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Recueil d'une Catholique sans tabou

Chapitre 9

Perdue dans les Ténébres

Trash
Je me suis assoupie pendant combien de temps ? Je ne sais pas, mais cela m’importe peu. J’ouvre les yeux, me voici encore dans ma prison. Cela me fait mal mais la douleur me procure une excitation profonde. J’ai envie de tout oublier, mon esprit a peu à peu effacé mon passé.
Je n’ai que cette pièce, ces quatre murs sont ma prison, mon cœur saigne, je suis perdue dans les ténèbres. Cette pièce commence à me rendre folle, j’ai envie de crier mais rien ne sort de mes lèvres. En ouvrant les yeux je vis une chaise devant moi où reposait une bouteille d’huile, que faisait-elle là ? Je n’en sais rien, j’ai arrêté de me poser des questions.

Je saisis la bouteille, je ne contrôle plus mon esprit. Je me retrouve juste habillée d’un t-shirt ? Quand est-ce que je me suis changée ? Je hausse les épaules, je suis comme une automate. Mes mains débouchent la bouteille de verre et verse de l’huile dans le bouchon. J’ai l’impression que je regarde un film où l’héroïne est à la première personne, sauf que c’est moi. Ma langue s’approche du bouchon d’huile et je lape le liquide. Je l’avale en récupérant le reste avec ma langue. Comme un automate, je repose le bouchon sur la bouteille de verre.
Mes mains glissent sous mon haut et je l’enlève, me voilà nue. Je tremble d’excitation, ma main fait pencher la bouteille d’huile pendant que l’autre tient le bouchon. Je suis folle totalement folle, je vois l’huile couler entre mes douces lèvres intimes. Le bouchon tombe par terre et le simple *ding* qu’il fait lorsqu’il tombe au sol est comme décuplé. Je lève la bouteille d’huile et fait couler le liquide couleur or sur ma poitrine. Le liquide est chaud et poisseux, il laisse couler tout le long de mon corps ces gouttes qui sont de petits filets dorés.
Je pose délicatement la bouteille par terre et m’observe, l’air me brûle, j’ai l’impression que mon cœur va s’embraser… Cela fait terriblement mal. Je touche l’huile tombée sur le sol et joue avec comme l’aurait fait un enfant normal, je n’ai pas beaucoup souffert des privations lors de ma vie, mais j’ai toujours senti ce gouffre. Je joue avec l’huile, mais je ne suis plus une enfant, je suis...Je ne sais plus, qui suis-je ? Je n’en sais rien. Mon index remonte doucement le long de mon corps, caresse mon sanctuaire une ou deux secondes avant de reprendre sa route. Le ventre, le nombril, il monte, monte, cela dure une éternité. Mon doigt glisse sur mon sein, fait de petits gestes autour de ma cerise. Une fois, puis deux et ainsi de suite. Je ferme les yeux, Ténèbres, je descends ma main sur mon ventre tout en continuant ses caresses. Mes deux mains partent alors à l’assaut de mon corps : seins, ventre, cou, tout y passe.

La main gauche repart à l’assaut de mes seins alors que la main droite effleure mon Mont de Vénus. Les caresses continuent ainsi, lentes, très lentes. Mes mains glissent sur l’huile, continuant d’étaler cette dernière sur ma peau. Je me frotte la peau comme si l’huile était du savon ; cela me fait sourire, petite espérance dans cette tempête silencieuse. Mes mains continuent mon ballet sensuel sur ma peau, de plus en plus vite. Je n’ai qu’à tendre la main pour qu’une autre bouteille remplie arrive. J’aurais trouvé cela magique si je n’étais pas ici.

Je mets ma tête en arrière, et prenant de l’huile dans la bouche je laisse couler le liquide sur mon cou. L’épais filet coule sur tout mon corps, mélangé à ma salive. Il coule encore, mes mains continuent de me caresser la poitrine, mes doigts récupèrent l’huile et je me caresse avec. Ma main va de plus en plus vite. Je ferme doucement les yeux pour me concentrer uniquement sur mon plaisir, de petits cercles. Rapide, encore et encore. Je ne contrôle plus rien, je porte la bouteille d’huile de verre à mes lèvres, je bois quelques gouttes avant de recracher le tout.

La plus grande partie tombe sur mon entre jambes que j’écarte au maximum avec mes mains. Toutes les deux ne sont que présentent pour mon plaisir dans cet océan de souffrance. Elles font de petits cercles autour de mon intimité me faisant doucement gémir. Je souffle de plaisir, mon ventre se soulève, se creuse. Je vais bien, terriblement bien. Ma main prend de nouveau la bouteille qui semble ne jamais se tarir. J’en prend en bouche avant de le recracher sur ma peau. Mes deux mains caressent maintenant tout mon corps. Elles enferment mes lèvres intimes, mes doigts serrés contre ces dernières. Je souris ; oui, c’est interminable, mais dans cette souffrance le plaisir n’est que décuplé. Mon cœur devient gros et ma gorge s’assèche. Deux de mes doigts glissent alors dans mon intimité. Ils entrent doucement, aidés par l’huile ; je souris tout en gémissant, les yeux clos.
Je joue avec mes doigts, que c’est délicieusement bon ! Je sens mon miel intime qui se mélange à l’huile. Avec mon pouce je masse doucement ma cerise dressée. A peine mon doigt le touche que je me cambre comme électrocutée. Ma main fait de petits cercles de plus en plus rapides et petits. Je me mets alors à entrer dans ma chatte de plus en plus rapidement. Je ne me caresse plus, je me baise, oui c’est exactement le bon mot. Mes doigts quittent ma grotte et saisissent les deux parties de la chaise et je fais de nombreux mouvements de hanches pour me caresser de plus en plus rapidement. Les yeux clos, mon corps n’est plus qu’une danse sensuelle. Je me caresse à la chaise comme s’il n’existait que cela au monde. Je relève un peu mon bassin pour que ma main puisse s’installer entre la chaise et mon intimité. Ma main passe derrière moi et d’un doigt je remplis mon petit trou.
Je me cambre, je jouis, quel bonheur ! Mes yeux se ferment sur les ténèbres, une larme coule de ma joue.
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