Mon bac en poche, je suis à l’université depuis deux mois. Les semaines qui ont suivi ont été assez productives pour moi. J’ai revu Émilie une fois avant les résultats et deux fois après, jusqu’aux vacances de juillet où elle avait son fils. Lors de ce mois, on s’est beaucoup chauffé par message comme on a l’habitude de le faire durant nos quelques mois de relation. C’est qu’au mois d’août que l’on s’est revu. Vu que nous étions en vacances, je pensais qu’ on se verrait quasiment tous les jours, mais cette coquine n’a pas que moi dans sa vie sexuelle. Une confidente/sex friends dont elle m’a déjà parlé a eu la priorité et du coup, on se voyait qu’une seule fois par semaine. Des rapports toujours aussi intenses. Missionnaire, levrette, cowgirl, cuillère… Plus rien n’a de secret pour nous. Je sais exactement comment la faire jouir avec ma langue puis avec ma queue. La sodomie, on a eu un match retour où c’est elle qui s’est empalée sur mon dard. Ma semence a coulé à flots sur son corps. Sa poitrine, son ventre, ses cuisses, son fessier et même sa bouche. Seul son joli minois n’a pas eu ma peinture blanche. Mon entrée à l’université fut super. Dès le premier jour, j’ai baisé en levrette avec une jolie brune de ma promo. Lors des différentes soirées organisées par les associations, j’ai baisé à tout va. Il y a plein de jolies femmes qui recherchent un simple plan sexe. Dans le respect, bien évidemment, on s’éclatait comme des bêtes sans prise de tête. De mon côté, je continue de voir Émilie qui ignore toujours mon identité. On se voit toujours un mercredi sur deux comme l’année dernière. C’était toujours aussi bon, mais une chose commence à se passer. Une chose qui va tout remettre en question. La belle brune avec qui j’ai couché lors du premier jour, je l’ai retrouvé en TD. Nous avons sympathisé et nous sommes devenus des ‘amis’. On ne baise pas, mais après cette levrette dans les toilettes, il reste une tension sexuelle qui plane entre nous. On a appris à se connaître et l’on s’apprécie vraiment. Mais je ne la vois pas comme une amie, ni un plan cul régulier comme Émilie. Cette fille est vraiment spéciale. Peu avant les vacances, environ deux semaines avant, on s’est embrassés. Ce baiser n’a rien à avoir avec tous les autres que j’ai pu avoir dans ma vie… Vous vous rappelez quand je vous ai dit que j’avais des difficultés à faire confiance ? C’est cette raison pour laquelle je ne voulais pas me mettre en couple. Eh bien, là, je sens que je peux prendre un risque avec elle. Je décide donc de parler à Émilie, car à la rentrée, je passe à l’action. Je pourrais attendre de voir si elle veut vraiment qu’on soit un couple avant de ‘quitter’ Émilie, mais je trouve que ce n’est pas très clean. J’envoie alors un message à Émilie. [SMS, Émilie]> Bonjour, Émilie, je voudrais te parler de quelque chose d’important. Il y a quelques semaines, j’ai rencontré quelque qu’un. Je pense que je devrais essayer d’être en couple avec qu’elle, car je commence à avoir des sentiments… Je dois donc arrêter nos rendez-vous qui vont vraiment me manquer. < Je suis triste que notre liaison prenne fin. Vous m’avez apporté beaucoup de jouissance. Mais je suis heureuse pour vous, j’espère que vous aurez une très belle relation avec cette femme. Mais si cela est possible, j’aimerais avoir avec vous une dernière relation sexuelle. > C’est possible. Après ce que nous avons vécu, nous ne pouvons pas nous quitter de cette manière.< En effet. Et pour ces adieux, je ne me banderai pas les yeux. Je veux vous voir et vous entendre.> Vous êtes sûre ?< Oui mon inconnu. On se voit mercredi comme d’habitude ?> Oui, à mercredi… Merde ! Elle veut me rencontrer à visage découvert ! Mais comment je vais faire ? Bon, il faut que je me calme. Analysons la situation : Je me suis inscrit sur un site de plan cul sans photo ni mon vrai prénom. Cela m’a conduit à rencontrer une femme qui voulait avoir des relations sexuelles avec un homme mystère, sans rien savoir sur lui. Je me suis rendu compte que cette femme était ma prof de philosophie qui fut également ma prof de français pendant deux ans. Un vrai canon et mon fantasme d’adolescent qui accompagnait mes rêves quand je me masturbais le soir. Je ne pouvais pas passer à côté de ça. Notre relation de plusieurs mois va prendre fin et je vais avoir ma dernière baise avec Émilie qui veut voir qui je suis en vérité. Donc mon identité qu’elle connaît déjà en tant qu’ancien élève. Comment va-t-elle réagir ? Me jettera-t-elle à la porte ? Insulte, honte, déni ou alors cela ne la gênera pas… Après ce qu’on a vécu, elle pourrait passer à côté de ça.
***************************************************************** Le mercredi arrive vite. Je me rends pour la dernière fois de ma vie dans cette belle maison. Je sonne puis entre. J’attends quelques secondes dans l’entrée même si cela ne sert plus à grand-chose maintenant… Je monte doucement les escaliers, mon cœur est à la limite de la crise cardiaque. Je rentre en toquant dans sa chambre et elle se retourne vers moi… nue ! — Ahhh ! Jérémie ! Mais qu’est-ce que… (elle se cache les seins et son sexe) Oh mon dieu !— J’imagine que vous ne voulez plus de cette baise d’adieu… maintenant…— Attendez...attendez… C’était vous depuis le début… Mon Dieu, si j’avais su… Toutes ces fois où nous nous voyons au lycée et en fait vous me… Mais attendez une minute ! Quand vous avez raté votre épreuve blanc car vous aviez autre chose à faire, c’est quand vous…— Quand on a fait notre première sodomie, oui…— Je n’y crois pas… Vous vous êtes bien foutu de moi pendant toutes ces semaines…— Non, je vous je le jure ! Vous êtes une femme sublime et un de mes plus grands fantasmes ! Alors quand j’ai eu cette possibilité, je l’ai saisi. Mais à aucun moment, je ne vous ai manqué de respect, ça, je peux vous l’assurer.— Venez par là… Je m’approche d’elle et elle m’embrasse passionnellement. — Mettez-vous tout nu, nous avons des adieux à nous faire— Alors, vous ne m’en voulez pas ?— Après ce que nous avons fait ensemble, je pense que je ne peux pas vous en vouloir. C’est con, mais je suis revenu au vouvoiement avec elle alors qu’en message, je lui dis ‘tu’. Mais là, je n’ai pas l’impression d’être sur le point de baiser Émilie la femme, mais madame Réveillard, mon ancienne prof. alors le ‘vous’ ça rajoute de l’excitation à la chose. Une fois nu, elle se met à genoux et commence par me sucer la bite. Elle me lance des regards de braise et c’est vraiment autre chose que quand elle avait les yeux bandés. Ses lunettes sont posées sur son joli petit nez, ses yeux marron ne me lâchent pas du regard et ses mèches blondes viennent recouvrir son œil gauche par-dessus le verre de ses lunettes. Cela la rend vraiment sexy et sa fellation est divine. Elle me prend en profondeur dans sa petite bouche, sa petite langue torture mon gland et sa main me branle. Cette pipe dure trois-quatre minutes avant qu’elle ne se mette sur le lit. Je ne me fais pas prier pour plonger ma tête entre ses cuisses. Je la lèche comme je sais le faire si bien avec elle. À plusieurs reprises elle a des mouvements de recul, ce qui montre que son point sensible est touché. Son ventre tremble, ses mains me caressent les cheveux, ses couinements montent dans les aigus et elle finit par jouir. Je prends un préservatif dans mon sac, mais elle m’arrête. — Pour cette fois, on n’en aura pas besoin. Elle se cambre en levrette et je viens la pénétrer. Elle gémit des ‘oh oui bébé’ et je la pilonne. Je suis super excité et mes coups de bassin sont rapides. Je lui claque une fesse et elle crie de plaisir, me demandant de continuer. Mes mains caressent son cou avant de passer sur son ventre pour remonter prendre ses gros seins en forme de poire. Ce bonnet C bien dans mes paumes, je pilonne vigoureusement Émilie à ce moment-là. Les ‘paf!paf!paf!paf !’ de la chair, résonnent dans sa chambre avec ses ‘Ah ! Ah ! Ah ! Ah !’. Je viens ensuite prendre ses cheveux pour les tirer, elle n’en finit plus de gémir. - Han ! Han ! Han ! Oui bébééééé ! Baise-moiiiiii ! Jérémyyyyyy ! Oh ouiiiiii… Le fait qu’elle prononce mon prénom m’excite à mort. J’enroule bien ses cheveux autour de ma poigne et tire plus pour bien la faire cambrer. - Vous l’aimez ma bite Émilie ? Vous aimez quand je vous fais jouir ?— Ooohhhhhh ! Ouiiiiiii, j’aime çaaaaa ! Ouiii ! Ugggggghst ! Je me retire et elle s’écroule sur son lit après cet orgasme. Je lui laisse le temps de reprendre ses esprits et elle encaisse plutôt bien, car après seulement deux petites minutes, elle vient s’empaler sur ma queue et se déhancher comme une folle. Mes mains malaxent ses beaux nichons, les parois de son vagin massent mon sexe, elle me fixe du regard en gémissant et en se mordant la lèvre inférieure. Elle est bestiale et sensuelle à la fois. Je me redresse pour qu’on se retrouve assis, les jambes repliées contre le dos de l’autre, nos sexes toujours encastrés. On remue et on s’embrasse en profitant de cette petite position faite pour les couples vu la proximité des visages, des corps et le fait qu’on est naturellement obligé de se câliner. Ses bras sont autour de mon cou et elle n’arrête pas de faire tournoyer sa langue contre la mienne, dans ma bouche. On finit par faire l’amour avec le classique missionnaire de nos débuts. La pénétration est lente, mais profonde, douce, mais intense. J’ai l’impression d’être ce fameux jour où je l’ai pénétré pour la première fois de ma vie. J’accélère le mouvement et elle gémit, halète… puis couine. Une nouvelle fois, elle jouit dans un très mignon ‘hannnn’ avec le visage crispé. Je continue de la pénétrer, mon pénis est à bout, la sève monte et je vais bientôt partir. — Émilie… Je vais jouiiiiir !— Jouis dans ma chatte ! Pour la première fois, elle me tutoie. Pour la première fois, je jouis dans son vagin si chaud et tellement agréable à pénétrer. Mon sperme gicle et frappe plusieurs fois son utérus, alors que mes lèvres embrassent les siennes. Quand mon éjaculation se termine, que sa chatte, qui palpite encore, est remplie de mon sperme chaud, mes lèvres se décollent doucement des siennes et je sens, le cœur gros, que notre relation particulière prend fin…
