Coralie a du mal à dormir, elle fait de nombreux tours sur elle-même en cherchant une position confortable. Mais rien n’y fait, Coralie se lève alors de peur de réveiller ses amies. En effet elle est partie cet été-là avec Astrid et Camille deux amies de la faculté.
Coralie se lève et part vers la cuisine, le cœur lourd elle ouvre le congélateur et prend un pot de glace à la vanille et le mange petit à petit. Signe d’une déprime imminente, Coralie est dans ses pensées quand Astrid arrive face à elle. — Ça va ? On dirait que tu n’es pas dans ton assiette, lui dit son amie. — Ça va, merci de poser la question, soupire Coralie. — Y a-t-il un problème ?— J’ai l’impression que personne ne veut de moi. Astrid comprend ce que veut dire son amie ; en effet tout l’été elles ont eu de nombreux prétendants qui ont cherché à les séduire, sauf Coralie. Sachant qu’il ne faut pas laisser seule une personne n’ayant pas le moral, Astrid prend alors une bouteille d’alcool dans le frigo. Devant le regard hésitant de Coralie, l’amie de cette dernière lui tend la bouteille pour qu’elle l’ouvre elle-même. Puis Astrid lui prend la bouteille des mains et en bois quelques gorgées sans prêter attention aux gouttes qui coulent sur son haut de pyjama. Coralie l’aide alors son amie à retirer son haut sans avoir remarquée qu’Astrid l’avait fait exprès. Un petit jeu commence alors, Coralie observe son amie aux cheveux bruns avant de prendre une barquette de fraises dans le réfrigérateur et l’ouvrir. Le jeu commence. Coralie qui vient d’attacher ses cheveux blond clair en queue de cheval passe l’un des fruits sur les lèvres d’Astrid avant de prendre la fraise dans sa bouche. Leurs visages se rapprochent et leurs lèvres se rencontrent, s’effleurent quand Astrid vient manger une partie du fruit rouge. Coralie remarque alors que son amie la dévore des yeux, nullement gênée qu’elle soit à demi-nue face à elle. Les corps des deux amies se rapprochent puis la jeune femme brune dévoile la poitrine de son amie et pose délicatement Coralie contre le frigo et lui embrasse le cou. Avant que la jeune blonde n’invite son amie à se redresser, Astrid se retrouve contre son amie qui lui retire sa culotte, l’ultime rempart à sa nudité, son amante pouvant alors lui caresser sa peau nue. La bouche de Coralie en profite pour visiter avec sa bouche alors chaque centimètres qui passe sous ses lèvres. Tout en la gardant contre le frigo, la jeune blonde écarte les fesses nues d’Astrid. Tout en continuant son doux ballet de langue, Coralie finit de retirer son pyjama. Ses baisers brûlants goûtent chaque partie de peau, et même au petit trou tabou de son amie. Et en se redressant, elle lui fait goûter le doigt qu’elle a glissé entre les fesses d’Astrid. Qui, tout en léchant ce doux doigt, se retourne pour embrasser Coralie à pleine bouche. Après un baiser brûlant de passion commune, Coralie se dégage lentement et offre ses fesses aux lèvres désireuses de son amie, qui l’aide à finir de se déshabiller. D’une langue experte, Astrid joue dans l’intimité de son amie, puis enfin lui demande silencieusement de se retourner, de poser l’une de ses jambes sur son épaule pour qu’elle puisse avoir accès autant qu’elle veut au doux mont de Vénus de Coralie. Astrid glisse alors un doigt à l’intérieur et se met à faire de petit va et vient. Leurs regards se croisent alors, les yeux de Coralie la remerciant du doux traitement qu’elle subit. Désireuse de ne pas aller trop vite, Astrid se redresse et vient embrasser son amante sur les lèvres. Coralie répond à son baiser avant de poser l’épaule de son amie contre le frigo et tenant sa jambe embrasser la poitrine d’Astrid tout en visitant l’intimité de son amie avec ses doigts. La jeune fille joue avec ces jolies cerises avec sa langue tout en continuant à lui procurer du plaisir. Bientôt ses doigts sont remplacés par la bouche de Coralie. Qui les yeux levés sur son amante la lèche délicatement de son mieux. Les baisers de Coralie sur son amie sont doux et chauds, empreints d’une sensualité folle. Astrid relève doucement la tête, se tenant fermement à la porte du frigo de peur de glisser, encourageant son amante de ses nombreux gémissements non feints. Mais ces derniers sont vite tus par les lèvres de Coralie qui viennent se plaquer aux siennes. Astrid enserre les côtes de son amante qui la soulève contre elle, les mains d’Astrid lui caressent doucement les épaules et le dos avant que Coralie ne la fasse descendre et ramener une chaise près d’elles. D’un doux geste Coralie pousse son amie à s’asseoir sur la chaise, lui soulève les jambes pour lui embrasser les pieds et doucement se pencher pour lui embrasser les lèvres. Coralie se mit alors à dévorer de petits baisers la peau de son amie. Qui, une fois cette dernière bien installée sur la chaise, peut facilement écarter ses jambes. Coralie, folle du plaisir qu’elle ressent en elle, passe doucement sa langue sur l’abricot de son amie. Mais elle n’entre pas totalement, pas encore : son baiser lingual effleure à peine les lèvres intimes de son amie. Puis elle s’écarte doucement. Coralie humidifie l’un de ses doigts avec sa langue le glisse doucement dans l’intimité d’Astrid et positionne cette dernière pour pouvoir à la fois la caresser avec ses doigts et à la fois lui lécher doucement le petit trou interdit. Après quelque temps, Astrid se redresse, se colle à Coralie et l’embrasse en la poussant doucement sur la chaise pour qu’elle s’asseye. Leurs corps brûlant de plaisir mutuels se colle l’un contre l’autre durant quelques secondes avant qu’Astrid glisse sa tête vers l’intimité de Coralie. Lui procurant doucement le même plaisir qu’elle a reçu quelques minutes auparavant… Jouant avec sa langue la jeune femme veut à tout prix donner un maximum de plaisir à son amie, mais il lui vient une meilleure idée. Astrid remonte le long du corps de Coralie tout en embrassant sa peau jusqu’à ses lèvres. Les mains de Coralie vinrent plaquer Astrid contre elle, collant par la même occasion ses berlingots ruisselants de plaisir intime. Leur jouissance venue les deux amantes s’embrassent, laissant petit à petit l’excitation redescendre avant de se rhabiller et se coller l’une contre l’autre dans leur lit.
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