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Redécouverte de l'amour mâle grâce à mon fils

Chapitre 1

Inceste
Les confinements peuvent être pénibles à supporter... où rapprocher une mère et son fils.
Je me prénomme Florence, 49 ans. J’ai divorcé il y a quelques années du père de mon fils Léo. Aujourd’hui, celui-ci vient d’atteindre 19 ans, et nous vivons à deux.
Après avoir goûté les plaisirs de l’amour hétérosexuel, j’ai découvert l’amour physique procuré par des femmes, suis tombée amoureuse de l’une d’elles, et j’ai quitté mon mari.
Depuis, je n’ai pas retrouvé le grand amour, ni féminin... ni encore moins masculin.
Je suis de taille moyenne, toujours fine malgré des fesses tout en rondeur, et possède une jolie poitrine.
Voici donc le second confinement de l’année 2020. Mon fils étudiant se sent frustré de rester cloîtré... et certainement de ne pouvoir vivre sa vie sexuelle comme il l’entendrait. C’est un beau gosse (normal, c’est mon fils !) et je suis sûr qu’il a du succès auprès des filles de sa génération.
De mon côté, je sens une évolution dans ma sexualité. Toujours attirée par l’amour saphique, je me suis surprise à m’inscrire sur des sites où l’on peut lire des histoires érotiques, fantasmées ou réelles. Et surtout, je ne pensais pas que cela puisse m’arriver : lire des histoires d’inceste.
J’y prends parfois beaucoup de plaisir, ma main droite ayant une parfaite connaissance des envies d’un élément essentiel de mon anatomie : je suis avant tout clitoridienne. Il m’arrive de me caresser le jour et la nuit, après quelques lectures croustillantes. Ma main gauche, elle, est plutôt experte des caresses de mes jolis seins.
Je suis aussi attirée par certains sites X, mais pas trop hard... et en particulier, je dois l’avouer, quand les jeunes acteurs me font penser à mon fils.
Me voici donc en plein bouleversement, et cela me trouble énormément.
Surtout depuis l’origine des faits : mon arrivée impromptue dans notre unique salle de bains, le verrou n’étant pas mis, et la vision de mon fils se douchant, nu face à moi. Est-ce l’effet des caresses du savon sur son corps, mais la réalité est... qu’il bandait. Et son sexe, de très bonne taille, me rappelait inévitablement celui de son père, qui était néanmoins encore plus imposant... c’est dire.
Son père était parfois brutal lors de l’acte sexuel, et j’avais l’impression que son membre me transperçait. Il ne sentait pas sa force.
Cet événement de la salle de bains nous a gênés, tous les deux, d’autant que nous allions devoir cohabiter ensemble, étroitement, pendant ce confinement.

Parfois réveillée en sursaut par des rêves où mon fils me fait l’amour, je suis presque au regret que ce ne soient que des rêves. Je constate alors que ma chatte est trempée, que mon clitoris est en demande, et je m’adonne à un plaisir solitaire en pensant à mon rejeton. La vision de sa si belle queue dressée sous la douche hante mon esprit.
Je ne peux m’empêcher de l’observer quand il s’adonne à la musculation dans sa chambre, et que sa porte reste ouverte. Des papillons dans le ventre... je dois le reconnaître, je désire de plus en plus Léo, mon fils.
C’est un autre événement qui va faire basculer le destin. Ou plutôt une étourderie de ma part.
Un soir, après avoir "dégusté" une nouvelle histoire d’inceste sur mon site préféré, j’ai tort de laisser mon téléphone à la vue de mon fils. J’ai su plus tard que celui-ci, intrigué, ne put s’empêcher de visualiser ma dernière consultation... une histoire d’inceste mère-fils. Je crois que, dans les jours suivants, il fut assez choqué, voire en colère contre sa mère indigne.
Le temps a passé. Sa colère s’est transformée en compassion. Il a commencé à me regarder sous un autre angle, à me complimenter sur mes tenues, à me dire que j’étais jolie. Inévitablement, mon trouble augmentait.
Un mercredi de novembre, nous dînons ensemble comme chaque fois, et je le trouve bizarre. Il me dit avec insistance qu’il monte se doucher. De mon côté, je me rends dans ma chambre pour me mettre à l’aise. En repassant devant la salle de bains, je suis surprise d’entendre qu’il s’y trouve encore. La porte étant entr’ouverte, et le pensant sorti de la douche, je rentre pour me rafraîchir.
Chose incroyable, une scène déjà vécue apparaît devant mes yeux : mon fils nu et de profil dans la douche... son sexe bien raide dans la main droite qui va-et-vient. Il se tourne vers moi et m’adresse un sourire complice.
Pas de doute cette fois-ci, c’est volontaire de sa part, et une manière de me provoquer.
Je sors de la douche, affolée, m’allonge sur mon lit. Sentiment de trouble et d’excitation... et c’est l’excitation qui reprend le dessus au bout d’un moment.
Pourquoi résister ? Pourquoi continuer à me caresser en cachette en pensant à lui ?
Je me relève, franchis le seuil de ma chambre, et me dirige vers la sienne qui semble éteinte.
J’entre dans l’espace de vie intime de mon fils. Il est dans son lit, juste éclairé par un écran, certainement plongé dans une série. Je m’approche de son lit sans prononcer une parole, m’assieds près de lui, et soulève le drap qui le recouvre. Je pose ma main sur son caleçon, caresse son membre à travers le tissu. Sa queue réagit sans tarder. Je lui ôte son caleçon. Tout en continuant à le caresser, je viens poser mes lèvres sur son membre dressé. Il soupire en me caressant la tête.
Ma langue caresse son gland, ma main actionne sa tige imposante.
Je sens quelques gouttes de sperme sur ma langue. J’ai très chaud. Et très envie de me faire pénétrer par Léo. Je ne veux pas qu’il éjacule trop vite dans ma bouche, je veux qu’il se réserve pour la suite.
Je me relève, retire le long tee-shirt qui me sert de chemise de nuit. Je suis nue devant mon fils, dans la semi-obscurité.
Je pose mes mains sur le lit, me penche, et lui offre mes fesses rebondies, ma fente maternelle prête à le recevoir.
« Viens", lui dis-je.
A son tour, il se lève, son sexe en étendard, et vient se poster derrière moi.
Sa queue vient toucher ma rondelle, et je tressaille, n’ayant jamais connu la pénétration anale. Pour mon fils, j’accepterais presque cette première fois.
Mais son membre s’ajuste finalement devant ma vulve trempée d’envie, et il me pénètre d’un coup sec, comme le faisait son père avant lui.
Ses mouvements sont rapides, puissants, je sens sa queue au fond de moi. J’écarte davantage les cuisses pour le sentir plus encore, plus profondément.
De sa main droite, il me caresse le clitoris en me pénétrant. Il aventure même un doigt dans mon anus ainsi offert, ce qui décuple mon plaisir. Je pousse sans retenue un cri de jouissance, sous l’effet de ses caresses et de ses coups de boutoir.
A son tour, il émet un râle terriblement viril, je le sens exploser et se déverser en moi.
Il me regarde et m’embrasse tendrement.
Je suis fière d’avoir fait de mon fils un homme, d’avoir osé ce que je désirais depuis des semaines.
Non, je ne culpabilise pas et je ne regrette rien. Peut-être découvrirons nous, lui et moi, d’autres plaisirs à l’avenir.
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