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Le Refuge

Chapitre 1

La première rencontre

Avec plusieurs femmes
Salut, moi, c’est Fred.
Je suis un jeune étudiant à la Fac. Je suis un homme qui, je dois l’avouer, n’est pas un TOP MODEL.
Du haut de mon mètre cinquante-cinq et de ma silhouette plutôt frêle, les femmes ne se disputent pas pour venir me voir pendant les soirées étudiantes, à mon grand regret, mais je fais avec.
Ma passion, c’est la nature, j’adore aller faire de longues randonnées en montagne pour me vider la tête et admirer les magnifiques paysages de mes Pyrénées natals.
Ce week-end, j’ai prévu d’aller faire une grande randonnée sur une partie du GR10 et de dormir dans un refuge. Je me lève à l’aube et prépare mes affaires. Quelques denrées, une gourde, mon sac de couchage et mon bâton de marche. Je suis prêt ! Je monte dans ma voiture et prends la direction du point de départ du sentier. Arrivée sur le parking, je vois que je ne suis pas le seul à avoir eu l’idée d’aller faire une balade, une voiture y est déjà garée.
J’entame donc le début de mon périple avec une énergie débordante et avec les rayons du soleil levant qui viennent taper mon visage. La vue de ce lever de soleil qui met en exergue les montagnes est sublime. La matinée se passe bien, j’avance tranquillement, je profite de cette nature et en profite pour m’aérer l’esprit. Vers midi, j’ai déjà fait plus de la moitié du parcours que j’ai prévu et il ne me reste plus que deux petites heures avant d’arriver au refuge. Je décide alors de m’arrêter déjeuner au bord du lac situé un peu plus loin sur le chemin. Au fur et à mesure que je me rapproche du lac, je peux entendre quelques voix lointaines, ça doit être les occupants de la voiture auprès de laquelle je me suis garé ce matin. Arrivée à hauteur du lac, je surprends ces personnes.
— Ah ! Vous m’avez fait peur !!! Je ne vous ai pas entendu arriver.— Moi non plus, je n’ai rien entendu, il faut dire que nous rions fort.
Je suis moi-même surpris, je ne m’attendais pas à rencontrer ce genre de personne en randonnée et surtout sur ce parcours un peu difficile.Il s’agit de deux jeunes femmes, la vingtaine, comme moi, qui déjeunent près du lac et qui rient de bons cœurs.
— Excusez-moi mesdemoiselles, je ne voulais pas vous faire peur. Je randonne sur ce chemin depuis ce matin et je compte déjeuner près du lac, comme vous.— Ce n’est rien, c’est nous qui faisions trop de bruit pour pouvoir vous entendre. Mais je vous en prie, déjeunez avec nous.
Pour une fois que deux jeunes filles de mon âge me proposent de déjeuner avec elles, je n’hésite pas et accepte avec joie.
— Avec plaisir. Moi, c’est Fred et vous ?— Moi, c’est Linda et mon amie, c’est Gabrielle.
— Enchantée de faire votre connaissance.
Je déballe mes affaires pour bivouaquer et je me dis que j’ai beaucoup de chance d’être seul avec deux superbes femmes de mon âge.
— D’où venez-vous ? Si ce n’est pas indiscret.— Nous sommes de Toulouse, comme il prévoit un superbe week-end, nous avons décidé de venir faire une randonnée sur le GR10 toutes les deux. Et toi, tu es d’où ?— Moi, je suis de la vallée, ça doit être votre voiture que j’ai vue ce matin sur le parking, une petite citadine rouge.— Oui, c’est elle. Elle en a vu des kilomètres, elle nous amène partout où nous allons randonner.
Nous continuons à papoter pendant près d’une heure au bord de l’eau. J’apprends que ce sont deux copines de coloc et que Linda a tout juste mon âge et que Gabrielle a un an de moins. Des deux jeunes femmes, c’est Gabrielle qui m’attire le plus, elle est habillée comme une randonneuse aguerrie, mais un charme irrésistible ressort d’elle. Linda, elle aussi, est très belle, plus féminine, sa tenue met plus en valeur ses formes et son sourire est ravageur.
— Vous vous arrêtez au refuge un peu plus haut ce soir les filles ?— Oui, nous avons réservé deux places.— Alors si ça vous dit, nous pouvons faire le reste du chemin ensemble, car moi aussi, j’ai une place à mon nom pour ce soir.
La suite de la randonnée est pour le coup moins rapide comme nous discutons tous les trois. Le feeling passe très bien entre nous, c’est comme si je les avais toujours connues. Au fur et à mesure que nous progressons, je me rends compte que ces deux femmes doivent être plus que deux copines de coloc. Linda a tendance à tenir la main de Gabrielle et de temps en temps celle-ci laisse glisser sa main sur les fesses de Linda qui ne la repousse pas du tout.
— Dites-moi les filles, je ne voudrais pas paraître indiscret, mais vous êtes en couple toutes les deux ?
Les deux filles se regardent d’un air amusé.
— Pourquoi ? Une d’entre nous t’intéresse ?
En me répondant ça, Linda me fait un grand sourire et regarde Gabrielle dans les yeux. Un peu surpris par sa réponse, je réponds sans réfléchir.
— Euh, oui, vous êtes toutes les deux superbes et très sympas et j’avoue que Gabrielle me plaît beaucoup.
Les deux jeunes femmes éclatent de rire, je ne comprends pas trop, mais bon ce n’est pas grave, j’ai l’habitude de prendre des vestes. J’aurais dû réfléchir avant de répondre et je n’aurais pas été si mal à l’aise. Je ne dis plus rien et reprends la marche vers le refuge. Linda me rattrape par le bras.
— Eh, ne le prends pas mal Fred, on rigole, mais ce n’est pas pour se moquer de toi. Oui, nous sommes Gabrielle et moi ensemble. Ça va faire deux ans, mais à la coloc, on le cache pour ne pas être embêtées.
Gabrielle se rapproche de moi et m’embrasse sur la joue.
— Toi aussi, tu es beau gosse Fred et tu as un joli petit cul.
Je deviens tout rouge, je ne sais plus quoi dire, aucune fille ne m’a jamais dit ça avant.
— Je crois que tu l’as fait buger ma chérie, il est tout rouge.— Je crois aussi.
Le temps de reprendre mes esprits et nous reprenons la direction de notre logement du soir. Sur le reste du chemin, elles me racontent leur vie de femmes dans une grande ville et moi, je leur raconte la mienne dans un petit village de la vallée.Nous arrivons au refuge, il est tout juste seize heures. Nous sommes accueillis par Marie, la gardienne du refuge. C’est une femme d’une trentaine d’années, très souriante et très sociable. Elle est rousse avec de magnifiques yeux verts, sa silhouette un peu frêle, mais avec de beaux arguments au niveau de sa poitrine, cache en réalité une femme avec un gros cœur et qui aime partager sa passion, la Nature. Elle est accompagnée de Max, un magnifique Patou des Pyrénées qui protège les quelques brebis qui broutent autour du refuge.
— Bonjour ! Et bienvenue au refuge, je vous attendais. Je me présente, moi, c’est Marie, je suis la gardienne et mon chien s’appelle Max et il est très gentil.— Bonjour Marie, ravie de faire votre connaissance, Linda et moi avons réservé une place pour cette nuit et Fred aussi.— Oui, vous serez mes seuls hôtes cette nuit, installez-vous dans le dortoir comme bon vous semble, je file m’occuper de mes brebis et je reviens. Ah oui, si vous souhaitez prendre une douche, il y a deux douches solaires derrière le refuge.
Je pose mon baluchon dans la grande pièce et m’assieds dans l’entrée pour voir le magnifique paysage qu’est la montagne à cet endroit. Après avoir profité de cette image de carte postale un bon moment, les filles partent visiter le dortoir. C’est un petit dortoir d’une seule pièce avec huit lits superposés. Ce n’est pas le grand luxe, mais je pense que nous y serons bien.Pendant qu’elles préparent leur couchage, je décide d’aller prendre une douche rapide. Je vais rejoindre les filles dans le dortoir, elles sont assises sur le bord d’un lit à discuter.
— Dites les filles, je vais me prendre une douche express dehors ...— Et tu voudrais que Gabrielle te rejoigne, c’est ça ?
Décidément cette Linda a de la répartie, elle m’a encore perturbée.
— Oui, euh, enfin non, c’était juste pour vous prévenir, pour que vous ne sortiez pas tout de suite.
Je m’en vais encore tout rouge et un peu honteux d’avoir répondu ça, que vont-elles penser de moi. Je me déshabille, sur le côté du refuge, la température en cette saison est plutôt agréable, je commence ma douche tout en faisant attention de ne pas gaspiller de l’eau pour que les filles en aient pour elles.Je termine de me sécher, lorsque je vois débarquer Gabrielle, elle est en shorty et en tee-shirt, j’ai tout juste le réflexe de cacher mon sexe, quand elle s’approche de moi et me murmure à l’oreille.
— C’est à mon tour de me doucher, j’espère que tu m’as laissé un peu d’eau chaude.
Elle me regarde droit dans les yeux et me déshabille du regard.
— Attends un peu avant de rentrer dans le dortoir, Linda se change.
Je me retourne, mets ma serviette autour de la taille, ma queue me fait mal, Gabrielle m’a grave excité. Une bosse déforme ma serviette, je rentre reprendre mes esprits dans la pièce commune. À peine assis et encore sous l’effet que Gabrielle vient de me faire, Linda apparaît en petite tenue, elle me regarde et me fait un clin d’œil avant de filer sous la douche avec Gabrielle. Je m’habille en repensant à la façon dont Gabrielle m’a parlé, pour moi, c’était clairement un appel, mais elle est en couple avec Linda, peut-être qu’elle veut juste m’allumer. Je suis sorti de mes songes par Marie qui est revenue d’avoir parquer ses bêtes pour la nuit.
— Fred, est-ce que tu pourrais aller prendre des bûches derrière le refuge et allumer le feu dans la cheminée pour éviter que nous ayons froid cette nuit.— Oui pas de soucis madame.— Appelle-moi juste Marie, ça me vieillit quand tu m’appelles madame.— D’accord madame Marie !
Je lui fais un grand sourire et je vais chercher les quelques bûches demandées, tandis que Marie rigole à ma petite blague. Le tas de bûches est juste à côté des deux douches, une simple planche de bois les sépare, en m’approchant, je peux entendre Linda et Gabrielle sous la douche qui apparemment ont l’air de passer un bon moment.
— Hum tes doigts Linda, continue, ne t’arrête pas !— Continue avec les tiens aussi, plus vite, je suis sur le point de jouir !!
Je m’approche sans un bruit, je récupère quelques bûches et fais marche arrière à pas de loup. Je peux entrapercevoir les deux filles enlacées l’une à l’autre qui s’embrassent et qui se caressent leurs entrecuisses. Ma queue est de nouveau toute dure, je reste encore quelques secondes puis je retourne à l’intérieur pour préparer le feu.
— Eh ben qu’est-ce qui t’arrive Fred, tu es tout rouge ?— Euh non rien, j’ai juste eu peur de déranger les filles qui sont sous la douche.
Marie jette un œil à la petite fenêtre qui donne sur l’arrière du refuge et se retourne avec un grand sourire.
— Ah, je ne pense pas qu’elles t’ont vu prendre des bûches vu la position qu’elles ont actuellement, ça m’étonnerait.
Surpris par cette remarque et surtout sur le fait que Marie ne soit pas gênée par le fait de regarder deux femmes faire l’amour, je reste planté là, tout penaud. Marie me prend alors la main et m’amène près de la fenêtre pour que nous regardions tous les deux Linda et Gabrielle faire l’amour. Je m’aperçois que la fenêtre donne une vue plongeante et dégagée sur les douches.
— J’adore regarder les randonneurs et les randonneuses sous la douche, ça me met dans tous mes états.
Je tourne la tête alors vers Marie, qui se mord la lèvre inférieure et qui glisse en même temps une main entre ses cuisses.
— C’est mon côté voyeuse, mais le mieux c’est quand quelqu’un mate avec moi et se fait du bien en même temps.
Elle me regarde alors et me fixe droit dans les yeux et plaquant son autre main entre mes jambes pour venir empoigner mon paquet.
— Ça t’excite mon chou n’est-ce pas ?
Difficile de lui dire non vu que ma queue est tendue et aussi dure que la pierre entre ses doigts.
— Je n’ai jamais fait ça, mais tu as raison, c’est très excitant.
Nous continuons alors à espionner les filles qui se donnent du plaisir sous cette douche, je me caresse la bite, j’ai déjà baissé mon pantalon, Marie en a fait de même. Elle se doigte tout en poussant quelques gémissements. Nous sommes l’un à côté de l’autre à observer Gabrielle et Linda s’envoyer en l’air tout en nous masturbant chacun de son côté. Après quelques minutes ainsi, je sens une main venir enlacer ma queue, c’est Marie qui est venue se coller à moi et veut me branler.
— Doigte-moi pendant que je te branle, c’est plus excitant.
Je m’exécute, et effectivement Marie sait y faire avec ses doigts, elle me masturbe avec finesse et doigté. Mes doigts eux sont vite descendus dans sa grotte de plaisir, qui pour le coup n’attend plus qu’eux. Cette grotte humide et chaude d’où coule un liquide qui lubrifie mes doigts et se déverse sur ses cuisses, aspire mes doigts et s’ouvrent de plus en plus. Dehors, Linda et Gabrielle sont tête-bêche, on ne peut pas voir grand-chose, que les magnifiques fesses de Linda et la langue de Gabrielle qui vient se délecter du nectar de son amie.
— Prends-moi mon chou, je n’en peux plus, ça fait trop longtemps.
Marie se met la tête contre la fenêtre, tend ses fesses vers moi et écarte les jambes. Je me place alors derrière elle et la pénètre sans ménagement tellement je suis excité.
— Prends-moi fort, n’hésite pas, je veux que tu me remplisses, que tu te déchaînes en moi !
Je lui obéis et donne tout ce que j’ai, mon bassin vient buter contre ses fesses avec force, je peux sentir ma queue venir buter au fond de ses entrailles et après quelques secondes à un rythme soutenu, je jouis avec force dans sa chatte.
— Oh oui, je jouis !!!!!— Oui mon chou !!!!!!!!
Ma queue se vide complètement en elle et après quelques spasmes, je la sors, libérant ma semence de la chatte de Marie.
— Excuse-moi Marie, j’ai joui trop vite et en toi en plus.— Ne t’inquiète pas, j’ai beaucoup aimé quand même et pour ton info, je prends la pilule donc tout va bien.
Marie m’embrasse et se remet la culotte et son pantalon sans prendre le soin d’essuyer le sperme qui coule toujours de sa chatte. Je fais de même et m’attelle à préparer le feu de cheminée. Dehors les filles ont fini leurs douches, elles s’habillent, elles ne vont pas tarder à rentrer.
— Tu crois qu’elles nous ont vus ?— Je ne sais pas toi, mais moi, je pense que oui puisque j’avais la tête qui cognait de temps en temps la fenêtre quand tu me défonçais la chatte.— Coucou Marie, ta douche est super ! Elle est vivifiante !— Merci Linda, j’espère qu’elle t’a redonné de l’énergie.— Oui à toutes les deux !— Je prépare le repas pour ce soir, vous n’avez qu’à vous poser devant le refuge, il y a un banc fait pour ça. Fred, quand le feu aura pris, tu pourras te poser aussi.— Pas de soucis, j’ai presque fini de le préparer et je n’ai plus qu’à l’allumer.
Après que le feu ait fait de belles flammes, je rejoins les filles sur le banc. Elles me sourient et Gabrielle m’indique de venir s’asseoir près d’elle. Après quelques minutes à papoter de notre randonnée, Marie nous indique que le repas est prêt. Dehors la nuit est tombée, la température aussi, le feu réchauffe tout le refuge, nous nous levons et nous installons sur la grande table de la pièce principale, près du feu. Gabrielle s’installe devant moi, Linda à côté d’elle, Marie, elle, a sa place près de moi avec Linda en face d’elle. La gardienne du refuge arrive avec une belle cocotte remplie d’une bonne garbure du Sud-Ouest, elle la pose au centre et s’assoit près de moi. Après un bon repas, Marie débarrasse la tablée rapidement, Linda ne la quitte pas du regard.
— Ça vous dirait de faire un petit jeu ?— Oui Linda avec plaisir, tu veux jouer à quoi ?— Action ou vérité !
Surpris, mais intrigué par cette proposition, j’accepte de faire une partie, Marie aussi d’ailleurs. Gabrielle, elle me fait un gros sourire et bien entendu est partante pour cette partie. Linda se lance.
— Marie, action ou vérité ?— Euh vérité.— Pourquoi tu as ta culotte et ton pantalon trempés ? Tu as eu droit à quelque chose tout à l’heure quand tu nous regardais sous la douche ? Avec Fred ?
La question était directe et sans détour, au moins les filles savaient qu’on les avait matés sous la douche.
— Euh, effectivement, avec Fred, nous vous avons regardé faire l’amour sous la douche et il a bien voulu me baiser et remplir ma petite chatte qui était en feu à vous regarder vous gouiner.
La réponse est tout aussi directe et sans détour, pour intensifier le tout, Marie regarde avec intensité le regard de Linda comme une provocation.
— À moi, Gabrielle, action ou vérité ?— Action !
Linda se lève et vient murmurer quelque chose à l’oreille de Marie, puis se rassoit près de sa copine. Marie me regarde avec un énorme sourire.
— Gabrielle, viens embrasser Fred, je sais qu’il en meurt d’envie.— Avec plaisir, il n’est pas le seul à en avoir envie, j’en ai envie aussi depuis ce matin au lac.
Gabrielle se lève et vient près de moi, je suis dans tous mes états, j’ai la queue qui va exploser mon pantalon tellement l’excitation est forte. Gabrielle s’approche, se colle contre moi et m’embrasse à pleine bouche. Je peux sentir ses mains se balader sur mes fesses, elles y restent un bon moment et le baiser dure deux bonnes minutes. Nos langues s’entremêlent, je peux sentir son parfum doux et fruité qui m’enivre, je sens que je tombe définitivement sous son charme. Après cet instant de plaisir, Gabrielle retourne auprès de Linda et l’embrasse avec amour.
— Il a bon goût et il embrasse très bien, j’ai hâte de voir la suite.
Marie est tout excitée, je la vois remuer sur son siège, une main entre ses cuisses. C’est au tour de Gabrielle de choisir sa victime.
— Fred, Action ou vérité ?— Action ma belle, action bien sûr !— Alors ferme les yeux et assieds-toi.
Je m’exécute, je ferme les yeux, j’entends autour de moi que les filles bougent et font des choses que je n’arrive pas à identifier. Marie vient poser ses mains sur mes yeux pour être sûre que je ne vois rien.
— Ouvre les yeux et occupe-toi de moi.
J’ouvre les yeux et, surprise ! Gabrielle est assise sur la table devant moi, elle est nue, un simple string cache son entrecuisse. Linda est aussi nue et caresse la poitrine de Gabrielle. Marie qui est derrière moi a juste fait tomber le haut et laisse apparaître sa magnifique poitrine.
— Tu sais Fred, j’ai envie que tu découvres le plaisir d’une femme.
Gabrielle décale son string et je découvre une verge pas très grosse, mais qui pointe dans ma direction. Elle attrape ma tête et la guide vers sa bite.
— Je sais que je te plais et tu me plais aussi, donc tu devrais aimer ce que tu vas me faire.
Tout d’abord surpris, mais aussi excité, je ne fais pas de résistance, bien au contraire, non pas que je sois gay ou bi, mais c’est vrai que Gabrielle m’attire beaucoup, du coup lui donner du plaisir me paraît normal et peu importe comment. J’ouvre alors ma bouche pour gober cette petite verge d’à peine quelques centimètres et l’aspire avec délicatesse tout en jouant avec ma langue.
— Tu vois ma chérie, j’étais sûr qu’il te kiffait et qu’il te ferait du bien, en tout cas ça m’excite de le voir faire.
Linda se caresse alors le clito et les seins pendant que je m’applique à tailler ma première pipe de ma vie à une femme transsexuelle sexy. Après quelques minutes à la sucer du mieux que je peux, Gabrielle se retire de ma bouche et vient m’embrasser de nouveau.
— À ton tour mon chou.— Super, on va bien s’amuser. Marie, action ou vérité ?— Action bien sûr, j’ai trop envie de baiser maintenant.— Alors mets-toi nue et vous les filles, vous allez lui nettoyer la chatte remplie de mon sperme de tout à l’heure.
Marie enlève alors le peu d’habits qui lui restent et s’allonge, les jambes ouvertes, offerte aux attaques des filles qui se précipitent pour se délecter de la mouille de notre hôte et du reste de semence qui coule d’elle. Marie en profite à fond, elle gémit, elle ondule son bassin, Linda s’accroche à ses fesses pour introduire sa langue au plus profond, Gabrielle, elle lèche les seins et notamment ses tétons, ils sont durs comme de la pierre tellement elle est excitée. Après de longues minutes d’assaut ininterrompues, Marie jouit avec force et dans un râle de plaisir intense.
— Hum, c’était délicieux !!! Vous m’avez fait jouir comme jamais les filles !!! Suivez-moi, allons dans ma chambre, on y sera plus à l’aise.
Toute la petite troupe la suit et on s’installe dans sa chambre, on y jette trois matelas par terre et on continue nos ébats. Mais cette fois-ci plus de jeux, on veut tous se donner du plaisir et en recevoir. Gabrielle me regarde, se colle à moi et me dit :
— J’ai envie que tu me prennes Fred chéri, fais de moi une vraie femme.— J’ai trop envie de me faire baiser aussi, c’est dommage que j’ai laissé mon gode à la coloc.
Linda semble triste en disant cela, mais c’est sans compter sur Marie qui réagit tout de suite.
— Tu veux que je te baise Linda ? Parce que j’ai ce qu’il faut ici !— C’est vrai ? Tu veux me baiser ? Tu as quoi ?
Marie se retourne et sort de sa petite commode un superbe gode ceinture double tête. Un côté de belle taille, au moins vingt-cinq centimètres de long pour cinq centimètres de large et de l’autre plus petit et étroit d’une quinzaine de centimètres sur trois de largeur et le tout dans une couleur rose bonbon !
— Mais il est super ton jouet ! Il est gros et en plus tu te l’insères en toi pendant que tu me baises ! J’adore ! Mais comment ça se fait que tu aies ça ici ?— Tu sais les soirées sont parfois longues en montagne et les partenaires peuvent être de différents sexes, il faut savoir s’adapter.
Sur ces belles paroles, Gabrielle et Linda se mettent à quatre pattes face à face. Elles veulent s’embrasser pendant qu’elles se font prendre, je me place derrière ma belle Gabrielle et Marie derrière Linda. Celle-ci se retourne alors vers Marie et lui dit :
— Vas-y baise-moi bien fort, je suis tellement excitée que je veux que tu me défonces à fond !
Marie introduit alors le gode, d’abord dans sa chatte qui l’accueille aisément, puis l’autre extrémité dans la chatte de Linda qui l’encaisse facilement malgré la belle taille de l’engin. Marie commence alors un va-et-vient d’abord calme pour que chacune des deux puisse s’habituer à l’objet de plaisir, puis de plus en plus vite, procurant alors de gros gémissements de part et d’autre du sex-toy.
— Encule-moi mon chéri, fais de moi ta femme pour cette nuit et remplis-moi de ton jus d’homme !
Je ne me fais pas prier et je me place derrière elle. Gabrielle cambre son corps un maximum pour mettre en valeur ses fesses, ce qu’elle n’a d’ailleurs pas besoin de faire puisque je suis déjà conquis par son petit cul depuis que l’on s’est rencontré. J’ai une vue plongeante sur son anus qui s’entrouvre légèrement, c’est comme un appel au vice et à la débauche. Dessous ses bourses et sa petite queue pendouillent, cela ne me gêne absolument pas, pourtant je ne suis pas gay, les hommes ne m’attirent pas, mais là, je trouve ça joli et excitant. Je pose alors mon gland sur sa fleur de rose, qui s’ouvre alors un peu plus, je laisse échapper un peu de salive de ma bouche qui vient atterrir sur son œillet, j’étale le tout avec mon gland, ce qui excite encore plus Gabrielle qui n’attend qu’une chose : sa saillie.
— Vas-y prends-moi, tu me fais languir là ! Je veux te sentir en moi !
Une fois que j’estime que sa rondelle est prête, je pousse mon bassin en maintenant bien ses fesses pour faire rentrer mon gland puis la totalité de ma verge en elle.
— Ouh ! C’est gros ! Vas-y continue ! C’est trop bon !
Après quelques secondes d’immobilisation au fond de son antre, je commence à m’activer, ça se voit que Gabrielle a une certaine habitude de se faire enculer, ma queue glisse avec facilité dans son cul. Ma partenaire est tout aussi excitée que sa copine Linda. Toutes les deux gémissent fortement quand moi et Marie les culbutons sans retenue, je ne peux pas dire qui va jouir le premier, tout ce que je sais, c’est que ces deux filles sont insatiables, elles aiment le sexe et en redemandent. Je jouis dans le cul de Gabrielle qui jouit en même temps que moi, ma semence lui remplit le cul et la comble jusqu’à ras bord. Linda et Marie jouissent de nombreuses fois puis elles nous rejoignent Gabrielle et moi pour nous sucer. Marie s’occupe de nettoyer ma queue pleine de ma semence et Linda s’occupe de celle de Gabrielle. Puis les trois filles s’embrassent pour échanger les différents fluides de nos corps.
J’attrape alors une couverture qui est posée sur la commode et nous nous enlaçons tous les quatre et nous nous endormons ainsi jusqu’au lever du soleil.Il est six heures du matin, je suis réveillé par un rayon de soleil qui vient s’amuser avec mon visage, les filles dorment encore. Le feu dans la cheminée est presque éteint, seules quelques braises encore rouges survivent dans cet endroit inhospitalier, je rajoute quelques bûches et fais repartir le feu, je ne veux pas que les filles aient froid à leur réveil. Je suis rejoint par Marie qui semble encore endormie, elle m’embrasse et me dit.
— Merci pour cette superbe soirée Fred, vous avez été merveilleux tous les trois. Les filles dorment encore, je vais faire du café.— Toi aussi ma belle Marie, tu as été parfaite, je suis bien heureux d’être venu faire cette randonnée jusqu’ici.
Marie s’échappe du côté de la cuisine pendant que je sors dehors pour profiter du lever de soleil à travers les belles Pyrénées. Je m’installe sur le banc et admire ce paysage si merveilleux, Marie me rejoint avec une grande tasse de café et s’assied collée à moi.
— Je n’ai même pas pris le temps de te connaître hier tellement tout ça est allé vite, tu viens d’où ?— Je suis un gars de la vallée, j’habite dans un village un peu plus loin, je fais pas mal de randonnée, mais c’est la première fois que je viens jusqu’ici.— Ah oui ? C’est bien ça ! Tu es un local alors, moi, je suis gardienne de refuge depuis quelques années, mais c’est la première année que je suis ici. Tu vas pouvoir venir me voir de temps en temps alors.— Oui, si c’est une invitation, je la prends, surtout si je suis accueilli chaque fois avec autant d’enthousiasme et de passion.
Je regarde Marie droit dans les yeux, elle a très bien compris ce que je veux dire et me répond avec un grand sourire.
— Bien sûr ! Comme tu l’auras remarqué, je vis seule ici avec Max mon Patou, donc de la compagnie comme la tienne n’est certainement pas de refus et puis je suis sûre que l’on s’amusera bien.
Joignant le geste à la parole, Marie pose sa main sur la bosse entre mes cuisses, m’embrasse et me murmure.
— J’ai beaucoup de choses à t’apprendre et tu verras, j’adore le sexe.— Oui, j’ai pu voir ça, je suis sûr qu’avec toi, je vais apprendre plein de choses. D’ailleurs, je te retourne l’invitation, quand tu descends dans la vallée n’hésite pas à m’appeler. Mon studio n’est pas bien grand, mais il est très accueillant.— Avec plaisir !— Alors les tourtereaux !!! On fait des messes basses ?!
C’est Linda qui nous interrompt, elle est vêtue juste d’une couverture et de ses chaussures de randonnées, suivie de près par Gabrielle qui, elle aussi, est dans une couverture et qui a du mal à se réveiller.
— Salut les filles, bien dormi ? Non, nous ne faisons pas de messes basses, nous discutons seulement sur le fait que l’on pourrait se revoir. Marie m’a proposé de revenir la voir puisque j’habite pas loin en bas et je lui ai bien entendu proposé de venir chez moi quand elle le souhaite, quand elle descend dans la vallée. Eh bien sûr, c’est pareil pour vous les filles ! Vous êtes les bienvenus quand vous le souhaitez.— Oui et ici aussi les filles, il y aura toujours de la place dans le refuge pour vous !— C’est super gentil, nous de même quand vous venez à Toulouse on vous accueillera avec grand plaisir et d’intensité.
Linda nous fait un clin d’œil, ce qui a bien évidemment le sens que l’accueil sera très sexuel. Nous nous installons tous les quatre sur le banc, un café à la main. Une fois le petit-déjeuner terminé, nous nous habillons, avant de partir du refuge, nous nous échangeons nos coordonnées et quittons Marie qui semble déçue de ce départ pourtant évident. Nous embrassons tous les trois notre hôtesse, quand arrive mon tour, Marie me murmure.
— J’ai glissé un petit souvenir dans ton sac tout à l’heure, j’espère qu’il te fera penser à moi.
Je l’embrasse avec un peu plus d’ardeur. Linda, Gabrielle et moi nous repartons pour notre fin de randonnée. Sur le chemin, nous profitons du paysage, mais surtout, nous discutons beaucoup de sexe et de nos expériences passées. J’apprends que Gabrielle et Linda vont sûrement se prendre un appartement que toutes les deux pour pouvoir vivre leur vie de couple plus sereinement et notamment pouvoir se lâcher quand elles s’enverront en l’air. Gabrielle qui me tient la main est toute souriante et me demande.
— Et toi Fred, tu as une copine ou un copain ?— Non pas du tout, je n’ai pas de copine ni de copain. Tu sais, les hommes ne m’attirent pas et toi, je ne te vois pas comme un homme, mais comme une femme très sexy qui a un atout en plus.
Sur ses mots, Gabrielle s’arrête et me roule une pelle mémorable. Linda qui est de l’autre côté nous regarde avec tendresse. Je me retourne vers elle et lui demande.
— Ça ne te gêne pas que Gabrielle m’embrasse ?— Pas du tout et puis tu sais, on vient de passer notre nuit avec toi et Marie à baiser comme des fous donc, ce n’est pas un baiser qui va me gêner. Surtout que moi aussi, je vais être jalouse d’elle.
Et à son tour Linda m’embrasse avec passion, nos langues se mélangent et nos corps se rapprochent. Gabrielle vient se joindre à nous et nous partageons nos bouches et nos langues pendant quelques minutes. Un bruit dans les arbres nous fait nous arrêter. Ce n’est rien, juste un animal qui passe par là. Nous continuons notre parcours et après quelques heures de marche et de nombreux arrêts « Caresses et embrassades » nous arrivons aux voitures. Il n’est pas tard, il est à peine quinze heures, nous discutons encore à l’arrière des voitures, les filles en profitent pour mettre une tenue plus décontractée pour la route qu’il leur reste à faire. Elles n’hésitent pas à se mettre nues devant moi, après tout, je les ai déjà vues nues.
— Tu te rinces l’œil mon beau, profites-en !— Attendez, je vais vous prendre en photo pour mes nuits en solitaire.— Vas-y, ma chérie viens, on va lui faire des pauses chaudes pour qu’il se branle bien fort en pensant à nous.
Gabrielle vient embrasser Linda en sortant bien sa langue, le temps d’attraper mon téléphone et je commence ma séance de photo. Les filles jouent bien le jeu, enfin un moment donné, je me rends compte qu’elles ne jouent plus, elles baisent. Gabrielle est à quatre pattes dans le coffre et Linda est derrière à lui lécher la raie tout en lui caressant les couilles. Sa langue danse sur sa rondelle et s’insère facilement dans sa copine. Je peux entendre gémir Gabrielle à chaque coup de langue. Puis c’est au tour de Linda, elle s’assoit sur le bord du coffre, ouvre en grand pour que Gabrielle lui lèche bien son minou dégoulinant de cyprine et bien entendu son œillet. Moi, j’en profite à fond, j’assume complètement mon côté voyeur, je les photographie sous tous les angles et elles m’aident à faire de belles photos. Après de longues minutes de doigtage et léchage lesbien, les filles finissent par jouir à ma grande joie.
Je suis ravi, car j’ai de nombreuses photos que je vais pouvoir regarder le soir seul dans ma chambre.
— J’envoie une photo de vous à Marie pour lui dire que nous sommes bien arrivés à nos voitures et que vous avez fêté ça.
Les filles rigolent.
— Elle va être tout excitée après ça. Elle va devoir se baiser avec son gros gode.
Linda et Gabrielle me regardent d’un air très intéressé.
— Dis donc toi aussi, tu dois avoir la gaule, à nous regarder baiser, tu dois être bien tendu.
Gabrielle s’approche de moi, s’agenouille et ouvre mon pantalon. Ma queue dure comme de la roche jaillit de boxer. Gabrielle entame alors une pipe d’enfer, Linda, elle passe derrière moi et me descend le pantalon jusqu’à mes chevilles, puis commence à m’embrasser mes fesses. Je sens la langue de Gabrielle s’enrouler sur ma verge et ses doigts entamer un va-et-vient langoureux. La langue de Linda, elle se glisse entre mes fesses, c’est une sensation étrange, mais très agréable.
— Hum les filles, c’est divin ce que vous me faites.
Le regard que me fait alors Gabrielle veut tout dire, elle veut me faire jouir dans sa bouche ! Elle accélère légèrement le rythme, ses succions sur mon gland sont plus intenses et ses coups de langue plus vicieux. Linda apprécie aussi ma remarque, elle écarte plus mes fesses pour pouvoir bien me lécher l’anus. Je ferme les yeux pour profiter un maximum de cet instant, je sens que je suis sur le point de venir, quand je sens tout à coup le doigt de Linda s’insérer en moi, ce qui a pour effet de me faire jouir directement.
— Ah, je viens !!!!!
Gabrielle gobe alors mon gland et aspire tout le sperme qui jaillit de ma verge par grande vague. Elle avale une partie puis Linda vient récolter son dû directement dans la bouche de sa copine. Ces deux filles sont de sacrées coquines. Pour finir, Linda me nettoie la verge avec sa bouche pour récolter jusqu’à la dernière goutte de ma semence. Après cette magnifique fellation, les filles se rhabillent et moi, j’en fais de même. Nous sommes sur le point de nous séparer quand je reçois un message de Marie.
— Regardez les filles, je viens de recevoir une réponse Marie.
C’est une photo suivie d’un petit message qui dit « Je pense à vous aussi ! ». Sur le bas de la photo, on peut voir la belle poitrine de Marie et son bas du corps en vue plongeante, elle est allongée sur la table de la grande pièce les jambes écartées et elle a entre ses cuisses... Max !!! Enfin la bite de Max !!! Marie est en train de se faire baiser par son chien en missionnaire !!!
— Oh la salope !!! Elle nous avait caché ça !!! Quelle gourmande !!!
Surpris par cette photo si inattendue, les filles et moi décidons de nous séparer, car elles ont encore de la route jusqu’à Toulouse. Je les embrasse de nouveau et je rentre de mon côté en leur promettant de venir les voir dès que je le pourrai. Arrivé chez moi, je défais mon sac et je trouve la surprise de Marie, c’est le string qu’elle portait lors de notre premier rapport, quand nous espionnions les filles, il est encore plein de ma semence et de son jus. Je lui envoie un petit message pour la remercier et elle me répond « Je descends dans trois jours je viendrai le récupérer, bise à très vite mon chou ».
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