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Recueil d'une Catholique sans tabou

Chapitre 4

Perdue dans les tenebres.

Trash
Perdue, oui je suis perdue ; Ténèbres, tout est Ténèbres… Sans fin et immortelles.

Je suis allongée sur le parquet froid, mais je ne ressens rien. J’ai trouvé dans la pièce où je suis plusieurs bougies, ainsi que de quoi les allumer. Mais au lieu de les utiliser pour augmenter la faible lumière de la pièce j’eu j’ai une tout autre idée. J’allume l’une des bougies avec les allumettes et m’installe allongée sur le sol. Je prends une grande inspiration avant de laisser la cire chaude couler sur mes tétons. Cela me brûle mais ce n’est pas grave, je ne ressens presque rien. Enfin si, mais la souffrance n’est rien comparée à ce que le gouffre dans mon âme me fait ressentir.
La cire chaude continue de brûler mon corps et mon âme, pourtant je reste là, la respiration lente. J’ai quelques sursauts de temps à autre. La bougie continue de se consumer alors que je la glisse doucement dans ma grotte intime. Quelques *ploc* raisonnent dans le silence, due aux gouttes de cire qui tombent sur le sol. Je lève la bougie au-dessus de mon ventre et renverse la cire chaude qui augmente accélère ma respiration. Ma main caresse la peau brûlée par la cire.
Mes doigts entrent alors dans ma bouche, comme un ordre silencieux. Venait-il de moi ? Je ne sais pas, mais en tout cas c’est un vrai délice. Mes doigts s’enfoncent dans ma gorge jusqu’à avoir des hauts le cœur haut-le-coeur. Je lèche mes doigts en les rendant humides. Puis je les enfonce à nouveau, je lâche un hoquet de dégoût mais je continue encore et encore. Mon corps se cambre, la bougie que j’ai glissée dans mon sanctuaire commence à laisser couler sa cire entre mes fesses. Ma main fait de nouveau des allers-retours dans ma gorge. J’ai mal, je sens une larme couler d’un de mes yeux mais je m’en fiche. Je veux cela, mon corps le réclame. Je reprends la bougie, la cire qui se trouve sur mon ventre s’était solidifiée, je refais glisser la cire à nouveau sur mon ventre. La bougie se rapproche de plus en plus, jusqu’à ce que la flamme lèche ma peau. La cire coule dans mon nombril, cela me brûle mais aucun gémissement ne sort de ma bouche. J’ai l’habitude de cette douleur, la même qui consume mon âme en silence. Une, deux, trois gouttes et ainsi de suite sans m’arrêter, mes haut-le-coeur augmentent, mais en aucun cas je ne m’arrête.

Mais au bout d’un moment j’ai un besoin de respirer plus normalement, mes doigts quittent ma gorge pour caresser mes lèvres humides de salive. Cette dernière coule et coule encore. Sur mes joues, mon menton. D’un geste, la main tremblante, j’approche la bougie de ma rose intime. La cire coule sur ma toison coulant entre mes lèvres, mes deux doigts en “V” je lèche une chatte imaginaire, de haut en bas longuement. J’imagine une multitude de femmes d’âge diffèrent d’âges différents, d’une peau blanche comme la neige à une douce couleur ébène. Je crache, bien entendu, la salive qui retombe sur mon visage. Qu’est-ce que j’aime me sentir souillée ainsi. Je crache encore et encore, tout en étalant ma bave sur mon visage ; ma main n’a pas fini son œuvre de torture : la cire atteint désormais mes lèvres intimes, je me cambre de douleur. Due à la cire et à ma main qui m’étouffe. J’ai mal, je pleure mais pour rien au monde je ne m’arrêterais.

Mes doigts continuent à jouer avec mes lèvres, je salive encore, sans fin. Je caresse mes lèvres doucement avant de retourner dans ma bouche, m’étouffant à nouveau.

Je me redresse, j’ai envie d’aller plus loin dans cette douleur qui consume mon âme. J’allume une lampe à huile, comme par magie mon autre main tombe sur une cigarette, quel est cet endroit maudit ? J’allume la cigarette et jette l’allumette, je ferme les yeux. Un crépitement de flamme se fait entendre comme si un livre s’embrasait. Mais qu’importe, j’ai tout essayé : rien ne me fera sortir de cet enfer doré. Le feu consume le livre, si proche que je peux sentir les flammes lécher mon corps nu. Je n’ai plus le temps d’y penser que je remarque qu’inconsciemment je glisse la cigarette dans mon anus. Je suis folle, totalement folle ; une fois la cigarette glissée dans entre mes fesses je laisse la fumée envahir la pièce et mon nez.

Je reste ainsi pendant d’interminables minutes, puis doucement je me relève. Un feu s’est allumé dans la cheminée de la pièce. Dans cette cage qu’est mon esprit. J’allume alors une nouvelle bougie avec et m’allonge sur le sol. Je porte la bougie à mes lèvres et la glisse dans ma bouche. Je la prends comme une cigarette, mes doigts descendent sur mon abricot où la bougie que j’y avais mis se trouvait toujours là précédente se trouve toujours. D’un geste lent je caresse la bougie et la rentre de plus en plus dans mon intimité. Le mouvement de ma main se fait lent et doux, de haut en bas ; la flamme brûle mes doigts. Puis, petit à petit, de plus en plus profond. Haut, bas, haut, bas et ainsi de suite. Mes yeux clos, comme une habitude, mais aucun rêve érotique, simplement les ténèbres. Je prends la bougie qui se trouve dans ma bouche et fais des mouvements circulaires avec. Je tourne encore et encore sans me préoccuper de la douleur qui me consume.
La cigarette et la bougie n’ont pas bougé, elles continuent à me brûler de plus en plus. Leurs tailles diminuent de plus en plus, encore et encore, sans fin. La bougie continue son va-et-vient sans quitter mon doux sanctuaire. Puis elle s’enfonce encore et encore, la bougie dans ma gorge me fait mal. Des hoquets sortent de ma bouche, je tousse, j’ai mal. Je crache de dégoût mais je continue. La bougie s’enfonce encore plus loin. Je gémis, les allées et venues de la bougie vont de plus en plus vite alors que celle dans ma bouche fait couler la cire sur mon visage. Je me masturbe avec la cigarette et la bougie allant de plus en plus loin, me rapprochant de plus en plus de l’extase. Encore, plus vite, plus vite. Mon corps bouge sur le parquet. Puis ce fut une explosion de plaisir.

Quelques temps plus tard je me réveille, lève les yeux sur, de nouveau, l’enfer.
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