Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 16 J'aime
  • 9 Commentaires

Relation toxique

Chapitre 18

Thérapie incestueuse (partie II)

Inceste
 C’est avec un optimisme modéré que Sophie avait accueilli, de la part de sa mère Jasmine, l’idée d’un massage thérapeutique :
 -J’veux ben croire qu’un massage aux huiles m’aidera sans aucun doute à me détendre, confia-t-elle à sa conjointe Alicia, mais quant à savoir si ça pourrait contribuer à restaurer toutes mes années de mémoire perdues... -Tu devrais faire davantage confiance à ta maman, lui conseilla l’autre en caressant doucement une chevelure de feu qui ondulait nonchalamment jusqu’aux épaules de son amoureuse. Tu sais très bien comme moi que ta psycho-sexologue de mère a plus d’un tour dans son sac et dispose de méthodes tout à fait particulières. Je me souviens très bien d’une fois où elle était venue en aide à une pauvre jeune femme alors que celle-ci était aux prises avec d’impérieuses pulsions masochistes. Afin de mieux la diagnostiquer, elle l’avait forcée dans une simulation BDSM en compagnie de ma mère (Nda: lire ’Le Village en folie’).
 Sans la nommer, Alicia faisait évidemment ici allusion à Catherine Blondin, cette jeune infirmière que le couple de tourterelles avait connue au Resort de StoryX Island, mais dont Sophie n’avait plus maintenant aucun souvenir, la Catherine Blondin dont elle avait fait récemment connaissance au sortir de son coma à l’hôpital n’étant pour elle rien d’autre que la nouvelle soignante l’ayant prise en charge.
 -Je n’ai pas de pulsion masochiste ni de besoin de me soumettre à une séance BDSM pour le moment! répondit Sophie à la blague. Mais bon, vu le ton avec lequel Maman m’a parlé hier, j’ai l’impression de ne pas avoir tellement le choix.
 Alicia lui adressa tendrement un sourire. Ce faisant, elle descendit inconsciemment sa main dans le dos de l’autre jusqu’à toucher ses fesses, geste qu’arrêta aussitôt la rouquine:
 -Hé là, stop! Mais quelles sont ces manières, Mademoiselle Alicia? -Désolée, Sosoph, c’est parti tout seul.
  Celle aux cheveux noirs se tourna face à sa ’fiancée’:
 -Je fais tous mes efforts, ma biche, pour m’adapter à ta situation. Crois-moi, c’est pas toujours évident! -Je sais, minou, que tu le fais pas exprès. Et je te remercie de respecter ma condition. Si tu savais comme je voudrais que tout cela soit différent! ajouta-t-elle en étouffant un sanglot dans l’épaule de sa protectrice.
 Tendrement et en silence, Alicia lui tapota le dos et essuya la larme qui perlait sur une joue rosée encore parsemée de quelques taches de rousseur. De nouveau elle enlaça son amoureuse.
 -Je te demanderai une chose, par contre, ma belle. Quoiqu’il se passe ce soir, garde confiance. Ta mère t’aime comme moi, et elle a toujours su ce qu’elle faisait. -J’comprends pas tout à fait, minet. Qu’essaies-tu de me dire au juste? -Quoiqu’elle te fasse, ne bronche pas et ne pose pas de questions. Fais-lui confiance et ce, quoi que tu puisses penser!
  Sophie mit fin à l’étreinte, ses yeux exprimant maintenant une certaine appréhension: 
 -On parle bien d’un massage, n’est-ce pas? -Ce que je te demande, fais-le parce que je sais que tu me fais confiance également. -J’ai toujours eu confiance en vous deux. De fait, toi et Maman êtes les seules en qui j’ai vraiment toujours pu me confier. -Je penserai à toi, et toi tu penseras à moi, conclut Alicia en offrant ses lèvres à sa copine pour un autre chaud et langoureux baiser.
 
***
 Vingt heures trente. Alors que Sophie se prélassait nonchalamment dans son bain, Alicia, de son côté, avait soigneusement mis la touche finale aux préparatifs de la chambre habituellement consacrée aux ébats amoureux des deux lesbiennes. Une douce musique enveloppait la pièce alors que quelques lampions laissaient émaner de subtiles fragrances, le tout invitant les éventuelles occupantes des lieux à la détente. Satisfaite du résultat, la femme tamisa la lumière et attendit l’arrivée de sa compagne et de sa belle-mère. Jasmine se présenta la première, inspecta rapidement les lieux et déposa ses effets.
 -Une fois qu’on aura commencé avec Sophie, prévint-elle Alicia, il faudra aller jusqu’au bout, sinon on risque de rendre sa condition pire qu’avant en plus de devoir dire adieu à sa confiance envers nous.
  À pas feutrés, Sophie se présenta à son tour dans la pièce, affichant un sourire plus ou moins assuré.
 -Comment te sens-tu, ma puce? demanda Jasmine à la petite rouquine comme cette dernière s’avançait dans la pièce. -Bien, je crois. L’eau était chaude et m’a bien détendue.
 Comme recommandé, Sophie, dont le corps exhalait l’agréable senteur du talc pour bébé, était vêtue de son peignoir de coton bleu poudre dont elle se défit timidement devant sa mère et sa copine avant de s’allonger en ventrale sur le lit Queen, ne portant plus alors que deux légères pièces de vêtement dont un discret soutif fait d’une soie d’un bleu un peu plus prononcé. Le J-string, de soie également, qu’elle portait était de couleur assortie et laissait voir deux fesses veloutées, légèrement charnues et arborant des lignes de bikini osées, la droite étant délicatement ornée d’un tatouage de quatre centimètres représentant un papillon aux couleurs rouge et verte. Alicia s’approcha du lit et apposa un baiser sur la joue de l’autre fille avant de la recouvrir pudiquement de son peignoir et de cacher ses yeux à l’aide d’un masque de nuit.
 -Pourquoi le masque? Je n’ai pas envie de dormir! s’étonna la jeune. -C’est pour t’aider à relaxer, chère, répondit sa mère, il ne faut pas que tu sois distraite par ce que tu pourrais voir. -Tout ce que je peux voir, pour le moment, c’est mon oreiller! -Pas de discussion, j’ai dit, petite puce! C’est moi qui dirige ce soir, fit entendre Jasmine d’une voix plus autoritaire alors qu’elle-même achevait de se préparer.
 Ne portant plus qu’une culotte-bikini, la femme approchant la quarantaine monta à son tour sur le lit, chevauchant à genoux sa progéniture à la hauteur du bassin.
 -Bon, je vous laisse, annonça Alicia en s’éloignant du couple mère-fille dont un membre ignorait tout de l’acte incestueux qui était sur le point de se produire. -Non, Ali, reste! J’aimerais que tu restes, ça me rassurerait de te sentir près de moi, l’implora Sophie.
 Heureuse d’entendre cette requête qu’elle espérait de tout cœur, la fille reprit sa place à la tête du lit et caressa de nouveau la rousse chevelure de sa bien-aimée. Exprimant un léger soupir de nervosité, Sophie sentit son peignoir s’envoler alors que de douces mais énergiques mains entreprenaient d’oindre d’huile et de dorloter des muscles dorsaux trop longtemps laissés dans l’inactivité.
 -Hum, c’est bon, Maman. Ça détend, ça fait du bien! marmonnait dans son oreiller l’ingénue alors qu’elle sentait la douce chaleur exprimée par des mains maternelles imprégner son épiderme sensible ainsi que sa musculature affaiblie par un mois d’alitement à l’hôpital. -Je détache ton soutif, chère, l’avertit la thérapeute comme Sophie sentait son vêtement se faire légèrement tirailler. -Hum-hum, approuva tout bas celle qui était maintenant bercée par les mouvements de massage de l’experte en sexologie.
 Légèrement obnubilée par la douceur des mains qui couraient sur son corps, Sophie eut à peine conscience du pelotage dont ses fesses faisaient maintenant l’objet.
 -Hum-hum, c’est bon, Maman. C’est doux. C’est chaud.
 C’est à partir des instants suivants que les manœuvres revêtirent un aspect plus critique :
 -Lève-toi sur les genoux à présent, que je te fasse les cuisses.
 Sophie s’exécuta, gardant toutefois la tête appuyée sur l’oreiller, présentant ainsi inconsciemment à sa mère une aguichante pose sexuelle. Une fois les quadriceps chaudement traités, Sophie sortit soudainement de sa torpeur comme elle sentait sa petite culotte lentement tirée vers le bas. S’exposèrent ainsi à la vue de la mère qui sentait maintenant une chaude cyprine envahir son unique vêtement un sexe juvénile ainsi qu’un petit trou du cul d’où s’échappaient, malgré le bain récent de la jeune fille, de subtils et enivrants effluves poivrés.
 -Ali, qu’est-ce qu’elle fait? lui demanda alors tout bas Sophie. Elle est en train de me sentir le derrière! Je sens son nez sur... sur mon petit trou! -Laisse-toi faire, mon poussin, intervint celle qui s’apprêtait à procéder à la ré-initiation sodomite de sa fille, tout va bien! -Non, Maman, je ne veux pas! Remonte ma culotte, s’il te plaît. Pourquoi tu fais ça? -Écoute bien, ma fille! Tu as vingt-deux ans et tu dois accepter le fait que lorsque tu en avais dix-huit, je t’ai vue complètement nue et qu’Alicia t’a vue complètement nue aussi!
 Jasmine compléta avec une phrase donnant à sa fille une très bizarre impression de déjà entendu :
 -Ne résiste pas, Sophie, abandonne-toi à moi. Je ne fais qu’éveiller de nouveaux sens chez toi.
 Sur le point de paniquer, Sophie amorça un geste afin de retirer son masque. Alicia retint cependant son mouvement :
 -Écoute-moi maintenant, Sophie, lui ordonna-t-elle d’une voix douce mais ferme. Laisse faire ta mère. Tu DOIS nous faire confiance! M’entends-tu? Fais-nous confiance.
 Sophie frissonnait d’inconfort, se sentant maintenant à la merci des deux femmes qui l’entouraient. Elle fit malgré tout le choix de rester calme et docile. Ne voulait-elle pas elle aussi mettre fin à cette foutue amnésie et vivre pleinement le temps présent? Oui, elle en avait été bien avertie : quoiqu’il arrive, elle devait faire confiance. -Prends ça cool, ma fille, se dit-elle intérieurement. Elles font ça pour ton bien. Elles font ça pour ton bien! Il ne tarda point davantage que la fille vit par la suite son intimité se faire agresser d’une façon encore plus cavalière. Après avoir senti l’excitant souffle de sa mère rafraîchir sa région anale, voici qu’une langue chaude et frétillante semblait maintenant vouloir en fouailler les profondeurs, deux mains maternelles gardant bien écartés les ballons rosés de celle qui allait bientôt connaître à nouveau les joies de la sodomie.
 -Elle... Elle me lèche la... la rosette, minet! C’est pourtant pas par là qu’on réintroduit les souvenirs! fit-elle à la blague. -Cesse de dire des bêtises, l’intima Jasmine. Détends-toi et concentre-toi plutôt sur ce que tu ressens. -Mais Maman, pourquoi tu me fais ça? Pourquoi mon anus? -Tu dois rester vierge pour Alicia. Voilà pourquoi, ma puce.
 Cette dernière réplique servie par sa mère quatre ans après les premiers événements sonna comme un tonnerre dans l’esprit de la jeune fille. Telles des feuilles mortes soudainement soulevées par un vent impétueux, des bribes de souvenirs lointains se mirent à virevolter devant les yeux clos et masqués de la jeune femme. De courtes mais fulgurantes phrases se restaurèrent ainsi dans sa mémoire défaillante comme elle sentait maintenant le gode-ceinture dont s’était ceinte Jasmine cheminer lentement et douloureusement dans ses entrailles: Laisse-toi aller... Pousse fort du ventre... Sens l’instrument te pénétrer... Ces courtes directives reprenaient graduellement leur place dans la mémoire de celle qui, presque sans s’en rendre compte, avait commencé à stimuler son clitoris sous le regard attentif d’Alicia. Le coït était maintenant complet, la mère de Sophie ayant doucement amorcé ses mouvements de va-et-vient au plus profond de l’intimité de sa fille. Sophie haletait maintenant de façon de plus en plus ostensible, sentant ses mamelons durcir, sa cyprine dégouliner sur ses cuisses et un filet de bave couler sur son oreiller.
 -Ali, Ali, dis-moi ce qui est en train de m’arriver? Je me sens toute drôle...
 Des cris plaintifs témoignant d’un plaisir évident se firent bientôt entendre comme la rouquine s’affaissait sur le matelas, en proie à une jouissance extrême qui la tétanisa. Satisfaite, Jasmine se retira doucement de l’orifice anal encore légèrement contracté par l’orgasme de sa fille et, chevauchant toujours celle-ci, se rassit sur les talons. Silencieusement, elle échangea avec Alicia un regard complice de satisfaction. Quelques minutes passèrent.
 -Ça va, ma puce? demanda la mère de Sophie.
 Alicia se pencha sur son amoureuse et lui baisa tendrement la joue, sentant sur la sienne un souffle calme et profond qui semblait maintenant vouloir s’agiter.
 -Ça va? répéta-t-elle à son tour en retirant délicatement le masque qui couvrait ses yeux.
 Une longue plainte semblant venir droit du cœur de la jeune amnésique déchira soudain la pièce alors que Jasmine et Alicia virent la jeune femme éclater en sanglots.
 -Ma promesse! s’écria Sophie en déversant ses larmes. Oh minet, pardonne-moi, je suis tellement confuse! Je t’en prie. Je suis tellement désolée!
 C’était en effet dans une orageuse restauration de souvenirs remontant en rafale à la surface de sa mémoire que la fille venait de revivre dans son esprit toutes les expériences incestueuses vécues avec ses parents quatre ans auparavant, soit tout juste avant ses noces avec Alicia (Nda: lire ’L’Envol des tourterelles’). Activités qui, lui ayant ainsi fait rompre une promesse de chasteté conclue avec sa fiancée, lui avaient à l’époque causé d’amers regrets. Alicia comprit. Sentant elle-même sa gorge se serrer, elle se rappela à son tour les vives remontrances qu’elle avait servies à sa jeune épouse le soir-même de leur union maritale.
 -C’est fini, ma biche! C’est de l’histoire ancienne, tout ça. Bien sûr que tout cela a été pardonné! Je t’aime! -Oh chérie, c’était affreux, et soudainement tellement clair dans mon esprit. J’ai revu tous ces événements comme si ça s’était passé hier!
 La jeune femme se tourna vers sa mère toujours ceinte de l’instrument ayant servi à revivifier ses souvenirs, retrouvant un semblant de sourire :
 -Merci, Maman! Merci, merci! Tu me surprendras toujours avec tes méthodes bizarres. -L’important, fit l’autre en se défaisant de son gode-ceinture, c’est qu’elles donnent des résultats! -Et tu es toujours aussi belle qu’il y a quatre ans! ajouta coquinement la rouquine en matant la nudité de sa mère. -Je t’en prie, mon bébé! ajouta Jasmine en rougissant à son tour. Tiens, cela vous appartient, en passant, fit-elle en tendant l’objet à sa fille. -Mais... c’est le gode que tu nous avais offert en cadeau pour notre mariage? s’étonna Sophie. -Tout à fait! Suggestion de ta tendre moitié pour la petite séance de ce soir.
 Sophie se tourna vers Alicia qui, souriante à son tour, haussa simplement les épaules, avouant ainsi sa complicité dans la tenue de l’opération que venaient de vivre les trois femmes.
 -Gros minet! sembla la réprimander l’autre. Laisse-moi te dire... te dire.... à quel point je t’aime et que j’ai présentement... une folle envie de toi!
 Les deux gouines sautèrent au cou l’une de l’autre et s’embrassèrent dans une passion renouvelée.
 -Mon amour, ma belle biche, moi aussi je t’aime!
 Alicia se tourna finalement vers sa belle-maman:
 -Euh... Vous permettez, Jasmine? -Mais bien sûr, mes belles! Je vous laisse. Et amusez-vous bien!
 S’étant rhabillée en vitesse, Jasmine quitta la pièce et referma doucement la porte. Toujours souriante, elle essuya à son tour une larme sur son visage. (À venir: Souvenirs perdus, souvenirs ardus)
Diffuse en direct !
Regarder son live