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J'ai redécouvert ma Rose

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Je me nomme Vincent et une nouvelle vie s’est offerte à moi à l’aube de mes 40 ans.
Je me suis marié jeune avec une femme de mon âge dont j’étais très amoureux. Malheureusement, nous n’étions pas vraiment sur la même longueur d’onde en ce qui concerne le sexe. Cet écart de besoin a fini par tuer notre couple et, après la naissance de mes deux enfants, nous avons divorcé. Je pensais ne plus pouvoir trouver quelqu’un pour moi. En désespoir de cause et sur les conseils d’amis, je me suis inscrit sur un site de rencontre. Et un nouvel ange est venu se poser près de moi : Rose, divorcée aussi qui venait d’avoir trente ans et son premier enfant.
C’est une très belle femme, petite brune aux cheveux longs avec de petites lunettes, un magnifique sourire. Côté corps, elle arbore un magnifique 90 C et un tout petit ventre lié à sa grossesse mais pas une once de gras. Franchement, une belle MILF comme on dit. Et pour le sexe, nous nous sommes trouvé. Elle aime ça autant que moi si ce n’est pas plus. C’est d’ailleurs ce qui a fait capoté son mariage. Nous avons parlé de nos fantasmes et elle accepta avec joie de réaliser l’un des miens (et probablement, l’un des siens) : coucher avec un autre que moi.
Par son travail, elle côtoyait beaucoup d’hommes. Du coup, elle n’eut aucun mal à trouver sa « proie ». C’était un homme d’environ 45 ans, client régulier de sa société visiblement très intéressé par ma compagne d’après ce qu’elle me disait. De fait, très rapidement, elle m’a fait comprendre qu’elle allait arriver à ses fins. Quelques jours plus tard, un vendredi, elle rentra assez tard. Quand elle est arrivée, l’état de son maquillage et de sa coiffure ne laissait aucun doute sur ce qui s’était passé. Elle semblait un peu morose. Je lui ai donc demandé ce qu’il s’était passé.
« Et bien, je ne vais pas te mentir… Ça ne s’est pas bien passé. »Elle me raconta le petit verre pris après le boulot, la main baladeuse de l’homme sur sa cuisse nue remontant sous sa jupe, les allusions grivoises et la proposition.
« Ça te dit qu’on apprenne à se connaître plus… enfin, tu vois ma belle, lui lança-t-il— Oui, j’avoue que j’en ai très envie, répondit ma compagne.— Alors allons-y. Je connais un petit hôtel pas très loin. »
Et ils partirent tous les deux en direction de l’hôtel. Et ils arrivèrent devant un établissement qui semblait peu recommandable au vu des quelques clients et clientes qui rôdaient autour. L’homme se dirigea vers la réception et discuta un peu avec le gérant avant de revenir vers ma compagne avec une clé.
« On a deux heures maximum. Ça ira ? »
Et ils montèrent vers une chambre toute simple : une petite salle de bain et un lit double avec des draps blancs.
Sans perdre de temps, il se jeta sur ma compagne, relevant sa jupe pour lui tripoter les fesses à travers sa culotte. Et il finit par très vite passer sous la culotte pour tripoter le sexe déjà dégoulinant d’envie de ma compagne. Elle m’avoua qu’ils se mirent nus rapidement et que, après s’être équipé d’un préservatif, il avait présenté son sexe à la bouche de ma compagne. Elle le suça comme elle sait si bien le faire car c’est une excellente suceuse. Elle me raconta ensuite quand il entra en elle. Elle me décrit les positions en particulier la levrette ponctuée de quelques claques sur les fesses. Elle rentra dans le détail de son plaisir, de son orgasme et du jet de sperme qu’elle prit sur la poitrine. Elle ne manqua pas d’insister sur les petites insultes « pas bien graves » pendant l’acte.
« Mais alors, qu’est-ce qui s’est mal passé ?, lui ai-je demandé.— Et bien, en repartant, il est descendu plus vite que moi et je l’ai entendu à la réception.
— Il a dit quelque chose de mal ?— Il a dit : ‘J’espère que ma petite pute n’aura pas fait de l’ombre aux vôtres. Parce que j’en ai baisées des salopes, mais celle-ci, c’est une vraie grosse cochonne’.— C’est dégueulasse ! Me suis-je insurgé.— Mais n’a-t-il pas raison, répondit ma compagne en baissant les yeux.— Tu vas le revoir quand même ? Demandais-je après un temps d’arrêt car je ne savais plus quoi dire.— Oui. C’est un super baiseur… très doué. »
Mais je ne pensais pas que ça reviendrait si vite. Après avoir passé un week-end de folie jouissant l’un et l’autre de cette histoire, nous dûmes retourner au boulot le lundi. Alors que nous finissions de nous préparer, le téléphone de ma compagne retentit. Elle regarda le texto et vint me le montrer.
« Salut salope, Je passe te voir aujourd’hui alors tu mets une jupe et pas de culotte. Oublie aussi le soutif. »
« N’oublie pas que ce soir, tu dois aller chercher ta fille, lui dis-je.— Je sais… Mais, je ne peux pas vraiment refuser me répondit-elle.— Pourquoi ?— En fait, je n’ai pas vraiment envie de refuser. Au contraire. Ça fait de moi la femme qu’il a décrit ?— Oui.— Alors il avait raison. »
Elle retira sa culotte et enleva son soutien-gorge. Elle couvrit son corps nu d’une jupette pas très longue et d’un top noir un peu évasé. Elle enfila des sandales à talon et partit au boulot en dandinant des fesses : une vraie torture pour moi.
Lorsqu’elle est rentrée le soir, j’ai tout de suite vu que quelque chose n’allait pas. Elle envoya sa fille se laver les mains pour passer à table et vint me voir :
« Il n’est pas venu, pas envie selon ce qu’il m’a écrit sur le texto.— C’est pas grave— Si ce n’est que le texto n’est pas fini. »
Et elle me tendit son téléphone. Il y avait écrit :
« Bonjour salope,Je ne viendrai pas te voir aujourd’hui. J’ai pas envie. Par contre, je viendrai te voir un jour. Si tu porte une culotte, je te l’enfoncerai dans le cul. Donc pas d’erreur sale cochonne. »
Le lendemain et les jours suivants, elle partit au travail nue sous sa jupe comme ordonné par sa conquête. Elle m’annonça qu’elle rentrerait tard quelques fois les jours suivants. A chaque fois, elle semblait repue de perversité. J’étais jaloux. Aussi, un soir, j’ai décidé de la suivre à sa sortie du boulot.
Elle entra dans une voiture et celle-ci démarra. Je suivais à bonne distance. Elle remonta vers un coin bien connu de la région où se retrouvaient les libertins de tout poil. Longtemps, j’ai voulu y aller avec mon ex-femme, ne serait-ce que pour voir mais sans succès. Là, je suivais ma compagne s’y rendant avec un autre que moi. J’étais à la fois excité et dégoûté.
Une fois que place, Rose sortit de la voiture nue et les yeux bandés aidée par celui qui devait être son amant. Voyant deux hommes s’approcher, je me décidais à faire de même. L’homme, son amant, était très grand et avait les tempes grisonnantes. Il portait un costume d’une grande classe. Il s’adressa alors aux quelques hommes présents devant lui dont moi.
« Messieurs, je suis ravi de vous voir ce soir. Ma petite pute ne peut pas le faire. Elle ne vous verra pas mais elle fera tout ce que vous voudrez d’elle. Cette nympho aime le sexe et elle aimera tout faire pour vous. Uniquement deux règles : capote et, si vous voulez jouir sans, ce sera sur elle, pas en elle. Utilisez-la à votre guise ! » Puis il s’écarta.
Les deux hommes s’approchèrent alors d’elle et ont commencé à la tripoter. Ses seins, ses fesses et son sexe captèrent l’attention des palpations perverses. De son côté, ma compagne ne restait pas inactive puisque ses mains cherchaient les braguettes masculines. Sorti de nulle part, un grand baraqué s’invita à la fête. Poussant un peu les deux autres, il agrippa les seins de ma compagne et dirigea une main vers son sexe déjà sorti et à demi-bandé. Devant l’empressement du troisième larron, l’amant de ma compagne accéléra le rythme et lui tendit une capote que le gars enfila en quelques secondes. Maintenant équipé, il agrippa les épaules de ma compagne et la contraint à se mettre à genoux.
Une fois qu’elle fut dans cette position, le pervers put prendre place en face de sa bouche pour en forcer l’entrée. Alors qu’elle s’activait sur cette verge pas très longue ni épaisse mais curieusement arquée, ma compagne attrapa les deux autres bites qui se présentaient maintenant nues à elle. Elle les branlaient doucement les faisant grossir entre ses doigts. Connaissant la dextérité de ma compagne avec sa bouche, je ne pouvais m’empêcher de penser au plaisir qu’elle donnait à ce mec bourru.
Quittant sa bouche, il tourna autour d’elle et la poussa fermement en avant, l’obligeant à lâcher les deux autres hommes. Maintenant à quatre pattes par terre, il prit place derrière et, sans le moindre préliminaire, il l’embrocha. Ma compagne poussa un cri, sûrement de surprise.
« Hé ! Elle est vraiment bonne ta pétasse, mon gars. J’suis sûr que sa chatte a dut déjà avaler des kilomètres de bites ! Lança le pervers en direction de l’amant de ma femme. » Puis il lui claqua les fesses avec vigueur.
Les deux autres n’osaient pas s’approcher tant le troisième avait imposé sa loi. L’amant de ma Rose s’approcha d’eux en leur tendant un préservatif. Il fit de même avec moi en me glissant à l’oreille : « Allez-y, il ne va pas vous bouffer. Par contre, la pute que j’ai amené vous avalera sans hésiter ».
Prenant à la lettre les recommandations de l’amant, j’enfilais la capote et me présentais à l’entrée de la bouche de ma compagne. Effectivement, elle m’avala sur toute la longueur. Face à moi, je voyais la brute besogner ma compagne avec un regard violent et un rictus pervers. Étonnamment, cette vision m’excita. Je dus même me retirer pour éviter de finir trop vite. Ceci ne posa visiblement pas problème au cochon entre ses cuisses puisqu’il se retira, enleva sa capote et arrosa le dos de ma compagne abondamment. Il se redressa non sans claquer une nouvelle fois ses fesses.
« Les gars, je vous laisse la place. Elle est bien chaude et ouverte la salope ! »
L’un des deux gars s’installa alors derrière ma compagne et commença à la baiser. A ma place, le deuxième entra dans la bouche de Rose. De concert, ils la prirent. Celle-ci poussait des petits cris de plaisir étouffés par la verge qui était dans sa bouche. Ils échangèrent leur place quelques fois pendant que je regardais avec envie. Soudain, celui qui se trouvait derrière elle ressortit et retira son préservatif. Il lâcha alors une bonne dose de sperme sur les pieds de Rose.
J’eus alors une idée des plus salaces. J’invitais alors le gars à s’allonger sur le sol et aidais ma compagne à prendre place sur lui. Une fois dans cette position, j’ai pris place derrière Rose et ai pointé ma verge vers l’anus de ma compagne.
« Pas par là ! C’est réservé à mon copain ! Lâcha Rose.— Écoute pétasse, c’est pas toi qui décide ! Hurla l’amant de ma compagne.— Mais…— Ton cul, comme le reste, est à moi. Je veux qu’il t’encule comme la traînée que tu es.— D’accord… Mais doucement… finit-elle par accepter. »
Je forçais alors l’entrée de son petit trou qui s’ouvrit sans trop de difficulté. J’entrais alors doucement mais fermement. Arrivé à l’intérieur, je sentais l’autre homme qui baisait ma compagne à travers la fine cloison séparant le sexe de l’anus. Nous la baisions au même rythme. Rose haletait. Elle semblait prendre beaucoup de plaisir à cette double pénétration. L’agrippant par les cheveux, je la forçais à recevoir ma langue dans sa bouche avant d’offrir sa bouche à l’autre homme. Nous avions du mal à maintenir Rose en place car elle prenait visiblement beaucoup de plaisir. L’autre homme et moi-même devions nous concentrer pour ne pas jouir trop vite.
Au bout d’un petit moment, l’autre homme demanda à se dégager. Allongeant ma femme sur le dos, il enjamba son visage et se branla en direction de ses seins. Une épaisse dose de sperme finit par éclabousser sa poitrine.
Je repris alors la main. Je la relevais et la penchais vers la voiture.
« Je crois qu’il a encore envie de t’enculer ma belle petite pute ! Lança l’amant de ma compagne ».
Il avait bien raison puisque j’ai pointé de nouveau mon sexe raidi vers le petit trou ouvert de Rose. J’y suis rentré d’un coup, sauvagement. Agrippant ses cheveux avec fermeté, je me mis à la sodomiser avec vigueur. Je lui claquais aussi les fesses pour rendre ceci encore plus humiliant. Glissant ma main vers son sexe, je me suis aperçu de l’humidité de ma compagne. En quelques caresses, elle finit par jouir bruyamment. N’y tenant plus, je l’ai attirée violemment vers le sol, ai retiré ma capote et ai lancé une bonne rasade de sperme vers ses seins.
Rose a remis ses chaussures, enfilé une robe légère et ai remontée en voiture sans prendre la peine de se nettoyer. Sans un mot, j’ai remis mes vêtements et me suis éloigné. Je suis rentré à la maison, repu de sexe mais encore terriblement excité.
Quelques heures plus tard, ma compagne rentra.
« Bonne soirée ?, lui ai-je demandé— Pas trop mal… Rien de bien particulier… La routine…— Donc, pour toi, se faire baiser les yeux bandés par plusieurs mecs, c’est la routine ? »
Son regard changea alors subitement. Elle avait visiblement peur de ma réaction mais elle fut vite rassurée.
« Je n’ai que deux questions à te poser. Veux-tu larguer ton amant ? Et veux-tu faire de moi ton Maître à sa place ? »
Après quelques courtes secondes de réflexion, elle me répondit :
« Que puis-je faire pour vous satisfaire mon Maître ? »
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