Clara passait une très bonne soirée. L’alcool coulait à flots, filles et garçons se déchaînaient sur la piste de danse, la musique entraînait tout le monde dans une ambiance festive, onirique, à la limite de la transe. La jeune fille avait même aperçu Hector, ce grand blond de l’autre classe de Terminale Scientifique qui l’a fait craquer. Elle ne savait pas vraiment comment attirer son attention, et n’était de toute façon pas sûre de quoi faire si elle y arrivait. Ces jeunes gens, à peine majeurs, s’étaient réunis pour fêter dignement la nouvelle année qui commençait, porteuse du redoutable examen du baccalauréat, mais aussi de la liberté que leur apporterait la rentrée de Septembre et l’entrée dans les études supérieures. Ils étaient une trentaine dans cette villa d’une station balnéaire chic et bourgeoise voisine de leur ville. La vue était magnifique. Lorsqu’on sortait dehors, la digue, la plage, puis la mer s’étendaient dans la nuit étoilée. Clara ne connaissait pas tout le monde. Certains de ses amis étaient là. C’est Jeanne elle-même qui l’avait invitée. Cette villa au pied de la plage appartenait à ses parents, riches restaurateurs. C’était un honneur d’être invité par Jeanne, sans doute la figure la plus populaire du lycée. Tout le monde la connaissait, et elle connaissait tout le monde. Elle savait tout sur n’importe qui grâce à son réseau de connaissances dévouées. Mais surtout, tous les garçons la désiraient, et les filles pouvaient l’admirer ou la jalouser pour ces mêmes raisons. Il faut dire qu’il y avait de quoi. Jeanne était une magnifique blonde aux yeux bleus, à la poitrine généreuse et au fessier bien rebondi qu’elle savait mettre en valeur. Sportive, travailleuse, elle semblait avoir toutes les qualités. Clara l’appréciait comme amie, sans non plus tomber dans l’admiration excessive. Alors qu’elle dansait sur la piste, Clara aperçut Hector qui sortait vers la plage, sûrement pour fumer une clope. Elle se dit, un peu poussée par l’alcool, que c’était l’occasion rêvée d’aller discuter avec lui, et qui sait ce qui pourrait advenir. Elle le suivit alors dehors, uniquement vêtue de sa jolie robe noire ouverte dans le dos, et le rejoignit. Il était là, debout, appuyé contre la rambarde de la digue, contemplant le ciel étoilé, auréolé de la lumière lunaire. Hector avait quelque chose de presque mystique. Alors que Clara le contemplait, il se retourna et lui dit en souriant : — Ben qu’est-ce que t’attends ? Rejoins-moi en bas ! Elle se rendit compte qu’elle s’était arrêtée devant la porte fenêtre de la maison. Elle rougit et descendit les quelques marches qui la séparaient d’Hector. — Tu veux une clope ? — Non merci, je ne fume pas. — Oh ! Je ne vais pas fumer à côté de toi alors.— Non non, ne te dérange pas pour moi ! À ses côtés, Clara se sentait apaisée. L’aura qui l’entourait la rassurait. Elle contemplait la mer sans rien dire, absorbée dans un monde parallèle. — … Clara ? Tout va bien ? Clara ?Il posa sa main sur son bras nu. Clara sursauta brusquement et rougit en s’apercevant qu’il lui parlait. — Oh pardon Hector j’étais ailleurs, excuse-moi. Qu’est-ce que tu voulais savoir ?
— Je te demandais si tu avais froid, mais vu comment tu frissonnes ma question n’a pas vraiment d’intérêt. Il enleva son manteau et lui posa sur les épaules avec affection. Troublée par sa délicieuse attention, Clara ne put lui répondre qu’un sourire chaleureux, toute intimidée. Quand elle réalisa qu’elle le fixait comme ça depuis plusieurs longues secondes, elle voulut détourner le regard, mais avant qu’elle ne pût faire quoi que ce soit, Hector se pencha vers son visage angélique et déposa un baiser sur ses lèvres. Emportée dans un océan de sensations, elle répondit à ce baiser, cherchant ses lèvres avec ses lèvres, sa langue avec sa langue. Puis il disparut. Le grand blond s’évanouit dans la nuit, laissant Clara seule face à elle-même. Quand elle émergea du monde onirique dans lequel ce baiser l’avait plongé, elle reprit ses esprits et rentra dans la maison, en quête de son galant chevalier qui l’avait abandonnée en lui laissant son manteau. « Comment ne pas perdre la tête, serrée par des bras audacieux ? Car l’on croit toujours aux doux mots d’amour, quand ils sont dits avec les yeux. Moi, qui l’aimait tant, je le trouvais le plus beau de Saint-Jean ! Je restai brisée, sans volonté, sous ses baisers » Enivrée par l’alcool et l’amour, la jeune fille se laissa emporter sur la piste de danse. Elle ne pouvait s’empêcher de penser à son bel hidalgo. Elle s’aperçut qu’il avait laissé son portable dans la poche de son manteau. Clara ne put s’empêcher de le déverrouiller grâce à l’absence de code, et ajouter son numéro dans les contacts d’Hector. Curieuse de ne pas l’apercevoir au rez-de-chaussée de la vaste maison, Clara entreprit d’explorer les étages. Elle fut attirée par des rires dans une chambre au deuxième étage. Elle poussa une porte entrouverte, mais s’arrêta net quand elle aperçut des sous-vêtements masculins et féminins jetés par terre. Elle se dirigea dans la chambre d’à côté, où plusieurs convives discutaient assis en cercle sur le tapis. Clara rejoignit la troupe. Il y avait ses très bonnes amies Jade, une petite brune comme elle, et Manon, une jolie châtaine clair, accompagnées de Pauline, une latine qu’elle ne connaissait que vaguement. Elles discutaient et riaient gaiement avec trois garçons que Clara connaissait de vue, Xavier, Paul et Jules. Ils étaient assis par terre, en cercle, autour de plusieurs bouteilles d’alcool se vidant assez rapidement. — Clara ! Viens t’asseoir avec nous, lui lance Jade, visiblement bien éméchée— Vous savez qui est dans la chambre à côté ? demanda Clara, curieuse de découvrir à qui appartenaient les sous-vêtements jetés par terre— C’est la chambre de Jeanne, affirma Jules. Pourquoi ?— Elle doit y être avec quelqu’un d’autre parce que j’ai vu un soutien-gorge et un boxer par terre— Tu veux dire qu’elle se tape quelqu’un juste à côté de nous ? réagit directement Manon, visiblement surprise. Quelle salope ! Jade semblait assez gênée par la situation, mais les garçons et Pauline ne semblaient pas étonnés d’apprendre que leur hôte se faisait probablement baiser par un invité masculin. — Pourtant, elle sort avec Baptiste, et il ne pouvait pas venir ce soir, s’interrogea Clara— Ça veut dire qu’elle se tape un autre invité, je ne vois pas ce que ça a de bien choquant, réagit Pauline Manon, Jade et Clara étaient choquées de la désinvolture de Pauline, d’ordinaire prude et réservée. Les garçons s’intéressaient plus à la soudaine ouverture d’esprit de la jolie latine que du libertinage de Jeanne. — Elle baise vraiment avec n’importe qui ? demanda innocemment Manon— Non, parce que j’en rêve et je n’en n’ai jamais eu l’occasion, grommela Xavier dans son coin— C’est parce que t’es mauvais mon pauvre, se moqua Paul en riant— Tu as déjà baisé avec elle, Paul ? demanda timidement Jade en rougissant légèrement Son sourire évocateur satisfit les interrogations de toute l’assemblée. Xavier se révolta : — Putain salaud, t’aurais pu me raconter ! Alors, elle est comment ? Aussi bonne à poil que sur ses photos instagram ? — Je refuse d’être le seul à répondre à des questions sur ma vie sexuelle, annonça Paul. Faisons un action-vérité !— Celui ou celle qui ne veut pas répondre ou effectuer l’action devra boire un cul-sec, ajouta Jules. Non, disons trois, c’est plus dissuasif comme ça. Jade, à toi l’honneur.— Bon. Paul, action ou vérité ?— Action !— Oh, tu ne veux vraiment pas nous dire ce que tu as fait avec Jeanne ? Déshabille-toi alors. Tu peux garder ton caleçon, ajouta-t-elle avec un clin d’œil Bon joueur, Paul s’exécuta. Clara put admirer le corps poilu du jeune homme et ses muscles assez dessinés. Assis en tailleur, il croisait les bras sur son torse. Ses biceps saillants cachaient ses pectoraux dont elle devinait la forme grâce aux quelques courbes qu’elle apercevait. Sentant l’attention féminine qui se concentrait sur Paul, Xavier décida de réagir : — À moi ! Jade, action ou vérité ? — Vérité ! Tu ne vas pas me faire déshabiller si facilement, pervers, lui dit-elle en riant— Tu es vierge ? Jade laissa la question en suspens. Allait-elle répondre ? Une tension s’installa dans la salle. Devant son silence, Jules remplit trois fonds de gobelets avec de la vodka. Jade les contempla, puis répondit finalement en soupirant : — Non. Les tours s’enchaînèrent, les shots, les questions et les révélations toujours d’ordre sexuel également. Les garçons se retrouvèrent bien vite en caleçon alors que les filles privilégiaient les vérités. Finalement, Jules décida, puisqu’il semblait qu’il était le maître du jeu, que choisir une vérité s’accompagnerait d’un shot pour favoriser les actions. L’état d’ébriété général était bien avancé. — Paul, à toi.— Pauline, action ou vérité ?— Action ! — Déshabille-toi. La jolie latine regarda Paul dans les yeux, puis se leva et commença à retirer ses vêtements. Les yeux masculins étaient rivés sur le corps dénudé de la jeune fille. Clara détailla son corps : ses seins étaient peu prononcés, mais son fessier était parfaitement sculpté. Elle fixait Paul d’un regard innocent qui provoqua des érections difficilement dissimulables, ne manquant pas de faire réagir Pauline : — Vu l’état de vos caleçons, je vais rester en sous-vêtements. C’était au tour de Manon. La jolie blondinette était restée assez discrète jusque-là. Elle ne pouvait quitter des yeux la bosse qui s’était formée dans le caleçon de Paul. — Paul, action ou vérité ? D’un simple mot, il pouvait faire dégénérer la situation. Clara était assez curieuse de voir Paul entièrement nu, son membre fièrement dressé. Il laissa planer le suspense quelques secondes, et se servit même un shot, avant de choisir l’action. — Enlève ton caleçon. Il se leva et le retira lentement. Tout le monde fixa son sexe bandé. Jade brisa ce long silence en demandant : — Wow, elle est impressionnante … Piqué au vif par cette provocation, Xavier enleva lui aussi son caleçon pour montrer qu’il n’était pas en reste. Clara ne savait que penser de ce combat de coqs qui s’engageait. Elle trouvait Paul séduisant, avec son corps taillé et son sourire timide. Xavier lui plaisait moins, trop squelettique et grande gueule à son goût. Jules l’impressionnait, avec sa carrure imposante. Y’a-t-il un rapport de proportionnalité avec le sexe ? Perdue dans ses réflexions, elle ne vit pas tout de suite Jade et Manon se retrouver en sous-vêtements à leur tour. La voix de Pauline la réveilla : — Alors Clara, action ou vérité ? Elle n’avait pas spécialement envie de se retrouver en sous-vêtements devant deux garçons nus, le sexe tendu, et un autre en caleçon à travers lequel tout le monde voyait une belle érection. — Vérité. Elle prit son shot comme convenu, afin de marquer son choix. — Si tu devais choisir un garçon ici présent à sucer, qui serait-il ? Jules, enlève ton caleçon pour que tu sois jugé à armes égales avec les autres, ajouta Pauline, malicieuse Le blond s’exécuta et sa bite se montra fièrement aux yeux de tous. Elle n’était pas spécialement plus grosse ou plus longue que les autres, mais elle fit son effet. — Je dirais Paul, répondit finalement Clara en baissant les yeux. C’est à mon tour. Pauline, tu as déjà sucé un garçon ? — Oui, répondit l’intéressée simplement. Personne ne sembla remarquer que Clara n’avait pas proposé de choix entre action et vérité. — Et vous, les filles ? demanda Xavier Clara et Jade répondirent par l’affirmative, mais Manon secoua la tête. Jade prit l’initiative : — Les garçons, branlez-vous. C’est le prix à payer pour nos confidences. D’abord étonnés, ils commencèrent progressivement à saisir leur bite dans leur main droite. Xavier fut le premier à commencer des va-et-vient lents ; il n’était pas question de céder à l’excitation et jouir si vite. — Le premier qui gicle a perdu, annonça Clara, se prenant au jeu— Que gagnent les deux autres ? demanda Jules— Une surprise, répondit Jade avec son plus beau sourire. Pauline, action ou vérité ?— Action. — Suce Paul. L’excitation générale était à son comble. Un seuil venait d’être franchi. Si Pauline décidait d’effectivement sucer Paul, la soirée prendrait une toute autre tournure. Elle s’approcha de lui à quatre pattes et lui déposa un bisou sur la joue. — Lève-toi. Il s’exécuta sans attendre. La jolie latine se redressa sur les genoux. D’un geste lent et sensuel, elle fit remonter sa langue de la base de la verge jusqu’au gland. Elle l’engloutit d’un coup et commença à pomper Paul, qui soupira de bonheur. Ses gestes étaient mesurés et réfléchis. Elle savait clairement ce qu’elle devait faire pour donner du plaisir à Paul. Celui-ci exprimait régulièrement son plaisir en soupirant ou en gémissant. L’assemblée observait la scène surréaliste dans un silence religieux. Pauline était en sous-vêtements, agenouillée devant Paul et lui prodiguait une fellation pendant que deux garçons nus se masturbaient en voyant la scène, à côté de trois jeunes filles en sous-vêtements également. Xavier finit par briser le silence : — Putain, elle le suce vraiment … Elle sait y faire, cette salope. En réaction, Pauline accéléra le mouvement. Elle affermit l’emprise de ses lèvres sur la bite de Paul et accentua les caresses de sa langue. Paul gémissait de plus en plus. De son côté, discrètement, Manon avait posé sa main sur le bras de Jules sans le regarder, absorbée par la leçon de fellation qui se déroulait devant leurs yeux. Elle glissa sa main progressivement jusqu’à celle de Jules qui masturbait doucement son sexe. Elle la remplaça et commença à le branler doucement. Il ne s’en priva pas et continua de regarder le porno qui se déroulait en live. Paul ne pouvait plus tenir. Il se laissa aller au rythme de Pauline et éjacula bruyamment dans sa bouche. Tous retinrent leur souffle. Du sperme s’échappa de la bouche de la jolie latine, qui avala sans tarder, et nettoya son visage. Clara se demandait quel goût le sperme pouvait bien avoir. Elle ne pouvait s’empêcher d’envier un petit peu Pauline, car Paul était vraiment bien foutu. Dans son esprit embrumé de fantasmes, elle l’imaginait la prendre, là, maintenant, les jambes écartées, allongée à même le sol. Ce ne fut pas exactement ce qui se passa. Ayant repris ses esprits, Paul s’agenouilla à son tour et embrassa Pauline. Il la fit s’allonger et couvrit son corps de baisers jusqu’à arriver à son bas-ventre. Il retira sa culotte lentement, caressa ses cuisses et commença son travail. Il était bien décidé à lui rendre l’appareil. Il lapait la chatte de Pauline comme un chien affamé, buvait sa mouille abondante. La scène était totalement obscène. Pauline gémissait de plaisir et se tordait dans tous les sens. Ses mains agrippaient le tapis sur lequel elle était allongée. Dans un grand spasme, elle jouit passionnément du cunnilingus de Paul qui continuait à jouer avec son clitoris. De nouveau vigoureux, Paul ne laissa pas Pauline souffler et se mit à la prendre devant l’assemblée. Il tenait ses jambes écartées et la baisait avec force. C’était trop pour Xavier. Pauline, un de ses plus vieux fantasmes, se faisait violemment prendre devant lui. Il s’approcha de son visage transformé par le plaisir, se masturba frénétiquement et recouvrit son visage de sperme dans un grand râle. La brunette ne s’en formalisa pas – de toute façon, elle était trop occupée à prendre son pied – et avala même la giclée qui atterrit dans sa bouche. — Puisque Paul et Xavier ont éjaculé, il semblerait que Jules soit notre grand gagnant, annonça Jade à Clara De son côté, Jules profitait de la branlette de Manon. La jeune blonde avait de jolies formes, et Jules ne se privait pas de malaxer ses seins qu’il avait dénudés. Manon était hypnotisée par le spectacle qui se déroulait sous ses yeux. Lorsqu’elle détourna le regard de Paul et Pauline, elle fut comme naturellement attirée par la bite de Jules qu’elle branlait. Elle décida d’elle-même de le sucer, pour la première fois. Elle imita du mieux qu’elle put Pauline, en enroulant sa langue autour de la verge et du gland de Jules. Elle se fia à ses gémissements pour savoir ce qu’elle faisait bien, ou pas. Elle se surprit à aimer ça. Elle se sentit salope, à sucer son ami d’enfance devant d’autre gens dans la débauche la plus totale, et elle aimait ça. Clara et Jade se rapprochèrent de Jules. Manon comprit ce qu’elles voulaient faire et arrêta sa fellation. Elles lui intimèrent de se lever, et vinrent s’agenouiller toutes les trois devant lui. Jade prit le relai et commença à sucer Jules. Clara constata qu’elle était beaucoup plus assurée que Manon et qu’elle savait parfaitement ce qu’elle faisait. Cela l’étonnait d’elle, qui est d’ordinaire si prude et réservée. D’ailleurs, elle ne savait pas bien quoi faire. L’ambiance générale l’avait désinhibée et excitée, certes, mais elle gardait un genre de réticence à se laisser aller à sucer et éventuellement baiser devant ses amies. Et puis, il y avait ce Hector qui hantait ses pensées. C’est son corps qu’elle voulait découvrir, par lui qu’elle voulait jouir. Cette prudence disparut totalement quand Paul l’a prise par les hanches, l’allongea sur le tapis et lui fit un clin d’œil avant de commencer à lécher sa chatte avec soin. Il avait déjà joui deux fois et voulait seulement lui faire passer un bon moment. Clara profita à fond de ce cunnilingus divin qui lui donna deux orgasmes. Elle perdit totalement la notion du temps. Quand elle reprit ses esprits, Xavier prenait Jade en levrette et Manon coulissait sur Jules.
