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Relation toxique

Chapitre 22

Réflexions

Lesbienne
— Tiens, regarde celle-là: elles sont absolument craquantes !— T’as raison. Elles se tiennent par la main et la mienne lui fait la bise sur la joue. Elles avaient cinq ans à l’époque, je crois.
Enveloppées chacune de sa serviette de bain et assises l’une contre l’autre sur le canapé, Jasmine et Sonia, les mères respectives de Sophie et d’Alicia, parcouraient avec un plaisir empreint de nostalgie l’album photos familial. À la suite de leur récente intervention grâce à laquelle leurs filles étaient à nouveau réunies dans leur réalité contemporaine, les deux mères et amantes approchant la quarantaine relaxaient après la prise d’une voluptueuse douche commune.
— Et celle-là, enchaîna Jasmine qui remontait dans le temps : à deux ans, toutes nues dans la pataugeoire !— Ah, c’est bien ma cocotte ! s’esclaffa l’autre. Déjà en train d’examiner le nombril de sa copine !
À nouveau, quelques pages du volumineux document furent tournées.
— Oh, tu te souviens de celle-là, chérie ? lui rappela la femme aux cheveux roux. Elles avaient quinze ans à l’époque. C’est leur photo d’équipe lors de leur premier championnat de volley-ball.— Regarde comment Sophie posait la main sur l’épaule de ma fille. Je crois qu’elle était déjà amoureuse de sa capitaine !— Oui et c’était réciproque: ’Ne touchez pas à ma Sophie sinon vous verrez la couleur du banc plus longtemps !’— Quelles cuisses et quelles belles courbes, déjà à leur âge !
Jasmine referma l’album. Une fois de plus, Sonia avait tourné vers elle un regard à la fois sensuel et rempli de désir.
— Je lis dans tes yeux, ma belle, fit l’autre en laissant glisser sa serviette de ses épaules. Tu en voudrais encore ?— Tu es toujours aussi séduisante, mon amour, répondit l’autre en lui caressant un sein. Même à quarante ans. Mais j’essaie plutôt d’imaginer Sophie devant moi en tenue d’Ève.— Eh bien, elle a la poitrine et les fesses de mes vingt ans, si tu veux savoir. C’est ce que m’a dit Jérôme, en tout cas.— C’est vrai. Ton mari l’avait sautée également juste avant son union avec ma fille.
La femme aux cheveux aussi noirs que ceux de sa progéniture ajouta coquinement:
— Tu sais, je me serais portée volontaire pour t’assister quand tu as de nouveau visité ta fille dans son intimité, cette semaine !
— Quoi !? s’étonna l’autre, mi-figue, mi-raisin. Ne me dis pas que tu convoites à ce point ma petite puce de Sophie ?— Non, non ! se défendit l’autre. J’aurais juste aimé être là, pour le spectacle, tu comprends ?— Je n’en crois pas un seul mot, gros bêta. Je suis presque sûre que si je t’aurais passé le gode à cette occasion, tu n’aurais pas tardé à l’utiliser sur elle !— Ouais, t’as probablement raison, admit celle qui s’était mise à lécher de tendres mamelons rosés en érection. Mais dis-moi, Mimine, crois-tu qu’un jour ta fille accepterait de se laisser baiser par sa belle-maman ?— Ça viendra peut-être, l’encouragea Jasmine qui s’étendait sur le canapé, offrant maintenant à la passion de son amante son juteux fruit lisse et parfumé d’odeurs féminines. Si jamais le fantasme de vouloir se faire baiser par sa copine ayant l’apparence de quarante ans la prend !
Elle ajouta en espérant très bientôt une langue tiède dans son antre sacré :
— D’ici là, ça ne te dérange pas de forniquer encore un peu avec sa mère ?
Les deux femmes se turent, s’embrassant maintenant avec tendresse en s’abandonnant doucement à leurs plaisirs saphiques.Jasmine et Sonia se connaissaient depuis près de vingt-cinq ans. À l’époque voisines et amies, elles étaient simultanément tombées enceintes de leurs filles Sophie et Alicia. C’est à la suite du départ de son conjoint, peu de temps après la naissance de leur enfant, que Sonia commença à manifester de l’affection lesbienne à l’égard de sa voisine Jasmine qui venait régulièrement lui prêter main-forte dans ses tâches quotidiennes. C’est ainsi qu’alors que les deux jeunes filles grandissaient ensemble, leurs mères développèrent leur relation particulière, Jérôme, le mari de Jasmine, acceptant finalement la bisexualité de sa femme.Cette relation avait perduré jusqu’à ce jour, Sonia habitant maintenant chez le couple Durocher, constituant avec ce dernier un ménage à trois.La porte s’ouvrit soudain, Jérôme faisant son entrée de retour du travail, ce qui ne sembla pas perturber les ébats des deux femmes qui se gouinaient maintenant allègrement dans un torride 69.
— Oh là là, j’vous dérange pas trop, les filles ? demanda l’homme en déposant son veston. J’ai quand même la vague impression qu’il vous manque un joueur !
Les deux amantes se redressèrent alors que Jérôme, la braguette ouverte, brandissait déjà son pénis à moitié bandé devant le visage de Sonia.
— Ouach, Jérôme, pas de même ! Ta bite sens... l’homme et aussi la... pisse !-Si-mo-nac, Sonia, c’est à mon mec que tu parles ! Ça paraît que t’es plus gouine que bi, dis donc !— Désolée, chérie, la preuve que tu dis vrai, c’est que je préfère toujours sucer la queue de ton mari après qu’elle se soit fait enduire de ta délicieuse mouille !— Alors tu ne perds rien pour attendre, ma jolie ! fit savoir l’homme qui, maintenant complètement à poil, n’attendit pas davantage pour sauter sur sa femme afin de la baiser avec vigueur. Approche, ma catin ! commanda-t-il à Jasmine.— Oh mon amour, quelle brute tu fais ce soir ! Allez, viens et prends ta petite nana d’amour !
Rapidement, les ressorts du canapé se mirent à grincer dans le salon, témoins de la baise effrénée à laquelle s’adonnaient les parents de Sophie.
— Ne viens pas tout de suite, bébé, souffla Jasmine à son mâle en rut entre deux soupirs. Tu sais que Sonia aime l’avoir encore bien raide dans sa bouche !
C’est au seuil du point de non-retour que l’homme se retira du vagin presque fumant de sa femme en extase.
— Je m’excuse de te laisser ainsi, ma belle, mais une chaude petite bouche m’attend juste là!
La moquette accueillit Jérôme et Sonia au sol et c’est cette fois-ci avec son amant que cette dernière se positionna une fois de plus en 69, se délectant maintenant d’un organe mâle réchauffé par le tunnel d’amour de son amante mais, surtout, nappé de son onctueux nectar.
— Humm, ça c’est bon, se réjouit la mère d’Alicia. Ça c’est à mon goût !— C’est meilleur qu’après que mon mec m’ait enculée ? demanda candidement Jasmine en frottant la nuque de son amante.— C’est... plus épicé, je dirais, à ce moment-là, répondit l’autre en s’allouant une pause afin de prendre la parole.
Elle ajouta, juste avant de reprendre l’organe en bouche et d’en recevoir le jus épais en pleine gueule:
— Mais ça dépend toujours de ce que tu auras mangé quelques heures auparavant !— Dis donc, t’es une belle criss de cochonne, toi ! sembla s’indigner la rouquine en lui refilant une taloche sur la fesse. Je croirais entendre ta fille quand tu me parles de la sorte !
C’est avec un doigt masculin bien enfoncé dans le cul et une langue énergique sur son clito que Sonia connut à son tour la jouissance, laissant par sa bouche involontairement béante échapper des filets de sperme qui retombèrent sur l’abondante toison pubienne de Jérôme.Délaissées par leur homme, les deux espiègles s’étaient réinstallées sur le canapé, Sonia faisant goûter à sa compagne, par un nouveau langoureux baiser, les relents de la semence de son mari.
— Je suis heureuse pour nos filles, affirma Jasmine au terme de ce dernier échange. Leur vie va enfin reprendre son cours normal.— Tu as raison, chérie, mais je crains tout de même un peu ce qui se passera lorsque ma fille confessera à la tienne ses frasques avec la Docteure Fortin.— Ouais, t’as raison. J’avais presque oublié. Mais elles en ont vu bien d’autres, tu crois pas ?— Si. Tu as encore raison, je te le concède. Mais chose certaine : elles vont sûrement rester marquées par le départ de Catherine.
***
Toujours convalescente, Sophie s’adonnait à une sieste régénératrice dans l’ancien lit de Catherine. Dans l’intervalle, Alicia et Evnika relaxaient doucement dans le lit conjugal des tourterelles, au terme d’une petite sauterie entre gouines retrouvées.
— Je ne sais comment te remercier, Evnika. Tu m’as redonné ma petite biche avec l’attitude mentale normale qu’elle manifestait auparavant, et avec tous ses souvenirs intacts.— Je vous devais bien ça, répondit l’autre avec un sourire. Tout est bien qui finit bien !— Pas tout à fait, mon amie. J’ai toujours ce fardeau sur mon cœur. Cette confession. Ces aveux...
Elle se tourna vers la Scandinave:
— Quand devrais-je le lui dire ?— Le plus tôt sera le mieux, Ali. Tarder davantage ne fera que laisser pourrir la situation.— Le courage me manque. Elle a déjà tellement souffert ! Pourquoi alourdir de la sorte le poids de ses peines ?— Tôt ou tard, elle l’apprendra. Si ce n’est pas par toi, tu auras alors le double fardeau d’avoir à lui expliquer pourquoi tu ne lui en as pas parlé d’abord.— Tu ne veux pas m’accompagner pour la circonstance ? Je me sentirais plus courageuse avec toi à mes côtés.— Écoute, chérie, affirma l’autre en haussant légèrement la voix, c’est entre toi et elle. Si quelqu’un te tient la main pendant cette démarche, tu passeras pour une double mauviette ! Assume-toi, bon sang, tu sais pourtant faire montre de caractère quand tu veux !
Elle ajouta:
— C’est d’une infidélité qu’on parle, ici. Moi, c’était des crimes de haut niveau. Et j’ai passé au travers et je ne suis pas morte !— Oui mais toi, tu étais prisonnière d’un esprit qui te possédait !— Idem pour toi, chère. Cette femme, Louise-Josée Fortin, t’avait littéralement envoûtée. C’est la puissance de ses démons qui te subjuguait. Je n’y vois donc pas de différence.
La femme prit la tête d’Alicia entre ses mains:
— Quand même je voudrais t’aider davantage, ma belle, je dois partir. Un vol m’attend ! Alors fais-le, Ali, fais-le aujourd’hui. Dis-moi que tu le feras aujourd’hui !— Aujourd’hui, laissa tomber la femme aux yeux pers et aux cheveux noirs. Que Dieu me soit en aide.
***
Dix-neuf heures. Evnika s’était envolée de retour vers la Norvège. Les deux tourterelles venaient de consommer, en tête-à-tête, un frugal repas. C’était une Alicia dont le cœur battait la chamade qui invita Sophie au salon.
— Comment te sens-tu, chérie ? fit-elle d’entrée de jeu.— De mieux en mieux, répondit l’autre avec un sourire timide. Je sens que mes forces me reviennent. Et vous avez toutes été formidables avec moi: toi, ma mère, la tienne...
Elle réprima un sanglot en poursuivant:
-... Catherine... et Evnika. Sans vous toutes, je ne serais pas ici en ce moment. Surtout toi, mon amour, ma chérie que j’aime !
Un vif malaise s’empara d’Alicia. Et pour cause: alors que celle-ci savait très bien que c’était ses impardonnables écarts de conduite qui étaient à l’origine de tous ses malheurs, voilà que sa pauvre biche qui se tenait près d’elle venait de la remercier personnellement pour sa précieuse contribution !
— Sais-tu, Sophie, reprit-elle en repoussant du mieux qu’elle pouvait la boule qui occupait le fond de sa gorge, que... que... enfin, je... j’ai quelque chose à te dire. Et ce sera pas facile pour moi.
Sophie dévisagea sa copine, son expression alliant une certaine surprise mêlée d’impatience. Sa réplique cloua plus profondément Alicia sur sa croix:
— Oh, au fait, dis-moi donc, minou, on n’entend plus parler de cette fameuse Docteure Fortin qui te tournait toujours autour. Saurais-tu me dire ce qu’il est advenu d’elle ?— Docteure Fortin, euuuh, oui. C’est... c’est justement d’elle dont je voulais te parler, bichette.
Visiblement mal à l’aise, Alicia se sentait gagner par les sueurs froides, ce que ne manqua pas de remarquer l’experte en synergologie qu’était Sophie.
— Oui, oui, Docteure Fortin, enchaîna la rouquine. On ne la voit plus depuis... depuis, je dirais, votre retour de Dallas.
Devant la verve soudainement manifestée par Sophie, Alicia se sentait de plus en plus paralysée.
— Oh, ce n’est pas que je sois pressée de la revoir, c’est juste que je trouvais bizarre qu’elle soit soudainement disparue du décor. T’aurais pas une petite idée, par hasard, de ce qu’il a pu lui arriver ?— Docteure Fortin, elle... elle est morte, laissa tomber Alicia, le cœur abattu.— Morte !? Quelle tragédie ! C’est certain que je ne la portais pas dans mon cœur, mais de là à souhaiter sa mort... Mais de quoi est-elle morte ?
Un coup de poignard en plein cœur n’aurait pas mieux fait pour achever de plonger la pauvre femme dans le désarroi le plus profond. Alicia prit donc une profonde inspiration, puis:
— Elle est morte dans des conditions bizarres, empoisonnée.— Mais qui diantre aurait pu faire une telle chose à cette femme, une compétente spécialiste en plus ? fit l’autre.
Complètement poussée à bout, Alicia cherchait désespérément les mots pour annoncer la vérité à celle qu’elle savait avoir profondément blessée. Se jetant dans les bras de son amoureuse, elle éclata dans de pathétiques et amers sanglots:
— Oh chérie, je regrette tellement ! Si tu savais comme je regrette !
Un lourd silence se fit, entrecoupé des bruyants gémissements de pleurs exprimés par la femme que l’autre serrait dans ses bras, laissant elle-même couler silencieusement ses larmes.
— Je suis désolée, mon amour, reprit la fille contrite. J’ai fait preuve de faiblesse et j’ai agi en idiote ! Et je t’ai plongée dans cette épouvantable situation.
La rouquine tapota doucement son amoureuse dans le dos. Puis, à l’aide de sa manche, elle entreprit de sécher ses larmes qui coulaient à torrent. Elle caressa des pouces ses joues chaudes et rougies.
— Ça va, ma belle, ça va, voulut-elle la consoler. N’en dis pas davantage.
Quelque peu surprise, Alicia croisa du regard celui de sa copine.
— Je suis au courant de toute l’histoire, lui annonça l’autre.— Tu étais... au courant ? Mais, mais personne ne t’en avait pourtant parlé!— Que crois-tu que j’ai fait pendant ma dernière semaine d’hospitalisation, chérie ? Je n’avais rien d’autre à faire que lire les journaux et consulter l’actualité sur internet. Quand j’ai vu la nouvelle, je n’ai pas fait attention car le nom de Louise-Josée Fortin ne me disait rien, à cause de mon amnésie, et je ne pouvais penser que c’était bien de toi qu’on parlait. Toi, tu n’étais encore dans mon esprit qu’une étudiante à l’université et l’Alicia LeBel des médias, on la présentait comme une célèbre spécialiste, citée à procès pour un meurtre prémédité. J’ai alors laissé toute cette histoire de côté en attendant que mes idées reprennent leur place.
Sophie offrit un câlin réconfortant à son minet chéri.
— C’est tout récemment que j’ai fait le lien, que j’ai tout compris. J’ai relié mes souvenirs les plus récents aux informations dont j’avais alors pris connaissance et c’est là que le déclic se fit.
Serrant toujours sa copine contre elle, Sophie en sentit encore les secousses causées par des sanglots devenus silencieux. Ne voulant prolonger davantage le calvaire de son amoureuse, elle enchaîna:
— C’est fini, mon amour. C’est tout pardonné. Considérons cela comme du passé et oublions tout de cette histoire.
Reniflant ses pleurs, Alicia mit d’elle-même fin à l’étreinte:
— Vrai ? Tu ne m’en veux pas ?— J’ai passé à deux doigts de la mort, ma chérie, et deux fois plutôt qu’une. Tu ne peux pas savoir à quel point ta vision des choses change suite à une telle expérience. Tu ne vois plus rien de la même façon et, élément encore plus important, tu comprends aussi que le plus grand cadeau qu’un cœur puisse offrir, c’est le pardon.— Mais pourquoi m’as-tu laissée languir de la sorte pendant dix minutes, puisque tu étais déjà au courant de tout ?— Je savais que tu serais incapable de faire tes aveux autrement. Je te connais ! Alors je t’ai amenée sur le terrain, le plus doucement possible.
À ces mots, Alicia retomba en sanglots. Non pas des sanglots de contrition, mais de délivrance, auxquels Sophie mêla fébrilement les siens.Dix autres minutes s’écoulèrent ainsi. Dans leur étreinte sans fin, les deux tourterelles faisaient silencieusement le bilan de cette aventure, n’éprouvant plus qu’un seul regret:
— Catherine va me manquer, avoua finalement Sophie à son amoureuse copine. L’as-tu revue récemment ?— Je la revois de temps en temps à l’hôpital, fit savoir Alicia. On se salue de loin, sans se parler. Je l’aperçois maintenant régulièrement en compagnie d’un jeune homme à la cafétéria. Je les observe discrètement. Ils se sourient en se tenant la main. Un beau jeune homme, dans la vingtaine également.— Si elle trouve son bonheur avec ce garçon, je serai heureuse pour elle. Elle mérite mieux que nous, de toute façon, surtout après tout ce qu’elle a fait pour nous, deux belles ingrates !— Tu as raison, ma belle biche. Pauvres idiotes que nous sommes !
La nuit suivante se voyait annonciatrice de douces et sensuelles retrouvailles entre les deux gouines, chacune étant maintenant libérée de tout fardeau. Alicia était redevenue une femme libre, non seulement sur le plan légal mais, encore plus important, sur le plan sentimental, plus rien ne s’interposant entre elle et la femme de sa vie. Sophie, quant à elle, achevait de récupérer sur le plan physique, avait retrouvé tous ses souvenirs et, le plus important de tout, était de nouveau en communion parfaite avec son amie de cœur, sa compagne de toujours, son éternelle Alicia.(À venir : Chapitre final)
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