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Ma relation avec mon chef de service

Chapitre 2

Gay
Chez moi le soir, je ne pense qu’à une chose, il faut que j’achète un porte-jarretelle sexy et des bas pour plaire à Roger. Une fois seul, je vais sur internet pour trouver ce que je cherche. Je trouve un porte-jarretelles serre taille superbe, mais où me le faire expédier ? Chez moi c’est impossible. Je demanderai à Roger demain. Je me couche très excitée.
Le matin je me lève, je fais ma toilette extérieure et intérieure. Je m’épile les quelques poils qui me restaient au dessus du sexe. Je suis toute lisse, je n’ai plus un seul poil. Je suis satisfaite. Je me sens bien. Je mets un string fuchsia en dentelle et des bas auto-fixant avec le haut décoré de dentelle. Je glisse dans mon djinn très serré taille très basse. Petits baskets blancs, teeshirt blanc suffisamment court pour laisser voir mon ventre dès que je bouge. Une vraie petite aguicheuse.J’arrive au bureau. Roger est à sa place, je lui dis bonjour avec un grand sourire. Il me mate avec un regard plein de désir. Je pose mes affaires sur mon bureau, et je vais saluer Roger.« Bonjour Roger » lui dis-je avec un grand sourire.Il me dit doucement :« Bonjour connasse ça va ? », lui aussi en souriant.« ça va merci et toi ? »« Va me chercher un café, petite conne »« oui Roger avec plaisir » Toujours avec un grand sourire.Je vais lui chercher un café à la machine. Des collègues sont déjà là, à mon approche le silence se fait, et je sens des regards sur moi. Je prends mes cafés et retourne au bureau.Je pose le café sur le bureau de Roger. Il en profite pour passer ses mains sur mes cuisses et mes fesses. Je lui souris tout en me laissant faire.« Met toi debout devant mon bureau ma chérie »Ce « ma chérie » me va droit au cœur. J’obéis et me place dos à Roger.« Salope c’est un reflexe chez toi de montrer ton cul »Je lui souris. Je vais à mon bureau. Je prends une feuille et j’écris. Je plie la feuille et la dépose sur le bureau de Roger en passant pour aller aux toilettes.Il doit lire : « Roger, je n’ai pas de porte-jarretelles, je vais en commander un sur internet mais je ne peux pas recevoir ce type d’article chez moi, pouvez-vous m’aider ? »Je reviens des toilettes la même feuille est posée sur mon bureau. Je lis : «Tu n’a pas besoin de commander sur internet je t’achèterai ce que je veux que tu portes »Je le regarde je lui souris, il vient vers moi, s’appuie sur mon bureau et me dit en parlant très bas : « on va aller dans un magasin de lingerie, comme ça tu pourras faire des essayages … »Tout à coup je perds mon sourire, une peur panique m’envahit. Je me sens femme mais il est hors de question pour moi de rentrer dans une boutique de lingerie pour essayer des sous-vêtements féminins.«ça ne te plait pas ? »« Ha non je ne l’imagine même pas … tu vois »« Et pourtant tu vas m’obéir petite conne. Et quand tu y seras ça te plaira … et après c’est toi qui me demanderas d’y retourner. »Je suis choquée par ce que me dit Roger, je ne veux pas y aller.
« Demain après-midi je t’amènerai à M (ville voisine à 30 km) et je t’achèterai tout ce qu’il te faut pour te rendre encore plus salope. »Je baisse les yeux, je reprends mon travail sans rien dire, inquiète.Vers 10 heures nous ne nous sommes pas adressé la parole. Il me dit :« Viens devant mon bureau »J’obéis, je quitte mon bureau et me met debout devant le sien. Je détourne mon regard de lui. Il me mate.« Si quelqu’un rentre dans le bureau tu retourneras naturellement à ta place »Je fais signe « oui » de la tête.« Baisse les yeux » me dit-il très sèchement.Je baisse les yeux.« Même si ça ne te plait pas, et je le sens, tu te prépares mentalement à te rendre dans une boutique pour faire des essayages de lingerie »Je ne réponds pas.« Si tu refuses de venir, on arrête tout. Tu redeviens Eric, je reste ton chef … on oublie tout … mais tu choisis tout de suite j’ai pas de temps à perdre avec des poufiasses dans ton genre »Je ne réponds pas. Je sens que me faire traiter de poufiasse commence à me plaire, à m’exciter (à ma grande honte), je ne veux pas que cela s’arrête et en même temps je ne m’imagine dans une boutique de lingerie comme il me le propose. Je suis torturée.« Je vois que tu préfères arrêter … OK on arrête tout … » il se lève et il va quitter le bureau. Je ne peux pas le laisser partir. Et je m’entends dire résignée.« Non Roger je suis d’accord … je suis d’accord » Je le regarde se rasseoir. « Je savais que tu finirais par être d’accord. » Il parle bas pour n’être entendu par personne.Nos regards se croisent.« Baisse les yeux salope »J’obéis. Je sens ma queue serrée dans mon djinn … je ne comprends pas pourquoi je suis excitée … peut-être parce qu’il vient de me dire que je suis une poufiasse ou le fait d’être les yeux baissée, soumise devant Roger ? « Je vois que tout ça à l’air de te plaire » Il a du voir la bosse sur mon djinn.« Tu déjeunes où à midi ? »« Chez moi »« Ce soir tu peux rester, petite pute … je te baiserai bien. »J’ai très envie de recommencer avec Roger.« Oui Roger, je pourrai »« Tu peux relever les yeux, et va me chercher un café connasse » toujours en parlant très bas. Il me sourit je lui répond avec un sourire un peu coincé.Je ne peux plus dissimulé la bosse de mon pantalon, je bande vraiment. Ces insultes dégradantes, abaissantes et avilissantes semblent m’exciter, j’ai honte. Je prend un dossier avec moi pour la dissimuler en allant chercher le café.Je reviens, ça va mieux, ma grosseur a disparue. Je pose le café sur son bureau.« Tout à l’heure avant d’aller chercher le café, tu bandais, et je sais pourquoi … met toi debout devant mon bureau »J’obéis.« Je suis sûr qui si je t’insulte avec les mots dont tu m’as dis qu’ils t’avaient choqués tu vas t’exciter toute seule. »Je ne réponds pas.« Tiens toi bien droite connasse, que je vois bien si ta queue grossit »J’obéis et je sens déjà le sang arrivé dans ma verge.« Tu es une vrai salope pour t’habiller comme cela au bureau »Il observe le devant de mon pantalon.« Ce soir ma poufiasse je vais te baiser comme une truie, tu seras ma pétasse »Et là, je me rend compte que je n’y peut rien, je bande dur et évidemment il le voit.« Alors j’avais raison Vanessa … quand je te rabaisse cela t’excite »Je fais signe oui de la tête.« Donc tu aimes être insultée et humiliée »Je me sens faire signe oui de la tête.« Très bien salope nous continuerons ce soir, tu vas te faire enculer par un homme qui a l’âge de ton père »Je montre une marque d’étonnement.« Tu sais quel âge j’ai petite conne ? »« J’ai 67 ans, apparemment tu aimes les vieux salope » dit-il en souriant.Je lui fais signe oui de la tête, mais je trouve qu’il ne fait pas son âge.Je vais m’asseoir à mon bureau, je reprends mon travail. Mes pensées se focalisent sur le fait que d’être humiliée m’excite et j’ai honte de moi-même. Si mes proches, ma famille, savaient que je prends un plaisir sexuel à être humiliée, que penserait-il de moi ?La journée passe. Vers 17h30 Roger se lève et sors du bureau. Je suis seule et je sais que Roger vérifie que nous soyons seuls, va fermer la porte de l’accueil et va me demander de le servir. Il revient et me dit :« Ok Vanessa nous sommes tranquille »J’ai le reflexe de chausser les escarpins que je dissimule dans mon bureau.Le temps que je les chausse, Roger a enlever sa chemise, il est torse nu devant moi. Je n’avais pas remarqué qu’il était aussi poilu. Même son ventre proéminent est très poilu. J’ai le regard rivé sur lui. Ces poils blancs m’excitent, j’ai envie de les caresser. Moi qui aime les hommes gros et poilus, je suis servi. « ça te plait salope ? »« Oui Roger beaucoup. »« Tu aimes les gros ventres ? »« Oui j’aime les gros ventres et les hommes très poilus comme toi »Je m’approche de lui. Je sens qu’il m’observe. Arrivée devant lui je lui caresse le ventre de mes deux mains. Je couvre toute la surface de son gros ventre tendu et poilu. Je le sens m’observer attentivement. Il prend ma tête à deux mains et la place dans la zone poilue entre ses pectoraux. Je plonge dans ses poils et je sors ma langue pour gouter ses poils magnifiques et très denses. Je sens l’excitation monter en moi, je bave énormément. Depuis mon P je n’avais pas eu un homme aussi poilu. Je me déplace d’un pectoral à l’autre. Ils sont gras et poilus. La salive monte en abondance dans ma bouche. En léchant ses pectoraux j’aperçoit ses aisselles qui paraissent très poilues. Il s’en dégage une odeur de sueur atténuée par un déodorant très musqué. Je dégage mon visage pour admirer le poitrail du mâle qui est devant moi. J’admire sa corpulence et je ne peux empêcher mes yeux de s’arrêter sur l’abondance de poils sortant de ses aisselles.Au bout de quelques secondes, Roger qui ne cesse de m’observer, me dit :« Qu’est-ce que tu regardes, chérie ? »« Tes aisselles, elles sont vraiment très poilues »« Tu veux mettre ton visage dedans petite conne ? »Sans répondre j’avance mon visage de son aisselle droite, me voyant faire Roger lève son bras pour me donner accès à sa masse impressionnante de poils odorants. Notre différence de taille fait que mon visage est à la hauteur de son aisselle. Je plonge mon visage dans l’aisselle, je me frotte plusieurs fois, puis je ne peux m’empêcher de sortir ma langue pour le lécher. « Vas y salope, tu aimes les hommes toi ma chérie. »Roger alterne les insultes et les mots tendres. Je suis très excitée, la salive arrive en abondance dans ma bouche. Je procède sans le savoir à un nettoyage de ses dessous de bras avec ma bouche, ma langue et ma salive. Au bout de quelques minutes de nettoyage, ses poils sont trempés de ma salive et n’ont plus de goût. Je m’apprête à changer de côté. Il comprend et lève son bras gauche. Je retrouve l’odeur d’homme qui m’excite tant. Je procède au même nettoyage. Il me dit :« C’est bien salope, j’aime que tu me fasses la toilette comme cela »A ce moment, je me sens bien, je me sens femme, je me sens salope, c’est vrai j’en suis une vrai. Quand Roger considéra que son aisselle était nettoyée, il me fit mettre à genou devant lui.« Sors moi le paquet et occupe-t-en, conne, avant enlève ton pantalon »J’obéis. Je rechausse mes escarpins. Roger me regarde.« Tourne-toi »Je me retourne dos à lui.« Tu as un cul super-bandant, un vrai cul de gonzesse, salope »« Merci Roger »« Enlève ton haut »J’obéis. Je lui fais à nouveau face. Je me retrouve en petite tenue (string fuchsia, bas auto-fixant noirs avec dentelles, escarpins noir 10 cm de talons … et c’est tout). Je suis satisfaite, Roger a les yeux qui brillent d’excitation et de désir. Dans un deuxième temps son regard devient celui d’un prédateur devant sa proie, je suis intimidée.« Remet toi à genoux conne »Me faire traiter de conne m’excite définitivement, je me sens femme et m’entendre dire que je suis conne m’excite. Je ne comprends pas pourquoi. Mais c’est comme cela, je dois admettre que je dois être une conne et que cela me plait.Je défais son pantalon qui tombe sur ses chevilles et je baisse son slip jusqu’aux chevilles aussi. Sa queue bandée est dressée devant mes yeux. Elle sort d’une touffe de poil très abondante. Son bas ventre son pubis et le haut de ses cuisses sont très poilus. Cela m’excite, je commence à le branler lentement en lui léchant les couilles, toujours avec ma salive abondante affluant dans ma bouche. « Tu suces comme une vraie pute … bouffe moi la queue connasse »J’obéis, d’une main je continue de caresser ses couilles, de l’autre, je prends sa queue, je l’enfonce dans ma bouche et commence mes vas-et-viens sur la chair chaude, douce et très raide, très dure. Il ne me laisse pas faire, il me prend la tête entre ses mains et commence à me baiser la bouche.« Prend ça pute »Sa queue s’enfonce parfois trop loin, je suffoque, il m’épargne en allant moins loin dans ma bouche.« Tu aimes ça hein grosse conne ? »Je ne peux pas répondre. Ce qu’il me fait me plait, mais il me secoue fort. Je subis le désir de Roger. Je suis à genou sous son ventre poilu, je ne vois pas son visage. Ses vas-et-viens sont très réguliers, je me laisse faire docilement. Je respire fort. Je me sens utilisée comme un objet à plaisir. Je sens l’excitation encore monter en moi. « Tu as vu ce que je te met connasse » me dit-il haletant.Cette insulte fait sortir ma verge de mon string. J’essaie de la replacer au mieux.Ses mouvements accélèrent, je sens qu’il veut jouir avec ma bouche. Ça m’est confirmé quand il me dit :« Tu vas me faire jouir qu’avec ta bouche salope »Je continue de me laisser baiser la bouche.Je le sens accélérer encore ses mouvements et enfin il explose en enfonçant sa queue dans ma bouche. J’arrive à ne pas suffoquer, le liquide chaud envahit ma bouche et je l’entends me dire :« N’avale pas, garde mon foutre dans ta bouche connasse »Quand il finit de se vider dans ma bouche, il se dégage, je sors de dessous son ventre. L’odeur forte de sa semence me parvient. J’ai son sperme dans ma bouche fermée. Je me place debout face à lui.« Montre moi ce que tu as dans la bouche grosse salope »J’ouvre ma bouche, il approche sa tête de mon visage.« Tu aimes ça hein poufiasse, sucer comme une pétasse, vider des couilles, déguster du sperme » Ce qu’il me dit m’excite, il voit ma queue sortir du string.Je fais signe oui de la tête, avec ma bouche ouverte. « Déguste et avale connasse »Je suis très excitée, je déguste le liquide que j’ai reçu dans ma bouche directement de la bite de Roger. Il n’est pas très épais mais très abondant. Je me délecte, il est âpre, fort, presque nauséabond mais j’aime ce liquide et je suis au comble de mon excitation. Après une longue dégustation, j’avale la totalité du liquide poisseux.Je suis très excitée d’avoir fait cela. Le gout du sperme reste dans ma bouche.« Remet toi à genou et nettoie moi la queue poufiasse »J’obéis, je repasse sous le ventre de Roger. Sa queue a du sperme qui coule encore. Elle est molle, je la prends en bouche, je la suce, je passe ma langue de partout pour ne laisser aucune trace de sperme et bien évidemment j’avale tout. Je lui nettoie la queue et les couilles … je suis très excitée, beaucoup plus que quand je le suçais. Sa queue reste molle. Je me relève. Il se rhabille et me propose d’aller boire un café. Je récupère mon djinn pour me rhabiller.« Non reste en pute, tu vas aller boire le café comme ça »J’ai peur de sortir comme cela. Il n’y a pourtant pas de raison, nous sommes seuls.« Et si quelqu’un arrive, Roger ? »« ça ne risque pas, nous sommes seuls, je suis le seul à avoir la clé avec Jean (notre boss) »« Et si Jean arrive »« ça ne risque pas il est à l’étranger, allez sors salope, viens faire la pute dans les couloirs de la société qui te paye »Je sors du bureau. Roger m’accompagne. Nous marchons dans le couloir. Mes talons claquent sur les pavés. Mon déhanchement est ample. Je sens la main de Roger se poser sur mes fesses. Cette sensation m’excite. Arrivés devant la machine à café :« Fait moi un café cochonne »Ce mot m’a toujours plu. Je fais un café et je le donne à Roger. Je lui souris.« Tu aimes servir … »Je lui réponds d’un sourire. Roger est détendu.« Tu aimes obéir … être la femelle … »« Oui Roger j’aime ça et tu aimes ça aussi … non … ? »« J’aime tellement ça que j’ai envie de changer ton prénom féminin, au lieu de t’appeler Vanessa, je vais t’appeler Poufiasse, ce ne sera plus une insulte pour toi, mais ton prénom »Je suis un peu désorientée par ce qu’il me dit. J’esquisse un sourire de circonstance, en signe d’acceptation, un peu malgré moi.« Tu m’as excité terriblement quand tu as léché mes aisselles, personne ne m’avait jamais fais cela. Tu es vraiment très cochonne » Je lui souris, satisfaite.« Merci Roger »« J’ai envie de pisser, tu veux venir avec moi ? »Mon regard est interrogatif.« Viens tu vas peut être découvrir quelque chose de nouveau »Je souris et je le suis.Il me fait rentrer dans une toilette. Il rentre après moi. Je me demande ce que je fais là, ma respiration s’accélère. Il me regarde sans rien dire il m’observe, sourit :« Tu vas me faire uriner pétasse. Tu te met à genou, tu sors ma queue, je pisse, tu me nettoie, tu remet tout en place et tu te relèves, allez … à genou Poufiasse »Je n’ai pas le choix. J’obéis, je me mets à genou. J’ai la cuvette des WC à ma droite et Roger à ma gauche. La situation dont j’avais peur finalement ne me déplaît pas. Je me sens à ma place. Je descends sa braguette, j’extirpe non sans mal sa queue et ses couilles. J’ouvre le battant qui fermait la cuvette, je dirige la queue vers la cuvette et je m’entends dire comme une vraie soumise : « Tu peux uriner Roger »« C’est bien Poufiasse, tu travailles très bien »Je suis contente de son compliment. Je sens sa queue bouger entre mes doigts, et l’urine apparaît au bout de sa queue que j’oriente bien. Le jet devient épais, l’urine fait du bruit en rentrant dans l’eau de la cuvette, elle est très odorante, je ne suis pas gênée par cette odeur, au contraire je l’apprécie.« C’est bien ce que tu fais Poufiasse. Personne ne m’a jamais fais ça, c’est bon » « Merci Roger »Je me sens bien à genou en train de faire ce que je fais … soumise à la volonté et à l’autorité du mâle qui me domine.Le jet diminue de puissance, pour laisser place à un goutte à goutte. « Suce moi pour me nettoyer Salope »En fait, je crois que l’odeur de l’urine m’a excité. Je me mets à le sucer. Je sens nettement le gout de sa pisse dans ma bouche, certainement les dernières gouttes qui s’échappent de sa queue. Je me surprends à aimer ce gout, il m’excite. La situation dans laquelle je me trouve commence à m’exciter terriblement ; je suis à genou dans les toilettes, en bas et string, en train de nettoyer la queue de mon chef qui vient de finir d’uriner … et j’aime ça.Apparemment lui aussi.« C’est bien Poufiasse, tu m’as l’air d’aimer la pisse, tu es vraiment la reine des salopes »Ces mots augmentent mon excitation et malgré sa queue molle et maintenant propre, je continue de le sucer avec beaucoup d’ardeur. L’odeur de l’urine dans la cuvette participe à mon excitation. Il me laisse faire et au bout de quelques minutes à ma grande satisfaction je sens sa queue grossir dans ma bouche.« Tu suces comme une vrai putain, tu me fais rebander salope, t’arrête pas connasse »Ces mots me mettent dans un état d’excitation extrême, ce qui a pour inconvénient de déformer outrageusement mon string. Ma bouche pleine de salive d’excitation détrempe la queue de Roger. Je crois devenir folle tant je suce avec excitation. Je l’entends souffler. « Toi on peut dire que tu aimes la queue »Je sens le liquide salé/sucré sortir de sa bite. Mon mâle prend du plaisir grâce à ma bouche. Je lui donne ma bouche, j’enfonce sa queue au plus profond à la limite de la suffocation. Au bout de quelques minutes il me prend par les cheveux et me fait me remettre debout. Il a le sourire. Je suis essoufflée.« Sortons d’ici salope »Il me prend par la main et nous sortons. Je me sens femme. Je suis en petite tenue, ma main dans celle de mon mâle, je suis excitée j’ai très envie qu’il m’utilise comme un objet de plaisir. Sa queue est toujours sortie de son pantalon. La scène est irréaliste. Tout ce qui vient de se passer depuis que nous sommes seuls dans la société avec Roger me parait irréaliste.« Je vais te baiser à la machine à café, ça te dit ? » me dit-il en souriant. Après ses attitudes d’animal, et m’avoir copieusement insultée, il devient gentil, j’aime ça.Arrivés devant il me plaque contre la machine à café j’écarte mes jambes et il descend me lécher la raie. Il a écarté mon string. Sa langue est large et bien mouillée de salive. Il paraît affamé, je suis aux anges, je soupire, je suis très excitée. Au bout de quelques minutes de ce travail qui m’amène au bord de la jouissance, il se relève, et sans rien dire il mouille sa queue de salive, pose son gland sur ma rosette, et force doucement pour me pénétrer.« Tu vois chérie demain quand tu viendras chercher mon café, tu te rappelleras que tu t’es faite baisée par ton chef, la veille à ce même endroit »Ces mots m’excitent, je force pour faire rentrer sa queue dans mon ventre, mon œillet se dilate, son gland rentre, je m’ouvre, je me donne, je me sens lui appartenir. Sa queue glisse dans mon anneau je me sens prise, possédée, enculée, je ne m’appartiens plus.« Tu sens ma bite connasse »Non seulement je me suis habituée à ces mots mais maintenant ils m’excitent, c’est un besoin pour moi d’être traitée ainsi.« Oui Roger je la sens bien je me sens écartelée tellement elle est grosse »Il continue de rentrer jusqu’à la garde. Il reste un moment immobile sa queue raide, plantée dans mon ventre. Je le sens excité.« Tu es vraiment une conne pour te faire baisée par ton chef sur ton lieu de travail »Il commence à me limer, mon étroitesse me procure des douleurs. Il me tiens par les hanches et commence ses vas-et-viens dans mon fondement. Je sens les frottements de sa chair sur mon trou. Avec ses mouvements je sens que je m’élargi un peu mais la douleur devient difficile à supporter. « Roger, je vais aller chercher du gel, je te sentirai mieux »Il sort de mon trou.« Vas y pétasse et reviens vite que je continue de te baiser comme une conne »Je me relève, je quitte la machine à café en me déhanchant, je sais que Roger me regarde. Je reviens avec le gel dont je me suis déjà enduit la chatte et je le tends à Roger.« Pétasse, tu crois pas que je vais me salir les mains avec du gel »Je lui souris, je fais couler du gel dans le creux de ma main et badigeonne la queue raide Roger. Je le branle doucement.« C’est bon, remet toi en position pétasse »Ces mots m’excitent je me remet en position. Il me pénètre instantanément avec son dard gluant. Je ne sens plus la douleur. Je sens la queue de mon baiseur faire des vas et viens rapide dans ma chatte. J’en gémis de plaisir.Je me sens conne, je me sens bien. Roger me secoue sans ménagement. Je suis son objet. Il m’utilise pour son plaisir.« Tu es vraiment bonne au bout d’une queue, tu es faite pour être enculée à la chaîne tellement tu es bonne, tu sens ma bite salope ? »« Oui Roger, je la sens bien elle est bonne, défonce-moi »Ces mots l’excitent et il devient très rude avec moi. Je suis plaquée contre la machine à café, il me tient par les hanches, ses ongles me griffent ces coups de rein sont violents. Je me sens femme, je me sens utilisée.« Tu vas me faire jouir connasse »Il accélère encore et dans un cri.« Prend sa grosse conne, je vais t’engrosser »Il vide ses couilles dans mon ventre. Je suis une femelle pleine du foutre de son mâle. Je suis épanouie. Je suis heureuse.Il me donne encore quelques coups de reins pour finir de se vider. Il ressort de ma chatte. Je me dégage. Nous sommes essoufflés tous les deux. Il me prend le visage et m’embrasse sur la bouche. Sa langue et sa salive envahissent ma bouche.« C’est bien chérie, tu es sublime » me dit-il gentiment. Ces mots me vont droit au cœur. Je sens qu’au delà de la domination et du rabaissement qu’il exerce sur moi, il y a autre chose qui me touche.« Merci Roger »Il me regarde, me sourit, me caresse les fesses. Je suis bien dans ses bras.« Allez, je te laisse nettoyer er rejoins moi dans le bureau. » Il remballe son sexe et s’éloigne. Je nettoie la machine à café des traces de gel que j’ai laissé. J’enlève au sol une petite trace de sperme qui a du s’échapper de ma chatte. Je reviens dans le bureau. Roger range ses affaires. Il me sourit.« ça va ? »« Oui Roger ça va » lui dis-je avec un grand sourire.« Rhabille toi »Je me rhabille, Roger s’approche de moi.« Je suis satisfait de ton comportement quand je t’insulte et je te rabaisse »« Merci Roger » lui dis-je en souriant.« Tu aimes ça ? »« Oui Roger, j’ai un peu honte de l’avouer, mais je crois bien que j’aime ça »« Parce que c’est le début, dans peu de temps tu n’auras plus honte et après c’est toi qui réclamera que je te traite comme une merde »Il m’embrasse et me chuchote à l’oreille :« Bientôt tu seras fière d’être ma pétasse »Je crois que je deviens amoureuse de Roger.
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