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Relation particulière

Chapitre 4

Hétéro
Les vacances se sont terminées et notre chère prof de philo nous a donné un méchant coup de bâton dans les fesses ! Avant de partir en vacances, elle nous avait bien dit de réviser son cours, mais bien évidemment, vu qu’aucun contrôle n’était annoncé, on n’a rien foutu... Lorsque nous revenons après deux semaines de repos, elle nous lance ‘J’espère que vous avez bien révisé, car jeudi, de dix heures à midi, vous aurez une épreuve blanche’.
Et là, ce fut le cataclysme. Déjà, car vu qu’on n’avait pas sport, ça nous faisait deux heures de tranquille pour manger plus tôt et ensuite, car un examen blanc de philo, c’est chaud ! Les délégués lui disent que cela ne se fait pas, qu’on n’est pas assez préparé et qu’elle ne peut pas nous mettre une épreuve comme ça, deux jours à l’avance. Mais sa réponse va nous achever.
— Il me semble vous avoir dit de bien réviser. De plus, vous n’avez pas eu de bac blanc pour cette matière à cause d’un problème administratif. Il était prévu un rattrapage. Et je suis étonnée de votre surprise, car l’administration m’a informée qu’elle vous a envoyé un mail à ce propos en tout début des vacances. Donc si vous étiez un peu plus sérieux, vous aviez tout votre temps pour réviser.
L’épreuve se déroulera en même temps pour tout le monde, la date a été choisie par le directeur lui-même, donc il n’y a aucune chance de la changer »
Comme de vrais abrutis, nous saisissons nos portables et vérifions nos mails sur notre compte du lycée et... il y a ce mail. Même l’intello de la classe n’avait pas vu ça, mais la plupart avait néanmoins un peu révisé ou au moins bien bossé en cours, ce qui leur donne que des petites révisions à faire. Moi, j’ai tout à reprendre... Je passe mon temps à me dire que ce n’est pas cool, qu’à force de penser à Émilie et à tout ce que je vais pouvoir faire avec elle, j’ai zappé tout ce qui se passait autour. Étant un minimum sérieux, j’aurais dû voir ce mail et j’aurais bien révisé. Mais là, je suis dans la merde...
C’est pour ça que j’ai essayé de réviser mardi soir, mais j’étais crevé et je n’ai pas pu tout faire. Mais là, je suis lancé ! Après une séance révision de notre prof de philo (qui a accepté de le faire même si elle trouve scandaleux notre manque de sérieux, et il faut dire qu’elle a quand même raison...). Je bosse comme un dingue depuis une heure et je sens bien que je vais rattraper tout mon retard quand ‘ding’, mon portable sonne.
[SMS,Émilie]< Coucou, mon inconnu. Êtes-vous occupés ?
Non, non, non... Je ne peux pas foirer ce contrôle, il faut que je révise et elle m’appelle là ! Ce n’est vraiment pas cool, mais vraiment pas.
[SMS,Émilie]> Cela dépend...< Intéressant... J’aimerais vous avoir chez moi dans une demi-heure ou une heure, pour une petite partie de jambes en l’air qui j’en suis sûre, vous plaira...> Qu’elle est le programme ?< Une levrette. Je vous autorise à me fesser et à tirer ma tignasse blonde. Mais avec respect, je ne veux pas avoir trop mal. Et vous aurez peut-être le privilège de me sodomiser. Encore une fois, avec prudence.
Non, non et non ! Qu’ai-je fait pour que je me retrouve dans cette situation ! Je vais vers une mort certaine si je ne révise pas à fond. Mais on parle d’une levrette avec tirage de cheveux et fessée. On parle de ma queue dans son petit trou serré... Comment je pourrais dire non ? Je me rends à l’évidence, je vais me faire enculer au bac blanc, alors autant enculer la prof.

[SMS,Émilie]> J’arrive ma belle !
Trente-cinq minutes plus tard, je suis chez elle. Je sonne pour dire que je suis là, j’entre, j’attends une petite minute dans l’entrée et je pars à l’assaut. Quand j’arrive, je la vois à quatre pattes sur le lit, sa croupe en l’air et sa tête dans l’oreiller, entièrement nue. Son fessier est un véritable mastodonte et le fait qu’en plus elle se cambre, c’est juste divin. Impossible de ne pas prendre une photo ! J’ai retiré le mode silencieux pour qu’elle entende le bruit. De cette manière, elle sait que je suis là et elle comprend que je fais des photos. Je veux que ça lui fasse de l’effet de savoir que ces moments vont être gardés à jamais pour nos albums. Elle sait que je suis là et ondule des fesses en m’attendant. Elle n’attendra pas longtemps, car je retire mes habits en vitesse et je viens à côté de son lit.Je lui donne une petite claque sur sa fesse droite. La chair remue légèrement, c’est magnifique. Émilie lance un petit cri de surprise et son visage arbore un grand sourire.
— Prenez une photo avec votre sexe sur mes deux globes fessiers...
Elle a raison, ça va faire une superbe photo. Je m’exécute et une fois que c’est fait, j’enfile la capote et je plonge ma bite dans son vagin qu’elle a dû préparer, car ça glisse tout seul.Elle gémit et ses petites mains caressent ses cheveux, ce que je trouve super sexy. Je me mets à filmer ma bite qui va-et-vient gentiment dans sa petite chatte et je claque ses grosses fesses rebondies. Elle gémit plus fort et lance des cris de plaisir à chaque fessée.
— ‘Han, han, han !AH ! Han, han, han, AH ! Ouii ! Oui ! Ooohhhh... Han, han,
C’est super excitant. Surtout que son vagin se contracte à chaque fois autour de ma queue qui le sonde. Je suis super excité et je passe à la vitesse supérieure en lui prenant ses cheveux en main. Sa longue chevelure blonde et lisse dans ma poigne est tirée, ce qui la fait se redresser. Elle ne s’y attendait pas ! Elle crie de surprise et elle ne gémit plus comme avant. Ses gémissements sont plus rauques et plus courts.Cela l’excite encore plus et j’entends ses cris de jouissance qu’elle a avant son orgasme. Je la pilonne, sans la besogner comme un dingue, mais je la baise bien à fond en la tenant fermement par les cheveux que je continue de tirer. Avec la caméra de mon portable qui filme toujours. Je prends mon pied, c’est quelque chose de fou ! Et je ne suis pas le seul !
— Ugh ! Ught ! Ught ! Ught !
Lorsque je la sens prête à exploser, je m’immobilise au fond de sa petite chatte et je prends une photo. Le coup de boutoir était vraiment bestial et cela déclenche son orgasme. Le fait d’entendre le bruit du déclencheur de la photo semble l’exciter davantage, car elle gueule plus fort en serrant encore plus les parois de son vagin autour de ma queue toujours aussi dure.
— oh... bébé. Tu me tues. Finit-elle par dire quand elle se calme.
Mais moi je ne suis pas mort.Je vais maintenant passer à ce que j’attends avec impatience. Je lâche ses cheveux et elle repose sa tête sur son lit. Je me retire de sa chatte et lorsque j’ouvre un nouveau sachet de capotes pour changer la mienne, elle comprend ce que cela veut dire. Je filme bien son petit trou que j’enduis de sa mouille. Je la prépare bien comme il faut, avec 1 puis 2 doigts, et je pose mon gland sur sa rosette entrouverte. Je commence à rentrer mon gland assez facilement et je fais une capture d’écran pour l’avoir en photo, puis je pousse.
Avec quelques va-et-vient, ma bite s’enfonce de plus en plus dans son anus et Émilie grogne.Putain qu’est-ce qu’elle m’excite ! Elle est super sexy quand elle se fait prendre le cul, ses grognements sont d’une sensualité à me faire cracher la sauce maintenant ! Quand je m’enfonce complètement dans ses entrailles, je suis sur un nuage, la fierté que je ressens est immense. Pourtant, ce n’est qu’une bite dans un cul, rien d’exceptionnel, mais quel cul ! Et celui de ma prof’ !
Je la baise et elle fait des vocalises. Des cris de douleurs au début, mais elle s’y fait rapidement et prend rapidement du plaisir. La pénétration n’est pas brutale, mais rapide et intense, ce qui fait qu’elle la sent passer, ‘ah !ah !ah !ah !ah !’.
Moi je ne vais pas tarder à venir...Je me retire, enlève le préservatif et je vide mes couilles sur ses somptueuses fesses...
Je prends encore tout ça en photo, et j’envoie tout ce que j’ai pu prendre de notre super levrette. Une baise comme je les aime avec de la bestialité maîtrisée et de l’intensité jouissive. Et ce n’est pas ma belle Émilie qui me dira le contraire.
— Humm... Bébé... C’était bon... T’es un sacré baiseur.
Je viens l’embrasser, nos langues s’enroulent érotiquement, c’est doux et sensuel.
— Donnez-moi votre queue »
Je ne vais pas dire non. Je lui pose mon sexe qui ramollit sur ses lèvres. Elle les ouvre et me prend le gland pour me le suçoter. Elle lèche mon frein, me prend bien le gland pour l’emprisonner et mettre de la pression avec ses lèvres. Elle s’y prend comme une reine. Émilie pourrait me faire bander une seconde fois et provoquer une deuxième éjaculation, cette fois-ci dans sa bouche, mais elle arrête sa pipe.
— Vous pouvez y aller. Me dit-elle avec un petit sourire.
Une dernière petite tape sur son cul rebondi à l’extrême et je rentre chez moi pour essayer de rattraper mon retard, ce qui va être impossible.
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Je suis à ma place, pour cette épreuve, attendant ce qui va m’arriver. Émilie arrive, elle distribue les sujets à tous les élèves de la salle. Les rappels sur les tentatives de fraude, qu’on a deux heures, que l’on peut sortir au bout d’une heure... Elle nous dit ‘bonne chance’ et part s’asseoir. Je ne vais pas manquer ça ! Elle grimace un peu quand elle touche le bois et doit se dandiner pour trouver une position où son anus est moins sensible. Je ne peux m’empêcher de sourire du fait qu’elle ait mal au cul après la superbe sodomie d’hier qui nous a fait jouir tous les deux. Mais ce sourire ne dure pas longtemps, car quand je lis le sujet, c’est moi, qui ai mal au cul...
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