"c’est un bâillon boule pour éviter que quelqu’un reconnaisse ta voix,quand tu jouiras tu risques fort de t’exprimer à haute voix""ça m’emballe pas trop de mettre ça mais d’un autre côté tu as raison"Oh oui tu verras que j’ai raison parce que tu vas crier de jouissance à un point que tu es loin d’imaginer,pense son père tout en lui fixant le bâillon"C’est moi qui irai ouvrir pour accueillir nos invités,toi je vais te mettre en position pour les recevoir.Viens ici,mets toi a genoux et pose ta tête et tes 2 poignets ici"Virginie s’installe avec une certaine appréhension car elle est aveugle à présent et ne peut plus s’exprimer.La partie supérieur du carcan se rabat sur elle ,son père le verrouille avec une goupille.Il lui est désormais impossible de retirer sa tête ou ses bras.Ensuite il se saisit d’un barre d’à peu près 1 m de long muni a chaque extrémité d’une large lanière de cuir qu’il fixe au dessus de chaque genou de virginie,puis cette même barre est fixé au sol.Une fois terminé il se met à tourner une manivelle qui fait descendre le carcan ,virginie ne pouvant plus bouger les jambes ses reins se creusent faisant saillir sa croupe.Jugeant la position idéal son père arrête de tourner,virginie est complètement écartelée les fesses ouvertes et offertes."c’est vrai que tu as un cul magnifique ma fille,ça va ?"oui fait elle en faisant signe de la tête"ah! on sonne ,nos invités sont là,patiente deux minutes"Virginie resté seule commence à avoir peur, et si son père était un pervers ,et si,et si ,et si.........Soudain elle entend des voix et entend des pas derrière elle.Des voix de femmes et d’hommes,elle reconnaît celles de sa mère et de sa belle-mère,ce qui la rassure un peu.Un des hommes s’écrie"bon dieu!quel cul elle a,je sens qu’on va s’amuser,je peux ?"Dans la seconde elle sent des mains se posées sur ses fesses ,puis des doigts pénétrés directement sa vulve,elle se raidit."tu vois bien qu’elle n’est pas encore prête ,doucement grosse brute,il faut la préparée un peu ensuite tu pourras lui enfoncer ta queue" cette voix est celle de sa mèreMerci maman pense virginie."allez tout le monde en tenue ,la soirée commence" commande son père.quelques instants après virginie est le centre de toutes les attentions ,des mains inconnues lui palpent les seins ,lui triturant les tétons pendant que d’autres fouillent sa raie. Les langues se succèdent sur sa chatte et sur son anus s’y enfonçant parfois aussi loin que possible. Une queue la pénètre fait quelques va et vient puis est remplacé par une autre. Il lui semble même reconnaître celle de son père par la grosseur mais aucune ne va au bout de son ouvrage. Des langues expertes se relaient sur son clito,sans doute les femmes se dit virginie. La cyprine coule à présent sans discontinuer tellement elle est excitée mais toujours pas d’orgasme,le salauds pense t elle faite moi jouir. Elle feule ,gémit,mais rien n’y fait. Ses fesses remuent dans tous les sens ,mais de la façon dont elle est entravé les mouvements sont minimes. De grosses gouttes de sueur perlent sur son corps elle n’en peut plus,elle veut jouir."elle est prête on peut y aller" cette voix est celle de sa mère."oui tu as raison c’est le moment,elle va jouir comme une folle" répond son pèreEnfin ,se dit virginie,mon père va me prendre et me faire jouir.Il règne à présent un silence de cathédrale dans la pièce au point que cela en devient inquiétant pour elle. Soudain Virginie sent le contact d’un sexe contre sa vulve,elle a à ,peine le temps d’apprécier que celui se rue en elle de toute sa longueur pour commencer de suite une danse effrénée contre ses fesses. Elle accuse le coup en poussant un cri qui est étouffé par le baillon. Jamais on ne l’a prise de cette façon et avec une telle intensité,les va et viens sont si rapides que l’on dirait une machine. Pourtant une chaleur inhabituelle se dégage du morceau de chair qui la fouille,une sensation nouvelle pour elle mais plus qu’agréable . Elle se sent ouverte en deux,toutes les terminaisons nerveuses de son vagin sont mise à contribution,le plaisir monte crescendo avec une telle force qu’elle n’arrive même plus à penser. C’en est trop,enfin elle jouit dans un grognement de bête que l’on égorgerait. Sa tête se balance de droite à gauche,son orgasme se tarit lentement mais la folle chevauchée ne cesse pas pour autant,elle cherche à comprendre qui peut bien la prendre de cette façon mais son cerveau n’a pas le temps d’analyser la situation ,un second orgasme encore plus dévastateur que le premier la terrasse. Le membre qui lui taraude le ventre semble grossir de plus en plus ,les parois de sa vulve s"ouvre au maximum pour l’accueillir ,elle sent que quelque chose de rond et de démesuré essaie de rentrer en elle . Le plaisir et la douleur se mélange ,soudain elle se raidit comme tétanisée,son sexe a réussi a avaler cette rondeur inconnue déclenchant un énième orgasme. La chevauchée s’arrête immédiatement quelques secondes de répit puis elle sent de puissant jets fusés en elle . Cela ne semble plus vouloir s’arrêter ,à chaque saccade elle émet un grognement,son cerveau explose en une myriade d’étoiles,les jouissances se succèdent ,son corps ne lui appartient plus. Après un temps qu’elle ne saurait définir elle sent le sexe qui lui a donné tant de plaisir se retirer non sans mal , comme si son vagin ne voulait pas le laisser sortir. Au moment de l’expulsion virginie sent couler sur ses cuisses un liquide chaud en quantité importante. Complètement exténuée par ses jouissances répétées, à bout de souffle elle tente de récupérer un peu. Son père se penche vers elle"alors femelle ,je te l’avais bien dit que tu jouirais comme jamais et ça n’est pas fini ma petite,il en veut encore ,on dirait qu’il apprécie ton cul. Je suis sûr que tu te poses la question de savoir qui t’as fait jouir comme ça,je vais te donner un indice -le sac de croquettes au super marché- tu te rappelles"Avec effroi virginie comprend de suite,elle vient de se faire prendre par un chien. Sa réaction première est de hurler mais le bâillon l’en empêche ,elle essaie de se débattre mais réalise vite que c’est inutile vu la façon dont elle est entravée. Dès qu’elle est calmée une langue qui n’a rien d’humaine commence à lécher le sperme qu’elle a sur les cuisses,dans un premier temps ce contact la fait frémir mais cette langue lui arrache un soupir dès qu’elle entre en contact avec ses lèvres intimes.Rugueuse,nerveuse,explorant le moindre repli ,lui procurant des sensations folles virginie décide de s’abandonner corps et âme. Le plaisir monte à nouveau en elle et explose au moment ou la langue canine arrive sur son clitoris. Elle respire comme un soufflet de forge , aucun humain ne l’a jamais mené à un tel orgasme de cette façon là. C est son anus qui fait à présent les frais d’un nettoyage en règle,elle mord sur la boule qui lui obstrue la bouche pour essayer de canaliser toutes ces sensations. Un doigt lui viole le fondement pour lui lubrifier le conduit ,elle sent qu’on lui tartine généreusement son anneau étoilé. Ils vont me sodomiser,pense t elle, pourvu que ce soit papa et pas le chien,mais impuissante à se défendre elle sait très bien qu’elle ne pourra que subir.
