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Relation toxique

Chapitre 14

Cauchemar carcéral (partie II)

Lesbienne
Une bruyante sonnerie au timbre métallique se fit entendre dans les aires communes du pénitencier.
— Bien, c’est l’heure de la douche, annonça Curly Jo. Tu me suis et tu la fermes ! Je vais te présenter à ma petite gang de salopes.
À l’intérieur des murs de céramique froids qui habillaient les installations sanitaires communes, une douzaine de détenues, la plupart ne dépassant pas la mi-trentaine, firent leur apparition, toutes à poil, devant la pauvre nouvelle qui accompagnait la boss de l’unité B.
— Salut, les filles, je vous présente Alicia, fit-elle en poussant celle-ci au milieu du groupe de gouines qui la regardaient déjà avec des yeux pleins de convoitise. Je l’héberge dans mon appart’ pour un bout.
À peine la jeune femme eut-elle le temps de le réaliser, une multitude de mains fébriles se mettaient à explorer les méandres de son athlétique corps dénudé qui, parmi les gougnottes présentes, faisait déjà mouiller d’envie les plus perverses d’entre elles.
— Wô, wô, les cocottes ! la boss les modéra-t-elle. C’est pas un joujou. Cette fille est sous ma protection, et elle m’a promis d’être bien sage et soumise. C’est une toubib célèbre, donc pas question de la maganer.— Ouais, mais si elle décide de regimber ? demanda une des filles présentes.— C’est pour ça qu’on va immédiatement prévoir nos dispositions. Approche, ma belle.
Saisie des bras par deux autres détenues, Alicia se vit violemment contrainte de s’incliner vers l’avant et d’écarter les jambes. La tête immobilisée par un autre membre du groupe, elle ne vit pas approcher Curly Jo, un énorme gode à la main.
— Hey, qu’est-ce que vous faites ? voulut s’opposer la fille qui, les fesses maintenant écartées, se sentait désagréablement agressée dans son intimité.— Ne bouge pas, répondit la boss. On veut juste savoir avec quel gode on va t’enculer si tu n’es pas obéissante. Hum, il semble gros celui-là. Ne serre pas trop ton anus, cela pourrait être douloureux.— Aïe, ça fait mal ! Arrêtez, s’il vous plaît ! supplia-t-elle aux autres la recrue alors qu’elle sentait un nouveau crachat visqueux dégouliner sur sa rondelle assaillie. Je vais être sage, je vous le promets !— OK, les filles, je crois qu’elle a compris. Maintenant, qui voudra l’essayer la première ? demanda finalement la leader du groupe.
Comme ces mots étaient prononcés, une alarme au son de grognard se mit à résonner dans le bâtiment.
— Merde, juste comme on commençait à avoir du fun !— Allez les filles ! intervint l’agente correctionnelle qui avait jusque-là assisté à la scène sans broncher. Allez continuer votre show à l’extérieur !

Inlassable, l’alarme sonore se fit entendre, encore... encore... encore...Sortant en sursaut de son sommeil, Alicia mit fin au supplice auriculaire auquel la soumettait depuis plusieurs secondes son réveille-matin.
— Oooh, quel cauchemar ! se dit-elle en se frottant les yeux et en se pinçant les mamelons afin d’avoir la certitude d’être bien reconnectée à la réalité.
Profondément troublée par le songe, Alicia se prépara en vitesse et se précipita en direction de l’hôpital afin d’y rencontrer son patron.
— Docteur Gauthier, je tiens à vous dire combien je suis désolée de vous avoir insulté en vous qualifiant d’abruti de fonctionnaire la veille du débranchement de Sophie, lui dit-elle en lui prenant la main. J’étais très émotive à ce moment et mes paroles ont dépassé ma pensée.— Pas de problème, chère Alicia. Je comprends et ne t’en veux aucunement. Ça a d’ailleurs été une leçon pour moi. Je devrai mieux évaluer les choses à l’avenir plutôt que me hâter à accorder des autorisations. Et je suis heureux concernant ta copine. On me dit qu’elle manifeste de plus en plus de signes de réveil.— Oui, c’est encourageant. Quant à moi, j’ignore comment les choses vont se passer.— Prends courage. J’ai mentionné à ton avocat que j’étais disposé à témoigner en ta faveur si cela pouvait être utile, lui annonça le sexagénaire.
Le procès fut court et expéditif, la simplicité et l’évidence de la preuve établissant de façon déconcertante la culpabilité d’Alicia. Affichant un visage d’une sévérité peu rassurante, le juge ne sembla pas, de surcroît, porter crédit à la version de la défense qui prétendait que l’accusée ignorait tout du contenu de l’instrument ayant servi à empoisonner la victime.Ce fut donc la mort dans l’âme qu’Alicia sortit de la salle d’audience accompagnée de son avocat, convaincue qu’aux prochaines assises serait officiellement prononcé contre elle le terrible verdict de culpabilité de meurtre sur la personne de Louise-Josée Fortin.
***
— On ne vous avait pas dit que vous deviez aussi ouvrir mes mails en mon absence, Mademoiselle Virginie ?François Gauthier, le directeur médical de l’hôpital Honoré-Mercier, effectuait ce matin-là une de ses rares visites à son bureau habituel. Intensément absorbé par son rôle intérimaire de responsable de l’unité des Soins intensifs, l’homme réprimandait la jeune et nouvelle secrétaire envoyée par l’agence de placement, à qui il avait confié ses tâches routinières.
— Je suis désolée, Docteur, répondit la jeune femme de vingt-trois ans. C’est un bête oubli de ma part.
Se tenant sévèrement devant sa nouvelle employée, le médecin tenait en mains un document qui semblait le préoccuper au plus haut point.
— Ce courriel qui a échappé à votre attention est d’une extrême importance, fit remarquer l’homme en adressant un regard réprobateur à la femme visiblement mal à l’aise. Vous auriez dû m’en informer dès son arrivée !
À ces mots, la pauvre fille s’était mise à rougir malgré elle, colorant sa fine peau de pêche délicatement mise en valeur par le port d’une minirobe de coton bleu pastel suspendue aux épaules par de fines bretelles. D’autre part, la coupe osée du vêtement porté par celle qui avait encore tout d’une gamine exposait d’une façon provocante des cuisses juvéniles lorsqu’elle était assise, ce que ne manqua pas de remarquer son patron.
— Je suis vraiment navrée, Docteur Gauthier, miaula l’ingénue qui, en agitant légèrement la tête afin de chasser les longs cheveux noirs qui couvraient son visage, se levait en direction de l’homme. Je suis un peu gaffeuse. Comment pourrais-je me faire pardonner ?— Vous êtes très belle, vous savez ? fit l’autre dont l’attention était de plus en plus attirée par les charmes qui se dressaient devant lui.— C’est ce qu’on me dit. Cela compenserait pour mes incompétences, semblerait-il, répondit la femme aux yeux d’émeraude.
Impuissant face au geste, le directeur laissa sa secrétaire se coller contre lui, un début de réaction physiologique se manifestant dans son pantalon.
— J’ai un petit faible pour les hommes mûrs, c’est fou, n’est-ce pas ? J’aime me frotter sur eux comme s’ils étaient mon père.
Inconsciemment, le mâle qui se réveillait chez l’homme de soixante-trois ans enlaça la fille qui avait déposé la tête sur son épaule.
— Et toi tu me rappelles ma fille, enchaîna celui qui soudainement se souvint de vieux fantasmes d’inceste non réalisés.
Les mains de l’homme se mirent doucement à parcourir ce petit corps qui semblait brûler de désir pour lui. La fille devenue silencieuse leva la tête puis offrit ses lèvres à la convoitise dont elle était maintenant l’objet.Retrouvant la fougue de ses vingt ans, l’homme saisit la jeune femme par les hanches et la fit retourner dos à lui, la faisant s’appuyer sur sa table de travail. Lentement, il abaissa la fermeture-éclair au dos de la minirobe et en glissa à l’intérieur les mains pour y peloter directement, en l’absence de soutif, deux petits seins d’ado qui pointaient déjà d’excitation.
— Vos mains sont chaudes, Docteur, c’est bon !
Réagissant aux langoureux trémoussements de la jeune, le veuf passa à l’étape suivante. Remontant ses mains le long des cuisses de la fille qui demeurait toujours appuyée sur la table, il souleva sa courte robe pour finalement se rendre compte que :
— Mais Virginie, vous ne portez pas de culotte ?— Seulement pendant mes règles, Docteur.
De chauds baisers furent distribués dans le cou de la jeune pendant que ses fesses se faisaient délicatement caresser par cet homme qui ne pouvait plus résister au désir de s’approprier entièrement cette nymphette qui s’offrait à lui.
— J’aimerais rester vierge, si c’est possible. Prenez-moi si vous le désirez, mais par l’autre entrée seulement.— Tu ne veux pas...?— Les clients des bureaux vers lesquels m’envoie mon agence me prennent tous par voie anale. C’est mon plaisir et mon désir. Je réserve mon choix quant à qui me prendra ma virginité.
Devant l’hésitation de l’autre qui semblait peu adepte de la méthode grecque, la jeune secrétaire reprit :
— Je traîne toujours des capotes et du lubrifiant dans mes affaires. Vous n’avez qu’à fouiller dans mon sac, compléta celle qui exposait fièrement ses globes à peine charnus devant son patron.
À celui qui conclut que sa jeune subalterne était on ne peut plus prévoyante, elle ajouta :
— Utilisez aussi un des godes que vous y trouverez pour me préparer, si votre bite est trop grosse.
L’anus maintenant bien lubrifié, le sex-toy se fit relativement bien enfiler par le vieux médecin qui avait d’abord pris soin d’explorer, à l’aide de deux doigts, le délicat cul de la jeune. Quelques va-et-vient de l’instrument suffirent à compléter la préparation de la jeune femme à une nouvelle et agréable sodomie.L’homme poussa délicatement son membre viril protégé au plus profond des fesses de celle qui soupira au même instant de douleur et de satisfaction.
— Ça va, Mademoiselle ?— Oui, et c’est bon ! soupira de nouveau la jeune enculée. Poussez bien à fond, Docteur, j’aime ça !
Un pilonnage effréné s’ensuivit, l’homme semblant apprécier, autant que la fille, ce moment intense de perverse intimité.
— C’est bon, c’est bon, c’est bon ! Encore ! Encore ! Encore, Docteur, défoncez-moi, je vais jouir !
Presque à bout de souffle, l’homme éjacula longuement dans son condom, ralentissant à peine ses mouvements dans le derrière de la jeune femelle qui haletait son orgasme.
— Donnez-moi votre capote, demanda-t-elle ensuite à l’homme ayant effectué son retrait, avant de se mettre à en sucer le contenu qu’elle avala goulûment.— Tu aimes le goût du sperme ? s’étonna l’autre.— J’adore ! s’enthousiasma la jeune. La semaine dernière, j’ai vécu un gang bang non protégé chez un autre client. Celui-là m’avait prise en compagnie de ses cinq associés ainsi que de son adjointe administrative. C’est fou comme une bite bien bandée glisse facilement dans un derrière lubrifié au foutre ! Comme les mecs m’avaient tous enculée sans condom, j’avais ensuite demandé à la nana de bien me sucer la rondelle, à la suite de quoi elle m’avait fait goûter, en me roulant une pelle, à toutes les semences mélangées. C’était sublime !
Le Directeur se rhabilla. Voyant le temps passer, il se vit brusquement reconnecté aux priorités de l’heure :
— Merde ! Je dois immédiatement remettre ce mail à l’avocat de Docteure LeBel !
(À venir: Le courriel oublié)
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