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La Rédaction

Chapitre 2

Travesti / Trans
La rédac qui me transforma en fille 2
J’émerge de mon sommeil, la tête encore dans les rêves avec un vague sentiment de bien-être. Je me rassois...et oh! La journée de hier n’était pas un rêve, une jolie culotte en dentelle noire avec de la soie serre toujours mon entrejambe où ma petite queue est toute rangée. Des taches suspectes marquent encore la jouissance de la veille. C’était bien, mais là, stop. Ce canular a assez duré. Je suis un mec quoi. J’ai testé un peu le travestissement, sympa. Mais on arrête là.
En me relevant du lit, le soutien-gorge tiraille un peu mes seins. Hum.. mon torse plutôt, oui torse. Je ne suis pas une fille. J’enlève ces sous-vêtements et file prendre une douche. Retour dans chambre… mais c’est quoi ce bordel! tous mes caleçons ont disparu. A la place, dans le tiroir trône une belle collection de culottes, panties, strings et soutien-gorge. Et merde! je fouille frénétiquement le tiroir à la recherche de mes anciens habits et tombe sur un petit mot écrit à la main: Bonjour ma chérie, voici un petit cadeau pour toi, afin de te guider dans ta nouvelle vie. Bonne journée Sylvia. Ta maman.
La journée de hier n’était pas un rêve et ça continue. Je ne peux quand même pas aller au lycée avec des dessous pareils. En peignoir, je file voir Eric, mon grand-frère qui vient de sortir de la douche. Il est entrain de se raser, à poil, devant le miroir, je ne peux m’empêcher de mater son corps tout en muscles et, bien-sûr, sa longue bite. Eric est le digne fils de mon père, costaud, viril, macho et bien membré, l’inverse de moi qui tient plus de maman.
— Salut la belle au bois dormant! enfin réveillée? me lance Eric
— Eh, Eric, t’aurais pas un caleçon à me préter, parce que… heu.. tous les miens sont sales.Je lui dit ça tout en le mattant.
— Non, me répond-t-il. Et maman a m’a bien dit de ne pas te prêter d’habits. Et qu’est-ce que tu regardes? Ma bite hein? C’est vrai que t’as pas l’habitude de voir si gros. Mais t’inquiète, les parents m’ont brifé sur ta nouvelle vie et je pense que dans pas longtemps tu devrais en voir des bien grosses… File te préparer pour le lycée ou tu seras en retard, soeurette!
Soeurette… dépité, je retourne dans ma chambre… ainsi je suis coincé. Je sens le piège se refermer sur moi. Eric, mon père, maman… ils ont décidé de me changer. Mais pourquoi j’ai fait cette rédac! pourquoi je suis rentré dans le jeu? Machinalement j’enfile un superbe pantie soyeux rose avec une large bordure en dentelle. Hummm frisson électrique dans tout mon bas ventre, délicieuse sensation. Je sens la douceur du tissu sur mes fesses et sur mon sexe… qui est à nouveau tout rétracté, comme mes boules qui sont maintenant remontées très haut, presque de chaque côté de ma… Est-ce que je peux encore appellé ça une bite? deux centimètres de bouton sensisble et humide. Je passe le soutien-gorge assorti. Je ne sais pourquoi, je n’en ai pas besoin, mais ce contact qui m’enserre me rassure. Puis jeans et t-shirt.
Je cours prendre mon bus pour le lycée. Arrivé dans la cours je stresse monstre, j’ai l’impression que tout le monde me regarde, que tout le monde va voir mes dessous...et ça se pourrait bien! Merde j’ai pas fait gaffe, mais ce jeans est taille basse… t’ain! Si je me baisse on va voir la dentelle rose et les brettelles du soutif se démarquent sous le t-shirt. Tant pis, je fonce et me rapelle que ma journée commence par la psy. Tient, c’est l’occasion pour remettre les choses au clair. On va tout arrêter, je ne suis pas une fille!
— Entre donc Sylvain… ou plutôt Sylvia, me dit la psy lorsque j’arrive sur le seuil de son vaste bureau.
— Madame, il faut qu’on arrête tout. Ca suffit, je ne suis pas une fille, je suis un mec.
— Ah bon? pourtant il me semble voir de jolis dessous roses.En effet en m’assayant le jeans est quelque peu descendu et laisse voir une fine dentelle rose.

— C’est que j’avais pas le choix, madame, réponds-je en vitesse.
— Et le soutien-gorge aussi tu n’avais pas le choix? Ecoute moi bien, ma petite, tu es une fille ou quelque chose comme ça. Je vais, avec ta famille et tes camarades, t’aider dans cette transformation. Bien entendu ton corps n’est pas celui d’une femme et donc nous ne pourrons faire de toi une vraie fille… mais quelqu’un de sexy… oui.La psy m’assène tout ça d’une voix forte et autoritaire en me fixant droit dans les yeux. Je n’ai jamais été très courageux et je baisse les yeux, toute tremblante. ?toute?...
— Regarde moi dans le yeux! et que penses-tu de ce que je t’ai dit?
— C’est que je….
— On va faire une petite expérience, me lance la psy.Elle se lève et allume la tv qui est au mur puis lance un DVD. Je reconnais immédiatement le logo, c’est un film porno.
— Vas-y profite, me dit-elle. Enlève tes vêtements. Je défais mon jeans et enlève le T-shirt mais alors que j’ai encore ma culotte et mon soutif, je vois la psy faire de même. Nous sommes là, toutes les deux en sous-vêtements sexy. Elle est magnifique avec son string tout en dentelle, son porte-jartelle qui tiens des bas à couture tellement sexy et un soutif d’où débordent des gros seins. Elle me fixe droit dans les yeux et passe un main sur sa poitrine puis descend sur son ventre et glisse vers l’entrejambe. Je sens l’excitation montée en moi et instinctivement je l’imite, commençant à me caresser, comme j’ai envie d’elle ou d’être…. Mon corps comme le sien se cabre sous l’effet des caresse sur mes seins et sur ma culotte.
Mais alors que je suis captivée par cette beauté, mon regard se porte sur l’écran de télé. Une blonde est entrain de caresser une superbe bite. La fille fait lentement descendre et remonter ses doigts sur cette belle verge, grosse, tendue, appétissante. Ma main droite s’est posée sur mon soutif et mon autre main, machinalement, caresse l’accoudoir de la chaise. Je suis totalement fascinée par cette queue qui occupe l’entier de l’écran. On ne voit de la fille que ses mains qui caressent le membre puissant. Puis des lèvres apparaissent et une langue lèche le bout du beau gland. Ce dernier s’enfonce doucement dans la bouche. C’est cadré très près et seules la belle bite et les lèvres sont visibles. Toute la longue queue est rentrée dans la bouche qui fait ensuite des mouvements de va et vient. C’est une bonne pipe et je sens ma bouche s’ouvrir, ma langue passer sur mes lèvres, j’en ai envie, je salive..hein?! je veux sucer?! Le film ne montre pas la fille, et finalement je préfère car on ne voit que cette bite appétissante, juteuse, tendue à bloc qui rentre et sort de la bouche. Je suis toujours entrain de branler l’accoudoir et de me caresser les seins, les lèvres.
— Hummm, la psy vient de lacher un gémissement.
Elle a sorti un sein de son soutien-gorge, le malaxe et porte à sa bouche deux doigts. Son autre main doigte vigoureusement sa chatte, son string retombé sur ses chevilles. La vache! la psy est entrain de se doigter devant moi, je peux voir ses doigts humides rentrer et sortir de son intimité...c’est … c’est … moins excitant que le film à la télé. Ma tête se retourne à l’écran, mon regard fixé sur la magnifique bite qui bourre maintenant un cul. Toujours cadré de très près je ne vois que le membre viril s’enfoncer et ressortir d’un anus humide. Instinctivement ma main droite passe sous la dentelle de ma culotte et vient caresser mon gros bouton. Mes autres doigts se glissent de l’autre côté et effleurent l’entrée de mon cul…..hummm comme c’est bon.
C’est incroyable une magnifique femme en tenue sexy se caresse la chatte à côté de moi en gémissant et moi je préfère regarder une belle et grosse bite à l’écran et au lien de sauter la psy et je me doigte! Car oui, deux de mes doigts sont maintenant rentrés dans mon cul et font des vas et vient, comme la queue à l’écran qui bourre le cul. Un type baise une fille dans le porno et moi j’ai envie de me faire prendre. Une vraie femme se doigte juste à côté et moi je préfère matter une bite! Je ne comprends plus rien, ou plutôt si, j’ai envie de bite, je veux cette bite dans ma bouche dans chatte!
Entre mon pouce et l’index je caresse frénétiquement mon bouton et de mon autre main je pénètre mon cul qui est devenu tout humide et chaud.
— Aahhhhhmhhhhh, je gémis, pris dans un frisson de plaisir qui irradie de mon gros clito et de mon trou.
— C’est bien Sylvia, caresse toi et dis-moi, qu’as-tu envie, là, maintenant? me demande la psy.
— Une bite, cette belle bite, dans ma bouche, dans ma chatte! Je crie ces mots comme une libération, une pulsion primale.
La psy se dirige vers son bureau se sort un gros god d’un tiroir. Le sex-toy est identique à la queue du film, longs, gros, appétissant. Elle se dirige vers moi, se tient juste à côté de moi. La psy, toujours l’intimité à l’air tend sa main avec le god. En même temps, elle se cambre et m’offre sa chatte, épilée, humide, chaude, ses gros seins débordent de son soutif. Je tend mon bras, ma main pouvant attraper le god ou le sex de la belle femme. Je peux choisir entre cette fausse bite qui me défoncera ou m’avancer et moi prendre la psy sexy…
Et je choisis, sans hésiter, le god. Je l’attrape et le lèche avidement, goulûment comme si j’étais affamée. Je pompe cette queue comme je l’ai vu avant sur le film. Ma bouche est celle qui suce, je suce, je suce… et j’aime cela. Puis je me couche sur divan, jambes en l’air et enfonce lentement le god dans mon trou, dans ce qui devient ma chatte. La sensation est délicieuse. Je suis prise, je me fait prendre et j’aime cela. Tout en faisant entrer profondément et ressortir le god, mes doigts caresse toujours mon clito. Une vague de plaisir monte lentement de mon bouton d’amour, maintenant suintant et coincé entre mes boules qui sont remontées et encadrent comme des des grosses lèvres ce que je n’ose plus appeller ma bite. Car une bite c’est ce qui est à l’écran, c’est long et fort, c’est ce qui est en moi! ouiiiiii une bite en moi! La vague de plaisir se mue en frissons parcourant mon corps, irradiant mon cul. ahhhhh je jouis, je gémis… un léger filet liquide coule de mon… non ce n’est pas un gland, rien à voir avec la bite que je vois… ce jus, cette mouille sort de mon bouton, de mon… clito.
— Alors? pas une fille? me questionne la psy qui me ramène à la réalité. Tu as préféré matter une bite à l’écran que moi qui me caressais. Tu as préféré te défoncer avec un god plutôt que de me baiser. Moi je pense que tu n’es plus un mec. Tu ne l’as jamais été d’ailleurs. Reste à voir en quelle type de fille tu deviendras…
Elle termine sa phrase avec un sourire terrible. Et moi je sais que je ne suis pas un mec, pas comme ça, habillée avec ses sous-vêtements sexy en aillant choisi de me goder plutôt de que de baiser une femme magnifique. Au fond de moi je sens ce que je vais devenir, ce que j’ai toujours été, ce qui ne demande qu’à être révélée : une fille qui aime la bite, une fille sexy qui veut se faire baiser… je suis une salope.
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