J’entre dans l’église et me dirige vers l’autel. “ Il y a quelqu’un ?”Je tourne autour, à la recherche d’une personne. J’ai juste revêtu une robe rouge et une culotte. “ Je viens pour me confesser.” Mentis-je.
Je souris et m’assois sur le premier banc. Le haut de ma robe, si on peut appeler cela une robe, manque de dévoiler ma poitrine dans ce lieu Saint. Bon s’il n’y a pas de prêtre tant pis, autant parler à Jésus directement me dis-je en prenant une icône du Christ. Bon. S’il n’y a pas de prêtre tant pis. Je pousse un rire moqueur. Mes pas me mènent derrière l’autel. Je prends doucement la Bible dans mes mains, l’ouvre, et allume les bougies qui sont sur l’autel avec le briquet que j’utilise pour fumer mes cigarettes. Je lis un passage de la Bible qui me fait me sentir étrange. Une perversion entre alors en moi. Ce fut à ce moment que je perds mon âme, je dégrafe doucement ma robe. Je reprends la Bible et lis :Marie…Je regarde la statue de la Vierge sur l’autel. Mais au lieu de lire le passage de la Visitation que, seuls des blasphèmes sortent de mes lèvres. Je pose la Bible et monte sur l’autel en prenant la croix du Christ. Ma robe descend jusqu’à mes hanches, je prends la Bible face à moi. Je l’ouvre et feuillette un peu les pages avant d’en déchirer une. La plie et la fait brûler avec le cierge que j’ai allumé. Avant de l’éteindre dans le calice. Je baisse ma robe dévoilant ma culotte jaune. Je tremble, je prends la statue de la Vierge et l’embrasse sur la bouche. Puis la statue entre doucement dans ma bouche alors que je m’installe confortablement sur l’autel. Mes doigts glissent doucement sur mes hanches et je défais ma culotte. La croix du Christ dans ma main je dis :Maintenant Jésus, tu me dois un orgasme. Je suis allongée sur le dos, tout le long de l’autel. La Bible est ouverte à quelques millimètres de mon entre-jambe. Je fais doucement glisser la croix sur mon corps nu. — Que penses-tu de cela, Dieu ? dis-je en écartant mes bras pour exhiber ma nudité perverse dans ce lieu saint. Ma main fait doucement glisser la croix sur mon corps jusqu’à en écarter furtivement mes lèvres intimes. La croix me caresse de haut en bas. L’un des bras tente de rentrer dans mon sanctuaire, mais pas tout de suite. Oh et puis si, la croix descend doucement mon Mont de Vénus. Y pénétrant doucement. Mes jambes en l’air, je me mets doucement à accélérer le mouvement de la croix en moi. Je la ressors, la lèche. Puis la glisse de nouveau dans mes lèvres intimes. Je gémis, me cambre alors que la croix entre toujours dans mon intimité blasphématoire. Je m’assois en posant à côté de la Bible la croix et prend l’une des statues de la Vierge. Puis tourne de nouveau les pages du Saint Livre. J’arrache une, deux pages et les pose sur l’autel. Avant d’en porter une troisième à mes lèvres et la déchirer avec mes dents. Je soupire, reprend l’icône du Christ, sourit et crache dessus. D’une main dédaigneuse je la remet sur l’autel pour arracher de nouveau des pages de la Bible. Puis ma main prend la statue de la Vierge et la glisse dans ma grotte en disant. "Ne me fait pas croire que tu n’as jamais fait cela ?" Je gémis doucement en faisant tourner doucement la statue en moi. Elle glisse, millimètre après millimètre, dans mon intimité. Mon poignet fait tourner doucement la statue dans mon corps alors que mes gémissements se font de plus en plus présents. De temps à autre je sors la statue avant de me la glisser dans mon antre à nouveau. Mon corps tente de trouver une position confortable sur l’autel alors que mon poignet continue à faire tourner la statue en moi. Que c’est délicieux, rien ne peut m’empêcher d’accomplir encore et encore ce terrible blasphème. Oui, délicieux d’imaginer Marie, cette jeune femme innocente choisit par Dieu lui-même dont l’image est désormais souillée par une catholique. Par Moi. Que c’est délicieux, la statue froide contraste avec la chaleur diabolique qui s’échappe de mon entre-jambe. Mon miel intime souille délicieusement la Statue Sainte, offrant à mes oreilles une douce musique excitante. Je retire la statue de Marie pour pouvoir plus aisément me mettre à quatre pattes. Avec la statue je me donne plusieurs coups secs sur les fesses. Puis tend le bras doucement et fait de même avec l’icône du Christ. Puis me voilà de nouveau à quatre pattes, je crache sur la statue que j’ai en main et l’apporte de nouveau vers mon sanctuaire en gémissant. De nouveau la Vierge Marie entre dans mes fesses ; je prends appui sur la Bible ouverte et écarte mes fesses pour que la statue entre plus profondément en moi. Mes lèvres intimes s’écartent de plus en plus. Je suis accroupie sur la statue, faisant de petits allers et venues dans mes fesses, mes mains tournent les pages de la Bible, que c’est bon de sentir la fraîcheur m’envahir dûe à la statue de la Vierge m’envahir ! Mais cette fraîcheur est vite reprise dissipée par la chaleur de cet acte blasphématoire.
Je pose la statue sur l’autel et prend l’autre Vierge, m’installe allongée sur la Table sacrée, lèche doucement la tête de la statue. Relève le bassin à fond et descend la statue doucement sur ma peau. Puis elle entre encore en moi. La Vierge me fait l’amour, enfin si faire l’amour est le bon mot. La statue entre en moi sans relâche, montant de temps à autre sur mon clitoris gonflé de plaisir. Mon bras passé derrière ma tête, je continue à gémir et les mouvements se font de plus en plus rapides. Je me mords les lèvres devant ces blasphèmes terribles que je commets, et qui me font tourner la tête. Ou bien est-ce le démon qui m’habite en ce moment même qui me procure autant de bien ? Je finis par jouir, de douces crampes me prennent les jambes, je me remets assise et jette la statue sur l’autel. Je souris et sors nue de l’église.
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