La nuit est tombée sur Paris, malgré tout l’activité n’a pas diminué. De minces flocons de neige tombent sur la ville étrangement vide. Seules les lumières jaunes des lampadaires se reflètent sur les pavés de pierre. Des bruits de pas résonnent sur ces derniers, une silhouette noire monte les marches d’un grand escalier. Ses pas sont hésitants pourtant elle y va quand même. Diane se trouve au couvent depuis un an déjà, mais depuis peu la perversité blasphématoire a toqué à sa porte. Et elle s’y est plongée consciente de sa descente aux enfers (c’est le cas de le dire). Mais revenons quelques mois auparavant, Diane avait rejoint le couvent plus par obligation religieuse que pour répondre à l’appel divin. Ses parents, de pieux catholiques, avaient déjà tracé le chemin de leur cadette dans l’Église. Ce qui n’avait guère plus à Diane qui avait décidé de se venger. La nuit elle sortait ; Diane avait réussi à dénicher un chemin à travers le couvent. Heureusement les murs qui entourent la bâtisse étaient anciens, et laissaient des ouvertures là où ils tombaient en ruine. C’est par l’une de ces brèches que tous les soirs la jeune religieuse sortait. Dans sa fugue elle trouvait une échappatoire. Mais bientôt les griffes du Malin lui prirent son âme et la pervertirent. La jeune religieuse - Diane approchait de sa vingt-cinquième année - n’avait plus la boule au ventre qu’elle avait ressentie au tout début. Non, désormais sa marche était plus assurée. En arrivant dans la rue qui était devenue son repère de perversion elle entra dans l’un des immeubles. Diane portait sa bible qu’elle devait toujours avoir sur elle et sa croix qui pendait à son cou. Elle monta les escaliers et arriva dans une chambre qu’elle connaissait bien désormais. Diane s’assit sur le lit. Elle sourit en sentant le matelas qu’elle connaissait désormais par cœur. La jeune religieuse posa à ses côtés la Bible, l’ouvrit et se mit à genoux en priant, tenant face à elle la croix qu’elle avait apportée. Elle alla s’installer sur le lit, ses doigts faisant doucement remonter sa robe sage de religieuse et découvrant des porte-jarretelles noirs. Ses jambes s’écartèrent naturellement alors que sa croix glissait dans sa bouche pour la lubrifier avant de la glisser entre ses cuisses pour caresser son Mont de Vénus. Haut, bas doucement, la croix écartait les lèvres intimes de Diane dans un doux acte pervers et blasphématoire. Encore et encore, descendant doucement ; de temps à autre Diane essuyait la croix avec sa langue goûtant avec délice sa mouille. Un ‘ding’ retentit dans la pièce, le moment était arrivé. La nonne prit une grande inspiration et se leva doucement : il fallait qu’elle se prépare. Elle ne garda que ses bas, son string et sa coiffe de religieuse. Comme cela était inscrit dans le règlement qu’elle avait signé. Toujours à quatre pattes Diane entra dans une pièce où une dizaine d’homme nus l’attendait. Ils ont tous des masques fantaisistes sur le visage pour qu’on ne les reconnaisse pas. A chaque fois Diane se demandait si parmi eux se trouvaient des personnes qu’elle connaissait ou des figures de la région. Elle prit une grande inspiration et se glissa entre les jambes de l’un d’eux, un cinquantenaire bien bâti. Diane leva ses yeux, ouvrit doucement sa bouche et se mit à doucement sucer l’homme face à elle. Autour, les autres la regardaient gardant leurs sexes excités au garde à vous, se masturbant doucement. La religieuse fit de même pour tous les participants, le dernier qu’elle honora lui retira sa coiffe de religieuse et la força à se mettre à quatre pattes au milieu d’eux. Ce fut à ce moment-là qu’elle perdit, à son plus grand plaisir, sa volonté. Elle est ainsi prise par chacun des hommes, l’un d’eux lui releva les jambes et les posa sur ses épaules avant de la pénétrer sans vraiment de douceur. Dans la position dans laquelle Diane se trouvait sur le lit, cela permettait aisément aux autres participants de la caresser ou de l’obliger à prendre leur sexe en bouche. Une fois sa chatte vide un autre sexe entrait dans le sien. L’un des hommes se mit alors à califourchon sur elle, l’obligeant à entrer sa langue dans son anus. Une fois les premiers hommes rassasiés de leurs plaisirs pervers et malsains, d’autres les remplaçaient Diane se sentit partir en arrière, elle se retrouva alors les genoux à terre et le haut du corps cloué sur le lit. Les hommes pervers passant derrière elle à la chaîne. La voilà, la fille, la femme, entrée au couvent, sensée être prude et vierge ! La voilà entourée d’hommes. Combien étaient-ils vraiment ? Aucune idée, la jeune nonne ne les avait pas comptés. Diane était ballotée, baisée sans retenue par tous ces pervers, leurs souffles chaud et gras sur sa nuque et ses épaules. Une ombre passa devant son visage et Diane remarqua que l’un des hommes s’est agenouillé face à elle. Son sexe dressé vers le plafond. Elle n’eut pas d’autre choix que de glisser ce sceptre dans sa bouche. Elle était totalement perdue, combien étaient-ils ? La nonne en dénombrait au moins quatre, autour d’elle. Diane se mordit les lèvres avant que l’un des hommes ne les réclame dans une ultime perversion. Il la força presque au plus grand plaisir de la jeune femme. L’un des hommes l’obligea à se mettre à genoux pour honorer son sceptre, un autre se mit de l’autre côté de la nonne. Cette dernière ne comptait plus les minutes qui passaient, seul comptait son plaisir d’être ainsi utilisée dans ces doux blasphèmes. L’un des hommes lui prit le cou et l’obligea à se mettre à genoux. Son sexe en main il observa Diane qui dans une perversité sans limite leva les yeux vers lui. La Bible qu’elle avait apportée lui fut mise dans les mains. Plusieurs hommes vinrent jouir de son visage et sur la Bible, qui fut léchée soigneusement par Diane. Enfin, elle observa les hommes disparaître, la laissant ainsi seule à se rhabiller. Une fois sortie la religieuse repartit vers le couvent comme si de rien n’était.
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