L’amour et le sexe ne sont pas des sciences exactes, en voici un exemple. Nous avions décidé, Véronique et moi d’aller baiser en extérieur. Notre choix se porte sur une plage naturiste au bord d’un plan d’eau non loin de notre domicile. Nous sommes en septembre, ce jour est gris, mais sans être froid, et c’est le seul jour avant une période de pluie. Véronique n’est habillée que d’une robe s’arrêtant mi-cuisses et qui se ferme par fermeture éclair sur toute la hauteur de la robe et devant. Ni culotte ni soutien-gorge, de toute façon ils sont fermes, petits et ont une excellente tenue. Moi short décontracté, chemise largement ouverte. Nous garons la voiture, il est aux alentours de midi et marchons en direction de notre lieu de délices. Nous rencontrons çà et là des gens qui se baladent. Certains, mais aussi certaines nous regardent avec un petit sourire... Nous arrivons sur la plage. Il n’y a personne. Nous choisissons un petit emplacement caché du chemin nous surplombant par un petit arbuste. Mais sur les côtés nous sommes visibles... Nous nous asseyons, nous embrassons. Nos langues, avides et complices s’enroulent sans discontinuer. Mes mains commencent à caresser Véronique par-dessus sa robe. Lentement je descends une partie de la fermeture éclair, laissant libre l’accès à ses seins. Je les caresse, les malaxe, les pince. Véro commence à gémir: —-Huummmmmmm !!!! L’une de ses mains me caresse la bite à travers mon short qui devient bientôt trop étroit... Nous sommes tous les deux dans nos caresses, très souvent les yeux fermés sans nous préoccuper de savoir si on nous observe... Nos langues ne se quittent pas. J’aspire la sienne dans ma bouche et la suce comme je sucerai une friandise. Puis Véro inverse cette pratique et elle me suce la langue avec autant de douceur, mais aussi de gouge que quand elle me suce. Je sens ses lèvres charnues et fermes glisser sur ma langue... Je descends presque entièrement la fermeture de la robe et mes mains peuvent descendre sur son sexe. Elle a la vulve gonflée de plaisir, les lèvres bien baveuses et la chatte détrempée. Elle a glissé une main dans mon short et me caresse la bite comme elle peut. C’est divin. Je glisse un puis deux dans sa chatte et lui farfouille le vagin. —-Putain que c’est bon mon chéri !!!!! Je ressors mes doigts gluants et entreprends de lui caresser le clito. Mes doigts tournent autour, il se gonfle. Ses gémissements se transforment en râles. Du clito, je retourne dans sa chatte... Véronique ouvre autant qu’elle peut ses cuisses afin de me faciliter l’accès à son vagin. Je la titille de plus en plus, lui enfonce les doigts au plus profond que permet notre position. Sa main sur ma queue a cessé de glisser. Elle m’enserre le chibre et s’y cramponne comme on peut se cramponner à une corde pour ne pas tomber. Mais là elle ne se cramponne pas de peur. — Oh !!!! C’est trop bon, fais-moi jouir mon salaud, branle-moi, défonce-moi de tes doigts !!!!! Docile et obéissant je m’exécute et la masturbe de plus en plus fort. Véronique se cambre en arrière, me serre la queue de toutes ses forces et lâche des :
— Ahhhhhhhhhhhh Ohhhhhhhhhhh C’est trop bon !!!!!!!!!! Je jouis !!!!!!!!! Pendant son orgasme je continue à la masturber. Elle resserre ses cuisses pour m’interdire tout mouvement et m’embrasse comme jamais auparavant... — Mon salaud, tu sais t’y prendre maintenant à moi de m’occuper de toi. Enlève ton short et ta petite pute et salope va te sucer. Là encore j’obéis, comment faire autrement ??? J’enlève short et boxer. Véronique se penche en avant, ouvre grand la bouche, me regarde d’un air provocateur et...oups, je vois disparaître ma queue dans sa bouche. Je sens ses lèvres glisser sur ma tige, sa langue tourne autour de mon gland. — Espèce de bonne salope, tu me suces comme une pro.....— C’est parce que j’aime ta bite ! me dit-elle en se dégageant avant de vite reprendre ma queue dans sa boîte à bite (sa chatte est sa grotte à bites) Mes mains caressent son dos, ses fesses. Un doigt glisse dans sa raie fessière et titille son anus. Je remonte sur ses fesses, les malaxe, les serre dans mes mains. Un doigt glisse de nouveau dans sa raie, mais ne s’arrête pas sur son fion et va se glisser dans sa chatte. Celle-ci est encore bien ouverte et surtout trempée. Je lui caresse ainsi l’intérieur de sa grotte puis en ressort et au moment de passer sur son anus, je pousse et il entre aisément. Véro a un sursaut, s’arrête de sucer. Je reste ainsi le doigt dans son cul et attendant qu’elle reprenne. C’est ce qu’elle fait rapidement avec toujours autant d’application. Elle essaye de me faire une gorge profonde, car elle sait que nous adorons tous les deux, mais n’y parvient pas vu notre position pas trop confortable sur les galets. — Vas-y, suce-moi bien cochonne, tu aimes mon doigt dans ton cul ??? Pour réponse un hochement de tête pour approuver. Cette situation dure pour notre plus grand plaisir, mais avant d’éjaculer dans sa bouche, je la fais se relever. — Viens sur moi, je vais te baiser !! Je défais totalement sa fermeture. Véro garde sa robe, m’enjambe en me faisant face, saisit mon dard et se l’emmanche sans difficultés. Nous ondulons, prenons notre temps, tout à notre plaisir. Bien évidemment nous nous embrassons goulûment. J’ouvre un instant les yeux et découvre face à nous un mec debout dans l’eau. Il a de l’eau jusqu’aux épaules. — Ma chérie, un mec nous mate dans l’eau. Il est un peu plus jeune que nous et est à environ vingt mètres. Ça m’excite, et toi ?— Oui tu me diras ce qu’il fait.— Bien sûr. Ce n’est pas pour autant que nous cessons nos ondulations de bassin. Je fais bien remarquer au mec que je l’ai vu et pour l’exciter je remonte la robe de Véro au milieu de son dos. Il a une vue directe sur ses fesses que je masse encore plus. Nous continuons à nous embrasser goulûment. Véro délaisse ma bouche et me demande : — Il fait quoi ?— Il s’est rapproché du bord, il est à poil et se caresse. Il mate ton cul et je peux te dire qu’il bande fort !!! On le laisse s’approcher, tu verras, tu ne seras pas déçue !— Je te fais confiance. Je continue à la baiser, ses seins bien érigés de plaisir ne sont pas oubliés. Le mec s’approche encore, je vais l’autoriser à te caresser les fesses. Pour commencer !!!!!! — Comme tu voudras, je suis ta salope. Le mec est maintenant à côté de nous. Il s’agenouille et pose une main sur une fesse de Véro. Elle sursaute. Est-ce dû à la surprise, mais elle ouvre les yeux et voit un autre mec sur la butte derrière nous en train de nous filmer avec son portable. Véro prend les pans de sa robe et les referme sur elle. — Non ça je ne veux pas être filmée par n’importe qui. Toi tu te casses avec ton portable et toi derrière c’est fini. Désolée pour toi. A ces mots le mec retourne dans l’eau, l’autre est plus difficile à déloger. Mais il finit pas s’éloigner. Véronique se rhabille et nous décidons de partir.Sur le chemin du retour, je lui dis que même si la fin a été anticipée, ce fut un excellent moment que nous referons plus tard. — Et comment as-tu trouvé ton caresseur de fesses ?— Je me serai bien occupé de sa bite, elle me plaisait... Une prochaine fois, sois-en sûr !!!! Voilà, dans la vraie vie tout ne se déroule pas comme on aurait voulu, mais c’est ce qui fait son charme.....
