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Relation toxique

Chapitre 21

De nouveau dominée, à nouveau libérée

SM / Fétichisme
— Allez, tu sais que je ne suis pas patiente ! Toute nue et en position d’attente !
Paralysée sur son lit, Sophie ne bougeait plus, sidérée de revoir ainsi sa Maîtresse.
— Grouille, sinon c’est ma cravache qui te parlera !
Sans dire un mot, la jeune fille s’exécuta. Au son discret mais impatient des claquements de l’instrument sur les mains d’Evnika, Sophie se dévêtit promptement et prit position sur le sol, assise sur les talons, exposant ingénument un sexe rouquin entre des cuisses ouvertes à soixante degrés, la poitrine projetée vers l’avant et la tête redressée. Pour compléter sa présentation d’esclavage, elle déposa finalement les mains sur les cuisses, paumes vers le haut et fixa humblement le sol des yeux.
— Hum, pas mal, approuva l’autre en passant doucement son outil de punition sur l’épiderme rosé de la fille. Je vois que tu n’as pas perdu les notions que je t’ai inculquées !
Après avoir tapoté son mamelon gauche qui, sous l’action de l’instrument, s’était rapidement mis à pointer, la femme qui se présentait de nouveau avec des cheveux coupés court et teints en vert interrogea sa soumise:
— Qu’as-tu fait de l’anneau dont je t’avais fait cadeau, petite pute ?
Aucune réponse ne vint. Constatant non sans fierté que sa jeune dominée avait parfaitement bien retenu toutes ses leçons, elle ajouta :
— Je t’autorise à parler, tant que je ne te l’interdirai pas.— Je l’ai égaré... Maîtresse. Je suis désolée.
Un bruit sec accompagné d’un pincement aux fesses se fit entendre suite à cette réponse.
— C’était le symbole de mon affection pour toi, Miss Slash, et tu dis l’avoir égaré, simplement, comme ça ?— Il a disparu... pendant mon hospitalisation ! laissa tomber la rouquine en retenant un sanglot.
Appelée en renfort par la mère de Sophie, la redoutable tortionnaire de la dernière histoire des tourterelles venait ainsi de refaire son apparition (Nda: lire ’Trahisons, ou le Retour de la Grande’). La grande Scandinave représentait en effet pour l’entourage de la femme de vingt-deux ans son ultime espoir de voir cette dernière affronter avec davantage de discernement et de sérénité la dure réalité à laquelle elle venait d’être à nouveau confrontée. C’était donc avec cette singulière mise en scène montée de toute pièce que la dominatrice espérait ramener son ancienne soumise et protégée à la raison.
Sophie, quant à elle, ignorait tout du motif de la présence de sa Maîtresse. Et de toute façon, rien pour elle n’avait plus d’importance. La Grande Evnika se tenait à présent devant elle et Sophie lui devait soumission et obéissance. Point. Sans réfléchir. Sans poser de question. La petite rousse avait bien été entraînée et savait comment répondre aux ordres qui lui étaient adressés. De plus, la présence de l’ancienne tortionnaire qu’elle avait auparavant connue au Brésil lui apportait un double réconfort. Un, Sophie aimait sa Maîtresse d’un amour inconditionnel, lui ayant toujours été fidèlement dévouée, d’autant plus que cette dernière l’avait déjà épousée devant tout son harem, la gratifiant ainsi de tout pouvoir sur les jeunes filles qui lui avaient du même coup été assujetties. Deuxièmement, le total abandon de soi que lui imposait la présente situation la forçait à mettre temporairement de côté son apitoiement, libérant ainsi son esprit de tout fardeau en lien avec les derniers événements.
Défiant toute prévision, donc, la Scandinave avait temporairement renoué avec son terrible passé dans l’unique but de venir en aide à cette jeune fille qui l’avait naguère libérée d’un vieux sortilège. C’était aussi en partie sur l’insistance de son amoureuse Amélia que la femme de trente ans, qui s’était à nouveau teint les cheveux après en avoir coupé ras toutes les mèches, se présentait devant une Sophie meurtrie et dépressive. Parce qu’Evnika aussi aimait son esclave et épouse d’alors. Parce que sa présente épouse Amélia également se sentait débitrice de la jeune psychologue qui l’avait si tendrement initiée aux joies du sexe, la dépucelant analement avec tant de douceur.Evnika avait pris Sophie en pitié. Elle ne désirait pas la faire souffrir outre mesure, mais elle savait qu’elle devait pleinement réaffirmer son autorité sur son esclave afin de maximiser les chances d’arriver à ses fins.
— Je ne te tiendrai donc pas rigueur de cette étourderie. Je sais que tout se perd dans un hôpital, répondit la femme aux cheveux de nouveau glauques en flattant de l’embout de cuir l’épiderme sensible de la jeune femme.— Je vous remercie, Maîtresse, pour votre condescendance.
Un silence se fit. La Grande qui était vêtue d’un bustier moulant, d’une courte jupe de cuir noire et qui était chaussée de bottes à mi-cuisses marchait à pas lents, faisant le tour de cette petite femelle entièrement soumise à ses ordres et qui n’osait la regarder dans les yeux. Le son humide du tapotement de la cravache sur les lèvres intimes de la rouquine ne laissait pas de doute quant au plaisir qu’éprouvait déjà cette dernière en la présence de sa dominatrice adorée.Le ton de la tortionnaire monta d’un cran:
— Tu me remercieras lorsque j’en aurai fini avec toi ! Je dois par contre te punir légèrement, pour la forme. Je dois aussi m’assurer que tu te rappelles bien de tes notions de domination. Position ’stool’! ordonna-t-elle.
Avec toute la célérité que lui permettaient ses douleurs résiduelles, Sophie quitta sa position d’attente en faisant joindre ses genoux pour ensuite s’accroupir en avant sur ces derniers et déposa ses coudes au sol tout en gardant ses fesses collées sur les talons. La petite dont la pression abdominale exercée sur les cuisses fut difficilement tolérable ne put réprimer une grimace de douleur, ce qui n’échappa point à celle qui l’observait toujours en silence.
— Ça te fait mal ?— Ce sont mes cuisses, Maîtresse. Elles ne sont pas tout à fait guéries de leur opération.
Evnika regretta le dernier ordre qu’elle venait d’adresser à sa soumise. Le but de sa présence n’était pas tant de la faire souffrir que de la délivrer de cet esprit de culpabilité qui la hantait.
— Position d’humiliation, alors ! contre-ordonna-t-elle.
C’est sans tarder que l’autre obtempéra, faisant glisser vers l’avant les bras au sol en croisant les poignets tout en se redressant sur ses genoux, exposant hardiment son cul humide à la convoitise de sa maîtresse. Pour terminer, elle enfouit la tête entre ses avant-bras reposant par terre, puis s’immobilisa.
— C’est mieux comme ça, petite connasse ?— Oh oui, Maîtresse, merci beaucoup pour votre bonté!
Evnika continuait de faire le tour de sa jeune esclave, caressant cette dernière de subtils touchers de cravache. Elle voyait que Sophie se sentait déjà mieux, non seulement sur le plan physique, le léger filet de cyprine en provenance de ses lèvres luisantes coulant entre ses cuisses en faisant foi, mais également sur le plan moral. Elle sentait ainsi Sophie de plus en plus abandonnée à sa volonté. La petite rouquine, pour sa part, se voyait déjà en route pour les béatitudes, sachant que sa Maîtresse lui donnerait de nouvelles sensations, agréables ou douloureuses, mais assurément intenses et respectueuses de sa capacité de tolérance. Aussi ce fut de sa propre initiative qu’elle releva la tête pour baiser affectueusement au passage les pieds de sa dominatrice qui allait procéder à son inspection interne, geste qui dessina sur le visage de la meneuse de jeu un doux et tendre sourire d’affection.
— Ta mouille goûte bon, petite salope, affirma la Grande après avoir porté à la bouche deux doigts enduits du nectar de l’esclave suite à un examen rigoureux de sa chatte. Debout et repos ! ordonna-t-elle finalement.
Sophie se redressa, à sa surprise avec l’aide de l’autre.
— Je te sens tendue, ma chérie. Tu sais très bien que tu as à ton tour besoin d’une délivrance. C’est le but de ma présence ici. Tu me fais toujours confiance ?— Oui, Maîtresse Evnika, et je vous suis entièrement soumise, répondit l’autre en toute abnégation.
Evnika fit coucher Sophie en dorsale sur le lit à barreaux et déposa ses attaches tout près.Elle entrava d’abord ses poignets qu’elle fixa à la tête du lit à l’aide d’un cordage de bon calibre. Chaque jambe, repliée sur elle-même, fut recouverte de plusieurs tours de cordage épais avant d’être à son tour reliée par le genou à la tête du lit, prévenant tout mouvement d’ouverture. Ainsi installée, Sophie était complètement immobilisée, les genoux tendus au-dessus des épaules et le bassin relevé, présentant à sa Maîtresse son cul dont l’orifice rosé frétillait d’excitation ainsi qu’une chatte vermeille dégoulinante de mouille.Evnika adressa à sa soumise un sourire de satisfaction, sachant d’avance les intenses sensations qu’elle allait faire subir à sa soumise. Sophie, dont le cœur battait la chamade, se sentait envahie par l’enivrant sentiment d’abandon et d’impuissance qui la subjuguait, une abondante coulée de cyprine inondant maintenant sa région péri-anale et mouillant ses draps.La douce tortionnaire s’approcha de la tête de sa prisonnière et lui présenta son bâillon en boule.
— Tu auras fort probablement envie de gémir et de crier, tu en auras donc besoin !
Un dernier sourire exprimé, Sophie ouvrit grand la bouche et la laissa se faire entraver par sa dominatrice. La jeune adorait ce jeu, anticipant avec excitation la suite des choses, sachant qu’elle n’avait maintenant plus aucun contrôle sur elle-même, car elle savait également que tout ceci n’était qu’un jeu librement consenti entre deux femmes dont l’une était déjà libérée de ses esprits maléfiques.
— Tu vas bientôt être délivrée de trois démons qui t’ont vicieusement attaquée depuis que tu as récupéré tous tes souvenirs. Il s’agit d’un esprit de culpabilité, d’un d’apitoiement sur soi-même et d’un dernier, celui-là de manque de maturité. Au terme de cette séance, tu seras complètement libre.
Evnika s’approcha une fois de plus de son esclave et se pencha sur elle.
— Voici le symbole de la Sophie libérée ! lui annonça-t-elle en faisant glisser dans le mamelon gauche percé de la fille un nouvel anneau composé d’un or pur et éclatant.
Incapable de parler, Sophie laissa ses yeux interroger l’autre concernant l’inscription gravée sur le bijou.— C’est pour te rappeler que deux femmes t’ont possédée au cours du temps. C’est écrit ’J’étais à Evnika, je suis à Alicia’. C’est mon dernier cadeau d’amour pour toi, ma chérie.
N’en pouvant plus à la vue de cette fille si sensuelle, Evnika s’éloigna afin de se dévêtir à son tour, monta sur le lit en chevauchant la tête de sa soumise, la libéra temporairement de son entrave buccale et lui offrit une chatte chaude et humide que l’autre s’empressa de lécher goulûment.
— Votre mouille, Maîtresse, me rappelle de doux souvenirs. Elle est si parfumée et si onctueuse !— Tu n’as pas oublié, n’est-ce pas, petite salope chérie ?
Poursuivant un jeu qui revêtait de moins en moins les aspects d’un rapport dominante-dominée, Evnika et Sophie renversèrent leurs rôles respectifs alors que c’était maintenant à la Scandinave de faire jouer une langue frétillante et ornée d’une perle noire sur un clito proche d’éclater de joie ainsi que dans un anus à saveur de mouille et d’autres succulents sucs naturels. Sophie ne put retenir davantage ses gémissements de jouissance, se tortillant les pieds au bout de ses jambes entravées, comme elle connaissait un premier mais giclant orgasme qui fut pour sa partenaire le signe indiquant qu’il était temps de passer à l’étape suivante.La tête toujours à quelques centimètres de la chaude intimité de sa soumise, la dominatrice introduisit alors un puis deux doigts enduits d’un doux nectar féminin dans un anus qui se relâchait lentement à la suite de cet épisode d’intense plaisir. Constatant la bonne disposition du sphincter anal qui, manifestement, semblait assoiffé de sensations supplémentaires, la femme remit en place le bâillon sur la bouche de Miss Slash.
— Tu es prête à subir ta prochaine humiliation ? demanda celle qui avait remis son chapeau de tortionnaire.— Hum-hum ! marmonna l’autre à travers son entrave buccale.
Evnika fouilla de nouveau dans ses effets et en ressortit un objet long qui fit largement écarquiller les yeux de son impuissante compagne de jeu.
— Voici le serpent qui va fouiller tes entrailles à la recherche de tous tes petits démons, petite salope, lui dit-elle en déposant l’’animal’ sur le ventre et la poitrine de la rouquine. Il cheminera aussi loin que nécessaire afin de tous les bouffer. Quand ce sera fini, tu te sentiras à nouveau libre !
Davantage surprise qu’effrayée, Sophie redressa la tête: venait d’atterrir sur elle un gode de silicone flexible long d’environ soixante-dix centimètres. D’aspect fusiforme, l’instrument dont la base de trois centimètres reposait sur son mont de Vénus voyait sa pointe titiller le bout du menton de la fille presque désespérée.
— Désires-tu que ta famille assiste à ton exorcisme ?
Bâillonnée, Sophie était complètement entravée, poignets et jambes liés, offrant impuissamment son cul noyé de mouille à une maîtresse résolument décidée à lui faire subir un traitement-choc destiné à la délivrer de ses angoisses. Dans l’attente de la sodomie qu’elle allait bientôt vivre, la fille se fondait littéralement dans son expectative libidineuse.
— Tu es sûre que tu ne veux pas la présence de ta famille ? lui redemanda-t-elle.— Hum-hum ! gémit la fille en hochant négativement la tête.
Evnika lui déposa un dernier baiser sur le front.
— Nous le ferons très doucement, ma chérie, la rassura sa dominatrice. Il faudra l’introduire en entier pour que ça fonctionne. Comprends-tu ?
La jeune fille hocha affirmativement la tête en signe d’approbation.
— À n’importe quel temps, on suspend la progression. Si ça fait mal, tu me fais signe et on laisse le reptile bouffer le démon qu’il découvre. Quand tu sens la détente revenir, on poursuit plus loin.
La fille débordait maintenant de mouille tellement elle sentait le pervers désir de se faire envahir le fondement gagner en intensité chez elle. Elle hocha de nouveau favorablement la tête.
— Il faut que tu y croies, Sophie, lui dit-elle encore la Grande en l’appelant intentionnellement par son vrai nom afin de démontrer le sérieux de la chose. Sinon, je perds mon temps avec toi. Et tu sais très bien combien je déteste perdre mon temps.
Accrochant maintenant son regard à celui de sa soumise, elle compléta en amorçant l’introduction anale de l’instrument:
— Celles à qui je veux faire du bien, je les fais jouir comme de vraies salopes. Celles que je veux faire souffrir, je les envoie en enfer. Celles que je veux délivrer, je les libère à tout jamais !
Lentement le serpent de silicone se fraya un chemin, traversant d’abord les sphincters externe et interne. Jouissant d’avance, la petite rouquine se délectait d’en sentir l’extrémité fuselée se glisser en elle, contractant légèrement ses abdominaux afin de permettre à son bassin de se soulever et de laisser le filet de cyprine s’écoulant de son sexe lubrifier l’instrument au rythme de sa progression. Un premier gémissement de douleur se fit entendre alors que le quart du très long gode occupait les intestins de la jeune fille.
— C’est bien, ma belle, acquiesça l’autre. Premier arrêt. Premier démon. Première leçon: savais-tu que vingt pour cent des premières grossesses se terminent par une fausse couche et ce, quelles que soient les conditions ?— Hum-hum ! répondit l’autre qui semblait recevoir avec surprise l’information.
Un silence se fit, laissant place aux borborygmes abdominaux témoignant de l’agression dont faisaient l’objet les entrailles visitées par l’instrument de délivrance.Sophie hocha de nouveau la tête, donnant le feu vert à la reprise de la séance.La fille au corps juvénile appréciait au plus haut point cette singulière expérience, se laissant aller avec frissons et volupté à cette enivrante sensation de plénitude qui la gagnait. S’abandonner ainsi aux manœuvres de sa Maîtresse, chassant toute pensée de son esprit, lui procurait de plus une paix intérieure profonde et libératrice.Quelques centimètres encore et la respiration de la ’suppliciée’ se fit plus haletante, laissant voir ses ailes du nez battre violemment à l’unisson.
— Il vient de trouver une autre bestiole à bouffer, annonça Evnika qui mit temporairement fin à la course interne du reptile de silicone. À ce qu’on m’a dit, ton enfant serait probablement né difforme ou avec de graves lacunes menaçant votre qualité de vie. Est-ce vraiment ce que tu aurais souhaité pour toi et ta famille ?— Hummmm ! fit négativement la jeune en signe de compréhension, comme elle se sentait de plus en plus remplie par l’envahisseur qui la travaillait.
Presque en sueurs mais désirant arriver au terme de cette expérience à la fois aride et voluptueuse, Sophie donna le signal de tête attendu par sa douce dominatrice.Comme l’instrument progressait de plus en plus profondément en elle, la petite sentait s’installer impérieusement ce besoin d’évacuer ses intestins, son anus béant maintenant largement alors qu’elle luttait pour accepter l’intrus qui la tiraillait intérieurement. Maintenant en place avec les doigts le gode dont la base élargie n’était plus qu’à deux centimètres de la marge anale, Evnika en amorça la poussée finale par des mouvements de pivot alors que Sophie qui ne pouvait plus s’empêcher de pousser du ventre exprimait cette fois-ci par ses halètements son plaisir mais aussi l’atteinte de ses limites d’endurance.
— Tu penses avoir tué ton bébé? Alors regarde-moi qui ai commis tous ces crimes dans le passé! conclut la grande Maîtresse en permettant au muscle anal de Sophie de se refermer partiellement derrière le renflement situé à l’extrémité du monstrueux gode. Rappelle-toi aussi que j’ai fait de toi une véritable femme dans mon repaire et que l’enfant qu’était Sophie est maintenant morte !
À ces mots, la rouquine se tétanisa, les yeux révulsés, et s’immobilisa sur ses draps. Prise de panique, Evnika se leva et sortit promptement de la chambre pour y revenir en compagnie d’Alicia. Contre toute attente, les femmes constatèrent que le gode était toujours en place, profondément enfoncé tel un plug dans l’anus de celle qui ne bougeait plus.Calmement, la femme-médecin fit son constat:
— Tout va bien, Ev. C’est une de ses transes habituelles. Elle est partie au Paradis des plaisirs. C’est le comportement qu’elle adopte toujours quand elle prend intensément son pied !
Alors qu’elles l’observaient toujours, une profonde inspiration se fit entendre comme le ’serpent’ émergeait lentement et complètement du derrière de la fille en sueurs et que des yeux larmoyants s’ouvraient de nouveau.
— Eh bien, on ne peut pas dire que tu fais les choses à moitié! affirma la femme à la visiteuse en constatant la longueur de l’instrument que venait d’accepter le cul de sa copine.
Sophie fut débâillonnée et délicatement libérée de ses entraves.
— Comment te sens-tu, petite connasse ? lui demanda sa tortionnaire en souriant.— Merveilleusement bien ! répondit la jeune qui se frottait les cuisses. Vous m’avez fait tripper comme jamais, Maîtresse !
Elle ajouta, avant d’embrasser son gros minet ravi de la retrouver enfin avec l’attitude juste:
— Et je ne reverrai plus jamais les choses du passé comme avant. Tu m’as délivrée, Evnika chérie, et je ne sais comment te remercier !— Eh bien, répondit l’autre, une petite baise entre copines retrouvées ? Si Alicia est d’accord, bien sûr !— Allez, je vous laisse ! approuva la femme aux cheveux d’ébène en esquissant un large sourire de satisfaction. Et toi, Sophie, ne fais pas trop de mal à ton ancienne Maîtresse !
Alicia referma la porte derrière elle, laissant les deux amantes d’un jour s’ébattre librement.
— Maintenant que cette situation est réglée, se dit-elle après avoir abandonné son sourire, comment vais-je lui annoncer la suite des choses ? Acceptera-t-elle d’entendre une nouvelle confession de ma part ?
(À venir: Réflexions)
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