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Relation de voisinage particulière 2

Chapitre 1

La boutique

Orgie / Partouze
Le temps passe depuis les derniers jeux de Christophe et son couple de voisins. Régulièrement il profite des occasions pour satisfaire ses envies de voyeur en étant toujours dans le jardin au bon moment. Il a le droit à des petits sourires, un bonjour, un bref échange mais rien de plus. Cette situation le gêne, pas d’allusions à leurs coquineries alors que lui, bien souvent il y pense en se caressant. Il faut tout de même avouer qu’un trio offre de multiples possibilités. Un matin alors qu’il est tranquillement chez lui il entend sonner. Une fois la porte ouverte il se retrouve face à sa voisine qui vient pour lui demander s’il est disponible afin de l’aider à sa boutique. Sans aucune hésitation il répond positivement à sa demande.
— Très bien je te propose de me rejoindre avant l’ouverture à 13 h... avec un petit sourire coquin.
Toute la matinée il fantasme sur ce qu’elle allait lui demander ou encore sur la surprise qu’elle pouvait lui réserver. Tant bien que mal il essaie d’interpréter ce petit sourire coquin. Il est 13 h le voilà devant la boutique de sa voisine, un magasin de chaussures très chic. Il tape à la porte de la boutique, une jeune femme d’une trentaine d’années, chevelure rousse mi-longue vient lui ouvrir.
— Bonjour vous devez être le voisin de Madame ?— Tout à fait, elle m’a demandé de passer aujourd’hui.
D’un signe de la main elle lui fait signe de rentrer et de s’installer sur un beau fauteuil placé au milieu des modèles d’escarpins. Elle prend place en face et lui demande de patienter un peu car Madame est occupée dans son bureau avec son mari qui est là pour régler deux-trois affaires. Cette jeune vendeuse est tout aussi charmante elle porte un petit chemisier qui laisse deviner une belle poitrine, elle a une jupe droite fendue sur les côtés qui lui arrive juste au-dessus des genoux, elle est chaussée d’escarpins noirs, à la fois très sobre et classe. En guise d’attente elle lui propose un petit café, elle croise et décroise ses jambes, passe sa main dans ses cheveux, elle est terriblement excitante dans sa gestuelle. Ils parlent ensemble, ils échangent de façon banale lorsque d’un coup elle lui explique qu’en plus d’être son employée elle a un statut particulier de confidente et qu’ensemble elles peuvent partager certaines choses dans la vie de tous les jours.
Christophe, gêné, se met à rougir.
— Ne sois pas gêné lui dit-elle en souriant et lui posant une main sur la cuisse. C’est à ce moment que son voisin apparaît dans le magasin.— Comment vas-tu depuis la dernière fois ?— Euh... très bien je vous remercie.— Laurence t’attend dans le bureau elle termine des papiers.
En passant à côté de Christophe il lui chuchote à l’oreille.
— Attention elle est d’humeur coquine.
Sans un mot de plus il se dirige vers la porte du magasin et en profite pour discuter avec la vendeuse. Elle demande à Christophe de la suivre, ils passent dans l’arrière-boutique, traversent un petit couloir et arrivent dans une pièce ou sa voisine est installée à son bureau.
— Bonjour comment vas-tu depuis ce matin ?
— Très bien.
Elle s’adresse ensuite à son employée pour lui demander de les laisser.
— Vous avez croisé mon mari ? Il avait une envie folle de me voir me dit-elle avec un sourire en coin.
Elle est assise derrière son bureau, elle est jolie avec ses cheveux détachés, ses lunettes posées sur la tête, elle porte un petit pull léger tout près du corps.
— Alors que puis-je faire pour vous, vous avez besoin de moi ? Je suis à votre service.— Hummm à mon service tu sais parler aux femmes toi. Ben écoute, rien de particulier je veux juste jouer un peu je suis persuadé que cela ne te dérange pas.— Mais Laurence nous sommes dans votre boutique.— Ne t’inquiète pas, Agathe mon employée est en train de ranger une nouvelle collection de chaussures et puis je vais t’avouer que parfois elle est un peu ma confidente.
Surpris, il répond: Elle est au courant de nos jeux ? Elle ne répond pas et détourne la conversation.
— J’espère que tu ne regrettes pas d’être venu, tu sais notre couple est très libre et surtout très libertin et depuis quelque temps nous voulions trouver un homme à notre guise et surtout joueur qui accepte nos règles.
Sous le bureau, Laurence remonte son pied le long de sa jambe pour venir entre ses cuisses.
— Alors veux-tu continuer et accepter les règles de notre jeu ? Pendant ce temps son pied chaussé lui caresse le sexe à travers le jean ce qui avait pour résultat un début d’érection.— J’en déduis que tu veux continuer. J’attends juste un oui ou non.
Son sexe devenait de plus en plus dur de désir.
— Oui Madame.— Très bien alors passe sous le bureau et occupe-toi de moi.
Tout en écartant ses cuisses elle lui demande si cela lui plaît, cette position et cette vue ne peut que l’exciter, sa jupe est remontée à mi-cuisses. Il découvre des bas noirs accrochés à un porte-jarretelles, elle porte un string noir tout en dentelle. Ses mains se posent sur ses mollets, elles remontent le long de ses jambes, le contact du nylon est fort agréable, il arrive à la lisière du bas et sent la douceur de ses cuisses. À ce moment-là elle recule un peu plus sa chaise tout en écartant encore plus les jambes. Il pose ses lèvres sur ses cuisses, délicatement il les embrasse en remontant jusqu’à l’entrecuisse. Il s’en dégage une odeur particulière, une odeur intime.
— Retire mon string ! Lui dit-elle.
Il attrape le string, elle lève légèrement ses fesses pour l’aider à le faire glisser le long de ses jambes. Il découvre un sexe quasi lisse, seul un petit triangle de poils restait sur le dessus. Son visage vient maintenant renifler son entrejambe.
— Tu sens mon odeur intime ? Ne t’inquiète pas, mon mari n’a pas pu se retenir tout à l’heure j’espère que cela ne te gêne pas.
En guise de réponse il pose ses lèvres sur son petit abricot très doux. Pour commencer il se contente de déposer des baisers sur cette fente lisse et encore poisseuse de la semence de son mari. Sa langue commence à s’immiscer à l’intérieur.
— Continue ne t’arrête surtout pas ! Il la lèche de haut en bas puis s’attarde sur le clitoris, elle commence à devenir tout humide. En la tenant par les hanches sa langue accentue ses mouvements jusqu’à la pénétrer légèrement pendant de longues minutes. Les gémissements et frissons de Laurence lui donnent l’envie de continuer à s’occuper d’elle de la sorte. Il s’arrête un court instant pour reprendre son souffle mais elle n’était pas du même avis et lui saisit immédiatement la tête pour la replonger entre ses cuisses. Il s’occupe maintenant de ce petit bouton tout gonflé de plaisir, ses petits coups de langue répétés la font se gesticuler. Elle relève légèrement son bassin pour rapprocher son sexe de ses lèvres puis passait ses jambes sur ses épaules pour lui emprisonner la tête. Ses talons contre son dos... elle essaie de garder le contrôle sur son voisin. Du bout de sa langue Christophe continue à jouer avec son clitoris avant de pincer son bouton de plaisir entre ses lèvres. Il le tète, puis le garde en bouche pour le titiller avec sa langue. Pendant que son corps se soulève, ses gémissements sont de plus en plus forts. Sa langue continue à titiller ce clito, elle se trémousse, elle mouille de plus en plus, elle lui caresse les cheveux, ses jambes se serrent de plus en plus autour de lui, ses talons fins lui griffent le haut du dos. Elle hurle sa jouissance tout en lui inondant le visage de son jus intime.
Après cet orgasme elle se relève en laissant son voisin sous son bureau.
— Alors qu’avez-vous pensé du spectacle ? demande-elle ?
Ne comprenant pas pourquoi elle dit ça Christophe sort de sous le bureau et tombe nez à nez avec son voisin avec la queue sortie de son pantalon et Agathe accroupie à ses côtés.
— Très sympa ma chérie, j’ai l’impression qu’il t’a bien fait jouir.
Elle lui répond simplement.
— Oh que oui et toi Agathe a été gourmande ?— Oui mais elle n’a pas terminé alors elle va finir ce qu’elle a commencé.— Et que fait-on avec notre voisin ?— Fais ce que tu veux de lui mais il ne te baise pas.
Agathe était déjà à genoux devant mon voisin et elle se retrouvait déjà avec cette belle queue dans la bouche. Pendant ce temps, Laurence demande à Christophe de s’asseoir sur la chaise et de les regarder. Elle lui met les bras dans le dos puis avec un morceau de tissu, lui attache les poignets à la chaise. Le voilà maintenant attaché face à ce spectacle, elle lui baisse le pantalon et caleçon afin de libérer ce sexe tout raide.
— Dis donc tu as une belle queue, tu es tout excité c’est quoi qui te mets dans cet état-là ? L’envie de me baiser ? Jouer les voyeurs comme tu aimes le faire ? Ou bien tu aimerais te joindre à Agathe ?— J’ai envie de vous Laurence.— Non pas encore tu vas profiter de ce spectacle et moi je vais te caresser pour te donner du plaisir.
Elle pose sa main sur sa queue, avec ses ongles vernis de rouge elle le griffe tout du long de sa queue toute raide.
— Ça te plaît, regarde comment elle le suce bien, elle est gourmande ma petite Agathe.
En effet elle s’applique à lui lécher les couilles puis remonter le long de cette colonne de chair pour jouer avec ce gland tout violet de désir. Mon voisin lui tient la tête et fait des va-et-vient dans cette bouche tout offerte. Christophe peut entendre les bruits de succion à peine couverts par les gémissements de son voisin. Pendant ce temps Laurence continue à le branler, sa main coulisse de haut en bas et de plus en plus vite sur sa queue puis s’arrête pour titiller du bout des doigts le gland tout sensible.
— Tu vois tu es notre chose, notre jouet, tu jouiras quand je le déciderai.
Elle arrête de le branler pour rapidement rejoindre Agathe, elle se retrouve aussi à genoux, chacune d’un côté de son voisin, elles s’occupent de lui, leurs langues s’entrelacent avec au milieu cette belle queue. À son tour Laurence la prend dans sa bouche elle fait des va-et-vient pendant qu’Agathe s’occupe de ces couilles bien pendantes, elle les prend une à une dans sa bouche. Christophe ne peut que regarder, ses mains attachées dans le dos ne peuvent même pas servir à se caresser.
— S’il vous plaît détachez-moi c’est trop dur d’assister à un tel spectacle.
Bernard répondait:
— Non tu regardes et tais-toi. On joue selon nos règles.— C’est trop dur là.
Laurence se retourne dans sa direction.
— En effet c’est très dur lui dit-elle en regardant sa queue droite comme un i tout en rigolant.
Elle embrasse à pleine bouche Agathe, elles entrelacent leurs langues dans un baiser langoureux et très excitant. Elle prend Agathe par la tête pour la guider sur la queue de son mari, qu’elle reprend dans la bouche pour la dévorer de nouveau. Laurence se dirige vers son nouveau jouet et lui reprend la queue, elle recommence ses mouvements de va-et-vient tout en lui triturant les couilles. Il frissonne de plaisir, il sent le plaisir monté, elle doit le sentir car elle arrête sa branlette pour serrer fort la queue comme pour l’empêcher de jouir. Son mari pousse un gémissement et crache tout son sperme dans la bouche d’Agathe qui ne bronche pas et continue sa pipe pour tout avaler.
— Agathe, viens là ! Dit Laurence.
Elle s’approche et se met à genoux devant Christophe.
— Agathe ouvre ta bouche mais je ne veux pas que touches à sa queue.— Oui Madame.
Laurence faisait quelques va-et-vient sur la queue tout en la dirigeant vers la bouche de son employée. Christophe frissonne, tremble entre ces doigts.
— Jouis ! Je t’en donne l’autorisation.
Il éjacule en de longues saccades en direction de la bouche et le visage d’Agathe qui avale de nouveau ce qu’elle a dans la bouche. D’un ton directif Laurence s’adresse à son employée:
— Très bien Agathe tu peux nous laisser, remaquille-toi et ouvre la boutique.
Laurence détache les mains de son voisin et le remercie pour ce petit moment très coquin.
— Chéri, samedi soir on se fait une soirée coquine à la maison ?— Si tu veux, invite notre voisin nous allons approfondir nos jeux.
Elle demande à Christophe s’il est d’accord pour samedi et prêt à jouer de nouveau selon leurs règles. Il répond bien évidemment oui.
À suivre.
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