Un pied devant l’autre. Doucement. En rythme. Chaque pas, une torture. Axelle avançait tant bien que mal, laissant une piste de tâches de semence derrière elle. Elle avait arrêté de compter au quinzième moine qui l’avait sodomisée et à son troisième orgasme. Ils l’avaient laissée sur le bureau, le dos et les fesses transformés en piscine de foutre, le rectum tellement rempli qu’elle avait l’impression de pisser du sperme par le cul. A sa grande fierté, elle n’avait pas cédé, c’étaient les moines qui avaient rendu les armes en premier, les couilles vides et la bite molle. Il faudrait sûrement des jours pour que son anus récupère et accepte à nouveau une queue mais bon dieu que ça valait le coup. Cette vieille garce de Rosenblum pensait la briser, elle n’avait réussi qu’à lui faire prendre son pied et réveiller encore plus son esprit combatif. A présent, elle comprenait les deux visions du monde qui s’opposaient en ces lieux et résolut qu’elle sortirait vainqueur de cet affrontement. Dusse-t-elle lécher elle-même la chatte de la mère supérieure. Après une bonne douche chaude, Axelle dût encore subir les questions de ses consœurs. Tout le monde mourrait d’envie de savoir ce qui avait poussé la vieille harpie à « péter un câble » et quel sort elle avait bien pu réserver à Axelle. La jeune femme répondit de son mieux tout en évitant de dévoiler de trop les penchants sadiques de la mère supérieure ; elle garda également pour elle le merveilleux traitement à base de doigts et de godemichets. Finalement, elle prétexta la fatigue pour mettre fin à l’interrogatoire. Épuisement qui n’avait rien de feint, car Axelle s’endormit aussitôt sa tête posée sur l’oreiller. Elle avait encore mal aux fesses lorsqu’elle se réveilla et elle constata que son drap était imbibé de sperme. Le trajet jusqu’à la chapelle constitua un véritable chemin de croix, chaque pas lui arrachant un gémissement et lui demandant de serrer les sphincters pour éviter un déluge de foutre entre ses cuisses. Après la messe, elle avisa Adam et l’attira dans un coin à part. — Salut beau gosse, le salua-t-elle. Toujours partant pour enculer de la rouquine ? — Évidemment ma belle. T’as un créneau ? — Ouais, je vais m’arranger pour qu’on s’occupe de la réserve ce matin. Rejoins-nous vers neuf heures et je te promets que tu pourras la lui fourrer dans le cul. — T’es la meilleure, tu sais ? Axelle se sentit sourire. — Ouais, tu passes ton temps à me le dire. Mais je te préviens : c’est pas parce que tu lui prends le cul que tu dois oublier le mien. — Aucun risque, t’as le meilleur cul de tout le couvent, je risque pas de m’en priver.
— Alors à tout à l’heure beau gosse. Axelle se hissa sur la pointe des pieds et tendit ses lèvres à Adam. Un simple smack mais qui signifiait beaucoup : il scellait un pacte charnel entre les deux jeunes gens. Ils se séparèrent, chacun s’en alla vaquer à ses occupations. — Meuf, t’es une catastrophe aujourd’hui. — Désolée mais j’ai tellement mal au cul… Rosalie poussa un soupir et rangea le carton qu’elle tenait sur une étagère. — C’est bon, pose-toi un peu je m’en occupe. Y a pas assez à faire pour deux de toute façon, ça sera vite terminé. Axelle accueilli la proposition avec soulagement et s’assit sur une chaise non sans pousser un gémissement. — Quand même, quelle idée de te faire autant enculer… Tu m’as dit qu’ils étaient combien déjà ? — J’sais pas, j’ai pas compté. Au moins vingt je dirai et y en qui sont passés deux fois. — J’arrive pas à savoir si je te plains ou si je t’envie, rigola Rosalie. Tu douilles mais t’as dû t’éclater. — Ouais, confirma Axelle. J’ai dérouillé mais putain qu’est-ce que j’ai pris mon pied. — Vingt mecs… fit la rousse d’un air songeur. C’est aussi effrayant qu’excitant. — Ouais hein ? Le seul truc c’est que là y a personne qui me prend le cul avant trois jours. — Quel dommage, fit une voix caverneuse derrière elles. Les deux filles se retournèrent. Adam, appuyé contre le chambranle, les considérait avec une avidité certaine. Pile à l’heure, songea Axelle. Le jeune homme ferma la porte et fit un pas en avant avant de baisser sa braguette et d’en sortir son sexe déjà à moitié dur. — Désolé de vous déranger mesdemoiselles mais je me demandais laquelle de vous deux voudrait bien me tailler une pipe. — Vas-y si tu veux, proposa Axelle. Je le suce déjà presque tous les jours. — Merci, répondit Rosalie en se passant une langue gourmande sur les lèvres. La jolie rousse se jeta aux pieds d’Adam et saisit son sexe que, d’une main experte, elle branla sans la moindre douceur. Axelle regarda le beau sexe de son amant prendre de l’ampleur, se dévoiler dans son imposante majesté et disparaître à moitié entre les lèvres charnues de Rosalie. La jeune femme se donnait à fond, suçant avec enthousiasme, accompagnant sa fellation de délicats coups de poignet. Devant ce spectacle, les envies d’Axelle se réveillèrent ; sa respiration devint plus lourde, elle sentit ses tétons durcir et frotter contre l’étoffe de sa robe, son petit minou s’ouvrir et s’humidifier, son clitoris gonfler. Sous son regard, Adam posa les doigts sur la tête de Rosalie, agrippa à pleine main sa chevelure flamboyante pour donner des coups de reins. Tout en tirant les cheveux de sa suceuse, il lui baisait la bouche en lui faisant produire des sons de gorge aussi écœurants qu’excitants. — T’es une championne de la pipe, commenta le bourreau en empalant de plus belle la trachée de sa victime. Soudain, il relâcha sa prise. Rosalie en profita pour reprendre une grande goulée d’air et lui adresser un sourire aussi coquin que satisfait. Tout à coup plus doux, Adam caressa la joue de la rouquine, essuya la bave qui lui maculait le menton. — Avec une pipe pareille, tu m’as donné envie de te bouffer la chatte, dit-un doucement. Ça te tente ? — C’est jamais de refus, répondit une Rosalie ignorante du piège qui se refermait sur elle. — Super, conclut Adam avec un sourire de requin. Désape-toi et fous-toi sur la table, je vais bien m’occuper de ton cas. Rosalie ne se fit pas prier pour retirer sa lourde robe et apparaître dans toute sa splendeur. Ce n’était pas la première fois qu’Axelle voyait son amie dans le plus simple appareil, loin de là, mais la beauté de la jeune femme l’impressionnait toujours. L’embonpoint de Rosalie ne pouvait que souligner la relative finesse de sa taille et la largesse de ses hanches, sa chevelure rougeoyante contrastait à merveille avec sa peau laiteuse, une constellation de tâches de son rehaussait magnifiquement l’opale de ses joues et l’émeraude de ses yeux. Ses seins quant à eux étaient de si forte stature que même la gravité ne pouvait leur ôter toute rondeur et ils s’ornaient de larges aréoles roses à peine surmontés de petits tétons qu’Axelle trouvait terriblement mignons. Quant à ses fesses, elles étaient aussi grosses que rondes et le peu de cellulite à les parcourir n’enlevait rien à leur magnificence. Aussi admirative fut-elle de la plastique de Rosalie, Axelle ne put contenir une pointe de jalousie en voyant Adam s’agenouiller entre les cuisses de son amie, son visage rude se coller au gros clitoris déjà bandé et aux longs poils orangés qui, en fine ligne, ornaient le pubis de la belle rousse. Déjà, la respiration de son amie s’alourdissait, entrecoupée de petits soupirs satisfaits. Axelle connaissait Adam, elle savait qu’il prendrait son temps pour faire monter sa partenaire, lentement, doucement mais implacablement vers un orgasme ravageur. Après ça, ce serait la première sodomie de Rosalie, une pierre sur un édifice, la vérification de la capacité d’Axelle à plonger les autres dans le stupre. Le premier pas vers sa délivrance. Quand les doigts d’Adam pénétrèrent la chatte de Rosalie, Axelle sentit la sienne s’ouvrir davantage, prête à accueillir l’imposant pénis de celui qui était d’ordinaire son amant. Le désir lui tournait la tête, sa robe s’imbibait de cyprine et du sperme qu’elle ne parvenait à contenir dans son cul. Elle voulait sentir Adam en elle, elle avait envie de lui à en perdre la tête. Le colosse avait une façon bien à lui de la baiser, brutal dans les mots et les coups de reins, doux dans les caresses et le contact. Il était aussi le seul de tout ce foutu couvent à ne pas considérer l’orgasme de sa partenaire comme un trophée mais comme un dû. Jamais il ne se serait senti satisfait d’être le seul à jouir et rien que pour ça il était le meilleur coup du coin. Hélas, pour l’heure son étalon s’occupait de brouter le minou de Rosalie qui en retour, la tête légèrement renversée et les lèvres entrouvertes, lui caressait les cheveux. Axelle n’en pouvait plus à les regarder, elle dégrafa une partie de sa pièce de buste et glissa une main sous l’étoffe, elle empauma son sein droit, effleura son téton du bout du doigt. Aussitôt, une décharge électrique remonta sa colonne jusqu’à sa nuque tandis qu’une onde de chaleur descendait le long de son ventre jusqu’à son entrejambe. Elle sentit son vagin se contracter, expulser une vague de cyprine qui acheva de tremper sa fente déjà fort humide. Elle n’en pouvait plus, elle avait tellement envie… Tant pis pour la décence, de toute façon les deux l’avaient déjà vue en pleine action et étaient présentement trop occupés à se faire du bien pour la remarquer. Axelle remonta sa robe sur son ventre et plongea la main entre ses cuisses. Elle était tellement excitée qu’elle trouva son clitoris déjà recouvert d’une pellicule visqueuse. Parfait, même pas besoin de salive ou de cyprine pour se branler comme une folle ! Une main sur son entrejambe, l’autre sur sa poitrine, Axelle ne détachait plus le regard du couple en plein sexe oral. Les gémissements de plus en plus forts de Rosalie, ajoutés aux grognements gutturaux d’Adam, l’excitaient au-delà de tout. Axelle ne cherchait même plus le plaisir, elle voulait juste jouir, jouir fort, jouir comme une damnée. Un petit cri lui échappa au moment où Rosalie en lâcha un. La rousse redressa la tête, leurs regards se croisèrent, elles se sourirent. A cet instant, elles étaient parfaitement complices, celle qui se faisait lécher la chatte et celle qui se masturbait à la regardant. — Haan, plus fort ! gémit Rosalie sans rompre le contact avec Axelle. Les doigts en elle répondirent aussitôt, s’activèrent à toute vitesse. Les doigts sur le clitoris d’Axelle suivirent le rythme. Les deux filles étaient synchronisées dans leurs manifestations de plaisir, si parfaitement qu’elles jouirent ensemble, les yeux dans les yeux. Leurs cuisses se refermèrent sur la tête d’Adam pour l’une, sur sa propre main pour l’autre tandis qu’elles lâchaient un long « Ooooh ouiiiiii ! » d’une seule voix. Un instant orgasmique chargé d’un terrible érotisme, semblable à aucun autre qu’Axelle ait jamais vécu. A peine remise de son orgasme, Rosalie sauta de la table, se retourna et se pencha dessus en dandinant ses superbes fesses. — Prends-moi ! supplia-t-elle son amant. J’ai trop envie. Adam se rapprocha. — T’as un cul d’enfer, commenta-t-il en le caressant doucement. C’est lui que j’aimerais prendre. Rosalie redressa d’un seul coup la tête et planta son regard dans celui d’Axelle. — Salope, tu lui as dit ! — Oui, gloussa la brune. — Traîtresse, t’es la pire meilleure amie de l’histoire ! Tu pouvais pas en choisir un qui a pas une aussi grosse bite ? — Je vais prendre ça comme un compliment, railla Adam. Les filles eurent un rire. — Non mais sans déconner, continua Rosalie, il va me déchirer l’anus. — Mais non, t’en fais pas, contra Axelle. Adam m’encule souvent et ça se passe très bien. — Oui mais toi t’es habituée ! — Ouais… Mais je sais surtout qu’il sera très doux et qu’il va faire en sorte de pas te faire mal au lieu de t’éclater le trou du cul comme les autres. Rosalie poussa un soupir. — Bon, okay. Tu t’arrêtes si j’ai mal hein ? — Bien sûr ma belle. Le but c’est qu’on prenne notre pied. Axelle jubilait intérieurement. Qu’est-ce qu’elle pouvait avoir hâte de voir Adam sodomiser la belle Rosalie.
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