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Ma reflexion libertine... sextape trash...

Chapitre 1

Le chemin de ma débauche.

Divers
Je m’appelle Juliette, j’ai 30 ans vendredi et je suis une femme bien dans ses basks et sa culotte. Je suis mariée à Pierre depuis mes 20 ans et nous avons eu deux beaux enfants. Ensemble, nous avons bâti une vie et un amour solide, après une petite année de mariage, seulement, nous avons mis en place les fondements de notre couple...la liberté financière, intellectuelle, professionnelle et sexuelle.
Nous nous sommes rendu compte de ce besoin en nous de vivre plusieurs luxures à deux (ensemble, mais avec d’autres partenaires et séparément), après une soirée d’anniversaire arrosée, dans l’immense villa des parents de ma meilleure amie. Nous étions une bonne cinquantaine de jeunes fêtards autour de la piscine, l’alcool et la drogue étaient de la partie. J’étais enivrée par l’été, les substances et la musique, je me suis mise à danser très collée avec deux mecs, que je connaissais de vu. Je sentais leurs gaules contre mon corps et en tournant la tête, je tombe sur Pierre. Je ne connais pas cette expression sur son visage, un mixte de colère, d’envie et de bestialité perverse. J’ai continué pendant plusieurs slows, je ne sais pas pourquoi, j’ai envie de le provoquer et de faire exploser au grand jour, l’émotion inconnue que je lis sur son visage.
A la fin du cinquième hit, Max, un des deux danseurs attrape mon poignet, et fait signe à Loïc de nous suivre, je regarde mon époux avec un mélange de peur et d’envie, il ne montre aucune émotion et reste assis auprès de Lola, une gourdasse que je supporte moyennement. Je lui jette un dernier coup d’œil avant de m’engouffrer dans le petit cabanon de jardin et je vois Pierre poser une main sur la cuisse de la nana et un bras sur ses épaules.

Une fois loin des regards, Loïc attrape mes bras par-derrière et Max sort mes nichons de mon décolleté. Il joue du bout de ses ongles avec mes tétines, pendant que son pote me maintient sans possibilité de me débattre. Mon tripoteur me regarde et m’explique qu’ils ne me baiseront pas, enfin pas de suite. Ils jouaient à la loyale et souhaitaient que je fasse part à Pierre de leurs requêtes. Ils avaient flashé sur mon corps, ils aimaient rencontrer des partenaires avec qui tourner leurs propres pornos pour alimenter leur site très privé et payant. Une fois son explication terminée, ils s’éloignent de moi et me laissent seule et frustrée, leur carte de visite à la main.
Je sors de ma tanière et rejoins mon homme, dès qu’elle me voit, la pétasse s’éloigne de lui en me jetant un regard plein de défiance, de sarcasme et faussement surpris et gêné. Je le fusille du regard et nous partons dans une des chambres. On se déshabille sans un mot, puis, je lui tends la carte de visite et lui transmets le message.

Il m’écoute avec attention, prend quelques secondes et me dit de partir avec eux; au passage, je devais annoncer à Lola que mon époux l’attendait dans la chambre du fond de l’étage et qu’il allait la baiser par tous les trous et jusqu’au bout de la nuit. Elle m’a lancé un regard étonné, m’a demandé pourquoi, et n’a pas demandé plus lorsque je lui ai expliqué que je finissais la soirée avec deux autres mecs. J’ai trouvé Max et Loïc en train de sucer les seins trempés dans la vodka d’une nana, ici, par hasard.

Ils lui ont demandé de se joindre à nous; j’avais fricoté qu’une seule avec une fille et cela m’intimidait autant que cela provoquait le rut en moi. Nous sommes chacune montées sur la moto d’un des deux beaux mâles, et ils nous ont conduits jusqu’à une petite boutique d’une impasse cachée en centre-ville. Une simple plaque dorée indiquait : "Éden Shop, coquineries". Loïc frappe à la porte du commerce et un homme mûr bien conservé nous ouvre.
— Bienvenue dans le sex-shop de Roberto, un ami des clubs libertins, qui nous prête matériel et locaux pour nos tournages. Nous gérons un site privé et payant de vidéo de nous et de nos partenaires. Chaque mois, nous tournons 6 scènes proposées par un de nos abonnés, sélectionnées par tirage au sort. Il nous donne aussi un type physique pour les actrices et nous lui montrons les photos avant de passer à l’action.
J’ai été sélectionné par photo, et à mon insu, je me sens comme une salope, je trouve cela plaisant. Nous traversons le magasin et nous empruntons un escalier menant au sous-sol où ils ont aménagé l’espace, les spots et les caméras autour d’un podium recouvert d’un drap de satin rouge sang.
— Vous gagnez 600 euros par scène, sans limites, de temps autre que l’intégralité des demandes du client, nous vous offrons dix articles de votre choix, dans la limite de 300 euros chacune. Enfin, le gagnant de la semaine étant un riche investisseur, il a ajouté pour chacune de vous un bon d’achat de 300 euros sur amazone. Il y a une contrepartie, vous ne connaîtrez pas le contenu du scénario avant la signature du contrat et vous devrez subir sans broncher ni objecter; vous perdez le droit de dire "Non" jusqu’à la fin du tournage.

Nous hochons toutes les deux la tête après avoir échangé un regard complice, nous savions que cela était risqué, mais l’occasion était trop belle. Une fois signé, j’ai découvert que je devais subir un lavement, accroupie sur le podium pendant que ma copine de soirée enfonçait ses doigts dans le fond de mon cul, privé de sens; et suspendue au plafond; je me suis fait lécher le cul par la langue féminine, à genoux, sous mon corps en lévitation pendant qu’ils s’amusaient avec trois sondes électriques, je devais attendre entre les jambes de mon compère que les mains des deux réalisateurs lui crochetaient la minette, et boire à sa fontaine, et enfin récolter tout le sperme des mâles sur mon visage.

Nous ne nous sommes donné aucune restriction et la liberté de raconter ou non.
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