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Relation particulière

Chapitre 2

Hétéro
Après m’être inscrit sur un site pour avoir des relations sexuelles, j’ai eu la surprise d’être contacté par mon ancienne professeure de français de ma troisième et seconde et actuelle prof de philosophie en Terminale. Elle n’a aucune idée de qui je suis, et heureusement pour moi ! J’imagine que si elle apprend qu’elle va coucher avec un de ses élèves, elle coupera net tout ça. Car même si je suis majeur, ce qui rend le rapport tout à fait légal, elle reste ma prof et cela est immoral. Mais comme elle aura les yeux bandés et si je garde le silence sur tout ça en n’en parlant à personne, cela restera secret.
J’attends avec impatience qu’elle me recontacte afin d’avoir notre première rencontre. J’ai rêvé, des nuits entières, de baiser cette femme pendant mon adolescence et là, je suis sur le point de toucher au but ! Je ne pense plus qu’à ça et comme je vous l’ai déjà dit, Émilie étant ma prof de philosophie, je la vois toutes les semaines. Le mardi de quinze à dix-sept heures et le mercredi de dix heures à midi. Autant vous dire que je vais avoir du mal me concentrer...
Je rentre chez moi après deux heures de tortures ! Je n’ai pas pu m’empêcher de mater son cul, ses seins moulés dans sa robe de la première à la dernière minute. Les quelques fois où elle m’a interrogé, j’essayais de cacher mon trouble. Elle ne peut se douter qu’elle me fait bander et que ma bite est dure comme du roc dans mon caleçon. Si je la sortais, elle pourrait encore voir les lettres de son prénom le long de mon sexe... Mais bref, je ne vais pas repenser à ce cours, car je vais avoir trop envie de me branler. C’est alors que je reçois un message. Je regarde mon téléphone avec espoir et bingo, c’est elle.
[SMS,Émilie ]< Coucou, j’espère que je ne vous dérange pas ?> Coucou Émilie. Non, du tout... J’attendais ton message.< Alors c’est parfait ! J’aimerais que l’on se voie demain à quatorze heures. Vous êtes disponible ?> Oui, je peux me libérer.< Très bien. Voici mon adresse ... Je vous y attends nue et avec un bandeau sur mes yeux.> Et qu’est-ce que je devrais faire ?< Pour commencer, nous en resterons à de simples préliminaires. Cunnilingus, fellation, masturbation... Tout ce que vous voulez, mais sans pénétration.> J’ai hâte d’être demain !< Oui, moi aussi.
Le premier rendez-vous est fixé ! Je vais pouvoir lui bouffer la chatte et me faire pomper le dard ! J’ai l’impression d’être un puceau sur le point de faire l’amour pour la première fois tellement je suis excité, mais stressé par la situation... Je me retiens de me branler, et surtout de jouir, histoire d’être bien en forme pour le lendemain.La matinée se passe, je me fais chier en cours. Puis arrive le cours d’Émilie.Mon regard est toujours scotché sur son corps parfait, si magnifique et qui dans quelques heures sera à moi. Elle quitte ensuite la salle en nous disant devoir faire des photocopies. Comme tous mes autres camarades, je sors mon téléphone et me balade sur Insta, Snap etc. C’est alors que je reçois un message de ma prof. Je vais dans ma messagerie et je vois son message :
[SMS,Émilie]< Je suis déjà excitée pour tout à l’heure.

Accompagné par une photo de sa magnifique petite chatte toute rose est avec un léger pubis blond bien taillé.
Je manque de défaillir à la vue de cette photo, surtout quand Émilie revient avec les photocopies. Elle semble ‘normale’, mais en sachant ce qu’elle vient de faire, je la regarde attentivement et je perçois une petite excitation dans le fond de ses yeux, qu’elle cache à merveille... Après ça, impossible de me concentrer. Je suis la tête dans les nuages, ou plutôt dans sa chatte en imaginant la lui bouffer, j’entends déjà ses petits couinements qui l’amènent à l’org...
— Jérémy ? Pouvez-vous arrêter de rêvasser ? Je sais que le cours est bientôt fini et que vous êtes tous pressés de rentrer chez vous, mais il reste quinze minutes, alors concentrez-vous !— hein, heu... oui Madame... »
Si seulement tu savais ce qui me fait rêvasser, tu ne saurais plus où te mettre. Elle termine son cours et moi j’essaie au mieux de l’écouter et de calmer ma queue bien bandée et prête pour tout à l’heure. Je vois qu’elle regarde souvent son téléphone, sûrement en l’attende de ma réponse. Dès que le cours est terminé, je vais lui répondre. Non ! Ce serait trop suspect, je vais attendre d’être rentré chez moi, ce sera mieux.
Lorsque je suis rentré, je prends le soin de manger avant de lui répondre. Une photo de ma queue toujours dure comme du rock accompagné d’un:
[SMS,Émilie]> Tout comme moi... à bientôt...
Après ça, je tourne en rond dans ma chambre, ayant l’impression que le temps n’avance pas. Puis l’heure de partir est enfin arrivée pour que je me rende à destination. Belle maison. Je lui envoie un message pour lui dire que je suis arrivé.
[SMS,Émilie]> Je suis devant chez toi. Je peux te rejoindre ? < Oui. La porte est ouverte. Je suis dans mon lit, je vous attends...
Je traverse le petit chemin en pierre qui amène à la porte d’entrée qui est effectivement ouverte. J’entre dans l’entrée et je dépose mes chaussures. Il y a des photos d’elle avec des personnes âgées, sûrement ses parents, ainsi que d’un petit garçon. C’est vrai qu’elle m’avait dit être divorcée avec un enfant.Puis je vois des pétales de roses par terre qui mènent à un escalier. C’est assez romantique et je les suis pour me retrouver dans sa chambre. Un lit deux places avec une femme nue, comme le premier jour de sa naissance, allongée dessus. Elle a attaché ses cheveux blonds en queue-de-cheval, mis un bandeau sur ses yeux que l’on a dans les avions. Quelques mèches recouvrent le bandeau sur le côté gauche de ses yeux.
Elle est très sexy et je n’ai qu’une envie : lui sauter dessus. Je toque à la porte pour lui signifier ma présence. Un joli sourire se forme sur son visage.
— Venez me rejoindre et occupez-vous de moi.
Je m’approche doucement de son lit, elle ne bouge pas, mais tourne la tête des deux côtés pour essayer de comprendre par quel côté je passe. Ma main vient se poser sur son ventre plat et je le sens frissonner sous mes doigts. Ma main remonte sur un de ses seins, le droit, que je commence à malaxer, délicatement puis à le pétrir. Je fais rouler son téton érigé entre mes doigts. Sa bouche s’entrouvre et sa respiration s’accélère.
Ma bouche vient se poser sur son sein : je le lèche puis mordille son téton. Ma main descend vers sa belle chatte que je caresse doucement. Mes gestes sont doux et sensuels, je palpe ses lèvres intimes, caresse son clitoris.
Je passe mon doigt contre sa fente et je sens qu’elle est déjà toute mouillée. Elle commence à haleter, mes caresses font de l’effet et lui donnent du plaisir.Alors qu’elle ne s’y attend pas, je l’embrasse. Nos lèvres se touchent, se caressent, puis s’ouvrent. Nos langues commencent à s’enrouler l’une autour de l’autre. Le baiser est bon, doux. J’ai l’habitude de plus de bestialité, mais là, je veux prendre mon temps.
Je descends ensuite entre ses cuisses. Je lui caresse les cuisses, les lèche. Je la torture en y allant très lentement. L’excitation est à son comble, elle n’a qu’une envie : que ma langue plonge dans son intimité...
— Han, allez-y... J’en peux plus... S’il vous plaît...
J’embrasse son sexe juste après et elle lance un petit cri de surprise. Ma langue la lèche de toute sa longueur. Elle rentre à l’intérieur, lape les grosses lèvres gonflées par le désir, titille son clitoris. J’adore lécher une femme et je vois que mon cunni ne la laisse pas en reste. Ses mains viennent se poser sur mon crâne et avec un petit cri, elle jouit. Comment décrire la fierté que j’ai de l’avoir fait jouir ? Je me sens indestructible ! Je viens de faire jouir mon plus gros fantasme avec ma langue en quelques minutes.
Je la laisse reprendre ses esprits et je me pose sur elle après avoir retiré mes habits. Mon sexe entre le creux de ses deux seins, je lui prends les mains pour les positionner sur les côtes de sa poitrine en forme de poire. Émilie comprend et comprime ma bite entre ses deux seins. Je commence alors la cravate de notaire, car c’est moi qui suis sur elle et qui fais les va-et-vient. Je fais le dos rond pour l’embrasser, heureusement que je suis assez souple.
Ça me donne tellement de sensations que j’ai le malheur de grogner. Elle me donne une petite tape sur la joue en disant : Chuuut’. OK madame, je me tais... Je continue de l’embrasser avant de me relever et poser mon gros gland sur ses lèvres. Elle se redresse sur ses coudes, ouvre et ferme sa bouche dans le vide à deux reprises, avant de prendre mon gland. Sa première léchouille manque de me faire gémir de manière pas très virile, mais je me retiens. Elle a emprisonné mon gland entre ses lèvres et elle le suçote. Sa main vient se poser sur ma queue et elle me masturbe de manière très sensuelle.
Elle tente d’en mettre plus dans sa bouche. Mais elle a du mal. Est-ce dû au fait qu’elle mesure vingt centimètres ou à sa posture qui n’est pas idéale pour une pipe profonde ? En tout cas, je me sens venir et là, j’ai un doute. Je peux jouir dans sa bouche ? Elle m’a dit accepter les éjaculations sur les fesses, les seins, le ventre. Interdiction sur le visage, mais pour ce qui concerne la bouche, elle ne m’a rien dit.
Je me recule et je dirige ma queue vers sa belle poitrine pour l’arroser de sept jets de mon sperme blanc et épais. Je grogne le moins possible de manière audible et elle semble contente de prendre ma semence sur son corps. Heureuse que ce soit elle qui m’a fait jouir.
Elle se caresse les seins, étalant sensuellement mon sperme avant de me dire.
— Vous auriez pu jouir dans ma bouche... En tout cas, je vous remercie de ce moment...
Merde ! C’est maintenant qu’elle me le dit ! Bon, cela ne fait rien, c’était un super moment. Je l’embrasse une dernière fois avant de quitter sa maison et de rentrer chez moi. Je me remets de mes émotions, mais putain ! J’ai déjà hâte de notre prochain rendez-vous.
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