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La reine du lycée

Chapitre 4

Épreuves

Hétéro
Clara reprit lentement ses esprits, se rhabilla et sortit de la salle. Elle remonta au rez-de-chaussée où Jeanne l’attendait sur la terrasse, sirotant un sirop devant le soleil couchant à la couleur si particulière de l’automne.
— Eh bien, tu en as mis du temps à remonter ! Tu traînes autant après chaque orgasme ?
Clara ne savait pas bien quoi répondre à cela, gênée par la situation.
— N’en parlons plus. Tu m’as rendu un service, je vais t’en rendre un comme je te l’avais promis. Alors, que puis-je faire pour toi ? Assieds-toi.
Clara lui exposa la situation. Elle lui parla d’Hector, de ce qu’elle ressentait pour lui. Elle voulait que Jeanne lui dise si ses sentiments à lui étaient réciproques.
— Mh. Je vois. Dis-moi Clara, tu me prends pas un peu pour une conne là ? — Pardon ?— Benjamin m’a raconté que tu avais découvert notre petite installation, et que tu m’avais vue avec ton cher Hector à la soirée de septembre. Je ne suis pas devin. Je ne lis pas de signes dans les étoiles ou dans une boule magique. Je ne peux pas claquer des doigts et te livrer la réponse sur un plateau d’argent. Pour obtenir une information, je dois aller la récolter sur place ou la faire récolter. Tu suis ?— Je ne suis pas certaine de comprendre où tu veux en venir ... — Ta naïveté t’honore ma chère. Je ne peux pas deviner comme ça si Hector t’aime. En revanche, je peux lui soutirer l’information grâce à mes techniques.
Clara accepta sans réfléchir, elle voulait vraiment savoir.
— Mais ça te fait pas trop chier que je me tape une deuxième fois le mec de tes rêves ? C’est un bon coup d’ailleurs, tu les choisis bien.— Je ne peux pas lui en vouloir d’aimer ton corps Jeanne, tous les garçons fantasment sur toi ... Si c’est le prix à payer pour savoir, fais-le !
Jeanne admit que cette fille était assez bluffante. Elle aimait vraiment ce type, à un point tel qu’elle était d’accord pour qu’il se tape quelqu’un d’autre précisément dans le but de savoir si c’était réciproque. Était-ce cela, l’amour ? Peut-être bien. C’était décidément un sentiment mystérieux. Elle décida de lui faire une fleur.
— Écoute, tu as l’air de vraiment l’aimer. Je respecte ça. Je l’admire, même. Si tu veux, je peux te donner la vidéo de l’autre soir. — Contre quoi ?
— Contre rien, c’est le principe du don.
Clara repartit chez elle, complètement troublée par la tournure des événements. La nuit tombée, elle ne put s’empêcher de revivre à nouveau la scène de voyeurisme qui l’avait tant troublée. Elle revit le corps d’Hector en action contre celui de Jeanne, telles des statues grecques en plein coït. Elle était déterminée à tout endurer pour l’avoir.
Xavier ne parvenait plus à trouver du plaisir à se branler devant des pornstars classiques. Depuis qu’il avait vu ses camarades de lycée nues, qu’il avait pu en baiser une, il lui en fallait plus pour jouir. C’était toujours très sympathique de voir la petite Riley Reid entre les énormes mains d’un grand black à la bite énorme, mais il ne pouvait pas s’empêcher d’imaginer Jade ou Clara entre les mêmes mains et avec la même bite, et de penser que ce serait mille fois mieux. Il avait trouvé une solution : les réseaux sociaux. Tous les soirs, il bénissait le narcissisme contemporain qui pousse les jeunes à s’exposer sous leur meilleur jour sur Instagram ou Facebook pour récolter des likes. Il distribuait des likes à la pelle d’une main, et se masturbait activement de l’autre. Il suivait à peu près toutes les filles bonnes du lycée, c’est-à-dire une somme non négligeable selon ses critères.
L’hiver approchant, et les photos en maillot de bain déclinant proportionnellement, il avait constitué une bonne réserve de photos de l’été dernier pour alimenter ses branlettes. Il était passé de Pornhub à Instagram, et sa libido n’en était que plus satisfaite.
Néanmoins, cela finit par ne plus suffire. L’érotisme repose sur l’imagination, mais Xavier voulait du hard, il voulait du vrai, du concret. Il voulait revoir le cul de Jade se balancer sur sa queue. Il voulait revoir la chatte épilée de Pauline mouiller abondamment sous l’action de la langue de Paul. Il voulait revoir la petite Manon à genoux, une bite dans la bouche. En cherchant sur Internet, il trouva encore mieux que les réseaux sociaux, comme ce site permettant de modifier des photos en ajoutant du sperme sur les visages. Ça ne faisait pas si vrai que cela, mais c’était quand même super excitant. Un soir, alcoolisé, il parla de ses envies à son cher ami Paul, toujours dans les bons coups sexuels. Il lui donna une adresse et un mot de passe. Xavier voulait savoir de quoi il en retournait.
— C’est un genre de club, mec. Tu pourras y rentrer grâce à ce mot de passe, et si tu réussis quelques tests.— Un club ? Quel rapport avec le fait que je veuille sauter la moitié du lycée ? — Tu verras bien quand tu y iras, crois-moi.
Paul sentit la perplexité de son ami.
— Bon, tu m’as bien dit que tu avais baisé Jade, c’est ça ? — Ouais putain, le meilleur moment de ma vie. — T’aimerais la revoir baiser ?— Bah ouais, mec ce serait ouf !
Paul prit son ordinateur portable, fouilla quelques dossiers et baissa son caleçon.
— Installe-toi bien Xavier, j’espère que tu t’es pas branlé avant de venir. T’es plutôt scène classique avec fellation et pénétration, ou tu préfères quelque chose de particulier ?

Xavier n’en revenait pas. Sur la vidéo que Paul avait lancée, Jade était là, dans une petite robe beige légère. On la reconnaissait parfaitement, c’était bien elle, aucun doute possible. Xavier imita Paul et sortit sa bite dure comme fer. Sur la vidéo, Jade relevait sa robe en dévoilant sa chatte bien épilée. Elle s’allongea sur le lit et commença à se caresser devant la caméra. Décidément, cette fille cachait bien son jeu. Son apparence austère n’était qu’une couverture ; en réalité, elle était chaude comme la braise. D’accord, elle l’avait laissé la baiser l’autre soir, mais tout le monde baisait autour et tout le monde était ivre. Mais là, elle était sur un lit, peut-être le sien, face à la caméra, et donc consciente de sa présence, en train de se mettre deux doigts dans la chatte.
Xavier allait demander à Paul comment il avait obtenu cette vidéo incroyable, mais à ce moment, Jade se redressa et s’allongea sur le ventre, toujours face à la caméra, et commença à sucer la bite qui venait de rentrer dans le champ. Elle faisait ça bien, elle s’appliquait, on entendait les bruits de succion sur la bite. Elle savait ce qu’elle faisait, ce n’était pas une débutante comme l’immense majorité des filles de cet âge-là. Elle aspirait cette queue tendue en caressant les couilles avec sa main. Ses yeux criaient famine.
— Bordel, j’aimerais tellement qu’elle me suce comme ça. Comment t’as chopé cette vidéo ? — C’est moi qu’elle suce.

Xavier n’avait rien à répondre sur le coup. On ne voyait jamais le visage de Paul sur les plans, mais il regarda attentivement son corps nu à l’écran, et à côté de lui, et constata que c’était bel bien lui. Elle se mit à quatre pattes et lui tendit son petit cul, qu’il prit allègrement.
— Tarde pas trop à te finir ; elle m’a tellement bien sucé que j’ai pas pu la baiser longtemps.

En effet, le Paul à l’écran poussa assez rapidement des cris de plaisir tout en ralentissant le rythme de ses reins. Les compères conclurent leur masturbation.
— J’ai tellement de questions. — Toutes les réponses sont à ta portée !
Paul lui répéta l’adresse et le mot de passe. Xavier les retint soigneusement. Il pensait avoir été chanceux de pouvoir baiser Jade, mais en réalité, elle tournait des pornos amateurs avec Paul. Il devait en savoir plus. Le lendemain, Xavier se rendit à ladite adresse. Il reconnut tout de suite l’endroit : la maison voisine était celle de Jeanne. Il n’oublierait jamais cette soirée chez elle. Étrange coïncidence tout de même : il voulait baiser les bonasses du lycée, et Paul l’envoyait à côté de cette maison transformée en baisodrome le temps d’une soirée. Il sonna à la porte.
— Bonjour Xavier.

La voix semblait transformée, Xavier ne la reconnut pas.
— Vous savez qui je suis ? — Je sais ce que tu veux.
Il donna le mot de passe. La porte s’ouvrit. Il suivit ce qui semblait être un parcours fléché et descendit au sous-sol.
— Paul ? Qu’est-ce que tu fais là ?— Je suis ici pour t’accueillir mon cher. Et te guider. — Me guider ? — Tu es ici pour subir une série de tests. Tes résultats détermineront ton entrée ou non dans le club. — C’est toi qui le gères ?— Non, non, j’ai été mandaté. Arrête de te poser des questions et fais ce que l’on te dit.
Xavier entra dans la salle. La voix informatisée qui l’avait fait entrer lui demanda de se déshabiller intégralement et de se placer au centre de la pièce. Il enfila le casque de visionnage qui s’offrait à lui. Devant ses yeux apparurent plusieurs noms de filles bien connues au lycée. La voix lui demanda d’en choisir une pour un test d’endurance.
— Un test d’endurance ? — Nous allons mesurer tes performances. Tu vas regarder une vidéo impliquant la fille que tu choisiras. Plus longtemps tu tiendras, meilleure sera ton évaluation.
Il choisit Pauline. Si elle était aussi chaude que Jade sur la vidéo que Paul lui avait montrée, ça promettait des souvenirs inoubliables.
— Mets tes mains dans le dos.
Xavier obéit sagement. Quelqu’un vint lui attacher les mains, de sorte qu’il était debout, nu, le sexe dressé et sans aucun moyen de se masturber. Il ne voyait rien de ce qu’il se passait dans la salle. La vidéo commença. C’était bien Pauline. Elle était magnifique. Un petit mètre cinquante, un gabarit de poupée, un sourire angélique. Ses dents étincelantes tranchaient avec sa peau ambrée. Xavier adorait les Latines. Pauline était allongée sur son lit, en culotte. Elle caressait tendrement ses petits seins. Elle enfila une main dans sa culotte et commença à se toucher. Son visage était traversé de courtes expressions de plaisir. Elle retira sa culotte et exposa son intimité à la caméra. Xavier n’en ratait pas une miette. Il grava à jamais dans sa mémoire la forme des lèvres épilées de Pauline. Soudain, il sursauta. Quelqu’un avait commencé à le branler. C’était donc ça, le test : non pas bander le plus longtemps, mais ne pas éjaculer trop vite.
Pauline commença à s’enfoncer deux doigts de la main gauche dans la chatte tout en jouant avec son clitoris de son autre main. Xavier se dit qu’il ne résisterait pas longtemps. Il s’imaginait derrière la caméra, profitant de ce spectacle interdit. Il enviait tant Paul qui, comme il l’avait découvert récemment, avait pu accéder à ce trésor caché de nombreuses fois.
De son côté, Paul se promenait dans cet endroit qu’il connaissait bien. Membre éminent du club, il était l’un des premiers que Jeanne avait recrutés. Il croisa celle-ci au détour d’un couloir :
— Tiens, salut Paul ! Qu’est-ce que tu fais là ?— J’accompagne Xavier pour son initiation. — Ah, Xavier ! à quelle phase est-il ?— La première. Motivé comme il est, je pense qu’il passera toutes les étapes. — Je sais qu’il est très motivé par ses propres fantasmes et son propre plaisir, mais n’oublie pas les valeurs de ce club ! Ce n’est pas parce que c’est ton ami qu’il peut tout se permettre.— Ne t’en fais pas, je me porte garant de lui. — D’ailleurs, tu tombes bien : j’ai reçu une commande pour Marie. Elle t’a choisi comme partenaire. Cherche-la, elle ne doit pas être bien loin.
Xavier se retenait le plus possible, mais ça devenait compliqué : la main qui le branlait ne se contentait pas de banals mouvements rapides, elle accélérait, décélérait à intervalles irréguliers, changeant le degré de pression autour de sa bite. C’était une main experte. En plus, pour ne rien arranger, Pauline gémissait très fort à cause du gode volumineux qu’elle entrait et sortait de sa chatte, et du vibromasseur sur son clitoris. Quand elle jouit dans une série de spasmes et de soubresauts, Xavier retomba amoureux d’elle pour la centième fois et se laissa éjaculer copieusement. Il put à nouveau utiliser ses mains. Il retira le casque, espérant voir qui l’avait si bien branlé, mais la salle était vide. La voix lui dit qu’il devait se rendre dans une autre salle pour sa prochaine épreuve.
Cette journée était décidément riche en surprises. Quand Xavier entra dans la salle indiquée, son érection repartit d’un coup. Il vivait un rêve éveillé. Il se pinça pour vérifier qu’il était toujours vivant et pas au paradis. Une magnifique chatte aux lèvres charnues lui était offerte. La fille était allongée sur le dos, surélevée, ses jambes pâles étaient écartées. Elle semblait l’attendre. Il ne voyait pas le haut de son corps, ne pouvait pas le toucher, comme un genre de glory hole féminin.
— Ta deuxième épreuve est un test de talent, Xavier. Fais jouir cette demoiselle sans utiliser son sexe. Tu as une heure.
Xavier avait déjà eu l’occasion de lécher une chatte, mais là, il fallait qu’il s’applique. Ça ne l’avait jamais passionné, il préférait la pénétration. Il mourrait d’envie de prendre cette chatte comme ça, tant pis pour la règle. Comme si elle avait deviné ses pensées, la voix ajouta :
— Si tu enfreins les règles et que tu utilises ton sexe, ton acte serait considéré comme un viol. Tu serais donc pénalement accusé et banni de cet endroit à jamais.
Il se ravisa immédiatement. Sa libido avait pris le dessus un court instant : évidemment qu’il ne violerait personne, il n’était pas un monstre. Si la fille n’était consentante que pour un clito, qu’il en soit ainsi. Déterminé à se montrer digne, Xavier se mit à la tâche.
Marie déambulait dans les locaux. Elle avait reçu un message la notifiant d’une commande. Elle avait choisi Paul comme binôme, elle adorait son corps et sa tendresse. Et ses petits yeux couleur noisette ... Ne sachant pas s’il était arrivé ou pas, elle errait distraitement. Elle arriva près des salles d’examen. Elle entra dans la salle d’observation où Paul se trouvait.
— Salut Paul, je te cherchais.— Moi aussi. Bonjour Marie. — Tu accompagnes quelqu’un pour être ici ? — Ouais, regarde-la.
Xavier s’activait sur les lèvres délicieuses de sa partenaire, mais les résultats n’étaient pas convaincants. Certes, elle gémissait un peu et mouillait, mais pas d’extase au programme.
— Mmmh, il a pas l’air très doué. Comment s’est passé son test d’endurance ? — Plutôt bien, c’est toujours ça de pris. — Oui ... Il avait choisi qui ? — Pauline.— Ah, Pauline ... Pas trop jaloux ? — Non, pourquoi je le serais ? Il fantasme sur elle depuis le collège.
Marie était jalouse de la relation spéciale entre Pauline et Paul, mi-sex friends, mi-couple idéal. Elle sortit de ses rêveries quand elle entendit des gémissements de plus en plus bruyants. Après de laborieuses minutes, Xavier avait trouvé l’astuce ultime pour réussir le test. Il doigtait vigoureusement la demoiselle avec deux doigts tout en stimulant son clitoris – qu’il avait enfin trouvé - de l’autre main, tout en se livrant à un anulingus féroce. Cette combinaison faisait son effet.
— Oh ! Malin. — Tu as déjà été partenaire pour des examens d’entrée ?— Oui, une fois. Quentin m’avait fait un très bon cunnilingus.
La jeune fille jouit enfin. Xavier exulta. Il avait bien raison, il ne lui restait que quelques minutes avant d’invalider l’épreuve. Marie regarda Paul :
— Ça me donne envie ... On m’a commandé une branlette espagnole, tu veux pas me bouffer la chatte juste avant ?
Paul sourit et emmena Marie dans une pièce adjacente. C’était un genre de bureau. Marie se déshabilla devant lui. Il put observer son corps avec gourmandise. Marie mesurait environ 1m60, yeux verts, taches de rousseur et cascade de cheveux roux, elle n’était pas particulièrement fine, ce qui rendait ses fesses bien rebondies, ses jambes charnues et surtout lui donnait des seins particulièrement gros pour ses 18 ans. Tous les garçons du lycée rêvaient des seins de Marie quand ils pensaient à une branlette espagnole. Elle s’assit sur le fauteuil de bureau et écarta les jambes. Paul se lança à l’assaut de sa chatte.
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