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Recueil d'une Catholique sans tabou

Chapitre 2

Le passé d'Emilie

SM / Fétichisme
Vous devez probablement connaître Émilie, (tirée de mon histoire du Manoir), cette jeune gothique dans la vingtaine est étudiante en commerce/Marketing. Travailleuse et sérieuse, la jeune fille aimait de temps à autre s’amuser. Plutôt extravertie, elle est la fêtarde en personne, toujours dans les soirées à n’importe quel moment de l’année même la veille des examens ce qui ne l’empêche pas de les réussir haut la main. Émilie prenait aussi un malin plaisir à séduire n’importe quelle fille qui passait dans ses filets. Elle eut rapidement certaines réputations peu élogieuses mais c’était loin de la toucher.

Un soir tard dans la nuit Émilie fume une cigarette, elle se dirigeait d’un pas lent vers un établissement où il faisait nul doute que cela soit autre chose qu’un club érotique. La jeune fille entre et pénètre dans une grande pièce où la sono crachait de la musique si forte que personne ne pouvait s’entendre. Plusieurs filles dénudées offraient du spectacle à une bande de motards morts de faim. Notre héroïne prend place devant le bar et une barmaid vient la voir.
“ - Salut chérie je te sers quoi ? dit-elle.-Comme d’habitude, tu sais si quelqu’un m’attend dans la Chambre ? -Depuis un moment. -Merci.”

Émilie finit son verre et sans prêter attention aux autres se dirige vers une pièce à l’écart.

La Chambre est en fait une salle pour les privilégiés, une pièce de taille moyenne où se trouve au coin une cellule. Émilie aperçut une fille de son âge à l’intérieur. Habillée d’une simple culotte noire et d’un ensemble de lanières de cuir qui soutient sa poitrine. La prisonnière ressemble plus ou moins à Émilie. La cellule ou elle se trouve est juste assez grande pour une personne, quand la soumise l’aperçut cette dernière s’empresse d’effectuer une danse provocatrice exhibant son corps. Émilie prit place dans un fauteuil, me regardant d’un œil désireux. Voulant pousser cette scène plus loin, je me mets à quatre pattes et lape l’eau qui se trouve dans la gamelle au fond de ma cellule. Je veux aller de plus en plus loin m’offrir totalement, je veux savoir ce que l’on ressent quand on est dans cette situation.

J’entends Émilie se rapprocher et me faire sortir de la cage, d’un geste sec elle m’enfile un bâillon dans la bouche et m’attache à une croix de Saint-André qui se trouvait plus loin après l’avoir totalement déshabillée. Ses mains se mettent à caresser ma peau nue, les gestes sont vifs. J’ai l’impression d’être totalement devenue un objet de plaisir, je ne suis plus moi-même. Elle retire ma culotte, ultime rempart à ma nudité et fini de lier mes chevilles. En se redressant Émilie me donne un coup de langue après avoir léché l’un de mes seins. Puis ma maîtresse me les prend en bouche en jouant avec sa langue de manière divine. Alors qu’elle quitte ma poitrine, une main glisse vers mon mont de Vénus. Mais à mon grand malheur elle ne reste pas longtemps et ma Maîtresse se glisse hors de mon champ de vision.
J’entends du bruit mais ne peux rien voir, des cliquetis sont les seuls bruits qui me viennent aux oreilles. Elle revient peu de temps après avec une petite chaîne où sont reliées deux petites pinces. Un autre gémissement s’échappe du bâillon quand les pinces me mordent la peau. Je n’ai pas le temps de voir ce qu’elle fait que je sens sa langue partir de mon bourgeon, remonter jusqu’à mon nombril puis redescendre sur mon intimité. Elle est douce, je sens qu’elle veut me faire languir, et elle y arrive. Sa langue est remplacée par sa main, puis de nouveau sa bouche, de mini décharges parcourent ma peau.
Que c’est doux, les yeux mi-clos, ma bave s’échappe de ma bouche et vient glisser sur ma poitrine. Émilie alterne entre sa bouche et ses doigts sur mon entrejambe. Ma salive continue à couler sur mon menton. Mon Dieu que c’est bon, elle sait exactement où caresser, mélangeant plaisir et frustration.

Sa langue remonte le long de mon corps et ma Maîtresse me libère et me retire le bâillon. À quatre pattes, elle m’emmène vers un autre de ses jeux. Semblable à une guillotine, Émilie me bloque à l’intérieur ce qui m’oblige à supporter tous ses vices.

Un pénis en plastique arrive devant moi et elle me l’enfonce dans la bouche sans prévenir, sa main passe dans mes cheveux. Je ne suis plus rien, rien du tout. Un simple objet de son plaisir. Le sexe factice me donne plusieurs haut le cœur et je me mets à baver, mes mains enfermées. Mon Dieu je n’échangerais ma place pour rien au monde. Ma gorge me brûle, ce doux calvaire dure encore quelques minutes avant que ma Maîtresse me libère pour aller s’allonger sur un lit dans une pièce voisine.

Elle me prend par les hanches et glisse son gode dans ma grotte. Ses mains prennent mes seins alors que je commence à faire des allées et venues plus rapidement. J’ai du mal à retenir mes gémissements. Ma maîtresse aussi, je l’entends gémir sous ses coups de plus en plus poussés. L’une de mes mains passe sur ma poitrine avant de venir caresser mon intimité, je fais de petits mouvements circulaires. Émilie saisit fermement l’un de mes seins et l’écrase en pinçant mon téton encore sensible des pinces qui l’avaient mordu.

Les mains d’Émilie glissent sous mes fesses et donnent le rythme de ses entrées en moi. Le sexe factice ne me quitte jamais totalement. Mes seins sont ballotées par ces allées et venues alors que le collier que je porte toujours au cou semble se resserrer. J’ai beau être au-dessus d’elle, c’est Émilie qui dirige tout, ses mains continuent à visiter mon corps nu.
Ma maîtresse tire doucement mais fermement sur ma laisse m’intimant de me retirer, ce que je fais. Émilie me tire vers elle et, poitrine contre poitrine, nous nous embrassons avec passion et envie. Mais vient le temps pour moi de retrouver ma place, la gothique se relève prend ma laisse et me ramène à ma cage et m’y enferme. Je souris, je suis enfin heureuse.
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