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Rééducation religieuse

Chapitre 6

Deux semaines plus tard

Hétéro
— Putain ça fait du bien ! lâcha Adam en essuyant sa pine gluante sur le téton d’Axelle.  — Ravie que ça te plaise toujours autant, commenta la brune.  Elle prit la grosse bite du colosse en bouche pour la nettoyer des dernières gouttes de sperme.   — Ouais, t’es vraiment la meilleure des salopes de ce couvent.  — Tu en as essayé d’autres ?  — Ouais, bien sûr. Mais t’es vraiment la plus canon et le meilleur coup.  — Dis-moi tout pendant que je me finis, minauda Axelle.  Presque deux semaines s’étaient écoulées depuis qu’elle avait atterri dans cette « école ». Adam faisait partie de ses trois amants réguliers, avec Grégoire le rouquin à la petite bite et Karim, un jeune homme très doux et très doué avec sa langue. Évidemment, elle suçait Louis presque tous les jours mais elle avait du mal à le considérer comme un amant ; tout comme Frère Raphaël qui lui avait rendu quelques visites ou le bibliothécaire qu’elle se mettait sous la dent lorsqu’il n’y avait personne d’autre.   Le visage dégoulinant du foutre d’Adam, Axelle fit courir une main entre ses cuisses pour se masturber tout en l’écoutant religieusement, dévorant ses mots comme s’ils étaient le meilleur porno.   — Bon déjà ta pote la rousse avec les gros nibards, je l’ai baisée quatre fois. Ce qui est génial avec elle, c’est qu’on peut la déboîter en s’accrochant à ses énormes miches et crois-moi qu’elle aime ça.  — Haaan, j’en doute pas. Et tu lui as baisé ses gros seins ?  — Je me suis finis avec la deuxième fois et elle a adoré que j’asperge sa petite gueule d’ange de foutre. Elle a un putain de bon cul aussi, j’aimerai tellement lui limer le fion.  — Tu préféreras le mien, tu verras.
  — Oh oui, j’aime tellement t’enculer toi.  — Moi j’adore quand tu fourres ta grosse bite dans mon cul. Allez, allez, raconte-moi la suite, t’as baisé qui ?  — La belle blonde sportive, Émilie.  — Émeline, corrigea Axelle.  — Ouais, elle. Je l’ai sautée dans un couloir, au début elle était pas super chaude mais elle a tellement pris son pied qu’à la fin elle était à l’envers sur moi, les jambes bien écartées pour que tout le monde voit bien comment elle se faisait baiser. Y a deux gars qui sont venus se vider sur ses nibards et elle en a joui de plaisir.  — Haaan j’adore, gémit Axelle dont la jouissance ne cessait de monter. Continue, j’en veux encore.   — J’ai aussi niqué la petite asiatique, Marie je crois. Putain, qu’est-ce qu’elle suce bien, c’est une ventouse sa bouche.Hier j’ai refait le cul de la petite gothique avec les cheveux roses.  — Nina. Il était bon son cul ?  — Bien serré et tu l’aurais entendue gueuler. Même toi tu prends pas autant ton pied quand je t’encule.  — Oooh, je suis jalouse, moi aussi je veux que tu me fasses jouir par le cul mon cochon.  — Ça viendra ma belle, j’ai encore huit mois à te la foutre dans le cul.  — Si seulement tu pouvais me la foutre maintenant mon salop…  — Fallait pas me pomper comme une affamée si tu la voulais dans le cul.  — Désolée d’être une grosse pute.  Adam lui tendit sa queue mollassonne.   — Suce-moi pour me faire repartir et je t’encule autant que tu veux ma petite pute adorée.  — Nan, je te connais ça va prendre trop de temps. Cet aprem’ si tu veux.  — Et si j’ai pas enculé une de tes potes à la place.  — On verra mon cochon. On a tout le temps de s’amuser et toi aussi faut que tu profites. D’ailleurs je sais comment tu peux enculer Rosalie, mais y a une condition.  — Laquelle ?  — Je veux être là… Lèche-moi les seins, je vais pas tarder, ajouta-t-elle en gémissant.  — T’es une vraie cochonne, mais ça me va largement que tu me regardes refaire le cul de ta pote.  — Haaan oui, j’adore ta langue sur mes seins… Bouffe-lui la chatte et je te promets qu’elle te laissera la lui foutre dans le cul. Oh mon dieu ça va vient, ça va vient, ouuuuuh !  L’orgasme laissa Axelle pantelante quelques instants, puiselle reprit ses esprits, embrassa langoureusement Adam et se rhabilla après avoir essuyé le sperme de ses joues. Sitôt son amant parti, la jeune femme se remit à son ouvrage de réfection des lits tout en soupesant ses options.   Elle n’avait finalement pas eu grand-chose à faire pour plonger les apprentis dans la luxure. Travaillés par leurs hormones, les jeunes hommes s’étaient lancés à corps perdu dans le stupre ; la présence de jolies nymphes toutes plus avides les unes que les autres de sexe ne leur permettait de toute façon pas de tenir bien longtemps avant de céder à leurs pulsions. Restait le problème de pervertir les sœurs et pour le coup Axelle séchait complètement. Au fond d’elle, elle espérait simplement créer une situation où Adam, Karim ou n’importe lequel des curés en herbe pourrait dévergonder quelques nonnes. Un vœu pieu en somme.   Toute à ses pensées, Axelle passait de chambre en chambre, tendant les draps, bordant les lits à une vitesse qui la surprenait elle-même. Ce ne fut qu’en entrant dans la sixième pièce qu’elle fut tirée de sa rêverie en se retrouvant nez-à-nez avec Nina.   Accroupie au sol, les mains posées sur deux cuisses velues, elle montait et descendait sur la verge la plus longue qu’il ait été donné de voir à Axelle.   — Oh salut Axe, fit Nina comme si elle n’était pas en train de baiser. Ça va ?  — Oui et toi ?  — Impecc’, je m’éclate. Tu fais quoi ?  — Je viens juste changer le lit, faites comme si j’étais pas là.  — Pas de souci, gémit Nina en se renversant en arrière pour que son amant puisse la prendre plus fort.  Axelle était en train de changer la taie d’oreiller lorsque sa comparse l’appela de nouveau.   — Oui ? répondit la belle brune.  — J’ai grave envie de te lécher la chatte.  — Pas intéressée par les filles, lui rappela Axelle.  — Tsssss, tu sais pas ce que tu rates.  — J’en doute pas, mais ça me fait vraiment pas envie, désolée.  — Tant pis pour toi. Tu veux sucer Luc ? Je commence à avoir mal à la teuch’ et comme ça t’auras le goût de la mienne.  — T’en perds pas une, fit Axelle en riant. Mais ouais je veux bien, sucer une queue aussi longue ça arrive pas tous les jours.  — Surtout recouverte de ma mouille.  — Roooh, mais jamais t’arrêtes ?  — Non, j’ai trop envie de toi.  Axelle regarda la jeune femme aux cheveux roses qui s’effaçaient progressivement face à la repousse noir de jais. Elle était si jolie avec son petit corps souple, ses seins ronds bien galbés, ses lèvres fines et son ventre musclé. Une envie perverse commença à monter en elle.   — T’sais quoi ? lâcha-t-elle. Si t’as tellement envie de moi je te propose un deal.  — Vas-y ? répondit Nina avec espoir.  — Je te laisse me mettre un doigt ou deux et goûter ma mouille et en échange tu t’occupes des lits pendant que Luc me la met.  — Ok mon chou, mais c’est directement avec la langue que je goûte à ta teuch’.  Axelle fit la moue.  — Ok, dit-elle finalement. Juste un coup de langue, ça te va ?  — Deux ? minauda Nina.  — P’tain, t’es dure en affaires.  — Ouais, mais tu le vaux b… Oh merde.  — Quoi ?  — Rien, laisse tomber c’est mort…  — Hein ?  Nina se releva. Une épais paquet blanc tomba de sa vulve et s’écrasa sur le ventre du fameux Luc.   — Désolé, se lamenta le jeune homme, vous m’excitiez trop à parler de vous lécher.  — Il a fini ? s’exclama Axelle.  — Il a fini, confirma Nina d’un air blasé.  Elle jeta un regard plein de mépris à son amant.  — T’es un bon à rien, lâcha-t-elle avec fiel. J’ai pas joui et tu m’empêches de faire mes affaires avec Axelle.  Elle décocha un petit coup de pied dans les côtes de Luc.   — T’es une merde, putain !! Tu m’entends ? T’es une sale merde, une sale connard !!  Axelle posa une main sur l’épaule de sa copine.   — C’est bon, arrête. Ça arrive.  Nina se retourna vers elle. Ses yeux ambrés brûlaient de colère.   — Alors quoi ? C’est bon, ces fils de pute ont giclé, on arrête tout ? Va te faire foutre, c’est hors de question.  Son regard enragé se tourna de nouveau vers Luc qui, toujours allongé au sol, n’osait pas bouger.   — Ecoute-moi bien sale fils de pute de merde, articula-t-elle lentement comme si elle s’adressait à un arriéré. T’as tout foiré en finissant alors tu vas me lécher et bien comme il faut.  Joignant le geste à la parole, Nina enjamba Luc et approcha son bassin du visage du jeune homme.   — Non, arrête, c’est plein de sperme, c’est dégueula…  Une gifle l’empêcha de finir sa phrase. Pas assez forte pour lui faire mal mais suffisamment pour le réduire au silence.   — Ta gueule. C’est ton foutre, t’avais qu’à réfléchir avant de me gicler dans la chatte.  Nina s’assit complètement sur la bouche de Luc. Penchée en avant pour garder les mains au sol, cambrée pour offrir au mieux son clitoris, elle donnait une belle vue à Axelle qui s’en détourna malgré tout pour s’occuper de changer les draps comme elle était supposée le faire.   Ayant terminée, elle observa une dernière fois le duo et remarqua quelque chose de très intéressant.   — Meuf ? fit-elle.  Trop absorbée par les plaisirs buccaux qu’elle prenait, Nina ne réagit pas.   — Meuf ! répéta Axelle plus fort.  — Quoi ?  — Il bande.  — Putain, t’es sérieuse ?  Nina se redressa et tendit un bras derrière elle. Sa petite main se referma sur l’énorme chibre de Luc et l’astiqua pour en apprécier la fermeté.   — Mais c’est qu’il est super dur ce cochon, railla-t-elle. Ça t’excite de te faire insulter, de te faire dominer, de te faire taper hein sale fils de pute ?  Luc émit un borborygme étouffé par la chatte de Nina.   — Ouais, c’est bien ce qu’il me semblait. Alors tu vas me servir de souffre-douleur et chaque fois que t’auras été bien sage je m’occuperai bien de ta bite.  Axelle sentit un sourire mauvais étirer ses propres lèvres. Voilà qui lui donnait des cartes à jouer dans un avenir plus ou moins proche, des cartes qu’elle comptait garder en main jusqu’au moment de les abattre.   — Amuse-toi bien, lança-t-elle à l’attention de Nina en quittant la pièce.  — Merci, toi aussi, s’entendit-elle répondre.  Lorsque, deux heures plus tard, Axelle pénétra dans le réfectoire, son anus dégorgeait le sperme de Grégoire et sa robe collait à sa peau à cause de la transpiration et du nectar de deux autres gars, répandu sur ses seins. Elle rejoignit Rosalie et s’assit tranquillement à côté de son amie. La petite rousse empestait le musc à trois mètres. Après deux semaines, les garçons étaient toujours aussi attirés par les immenses seins de la rouquine, au grand dam d’Axelle. Tous les soirs, Rosalie tenait le compte des branlettes espagnoles et des éjaculations reçues sur son auguste poitrine. Tous les soirs, elle gagnait le petit concours du nombre d’amants que faisaient les filles. Tous les soirs, Axelle en crevait de jalousie. Non qu’elle eut à se plaindre au fond mais elle aimait tant être au centre de l’attention que se faire voler la vedette par les énormes nichons de Rosalie avait quelque chose d’insupportable. Cela ne l’empêchait toutefois pas de considérer la rousse comme une amie et d’être contente pour elle mais une pointe d’amertume demeurait.   Après avoir écouté la messe et avalé leur repas, sœurs, élèves et apprentis se levèrent et quittèrent la pièce dans un désordre contrôlé. Les conversations rompirent le silence religieux qui les avait précédées. Les jeunes filles s’égaillèrent dans les couloirs, suivies de près par de jeunes hommes concupiscents qui s’apprêtaient à profiter de leurs corps nubiles.   Tandis qu’Axelle passait devant une porte, on l’attrapa par le poignet et la tira dans un recoin. Surprise, elle découvrit Louis dont le regard brûlait non de désir mais de froide colère.   — Il faut… Enfin il faut qu’on parle, dit-il simplement.
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