouche entrouverte, je sens son souffle, elle m’appelle de tous ses sens. Elle me murmure, d’une voix éteinte, mais d’une voix de folle :
« - Viens, baise-moi, prends-moi, prends-moi fort. »
Lentement d’abord, puis en accélérant je lui balance mes coups de reins. Je sens que je bute bien tout au fond d’elle, ce qui lui arrache des râles puissants à chaque fois. Son orgasme monte très vite, je l’entends, je le vois et je le sens. Mes mains ont saisi le bas de ses reins et je le presse rythmiquement contre moi à chaque coup de boutoir. Elle n’arrête pas de jouir, on dirait une vanne qui s’est ouverte et le flot ne semble pas près de se tarir.
Elle m’excite aussi, et j’ai la queue à vif ; mon plaisir monte mais j’en veux plus. Sa chatte est tellement trempée, tellement assouplie par trois jours de baise intense que je ne la sens plus m’enserrer.Alors, soudain, m’interrompant et m’éloignant d’elle je lui dis :
« - Mets-toi à quatre pattes. »
Un peu surprise, un peu décontenancée parce que j‘interromps cette partie de plaisir, elle semble comme sortir d’un sommeil ou d’un état second. Mais sous la promesse de continuer cette partie avec d’autres plaisirs, elle se redresse sur le coude et se retourne.
« - Présente-moi bien ton cul. Cambre-toi bien, donne-moi bien ta croupe ! »
Elle creuse ses reins, m’offrant le spectacle d’une chienne excitée et de son cul blanc, de ses deux belles lunes épanouies ; en dessous sa vulve bien ouverte bave un peu.Ni une ni deux je lui écarte les fesses et je me mets à lui bouffer la rosette comme un affamé. Je la lèche, la ventouse, la pièce s’emplit de bruits de succion obscènes.
Puis je pose mon vit dur et arqué dans son sillon où je commence à me branler lentement ; je l’enduis ainsi de toutes nos sécrétions luisantes. Si elle n’a pas encore compris qu’elle va y passer, que je vais l’enculer sans vergogne, c’est qu’elle est encore plus conne que je ne le pensais.Mais je sais qu’elle est moins stupide qu’elle n’y paraît, et qu’elle sait bien faire la conne quand ça l’arrange.
Mais juste avant de passer à l’action histoire de bien marquer cet instant solennel, je lui annonce :
« - Je vais t’enculer, ma chérie. Je ne voudrais pas te laisser partir avant de t’avoir à nouveau enculée. »
Elle a comme un mouvement de crainte, je la sens qui se crise un peu, ses fesses durcissent comme si elle voulait se préparer à l’assaut.
« - Détends-toi ma belle. Tu te l’as déjà prise. Et puis t’es bien excitée, bien mouillée, ça va passer comme une lettre à la poste. Tu vas apprécier... »
Et joignant le geste à la parole, m’étant redressé et accroupi au-dessus de son majestueux fessier, je pose le gland bien rond sur la petite cupule qui n’attend que moi, et je commence à appuyer.Elle pousse des petits cris, je sens qu’elle se crispe. Je n’insiste pas. Je lui enfile deux doigts dans la chatte et je me mets à fouiller vigoureusement. Ses cris se transforment en courts gémissements de plaisir. Je ressors mes doigts bien gluants et je me mets à lui enduire sa petite rondelle en des petits mouvements circulaires ; elle se détend, un peu rassurée.Je rentre le bout de mon majeur, ça glisse tout seul.
« - Hummm, tu es encore serrée ma chérie. On dirait un cul de jeune fille. J’aurais tu te pratiquer par là tous les jours. Mais fais-moi confiance, tu vas bien t’ouvrir. »
Je la fouille, je la fouaille, mon doigt tourne bien en elle, je sens que ses muscles s’assouplissent. J’y rentre l’index dans la foulée, je me mets à l’élargir, elle ne proteste pas, elle a l’air d’apprécier.Dès que j’ai réussi à obtenir une ouverture plus souple et que son petit trou ressemble à une petite bouche arrondie je ne le laisse pas se resserrer : aussitôt je présente mon gland qui s’enfonce en elle.Dès que ma pine est rentrée de quelques centimètres elle se met à pousser des râles peu convaincus. Je l’attrape fermement par les hanches, mes mains se refermant sur ses poignées d’amour je me mets à la besogner lentement d’abord, mais fermement. Je lui enfonce ma queue sur toute la longueur, et les va-et-vient se terminent à chaque coup quand mon pubis arrive en butée contre son cul. Je la sens bien, elle est bien serrée, et je sens bien ses boyaux brûlants.Ses râles saccadés augmentent en intensité, mais elle a tendance à avancer en glissant sur les draps.Je me retire alors et la tire en arrière jusqu’à ce qu’elle glisse au bord du lit et se retrouve à genoux sur la carpette, à plat ventre sur le matelas. Ses cuisses sont désormais coincées contre la barre du sommier, son cul est bien offert comme un autel prêt à être sacrifié. Je me place au-dessus d’elle comme si j’allais faire des pompes et lui ordonne de s’écarter les fesses avec les mains. Elle chicane d’abord un peu, se fait prier, j’insiste, je la houspille un peu, lui dis que de toute façon elle doit y passer, et que je vais lui en mettre plein le cul.
Elle finit par m’obéir, et lentement et avec indolence elle place ses petites mains et entrouvre à peine ses fesses.
« - Tu mets vraiment de la mauvaise volonté, ma chérie... »
Et sur ces mots, pour lui montrer qu’il ne faut pas me chercher, je prends ma pine tendue, et la mets où se trouve son petit trou froncé que je me charge de déplisser : je lui enfonce d’un seul coup et sans douceur ma grosse pine dans le cul ! Elle émet comme un cri de protestation mais encaisse la pénétration, et se prend ma queue jusqu’à la garde.Le petit conduit est encore bien humidifié, et je me mets à lui défoncer le cul à grands coups de reins, m’appuyant sur les mains, je la pilonne, elle s’en prend plein son trou de balle !Elle gueule maintenant, mais ses cris rythmés ressemblent à ceux d’une salope en chaleur qui se fait bourrer le cul avec comme un soulagement.
J’ai passé mes mains sous sa poitrine et attrapé ses seins que je malaxe comme un malade, je suis excité comme un dément, son cul étroit me fait un effet dément, et je lui murmure des saloperies dans le cou. Je vois son visage crispé sous l’effet du plaisir.Le mien monte vite, très vite cette fois, emporté par l’énergie que je consacre à lui travailler le fion.Et c’est en lui assénant deux grosses claques (une sur chaque fesse) bien sonores que je mets à rugir, lui envoyant tout mon foutre qui part en plusieurs jets brûlant ma queue en feu, tout au fond de son rectum.J’arrive à articuler :
« - Tiens, ma chérie, v’là ton lavement gratuit ! Un souvenir de moi. »
Heureusement elle aura encore le temps d’aller aux toilettes avant de partir. Je lui caresse un peu le dos, l’embrasse un peu dans le cou, lui murmurant « Hum, tu es bonne, ma chérie... », puis je me lève et pars prendre ma douche.Pendant ce temps elle fera de même dans la sienne.
Vingt minutes plus tard je finis de préparer la table du petit déjeuner. Un bol de café au lait l’attend, avec les croissants que j’ai réchauffés.
Toute souriante, déjà habillée, elle vient s’assoir. Elle s’installe et commence à déjeuner de bon appétit. Je m’assois à la table et l’accompagne.
Étonnamment, c’est elle qui rompt le silence, et me demande malicieusement :
 « - C’est bon, tu penses que j’ai payé ma pension... ?— Oui ça va, j’en ai eu pour ton gite et ton couvert.— Et moi pour les « câlins » aussi » ajoute-t-elle.« - Tu y as trouvé ton compte, finalement ? »
Un silence, elle mâche son croissant, sans me regarder. Puis :
« - Oui, c’était plutôt bien.— Tu as apprécié finalement ? Tu ne regrettes pas, je suis sûr ?— Non, je ne regrette pas » répond-elle en hochant la tête avec son léger sourire. « C’est encore moi qui y gagne » ajoute-t-elle, malicieusement. « - T’inquiète pas » lui dis-je sur un ton un peu vicieux, « j’ai bien pris mon pied.— Je le sais » dit-elle, sûre et satisfaite d’elle-même.« - Je pourrais revenir la prochaine fois, alors ? » ajoute-t-elle une seconde après. « - Ça on verra. Ça dépendra. Si je n’ai pas de monde à la maison. Tu n’es pas la seule que j’héberge de temps en temps, ou qui vient passer un week-end avec moi de temps en temps...— Ça alors... Quel homme à femmes tu es. Je n’aurais pas cru » répond-elle sans grande conviction.« - Ça n’est même pas moi qui vais les chercher. Les femelles, enfin certaines, sont attirées par le veuvage, on dirait. Enfin... Appelle toujours, on verra bien.— Oui. »
Je me dis que profiteuse comme elle est, elle ne manquera pas de me rappeler, sûre de se faire héberger et nourrir quelques jours ici, et en plus, de se faire baiser et de prendre son pied quotidiennement, ce qui ne doit pas lui arriver très souvent, apparemment. J’espère qu’elle ne viendra pas exprès, même si elle n’a pas une vraie nécessité de revenir en France.De toute façon, je ne lui dirai OK que si je peux vraiment.
Evidemment il ne faut pas que je compte sur une invitation de sa part, ça n’est pas dans ses habitudes de rendre la pareille. Ou alors il faudrait que je fasse comme elle, que j’aille au culot, lui téléphone et lui annonce mon arrivée. Mais ça n’est pas mon genre. Et c’est elle qui se manifestera bien avant.
° ° °
Deux mois se sont passés depuis qu’elle est venue chez moi. Et ça n’a pas loupé : elle vient d’appeler. Elle était toute enjouée, presque survoltée, et par moment, charmeuse.Elle débarque dans dix jours.Faut que je commence à prendre des vitamines.

FIN
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