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La reine du lycée

Chapitre 3

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— Oh putain, oui Jade, depuis le temps que je rêve de te baiser ! Salope, prends ça ! Prends ça ! Alors comme ça, t’aimes ça la bite ? Tout le monde te pense prude, mais t’es une sacrée coquine ! En levrette en plus ! Cochonne !

Xavier était dans un rêve. Cette soirée était un rêve éveillé. Déjà, il était invité chez Jeanne pour une soirée. Premier exploit. Cet endroit regorgeait de meufs plus bonnes les unes que les autres. À commencer par la maîtresse de maison. Qu’est-ce qu’il aurait aimé la fourrer ! Des seins, un cul parfait, des beaux yeux bleus, des longs cheveux blonds, un visage qu’on veut recouvrir de sperme. Il avait eu raison de suivre son pote Paul à l’étage. Toujours dans les bons coups lui. Quand il s’était retrouvé à jouer à Action ou vérité avec lui et trois de ses fantasmes, il n’aurait jamais espéré, ne serait-ce qu’une seconde, que ça dégénérerait comme ça. Il avait vu Pauline, son fantasme depuis ses années collèges, devenue une magnifique lycéenne se faire démonter par Paul. Il avait vu la fière Jade et la petite Manon en sous-vêtements, de quoi alimenter ses branlettes quotidiennes pour au moins deux semaines. Il avait éjaculé sur le visage de Pauline.
Il n’en revenait toujours pas et n’était pas vraiment sûr que cela s’était vraiment passé. Et surtout, il était en très de baiser Jade. Jade, si fière, si revêche, si sérieuse, toujours la tête haute. Elle était à quatre pattes devant lui et remuait bien docilement au rythme qu’il lui imposait. Elle gémissait comme une salope quand il la fessait. C’était si bon. Quand il lui avait écarté les cuisses, il pensait se prendre une gifle. Désormais, il la prenait en levrette comme la dernière des salopes. Sa chatte était si humide, elle n’attendait que ça. Elle aimait vraiment le sexe et ça se sentait dans sa manière de baiser. Il se dit que c’était tellement mieux de baiser des filles qui réclament que de devoir quémander à sa copine rigide.
Jade avait un air d’Emilia Clarke, l’actrice de Danaerys Targaryen dans Game of Thrones, mais en brune et avec des plus petits seins. Elle n’était pas spécialement magnifique, mais son petit cul était bien rebondi par le footing, et son air légèrement supérieur et intelligent donnait vraiment envie de la dominer, de la faire redescendre sur terre. La voir à genoux sucer Jules n’avait que renforcé sa conviction : cette salope devait être soumise. Et surtout, sous ses airs de sainte-nitouche, elle se révélait salope. Xavier lui trouvait une ressemblance avec la hardeuse Dillion Harper dans le regard, dans le style adolescente innocente. Quand il se branlait devant Dillion Harper, il l’imaginait, elle ou Clara. Il n’aurait jamais pensé la baiser. Et pourtant, il lui pilonnait la chatte et la fessait de temps en temps, et elle semblait aimer ça. Il aurait aimé que ce moment dure toute sa vie.
Il n’arrivait pas à déterminer ce qui était le plus excitant : l’idée de baiser Jade en levrette, ou le faire. Probablement les deux en même temps. Il regardait avec beaucoup d’intérêt son petit trou du cul qu’il aurait adoré pénétrer, mais le plaisir eut raison beaucoup trop rapidement de lui à son goût et il sentit venir l’éjaculation. Il jouit sur le cul parfait de Jade de copieuses giclées et s’effondra par terre de plaisir.
Jade fut déçue par Xavier. Elle pensait qu’il la baiserait mieux, mais il s’était contenté de la prendre en levrette et de l’insulter. Comme quoi, les garçons qui parlent de sexe et qui fanfaronnent ne sont pas les meilleurs en travaux pratiques. Enfin bon, si tous ceux qui prétendaient avoir une grosse bite et savoir s’en servir tenaient leurs promesses, ça se saurait depuis longtemps. Elle n’a même pas joui. Il aurait pu lui bouffer la chatte au lieu de s’endormir sur le sol comme ça. La jeune fille ramassa ses vêtements et se mit en quête d’un meilleur partenaire. Mais où étaient-ils tous passés ? Elle se taperait bien Paul. Qu’est-ce qu’elle avait envié Pauline quand il la prenait devant eux ! Elle décida d’entrer dans la chambre voisine, celle de Jeanne. Elle tomba nez à nez avec un grand blond complètement nu allongé sur le grand lit de son amie, qui se rhabillait :
— Oh, Jade ! Je te présente Hector. Il baise bien, mais je l’ai usé pour la soirée, désolée. Je peux t’aider ?

Hector comprit qu’il n’était plus le bienvenu ici et s’éclipsa. Elle reprit sans lui laisser le temps de répondre :
— Puisque tu es décoiffée et que tu portes ta culotte à la main, je sais ce que tu veux. Il commence à se faire tard, les bons coups sont déjà pris ... Enfin, je connais une valeur sûre. Suis-moi.

Elles montèrent les escaliers en discutant.
— Dis Jeanne, c’est qui ta valeur sûre ? Je le connais ?— C’est mon frère.


Quand elle reprit ses esprits, Clara était assise sur une chaise, les mains menottées dans le dos. Elle remit ses idées en place et commença à paniquer quand elle réalisa que c’était l’homme qui l’avait surprise qui l’avait menottée. Où était-il ? Qui était-il ? Qu’allait-il faire d’elle ? Immédiatement, elle pensa au pire.
— Ne t’inquiète pas Clara, je ne vais pas te faire de mal. Enfin, si tu coopères gentiment avec moi.

La voix venait de derrière elle. Il s’avança et se planta devant elle. C’était Benjamin, le frère jumeau de Jeanne, une véritable armoire à glace d’au moins 90 kilos de muscles.
— Benjamin ?! Mais qu’est-ce qui te prend ? Tu es devenu fou ? Laisse-moi partir ! — Bien sûr que je vais te laisser partir, mais pas avant que tu m’aies dit tout ce que tu as vu sur cet ordinateur.

Clara hésita. Elle évalua le danger : valait-il mieux mentir et nier en bloc, ou tout avouer et en subir les conséquences ?
— Je peux me montrer très persuasif pour que tu me racontes tout ça. Je n’ai pas vraiment envie d’en arriver là, alors si tu me dis simplement ce que tu as vu, tout ira pour le mieux. — Je ... J’ai vu des caméras reliées à des pièces de la maison, centralisées ici. Et j’ai vu un extrait de ce qui était filmé. Pitié, ne me fais pas ça, je jure que c’est la vérité ! — Je vois. Tu comprends vite. Quelles conclusions en tires-tu ? — Je ... Je ... Je suppose que tout ce qui se passe est enregistré.

En prononçant cette phrase, elle comprit. Benjamin gardait toutes les vidéos de sa sœur, mais maintenant, il avait aussi une vidéo sur laquelle elle apparaissait ! Certes, elle n’avait pas été la plus active dans cette orgie, mais Paul lui avait clairement donné le meilleur cunnilingus de sa courte vie sexuelle. Si cette vidéo paraissait sur les réseaux sociaux, sa vie était foutue. Le sourire entendu de Benjamin lui prouva qu’il savait qu’elle avait compris.
— Je t’en supplie Benjamin, ne rends pas cette vidéo de moi publique !— Qu’est-ce que j’y gagne à garder cette vidéo pour moi ? Tu as bien vu que j’en ai plein d’autres, et des meilleures. Pourquoi ne pas partager ce beau film aux garçons du lycée ? Je suis sûr qu’ils seront ravis d’apprendre à faire un cunnilingus. — Je t’en prie, non ! Je ... Tu peux me prendre si tu veux. Et en échange, tu gardes cette vidéo.

Clara n’avait vraiment pas envie que cette vidéo sortît. Mais d’un autre côté, la situation l’excitait terriblement, bien plus qu’elle ne voulait se l’avouer. Elle était à la merci de ce colosse. Elle rêvait qu’Hector la dominât comme ça. Pourquoi ne pas se faire tirer par Benjamin ?
— Non, je n’ai pas envie de profiter de ta situation de faiblesse pour te baiser. Je te laisse partir. En revanche, tu as une dette envers moi. Et envers Jeanne. Si elle te demande quoi que ce soit, tu dois lui obéir, ou cette vidéo sera publique. D’accord ?

Elle s’empressa d’accepter, il la détacha et elle s’en alla rapidement. L’air marin l’apaisa. Elle rentra chez elle par la digue, et profita de ce moment de quiétude, bercée par le bruit des vagues, pour réfléchir à la situation. Devait-elle en parler à Jeanne ? Pouvait-elle en parler à une amie comme Jade ? En repassant mentalement les événements, elle remarqua que Benjamin avait bien dit qu’elle avait désormais une dette envers lui et envers Jeanne, et qu’elle devait obéir à celle-ci. Ce qui sous-entendait donc que Jeanne était plus ou moins au courant des agissements de Benjamin. Mais était-ce seulement les siens ?
Quand Jeanne demanda à son frère de rendre service à Jade, il accepta joyeusement. Avant qu’elle n’ait eu le temps de dire quoi que ce soit, elle se retrouva dans ses bras, contre un mur. Il l’embrassait férocement en retirant les quelques vêtements qu’elle avait remis après sa baise avec Xavier. Il était d’un tout autre niveau, et gabarit que Xavier. C’était un vrai rugbyman, une armoire à glace. Tout son corps était musclé, imposant. Jade mouillait comme une folle, plaquée contre le mur, trois doigts dans la chatte. D’un coup, il la souleva, toujours contre le mur, et la pénétra. Il la portait comme une poupée, ses deux mains puissantes empoignaient ses fesses. Elle n’avait jamais été ramonée de la sorte. Elle était impuissante, à la merci de ce géant, et putain qu’est-ce que c’était bon. Soudainement, il arrêta. Elle reprit ses esprits et lui lança un regard de détresse malgré elle, ne comprenant pas pourquoi ce moment de pur plaisir avait pris fin.
Ne supportant pas son petit jeu, elle prit les choses en main et entreprit de coulisser elle-même sur sa bite. Il la déposa par terre, face au bureau. Naturellement, Jade posa ses mains sur le bureau et se cambra. Il la prit comme une chienne contre le bureau, sans aucune douceur, et elle en redemandait. Dans un accès de lucidité, elle vit sur l’écran de l’ordinateur posé sur le bureau son reflet hagard, déformé par le plaisir. Son orgasme fut le plus puissant de sa courte vie sexuelle. Elle en perdit presque conscience. Elle reprit ses esprits, allongée sur le tapis, le visage recouvert de sperme, éblouie par le flash du téléphone portable de Benjamin.
La vie reprit son cours tout à fait normalement pour Clara. Elle passait beaucoup de temps à travailler ses mathématiques et ses formules de physique-chimie pour le bac, mais elle n’eut aucune nouvelle de Benjamin, à son grand soulagement. Jeanne l’avait simplement un peu plus intégrée à son groupe de courtisans, sans lui prouver qu’elle était au courant de quoi que ce soit. Clara n’avait parlé à personne de ce qu’elle avait vu, elle était encore trop perturbée. Elle comptait en parler à son amie Jade, mais elle n’arrivait pas à trouver la détermination de le faire. Rappelez-vous que dans le premier chapitre, Clara avait inscrit son numéro de portable dans celui d’Hector. Il engagea la conversation, ils parlèrent de tout et de rien. Elle n’était pas sûre qu’il la draguait, mais elle interprétait tous ces signes comme si. Clara ne pouvait pas oublier ce qu’elle avait vu sur l’ordinateur, chez Jeanne.
Elle les avait vus baiser, elle avait vu Hector nu, son corps, elle avait entendu ses gémissements. Elle le voulait. Elle voulait ressentir ce que Jeanne avait vécu entre ses bras. Elle voulait trouver un moyen de l’aborder et d’être sûre de ses sentiments à lui. Elle n’osait pas se lancer. Qui était-elle face à la grande Jeanne ? Maintenant qu’il l’avait eue, comment voudrait-il d’une fille aussi simple et normale qu’elle ? Clara exposa ses sentiments et problèmes à Jade, à défaut de lui parler des caméras. Ce sujet-là serait pour plus tard. Elle lui conseilla de demander à Jeanne d’intervenir.
— Si quelqu’un peut t’aider ma chère, c’est elle. — Mais tu crois qu’il pourrait s’intéresser à moi ?— Évidemment, t’es beaucoup plus belle que son ex. Et bien plus intelligente. Fonce ! Je suis sûre que Jeanne te rendra service. — En échange de quoi ? Tu lui as déjà demandé un service ? — Oui, répondit Jade en marquant une pause. Rien de bien terrible, ne t’inquiète pas !

Clara prit son courage à deux mains et un soir, sonna chez Jeanne. La grande maison sur la digue, face à une mer d’huile ensoleillée, était encore plus impressionnante de jour. La porte s’ouvrit. Le corps massif de Benjamin apparut dans l’embrasure de la porte. Clara tressaillit. Elle se souvint de la menace qui planait sur elle. Benjamin n’en laissa rien paraître et lui indiqua le chemin jusqu’à sa jumelle. Jeanne ne se trouvait pas dans sa chambre, mais au sous-sol, où Clara n’était jamais allée. La belle blonde l’accueillit joyeusement :
— Bonsoir Clara ! Je suis si contente de te voir. Ta venue tombe très bien. J’ai besoin de toi, et puisque tu es là, tu as besoin de moi. J’accepte bien sûr de t’aider, c’est à ça que servent les amies.— Merci beaucoup, Jeanne, Jade t’a déjà dit ? — Nous en parlerons après. Mon service d’abord.

Jeanne lui montra la pièce en face d’elle à travers une grande fenêtre, comme un studio d’enregistrement. Un homme d’une trentaine d’années, à vue d’œil, s’y trouvait. Il était nu, ses yeux et sa queue étaient bandés. Il se caressait tendrement. Clara eut un mouvement de recul, mais Jeanne lui tint fermement l’épaule.
— Regarde-le bien. Regarde-le ! Lui ne le peut pas. Il ne voit rien, ses yeux sont bandés. Il ne peut pas te reconnaître. Il a des consignes claires : pas de pénétration. S’il est là, c’est pour bouffer une jolie chatte en se branlant, et c’est tout. Benjamin m’a montré que tu aimais te faire lécher. Tu as bien raison. Tout ce que tu as à faire, c’est t’installer confortablement dans le fauteuil à l’intérieur de la pièce, et le laisser boire ta mouille. Facile non ? Et après ça, je te rends le service que tu veux, peu importe ce que c’est. Marché conclu ?

Clara était interloquée. Sous le choc. Mais qu’est-ce que c’était que cette famille de tarés ? Que pouvait-il se passer d’encore plus malsain ici ? Étrangement, repenser au cunnilingus de Paul lors de l’orgie de la soirée de la dernière fois, et voir cet homme se masturber semblait l’exciter. Et puis, elle ne pouvait pas désobéir à Jeanne, ordre de Benjamin. Et après tout, s’il ne pouvait pas la reconnaître et qu’il se contentait de la bouffer ... Pourquoi pas prendre un peu de bon temps ? « Pour Hector », pensa Clara. Elle suivit Jeanne qui la fit entrer par une porte dérobée.
Elle se retrouva seule dans le box avec l’homme nu. Son trouble s’intensifia. Elle s’assit dans le fauteuil, très confortable. Ce fauteuil semblait conçu pour la situation, un peu comme un fauteuil de dentiste. Il l’entendit et s’approcha d’elle à tâtons. De près, il n’était pas si vieux que ça. Clara pensa qu’il devait approcher 30 ans. Sous l’effet de l’excitation, elle respirait assez vite. Elle n’aurait jamais pensé se retrouver dans cette situation. L’homme posa ses mains sur ses cuisses et s’agenouilla. Clara commença à souffler bruyamment. Délicatement, il baissa son pantalon et caressa ses cuisses nues. Ses mains étaient chaudes. Il embrassa ses cuisses en enlevant sa culotte. Il attira Clara à lui d’un coup sec. Elle était entièrement livrée à lui. Il passa ses lèvres sur la chatte humide de Clara et sourit, constatant son état d’excitation. Il commença. Il maniait sa langue avec habilité. Elle s’enfonçait profondément dans son vagin. Il n’épargnait aucune zone.
Il était vraiment bon. Il s’attaqua au clitoris et enfonça deux doigts dans la chatte de Clara. Elle gémissait de plus en plus fort. Qu’est-ce que c’était bon !
— Regarde-la Benjamin, elle prend son pied cette coquine.— Je te l’avais bien dit Jeanne, la vidéo du cunnilingus de Paul est vraiment convaincante. — Tu vois comme il se branle de la main gauche en la doigtant de la main droite ? Habile !

Clara arrivait au bord de la jouissance. Elle n’avait pas l‘habitude qu’on s’occupe d’elle de cette façon. L’homme le ressentit et accéléra, ce qui fit crier Clara et provoqua ses spasmes. Elle était complètement sonnée par l’orgasme. C’était vraiment mieux quand c’était un autre qui le provoquait. Elle reprit tranquillement son souffle. Était-ce fini ? Allait-il continuer ? L’homme se tourna vers la fenêtre et fit un signe de la main. Le fauteuil changea de position. Il dit à Clara de s’allonger sur le ventre. Elle obéit. Son cul était offert. Il caressa ses fesses.
— T’as vraiment un bon cul ...

Il lui donna une petite claque.
— Qu’est-ce que c’est bon une chatte de 18 ans !

Il recommença de plus belle à fourrer sa langue dans sa chatte. Mais comment savait-il qu’elle avait 18 ans ? Jeanne lui avait dit ? Clara ne pouvait pas réfléchir clairement, trop occupée par son plaisir. Il malaxait alternativement ses fesses d’une main, tout en se branlant de l’autre. Subitement, il retira sa langue. Il écarta sa fesse droite et commença à lécher son anus. Clara ne voulait pas parler et qu’il la reconnaisse ensuite, éventuellement. Il sentit sa crispation.
— Détends-toi, c’est juste ma langue ...

Soudainement, un micro résonna dans le box :
— L’anulingus n’était pas prévu ! — Ajoutez-le à ma note, cria l’homme.

Il titilla sa rondelle sans la pénétrer. Clara commençait à se détendre. S’il était si doué avec une chatte, pourquoi pas avec un anus ? Il la pénétra avec sa langue. Pas profondément, juste ce qu’il fallait. Après une période d’adaptation, Clara commença à ressentir du plaisir. Beaucoup de plaisir. Il lâcha sa fesse et la doigta en même temps.
— Écoute-la brailler la salope. C’est si beau une fille qui prend du plaisir.

Benjamin acquiesça. Clara se perdait dans son propre plaisir. Cette langue se glissait dans ses moindres recoins et lui faisait découvrir des sensations inconnues. Trois doigts dans la chatte et la langue dans le cul, Clara jouit une seconde fois, longuement et bruyamment. L’homme éjacula par terre, satisfait et repu.
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